Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 14 – Hofjom, homme objet par Nicolas Solovionni
– Vous m’avez épuisée mais ça m’a fait du bien ! Je peux y aller ? Demande Tallulah
– Oui…
– Je dis à une copine de venir ?
– Non, on fera un examen par jour.
– Ah ! Est-ce que je peux formuler une requête ?
– Bien sûr
– On a rien pour se faire belle, vous n’auriez pas un petit peu de maquillage, et aussi du vernis pour les ongles ?
– On y a pas pensé, je vais regarder, mais je crains qu’on n’ait pas grand-chose.
Maintenant que Tallulah a regagné sa cabine, se posent deux questions : La première est de savoir si l’hypnose a fonctionné, pour cela il faut l’interroger mine de rien, mais on ne pourra pas le faire tout de suite, les filles vont parler entre-elles, et il faut éviter que quoi que ce soit leur mette la puce à l’oreille. La seconde c’est la raison de cette soudaine et insolite montée de libido.
Et voilà Hofjom qui se pointe, je l’avais oublié celui-là. C’est vrai que depuis que Levkovich l’a débriefé, il est devenu doux comme un agneau et ne sort de sa cabine que pour partager nos repas sans quasiment piper mot.
– J’aimerais bien me rendre utile ! Me dit-il.
– Oui, je comprends bien mais tu as été malade, je préfère que tu te reposes.
– Non, non, je ne suis plus malade.
Un vrai boulet ce mec. Et je réalise soudain qu’on l’a complètement oublié dans notre plan d’hypnose.
– Bon, je t’envoie Nadjet, elle va t’examiner et regarder si tu es bon pour le service. Si c’est bon on te fera travailler.
Et tout content, il regagne sa cabine en sifflotant.
J’avise Gundula et lui demande de s’occuper de lui.
– Vas-y avec Nadget. Tu en profiteras pour le persuader qu’il a encore besoin de repos pendant plusieurs jours, j’ai pas envie d’avoir ce type dans les pattes.
– Bonjour mon grand, on vient voir si t’es en bonne santé ! Lui dit Nadget en pénétrant dans sa cabine.
– Je me sens en pleine forme ! Répond Hofjom.
– Oui, ça à l’air, mais on va vérifier. Déshabille-toi !
– Entièrement !
– Oui !
Gundula croise le regard de sa collègue, ne comprenant pas la raison cette procédure. Cette dernière répond d’un clin d’œil énigmatique.
L’homme entreprend de se déshabiller, mais semble gêné quand il ne lui reste plus que le slip à retirer.
– Tu enlèves tout !
– C’est vraiment indispensable ?
– Oh ! Que oui !
Il se débarrasse de son slip.
– Oh, mais c’est qu’il bande, le monsieur ! S’exclame Nadget.
En fait sa bite était demi-molle mais ne demandait qu’à durcir…
– Je ne le fais pas exprès ! Balbutie Hofjom.
– C’est nous qui te faisons bander ?
– Ben, vous êtes des belles femmes !
– Ah ! Monsieur est un gentleman ! Tu as vu cette bite Gundula, elle est en train de nous dire bonjour !
– C’est donc un bite bien polie !
– Vous jouez à quoi, toutes les deux ? Demande l’homme.
– Disons qu’on pourrais joindre l’utile à l’agréable, une bite qui bande bien, c’est un signe de bonne santé, non ? Vous permettez que je touche ?
– C’est peut-être gênant ? Répond l’homme sans trop de conviction
– Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Rétorque Nadget en portant sa main sur le sexe érigée, puis en lui imprimant quelques mouvements masturbatoires.
Hofjom s’accommode de la situation, même s’il se demande quelles sont les réelles intentions de ces deux femmes.
– Je la sucerais bien, qu’est-ce que tu en pense, Gundula ?
– C’est tentant !
– Alors, on y va.
Les deux coquines s’accroupissent devant l’objet de leur concupiscence. Nadget embouche la bite et après quelques mouvements de la langue et des lèvres, passe le relais à Gundula.
Elles jouent quelques moments à « passe bite », puis Gundula glisse derrière l’homme, lui flatte les fesses, les écarte, vient lui butiner l’anus de sa langue et afin que le délire soit complet, finit par lui pénétrer son doigt mouillé.
Excité par devant et par derrière, le « pauvre » Hofjom n’en peut plus. Nadget sent dans sa bouche une goutte de liqueur pré-séminale s’extraire du méat de l’homme. Elle stoppe donc sa fellation au grand dam de l’intéressé.
– Vous ne continuez pas ? Ose-t-il demander.
– Si, on peut, mais tu as peut-être envie de nous baiser ? Répond la blackette
– Toutes les deux ?
– On peut s’arranger… Répond la femme en retirant prestement le bas.
Gundula ne voulant pas être en reste en fait de même. Et voilà donc nos deux coquines le cul à l’air (ou la chatte à l’air, question de point de vue !)
– A toi de jouer mon grand, mais essaie de tenir la distance !
– Euh…
– Bin quoi, ça ne t’intéresse pas ?
– Toutes nues, ce serait mieux, non ?
– T’entends ça, Gundula, il veut voir nos nichons.
– C’est un cochon !
– Je demandais juste comme ça.
– Bon, on va te faire plaisir ! Dit finalement Nadget en se débarrassant de son haut et de son soutif,
Gundula l’imite. Hofjom n’en peut plus, ses yeux semblent prêts à sortir de leur orbite
– Vous êtes très belles ! Balbutie-t-il, je peux toucher ?
– Tu ne serais pas un peu trop gourmand ? Viens nous baiser, tu commences par qui ?
Il désigne Gundula, qui se met sur le dos. L’homme s’approche et se met à la pilonner en cadence.
– Garde-en pour moi ! Lui lance Nadget.
– Je ne sais si je vais pouvoir…
– Tu as tort, je t’offre mon cul !
L’argument a porté, Hofjom change de partenaire et encule la belle blackette. Ça ne dure pas bien longtemps tellement il est excité, il éjacule une bonne dose de sperme dans le conduit anal, puis retire sa bite poisseuse de sperme et légèrement mordeuse. Nadjet s’en empare et entreprend de nettoyer tout ça.de sa langue vicieuse.
– Tu le fais avec moi ? demande-t-elle à Gundula
– Attends, il a des taches de merde…
– Justement c’est encore meilleur.
– T’as des drôles de goûts !
– Essaie donc !
Gundula reprend sa respiration et vient lécher à son tour.
– Hum, t’as raison, c’est excitant de faire ça !
Mais la bite de Hofjom fut vite nettoyée par les deux coquines.
– Il m’en a foutu plein, j’ai le cul qui coule. Fit remarquer Nadjet
– Je parie que tu vas me demander de nettoyer ça aussi !
– C’est comme tu veux, ma chérie !
– Alors j’y vais, tu va voir que je peux être aussi salope que toi.
Ce petit nettoyage accompli, Hofjom regarde Gundula avec des yeux d’amoureux transi. L’occasion est trop belle. Une minute après l’homme était hypnotisé.
– On n’a même pas pris notre pied ! Déplore Nadget.
– On va arranger ça, un petit soixante-neuf dans ma cabine, ça devrait le faire, non ?
– Mais bien sûr ma chérie !
– D’autant que j’ai très envie de gouter à ton cul !
– Salope !
– Je sais !
– On aurait dû commencer par Kinsky, me dit Gundula, lui au moins il ne risque pas de parler à quelqu’un.
– Bonne idée, on va faire ça de suite.
– De suite peut-être pas, attendons une demi-heure…
On a été cherché le bonhomme, mais c’est qu’il ne voulait pas et qu’il s’est mis à rouspéter.
– Ecoute pépère, j’ai un protocole sanitaire à respecter, ça va durer 10 minutes, alors soit tu viens gentiment, soit je te fais emmener de force.
Il finit par obtempérer, et cette fois pas de préliminaires. Directo, le fond de l’œil
– Vous ne bougez pas et vous gardez les yeux ouverts, sinon ça va durer trois semaines !
Il m Ȏnerve ce type.
– Vous êtes sûr que vous êtes habilité à faire ça ? Rouspète-t-il
– Vous voulez voir mon diplôme ! Lui répond sèchement Gundula
– Vous l’avez eu comment votre diplôme ?
Et par pur réflexe, Gundula lui retourne une gifle. Une belle gifle !
– Mais…
– Et maintenant si vous continuez à faire l’andouille je vous administre un sédatif.
– Bon allez-y, faites joujou, mais un jour je vous la ferais ravaler votre gifle !
– C’est ça, bon laissez bien les yeux ouverts
Le type ne lutte plus, Gundula peut alors lui faire son baratin,
– Vous êtes venu ici sans résistance, la bâtisse rouge n’a jamais existé, ce n’est qu’un formation naturelle…
Elle le réveille, il a l’air légèrement surpris.
– Excusez-moi, j’étais parti ailleurs, ce doit être la fatigue…
– Pas grave. On va vous raccompagner à votre cabine, vous avez besoin de reprendre des forces, vous allez faire une cure de vitamines.
– J’en veux pas de vos vitamines.
– C’est vous qui voyez ! Au fait une petite question comme ça : le machin rouge qu’on a aperçu sur la planète, c’est quoi au juste ?
– Une bizarrerie de la nature, qu’est-ce que vous voulez que ce soit d’autre ? Pourquoi cette question ?
– Parce qu’on aime bien poser des questions. Et sinon il y avait des choses à découvrir sur la planète ?
– Oui des crabes !
– Et Calloch, il n’a rien découvert ?
– Qu’est-ce que vous auriez voulu qu’il découvre ? C’est curieux comme un homme peut changer, il était bien au début et puis il a craqué, il est devenu fou à lier.
On raccompagne le bonhomme et dès sa porte refermée, Gundula se jette dans mes bras !
– Ça a marché ! Ça a marché !
Certes, et c’est l’essentiel, n’empêche qu’en ce qui concerne la subite poussée de libido de Tallulah, je n’ai toujours pas compris. Rien de ce genre avec Kinsky, cela aurait été d’ailleurs compliqué à gérer, ni avec les dix autres filles.
Il y a quand même eu une conséquence collatérale, c’est que depuis cet événement, Gundula et Tallulah sont tout le temps ensemble et semblent vivre le parfait amour. Tant mieux pour elles.
Tallulah ne tarda pas à se laisser aller à une étrange confidence auprès de na nouvelle conquête quand elle vint lui faire un petite visite dans sa cabine :
A suivre
Un récit bien croustillant
Un homme objet ? C’est trop de contrainte
Préférez un bon gode, une fois que vous aurez pris votre plaisir il n’ira pas se coller devant la télé à mater un match de foot…
ça m’aurait plus a moi d’être un homme objet !
Mais que fait Dark Vador ?
Ah, ces coquines ! Toutes les occasions sot décidemment bonnes pour s’envoyer en l’air !