Jaillissements par Patrik

Jaillissements

Un texte assez court. Ne pas confondre narrateur et auteur. Bonne lecture 🙂

Maniaquerie

Depuis bien longtemps, je suis un éjaculophile, un fan du jaillissement de sperme et d’en mettre partout sur ma femme qui est le plus beau terrain de jeu que je connaisse ! Son corps souvent blanchâtre est si voluptueux avec ses monts et ses vallées, ses courbes sinueuses… Bref, son anatomie me fait bander, et quand je bande, je jaillis, c’est aussi simple que ça.

Si un jour, je deviens un super-héros à l’américaine, mon nom sera indubitablement Éjaculator !

Éjaculer dans ma femme me plait beaucoup moins qu’éjaculer sur elle. Comme je suis un pervers visuel, j’adore voir son mignon corps devenir luisant et gluant, à tel point que ça recharge illico mes batteries et que c’est parti pour une nouvelle série de salves !

Un cercle sans fin…

De son côté, ma douce femme ne déteste pas ma petite lubie surfacique, car la pénétration ne lui dit trop rien. De plus, en l’absence de préservatif, elle râle qu’il faut nettoyer en interne, ce qui n’est pas pratique, et qu’en plus, c’est visqueux, ce qui n’aide pas. En revanche, en surface, un coup de sopalin, et hop, on n’en parle plus. Bref, le côté pratique est indubitable ! Sans parler de l’alibi assez foireux de la crème de beauté…

Nos jeux de dessus la couette sont finalement assez simples : elle se masturbe tandis que je l’asperge plus haut. Ceux de dessous la couette sont plus variés, je vous rassure.

Souiller ses suaves seins

Éjaculer sur ses beaux gros nichons, les couvrir de sperme, puis exiger qu’elle se masse avec. Sans oublier, bien sûr, qu’elle se lèche suavement ses doigts ensuite. C’est ainsi que ma maniaquerie a commencé : sur ses seins blancs.

Comme ma femme n’avait pas exécré cette pratique, j’ai continué. C’est plus tard qu’elle osera lécher ses doigts, chaque chose en son temps. Il ne faut jamais trop forcer la main à une femme, ça peut la braquer pour un bon bout de temps. Maintenant, elle le fait même en me regardant droit dans les yeux, et croyez-moi, c’est diablement efficace pour la libido !

Pour arroser comme il se doit ses monts, j’ai à ma disposition diverses positions. Pour sa part, dans la très grosse majorité des cas, elle est confortablement allongée sur le dos. De mon côté, la plupart du temps, je suis agenouillé à ses côtés pour pouvoir l’asperger. Parfois, je la chevauche par-dessus son ventre ou son bassin, ma verge dirigée vers son visage et il n’est pas rare que quelques gouttes s’égarent plus haut… Parfois, c’est dans l’autre sens, son visage est sous mes testicules qu’elle léchouille de temps à autre. Quand c’est ainsi, je n’hésite pas vicieusement à caresser son nez et ses lèvres avec mes deux boules pendouillantes.

Très souvent, elle presse ses seins entre ses mains pour les ériger encore plus, tétons pointus vers le ciel. Et son petit sourire veut tout dire. Parfois, elle m’encourage de la voix, en me disant quelques grosses cochonneries qui accélèrent encore plus la montée de la sève !

Dans tous les cas, ses lolos ruissellent ensuite de sperme, et c’est un spectacle dont je ne me lasse pas, malgré les années qui passent…

Fête aux fesses

Éjaculer sur ses mignonnes fesses est aussi un plaisir paradisiaque. Ça l’est encore plus quand, vicieusement, ma femme se tripatouille le petit trou avec mon sperme bien gluant ! J’en attrape plein de sueurs chaudes !!

– Hmmm, t’aime bien passer par là, n’est-ce pas, mon cochon ?
– Ma chérie, je me demande ce qui est le plus vicieux : t’enculer ou regarder ton doigt s’enfoncer dans ton mignon petit trou du cul !
– Hmmm, va savoir…

Vous ai-je dit que ma femme a un petit côté pervers ? Si oui, je vous le confirme. Si non, je vous l’apprends.

Historiquement, après les seins, ce fut le tour des fesses. Là aussi, j’apprécie que son popotin rebondi devienne luisant sous mes jets. Parfois, quand nous faisons l’amour au matin ou en début d’après-midi, nous ajoutons une pointe de perversion à ce qu’elle remettre sa petite culotte et qu’elle se balade ainsi. Sans avoir nettoyé ou essuyé, bien sûr !

Seins, fesses, deux types de mont. Des spécialistes en sciences humaines disent que les hommes sont attirés par les décolletés, car ça leur rappelle le popotin des dames lors des ancestrales levrettes, dont le souvenir se perd dans la nuit des temps, mais pas dans la libido masculine. Il paraît… Mais rien ne dit que ces mêmes spécialistes soient dans le vrai. Bien des savants se sont allègrement plantés.

Bouche

Éjaculer dans sa bouche toute pulpeuse, sur sa langue humide, voir mon sperme gluant disparaître ensuite dans sa gorge, vers son estomac ! Quel spectacle divin ! Je ne m’en lasse pas, et pourtant ça va faire des années que je me déverse ainsi.

Pour sa bouche, il m’a fallu attendre un peu. J’ai vite compris que c’était un peu extrême pour elle, du moins, au début, car elle considérait que ça faisait trop pute. Puis nous en avons parlé, ou plutôt, c’est moi qui ai mis le sujet sur la table en utilisant des mots choisis. Pour éviter les impairs, j’avais un peu répété auparavant devant le miroir de la salle de bain. J’aime bien mettre tous les atouts de mon côté…

Nous avons commencé doucement, mais nous y sommes arrivés sûrement ! Elle surtout…

Mis à part les sucettes qu’elle fait maintenant admirablement bien, j’adore éjaculer dans la bouche ouverte, voir mon sperme blanc glisser sur sa langue humide, puis qu’elle avale le tout sans effort apparent.

Un soir, avant de s’endormir, elle m’a confié :

– Bah, tu sais, ça me rappelle un peu les huîtres…
– Donc c’est jour de fête pour toi quand tu avales ?
– Mais qu’il est con ce type ! Le pire, c’est que je suis mariée avec !

Oui, comme vous le constatez, nos conversations sont parfois hautement philosophiques…

Pubis

Éjaculer sur son pubis, voir le sperme dégouliner vers sa mignonne fente, puis exiger qu’elle se masturbes le clitoris avec…

Je sais, cette façon de faire est un peu risquée, car ma douce et tendre n’utilise pas de moyen de contraception, car elle ne supporte pas la pilule et elle a eu des soucis avec le stérilet et d’autres techniques. Donc nous surveillons scrupuleusement le calendrier pour éviter les jours qui encadrent le pic d’ovulation. Technique risquée ? Non car même du temps où je la pénétrais vaginalement nettement plus souvent, nous n’avons jamais eu d’accident.

Je reconnais que cet endroit est moins arrosé que ceux que j’ai préalablement cités. Mais un peu de changement ne fait pas de mal. Ma femme n’accepte pas que je la souille quand sa touffe est garnie. Il est vrai que le sperme colle aux poils et que ce n’est pas une sinécure à nettoyer. Donc j’attends que son pubis soit glabre, ce qui arrive quand les beaux jours ensoleillés sont de retour, et que le bosquet cède la place à la dune lisse…

Donc quand la température est meilleure au dehors, j’ai le droit de contempler les rigoles de mon sperme qui dégoulinent lentement le long de la courbe de son mont de Vénus (le bien-nommé) puis sur les rebords de ses lèvres un peu joufflues…

Ça aussi, c’est un beau spectacle, croyez-moi…

Anus

Éjaculer contre son anus, jusqu’à propulser mon sperme dedans.

Ce fut une découverte étonnante. Un soir, j’étais en train de taquiner sa rondelle du bout de mon gland, un de mes petits plaisirs particuliers. Son entrée étant un peu ouverte, j’avais appuyé mon méat dessus, bien calé sans toutefois entrer dans ce sombre tunnel. N’y tenant plus, j’ai puissamment éjaculé, ouvrant les vannes à mon plaisir.

Petite parenthèse : il m’arrive de sodomiser ma femme (vous le savez déjà si vous avez lu correctement ce qui précède), j’adore le faire, mais là, il s’agissait une nouvelle technique, dont j’ignorais que ce fut possible. On apprend à tout âge.

Tandis qu’elle s’essuyait, ma femme m’a dit :

– Je ne sais pas comment t’as fait, mon gros cochon, mais y a quasiment pas de sperme !
– Ah bon ? Pourtant je t’assure que j’ai balancé une bonne dose !
– Écoute, mis à part deux-trois gouttes, rien de rien, aussi bien devant que derrière, ou sur les draps…

Elle fronce des sourcils :

– À moins que…

Sans complexe, elle enfonce un doigt dans son entrée des artistes, puis elle le ressort pour le contempler avec une moue dubitative :

– Eh bé, mon gros cochon ! T’as réussi à mettre tout ton foutre dans mon cul !
– Ah bon ? Tu rigoles ?
-Si tu ne me crois pas, regarde !

Je ne me suis pas fait prier deux fois d’aller y regarder de plus près. J’ai donc mis mon nez aux abords de sa cuvette ourlé que j’ai ensuite délicatement évasé pour vérifier. En effet, c’était bien le cas… Étonnant, mais bon à savoir.

Depuis ce soir mémorable, j’ai récidivé bien des fois !

Trois petits jets et puis s’en vont

Internet est un vaste monde. Je me demande parfois comment les gens faisaient dans le temps sans celui-ci, bien qu’il existe encore de nos jours des personnes qui n’y ont pas accès. Grâce au web, on a la main mise sur plein de choses, plein de communautés. Hélas, tout n’est pas fiable, c’est le revers de la médaille. En effet, la Toile offre une tribune à des tas de farfelus (dans le meilleur des cas) qui exposent leurs idées et surtout leur maniaquerie du complot. En clair, le faux a autant de poids que le vrai. Rien n’est totalement blanc, rien n’est totalement noir.

J’ai vite découvert que je n’étais pas le seul dans mon cas, c’est-à-dire aimer arroser sa femme de la sorte. J’ai aussi découvert d’autres pratiques auxquelles je n’avais pas songées, et même d’autres que je n’aurais pas osé avoir le commencement du début de l’idée.

Pour faire simple, il y a nettement « beaucoup plus pire » que moi, ce qui me rassure.

J’ai aussi découvert le nom de certaines pratiques relatives à la mienne, comme le bukkake. Mettre un nom sur une pratique est pratique. Le petit problème de cette façon de procéder (je parle de cette pratique au nom japonais) est qu’il faut plusieurs partenaires masculins qui acceptent le deal initial. Trouver des hommes, c’est facile. Trouver des hommes qui ne feront qu’éjaculer, sans pénétrer, c’est moins évident. Mais quand on tombe sur la bonne communauté, alors le ciel se dégage.

Reste néanmoins un autre gros problème : l’acceptation de la part de ma femme. Qu’elle se fasse arroser par mes bons soins, aucun souci. Que ce soit d’autres hommes qui l’arrosent, c’est déjà plus problématique. C’est aussi le risque non négligeable que ça aille plus loin que prévu, et même trop loin.

C’est le délicat équilibre entre fantasme et réalité, la frontière est parfois ténue et il est si tentant de la franchir…

– Aaah, ma chérie ! Dommage que je n’aie pas plus de réserves pour t’en foutre partout !
– C’est vrai qu’il n’y a pas grand-chose, c’est réduit à quelques centilitres… Entre deux et cinq, si je ne m’abuse…
– Comment tu sais ça ?
– Moi aussi, je sais me servir du web…

Je soupire intérieurement de soulagement. Durant une fraction de seconde, j’ai cru qu’elle parlait d’expérience, ayant comparé sur le terrain avec d’autres hommes. Je songe alors que je ne suis pas vraiment prêt pour le libertinage.

Elle poursuit :

– Toi, tu dois être dans les deux à trois centilitres, mais contrairement à bien des hommes qui sont limités à un seul coup, toi, t’es capable de recommencer assez vite.
– Toujours Internet, je suppose ?

C’est avec un regard moqueur qu’elle répond :

– Peut-être pas…
– T’es une petite salope dans ton genre, tu le sais ?
– Oui, bien sûr que je le sais, et puis, tu m’aimes comme je suis, n’est-ce pas ?
– Tu es bien certaine de toi, ma chérie…

Sans complexe, elle s’agenouille sur le lit :

– Allez, vient me la refoutre entre les nichons pour me faire une belle cravate ! T’en meurs d’envie !
– Euh… je ne te garantis pas que j’ai encore des réserves…
-Pas grave ! Viens frotter ta bite déjà toute raide sur mes seins couverts de ton sperme ! Comme ça, tu auras l’illusion d’avoir éjaculer !

Vous ai-je dit que ma femme a un petit côté pervers ? Il me semble bien que oui ! Le bukkake attendra encore un peu…

Fin

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3 réponses à Jaillissements par Patrik

  1. Arkansas dit :

    Bel et excitant hommage à la spermophilie. Moi aussi j’adore faire faillir mon foutre sur mes antennaires féminins

  2. Pilouface dit :

    J’ai bien aimé le côté « Columbo » du récit.

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