INSOMNIE par Faustin

Quatre heures du matin, je n’arrive pas à me rendormir. Cela fait au moins une heure que je tourne et me retourne dans mon lit. A mon côté ma femme dort du sommeil du juste. Je n’ai pourtant pas de problème particulier, juste quelques petits tracas classiques au travail qui se régleront facilement mais qui m’agacent. Déjà, pour me calmer, je me suis levé, délicatement, sans bruit pour aller boire un peu de lait froid dans le frigo, cela n’a pas suffi. Si jamais je réveille ma moitié allongée à ma gauche, je vais me prendre une de ces avoinés.

Je décide d’appliquer une méthode qui fonctionne parfois dans ces cas-là, cette méthode consiste à se concentrer sur des événements positifs. Ce qui marche le mieux se sont des histoires de cul, fantasmées, vécues ou même simplement lues. Oui, mais alors, autre problème, je vais m’exciter, bander comme un porc et vouloir me soulager, mais si je dois réveiller ma chère et tendre et qu’elle le prenne mal, je vais devoir me serrer la ceinture pendant au moins une semaine.

Pensons à autre chose, le gamin ! Non, ce n’est pas la solution, celui-là aurait besoin d’un coup de pied au derrière pour montrer un peu plus d’enthousiasme, mieux vaut abandonner cette piste, ça pourrait m’énerver encore un peu plus. Le Loto, tiens, c’est pas mal ça, que ferais-je si je gagnais le gros lot ? Ouais, mais cela fait trois mois que j’avais renoncé à ma grille hebdomadaire pour faire des économies, ça ne serait pas crédible, bon d’accord, demain je rejouerais, comme ça en cas d’insomnie je pourrais toujours rêver.

Finalement, un petit souvenir de cul, c’est qui marche le mieux et tant pis si je dois me soulager sous les draps comme un collégien honteux, juste une petite précaution au cas où. Je me penche pour récupérer un mouchoir sur la table de chevet, heureusement que mon épouse est prévoyante. Mentalement, je passe en revue les belles histoires que m’avait racontées Louis lors de nos interminables parties de pêche. Tiens, pourquoi pas celle-là, elle avait déjà beaucoup servie mais elle s’est toujours montrée efficace.

Il me suffisait de me rappeler du contexte, de faire l’inventaire des lieux et la pompe à souvenir se remettrait en marche.

ooooOOOOoooo
Merveilleuses années 60, avant mai 68. Comme chaque année depuis 10 ans, Louis était en vacances avec ses parents sur le littoral nordiste, à Stella plage, petite station balnéaire dépendant de Cucq dans le pas de Calais. Stella plage est aux ouvriers ce qu’est Le Touquet, sa voisine, aux patrons.

Une ville bâtie autour d’une route perpendiculaire à la mer et qui ne vit que deux mois dans l’année. Autour du centre-ville, quelques centaines de résidences secondaires appartenant à des pas assez riches pour s’installer au Touquet, quelques « Sam Suffit » et à côté, beaucoup plus excentré, les camps de camping qui ont fait découvrir les vacances à toute une population laborieuse.

Le camping préféré de Louis, distant d’un kilomètre environ de la plage en était séparé par deux rangées de dunes et d’une zone sablonneuse d’environ cinq cent mètres, zone que les gens du midi qualifieraient de « garrigue ». Cette zone où poussaient des épineux et quelques arbustes était difficilement accessible à cause des débris de bois mort et d’épines qui jonchaient le sol. C’était devenu l’endroit privilégié des amoureux en quête d’endroit tranquille.

C’est bien sûr dans cet endroit que Louis LA vit (ou plutôt la remarqua). Un soir de pleine lune, il y attendait sa dernière conquête qui tardait à venir lorsqu’il vit arriver un couple qui s’arrêta à une cinquantaine de mètres de l’endroit où il était. Quelques minutes plus tard, il vit la femme, seule, qui se rapprochait encore de lui. Arrivé à sa hauteur, elle s’arrêta et dans un mouvement gracieux, enleva sa culotte et après avoir relevé sa jupe, s’accroupit, telle une reine, le dos bien droit, les mains sur les hanches retenant sa jupe et sa culotte. Sans attendre, elle se mit à pisser d’un jet dru. L’éclairage de la lune estompait les couleurs mais ce fut suffisamment excitant pour Louis, un long frisson lui parcouru l’échine, la beauté du spectacle lui coupait le souffle.

Sans s’essuyer, Nadine (c’est son prénom, il le sut plus tard) rejoignit son compagnon et Louis dû attendre que le couple fasse sa petite affaire parce qu’il n’y avait pas d’autre issues que de passer près du couple pour rejoindre sa tente.

Cette nuit-là, il ne put s’endormir, rejouant en boucle la scène du pipi, espérant contre toute logique, mieux voir le liquide ambrée sortir du méat féminin. Il s’imaginait à quelques centimètres de la source merveilleuse, tellement prés qu’il en recevait sur le visage, à cette simple pensée il se rendait compte qu’il bandait comme un âne, à chaque fois il se retournait comme pour échapper à ce qu’il redoutait car son éducation lui interdisait de trouver du plaisir dans une situation aussi dégradante. Malgré lui, l’action recommençait et il se retrouvait avec elle, accroupi au-dessus de lui, lui pissant dessus et y prenant un plaisir sadique. Il tournait et se retournait sous la couette qu’il partageait avec son frère, de temps en temps, ce dernier se manifestait en grognant. Ni tenant plus, Louis se leva et s’enfonça dans le bois environnant pour enfin soulager la tension. Il se branla frénétiquement faisant fi de tous ses tabous et n’étant déjà plus en état de refreiner le flot de ses pensées obscènes. A peine avait-il éjaculé que son engin à moitié débandé reprenait de la vigueur. Il s’imaginait vaincu, se soumettant à la volonté de la femme dominatrice qui exigeait sadiquement de lui qu’il ouvre la bouche en grand pour avaler la pisse qu’elle lui offrait généreusement.

————–
Louis l’avait reconnue, ils s’étaient croisés plusieurs fois dans la petite ville, au marché, sur la route de la plage. Il l’avait distinguée parmi les autres anonymes par sa mise toujours coquette, parée de bijoux de pacotille. La veille, en allant à la plage en fin d’après-midi, ils se sont croisés alors qu’elle remontait vers la ville en compagnie de ses deux grands garçons et de son mari. La petite famille prenait toute la largeur du trottoir et la mère dut rabrouer son plus grand parce qu’il ne faisait aucun effort pour laisser un peu de place à Louis qui arrivait en sens inverse. Ce faisant, elle lui avait lancé un regard profond, insistant. Elle avait entre trente et quarante ans, difficile d’être plus précis, à cette époque, pour Louis, toute personne de plus de trente ans était déjà vieille.

Le lendemain, fidèle au poste, il espérait bien revoir cette scène qui avait squatté son cerveau ne laissant aucune place à des pensées rationnelles. Il s’était enhardi et avait trouvé un lieu d’observation discret et plus proche du chemin ou la jeune femme s’était soulagée la veille. Ce soir-là, la pleine lune était toujours présente mais de gros nuages la cachaient par intermittence.

Bingo. Bien que cela paraisse incroyable, le scénario de la veille se reproduisit. En fait, il l’apprit plus tard, le hasard et la chance n’avaient qu’une petite part dans la répétition et le déroulement des événements.

Cette fois Louis se trouvait à trois mètres de l’impudente. Avec la même élégance, la même classe, elle refit son strip-tease, enleva sa culotte et s’accroupit toujours dans cette position de dominante. A ce moment, la lune réapparut, éclairant la scène comme en plein jour. La dame était presque de face par rapport à la lune et Louis put voir le détail de sa toison, deviner le sexe qui se cachait en dessous. Sans gêne aucune, comme pour défier d’éventuels censeurs, elle délivra un pipi arrogant. Louis fut fasciné par l’aisance et l’élégance avec laquelle elle réalisait cet acte que d’habitude on cache et que l’on garde sous silence, avec la veille, c’était la deuxième fois qu’il voyait pisser une femme. Il ne pouvait pas détacher les yeux du liquide qui s’engouffrait dans le sable en creusant un petit cratère mousseux. A un mètre en contre bas et à trois mètres d’elle, il ne manquait aucun détail. Cette scène, Louis me la raconta plusieurs fois avec des trémolos dans la voix et les yeux pleins de nostalgie, elle restera gravée dans sa mémoire pour l’éternité.

Comme la veille, elle se releva sans s’essuyer.

En passant devant l’endroit où se trouvait la cache de Louis, elle marqua un temps d’arrêt et murmura suffisamment fort pour qu’il puisse entendre.

– J’espère que ça t’a plu ? Et ajouta, vexante. Branle-toi bien petit vicieux!

Pendant les jours qui suivirent, Louis n’osa plus aller à son poste d’observation. Puis, naturellement, les choses reprirent doucement leur cours normal et le mercredi suivant, il se rendit au marché pour y faire quelques courses à la demande sa mère. Le temps était au beau, le marché coloré avec ses marchands de fripes, de légumes et autres bonimenteurs, les badauds en vacances étaient détendus et Louis retrouvait de son insouciance en regardant les gamines de son âge. Occupé à remplir un paquet de cerises, il ne prêtait guère attention aux gens qui faisaient la même chose à côté. Brusquement, il entendit une voix.

– Tiens ! Mon voyeur !

Louis se retourna, reconnut la dame et comprit tout de suite que c’est de lui dont elle parlait. Ses jambes se transformèrent en guimauve, il avait l’impression de s’enfoncer dans le sol. C’était elle et elle s’adressait à lui à haute voix. Il eut l’impression d’un silence total sur le marché, il était persuadé que mille paires d’yeux le regardaient et attendait sa réaction. Il rougit jusqu’à la racine de ses cheveux et réussit à bafouiller.

– C’est à moi que vous vous parlez ?
– Qu’il est mignon, et en plus il parle !
– Je vous assure madame…
– Ce n’est pas la peine de rougir comme cela, je ne vais pas te manger !

Elle parlait tout en choisissant des fruits.

– Je vous jure, madame, j’étais là par hasard.
– Donc tu avoues, c’était bien toi ! Bien sûr tu étais là-bas par hasard ! Et le lendemain, tu y étais aussi par hasard ?

Elle avait marqué un point, sans lui laisser le temps de répondre, elle s’éloigna pour payer ses fruits au commerçant, échangeant quelques banalités avec ce dernier. Louis était piégé, pourtant il ne sentait pas de reproches dans l’attitude de la jeune femme, au contraire elle souriait de toutes ses dents et semblait seulement se moquer de lui. Il eut le temps de regarder autour de lui pour constater qu’en réalité, personne ne se souciait d’eux, cela lui permis de reprendre sa respiration, soulagé.

Elle revint vers lui après avoir réglé son dû et tout sourire lui annonça.

– Tu y étais peut-être par hasard mais moi non ! Allez, encore une chance, ce soir même heure même endroit.

Le cœur de Louis battait la chamade, il venait de se faire draguer de façon magistrale, il était amoureux, le coup de foudre. La femme avait beau avoir un âge plus proche de celui de sa mère, il n’y avait aucune comparaison possible, Nadine, était sexy, pimpante et avait une taille fine, il émanait d’elle un fort pouvoir de séduction que seul l’évidence d’être un vers de terre devant une étoile ne lui avait pas permis de remarquer avant. Elle était bien plus belle que les gamines qu’il draguait habituellement. C’était une vraie femme qui venait de lui faire comprendre qu’il pourrait aller plus loin que de passer sa main dans la culotte des filles comme il réussissait à le faire parfois avec ses flirts.

Le soir, bien avance sur l’heure, il rodait dans les environs de leur lieu de rendez-vous. A l’heure dite, il vit enfin la silhouette de Nadine qui s’avançait vers lui. Sans un mot, ils s’avancèrent l’un vers l’autre. Ils ne savaient que dire, elle semblait beaucoup moins à l’aise que le matin sur le marché, l’œil brillant, interrogatif, alors Louis lui tendit la main, la prit et la serra dans ses bras, elle était petite, mince, fragile. Tout naturellement comme ci ils se connaissaient depuis toujours, Louis lui roula un gros patin, elle répondit fiévreusement à ce baiser, leurs langues cherchaient à fouiller l’autre dans un baiser passionné. Un bien être les parcouru. Nadine fut la première à réagir.

– Viens, ne restons pas là.

Main dans la main, Ils firent la centaine de mètres les séparant du coin des amoureux. En quelques mots, elle lui expliqua la situation. Mariée, mère de deux garçons de 11 et 13 ans, elle était en vacances jusqu’à la fin de la semaine avec ses enfants et sa belle-mère. Son mari avait dû partir précipitamment pour son travail il y a deux jours. Mais elle se méfiait de sa belle-mère qui était un vrai garde-chiourme et elle avait dû ruser pour sortir ce soir prétextant aller au cinéma.

Arrivé à leur destination, Louis et Nadine s’allongèrent côte à côte, Louis commençait à la peloter en déboutonnant son corsage, baisant toute peau nue passant à portée de sa bouche. Il se collait à elle pour bien lui démontrer qu’il était dans de bonnes dispositions. Tout en se tripotant, ils continuaient à faire connaissance.

Nadine logeait dans une petite maison qu’elle louait, cette villa borde la route qui mène au camping et c’est de sa fenêtre de cuisine qu’elle avait remarqué Louis, le voyant passer plusieurs fois par jour. Elle le trouvait beau, grand, blond, bronzé avec des yeux bleus qui l’avaient fait fondre. Elle avait depuis essayé de se faire remarquer de lui mais sans résultats.

Sa présence dans la garrigue non plus n’était pas due au hasard. Toujours de sa cuisine, elle avait vu Louis s’enfoncer en direction des dunes. Tentant le tout pour le tout en espérant tomber sur Louis et sa copine, elle comptait sur l’improvisation pour se faire remarquer. Dans ce but, elle avait intrigué pour que son mari l’accompagne parce que la présence d’un couple dans ces lieux ne surprendrait personne. Son mari n’était bien sûr pas dans la confidence et c’est sur la promesse d’un câlin dans la nature qu’il avait accepté de l’accompagner.

De son côté, Louis lui dit avec un enthousiasme chaleureux à quel point il avait apprécié la qualité du strip-tease qu’elle lui avait offert. A sa grande surprise, il apprit que le strip-tease non plus n’était pas dû au hasard. Le premier soir, grâce à la pleine lune, Nadine avait repéré Louis, aussitôt, elle avait proposé à son mari le premier endroit convenable pour leur activité à venir et ensuite, prétextant une envie pressante, alla se positionner au plus près de l’endroit où Louis se trouvait.

Alors que Louis la félicitait du spectacle qu’elle lui avait offert. Elle eut une réponse incroyable. Louis avait insisté sur les grosses lignes du dialogue qui s’était engagé ce soir-là.

– En fait, il y a quelques années, avant de me marier, j’ai eu un fiancé qui adorait me voir pisser, c’était une vraie obsession chez lui, je n’avais pas le droit d’aller pisser sans lui demander de venir voir, parfois, il me demandait de monter sur la table et de faire pipi dans un saladier juste devant lui.
– Et ça ne te gênait pas ?
– Au début, j’ai eu du mal, mais je me suis vite habituée parce que je voyais dans ses yeux le plaisir que ça lui procurait.
– Et toi, tu éprouvais du plaisir ?
– Si on aime, le plaisir est contagieux, oui, j’éprouvais du plaisir !

Louis lui avoua le trouble qu’elle avait provoqué en lui après l’avoir vue faire son petit besoin. Les pensées perverses qui s’étaient emparées de son esprit et la jouissance obscène de découvrir qu’il était un dépravé. Finalement, apprendre qu’il n’était pas le seul à avoir des idées aussi peu conformes à l’orthodoxie sexuelle le réconforta.

Son sexe déjà au zénith grâce aux caresses qu’ils se prodiguaient mutuellement se mit au délire en écoutant la confession de Nadine, Louis prononça des mots qu’il pensait ne pouvoir jamais oser dire.

– Hum, j’aimerais bien te voir pisser encore une fois.
– Tu veux vraiment ?

Elle semblait incrédule, peut-être la crainte d’une fausse joie. Louis lui affirma que c’était ce qu’il désirait le plus en cet instant.

Doucement, Elle se releva, une fois debout, elle enleva sa culotte comme il l’avait vu faire déjà par deux fois, mais cette fois, il n’avait plus l’impression d’entrer par effraction dans l’intimité de quelqu’un, au contraire, il était fier que le strip-tease lui soit destiné. Elle s’accroupit à un mètre de lui le regardant dans les yeux pendant que Louis s’allongeait juste devant elle. La lumière de la lune était légèrement voilée, ce qui l’obligeait à écarquiller ses yeux autant qu’il le pouvait, admirant ce gros abricot formé par ses fesses et la grosse cicatrice torturée qui se cachait entre les poils.

L’attente ne fut pas longue, il vit sortir un pipi hésitant qui se transforma presque aussitôt en torrent. Il remarqua qu’elle avait mis ses doigts en V inversé et tirait sur son mont de vénus de façon à envoyer sa production le plus loin possible, près du visage de Louis, l’arc de cercle formé par le jet atterrissait à moins de 20 centimètres de son menton, il en reçut même quelques éclats.

Brusquement, le jet s’interrompit.

– Tu veux peut-être goûter ?

Louis était pétrifié, elle venait de prononcer la phrase qu’il redoutait mais en même temps, qu’il espérait plus ou moins consciemment. L’afflux brutal de sang dans toutes ses extrémités avait bloqué tous ses neurones, sauf celui conduisant à la cache de ses perversions les plus secrètes et dont même lui ignorait l’existence. Le neurone de ses inhibitions était bloqué lui aussi. Il s’avança entre les cuisses de sa maîtresse et posa sa bouche sur les lèvres sanguinolentes. Les quelques gouttes d’urine qui perlaient lui donnaient un avant-goût du menu à venir, comme un amuse-bouche. Le goût n’était pas insurmontable et comme un chien fou, il se déchaîna pour lécher le sexe dégoulinant. Dans sa fougue, il avait renversé la dame sur dos, cette dernière lui pris la tête dans les mains pour tenter de le calmer un peu.

– Doucement, doucement, je ne vais pas pouvoir si tu continues comme ça !

Cette menace eut le don de le faire redescendre sur terre, en signe d’apaisement, il ouvrit largement sa bouche prête à recevoir le pipi divin.

Un gros jet très court atterrit sur son palais, le goût était cette fois beaucoup plus fort et beaucoup plus marqué que celui des quelques gouttes qu’il avait sucées auparavant. Pourtant, Il voulut ne rien laisser transparaître des difficultés qu’il avait pour avaler ce breuvage inhabituel, faisant un gros effort sur lui-même, il avala la pisse en se persuadant qu’il s’agissait d’un cru exceptionnel. Elle lui proposa encore deux petits jets qu’il avala cette fois sans difficulté. Constatant que c’était finit, il lécha convenablement sa maîtresse comme lorsque l’on nettoie la table après avoir mangé. Il était fier de l’exploit qu’il avait accompli, et déjà il regrettait que ce fût si vite fini. Il était même prêt à recommencer tout de suite si elle le lui demandait.

Sa bite n’en pouvait plus de bander, à en être douloureuse. La suite s’enchaîna comme par enchantement, déboutonnant sa braguette, il fit coulisser son pantalon en même temps que son slip et se portant à sa hauteur, se présenta en vainqueur devant la grotte dégoulinante. Se positionnant au-dessus d’elle dans la position du missionnaire, il s’enfonça délicieusement dans le coquillage, avant de coulisser doucement en des va-et-vient lascifs. L’endroit était d’une douceur incroyable, et il devait faire des efforts pour ne pas se laisser aller à forniquer comme une bête. De temps en temps, il faisait une pose de peur de ne pouvoir se retenir. Il essayait de la peloter et de l’embrasser mais elle était beaucoup plus petite que lui et la tâche n’était pas aisée. Nadine avait tout comprit de la situation, alors, arc-boutant ses jambes autour de sa taille, elle donna une petite impulsion pour le faire rouler sur le côté. Tout en restant empalée, elle se retrouva le chevauchant, en experte, c’était elle maintenant qui donnait le rythme. Ils se tenaient par les mains et auraient pu rester des heures comme ça mais elle en décida autrement. Elle fit une pose, sans bouger, le regardant droit dans les yeux et serra fortement les muscles de son vagin à trois ou quatre reprises. Sous la délicieuse torture, Louis capitula, n’ayant plus la force de retenir sa semence. Dans un râle de bonheur, il inonda sa maîtresse.

Ils restèrent ainsi accouplés le temps que chibre de Louis reprenne une taille à peu normale en sortant de lui-même de la grotte sublime. Puis Nadine se laissa glisser sur le côté. Louis prit le temps d’apprécier cet instant magique mais, très vite son petit bout fit montre de nouvelles velléités. Comme un enfant gâté qui ne sait pas s’arrêter quand quelque chose lui plait, Louis en voulait encore, il recommença à caresser sa belle, se montrant pressant. Nadine semblait ravie et se débattait mollement, déployant toutes les armes de la séduction, usant et abusant de dénégations qui n’étaient autres que d’autant d’invitations avec pour seul but d’exciter encore plus son jeune amant. A force de contorsions aussi gracieuses qu’érotiques, Elle n’eut aucun mal à lui présenter son cul à lécher, ce qu’il fit le cerveau bouillonnant. Cela se termina tout naturellement en levrette.

A peine Louis s’était-il retiré que la belle s’exclama.

– Oh mon dieu, je vais être en retard, je vais me faire attraper !

Elle se releva et remis presto sa culotte en disant.

– Je vais la garder toute la nuit comme ça tu seras encore un peu avec moi. A demain, même heure ici!

Elle se pencha et déposa un petit bisou sur les lèvres de Louis. Il ne fit rien pour la retenir, la regardant s’éloigner. Son ordinateur intérieur tournait au ralenti, il avait besoin de faire le point, de savourer le bonheur qui venait de le frapper, tout ce qui lui était arrivé ce jour était du domaine du rêve. Il resta allongé sur le dos jusqu’à ce que la fraîcheur de la nuit le saisisse, il rentra alors se demandant s’il avait réellement vécu ce qu’il venait de vivre.

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Le lendemain en début d’après-midi, alors qu’il passait devant la maison où logeait sa maîtresse, il reconnut la voiture du mari garée juste devant l’entrée du garage. Ce n’était pas bon signe, il repassa plusieurs fois espérant la voir et savoir si tout allait bien mais lorsqu’il passa vers dix-sept heures, la voiture n’était plus là et les volets de la villa étaient clos. Il comprit que la nuit précédente était et resterait unique. Il passa les quelques jours de vacances qui lui restaient à errer comme une âme en peine.

ooooOOOOoooo
Cette histoire, je me la suis rejoué tant de fois qu’elle était devenue comme un conte pour moi, même les passages les plus scabreux n’arrivaient plus à me faire bander, bandouiller au mieux ? En tous les cas, l’objectif était atteint. Je m’enfonçais doucement dans les bras de Morphée lorsque tout à coup, ma femme, allongée de trois quarts sur le ventre dans ma direction, se saisit de mon sexe et le caressa, aussitôt celui-ci réagit, prenant un volume plus conséquent. Il faut dire que ma moitié n’en prenait pas souvent l’initiative mais lorsque cela arrivait, ma queue savait que ça allait être sa fête. D’une voix endormie elle me questionna.

– Tu ne dors pas?

Pas encore en état de faire des galipettes, je lui répondis par un « non » tout aussi endormi. Mais déjà, Morphée s’éloignait. Une ou deux minutes plus tard, ma chère et tendre se retourna lourdement sur le dos et resta les jambes écartées, jambe gauche allongée et jambe droite pliée, son genou soulevait le drap vers le plafond. Dans un souffle elle dit.

– J’ai envie de pisser !

Ces quatre petits mots achevèrent de me réveiller, avais-je bien entendu? bien compris? Etait-ce une proposition ? Me proposait-elle le contenu de sa vessie ? Ce ne serait pas la première fois que je déguste à la source un échantillon de sa production. J’avais mis des années à la persuader que cette perversion était bien innocente, ne causant de mal à personne. La chose lui paraissant tellement anormale, je dus attendre encore des années pour qu’elle réussisse enfin répondre à mon attente. Encore fallait-il que ce soit lors de baises exceptionnelles et qu’elle soit dans un état d’excitation telle qu’elle en oubliait ses inhibitions

Tout à fait réveillé, je scrutais sa silhouette à la lumière des diodes luminescentes du radio réveil. Je voulais m’assurer que j’avais bien compris et que ce n’était pas uniquement dû à mon imagination. Cela serait quand même la première fois qu’elle en prendrait l’initiative.

Il faisait chaud dans la chambre, elle ne portait qu’une petite nuisette et le drap ne la recouvrait que jusqu’au pubis. Ses cuisses ouvertes étaient bien soulignées par le drap, la pose languissante était un appel au viol. Le triangle formé par son entrejambe m’attirait irrésistiblement, je glissais ma tête en soulevant délicatement sa jambe droite. Ma bouche rencontra ses lèvres. Comme un petit chien, la queue frétillante, je léchais ce sexe que je chérissais, signe d’allégeance et de disponibilité.

Elle attendait manifestement ce moment, et laissant retomber sa jambe sur mon épaule, elle me serra le visage entre ses cuisses. Dans un mouvement lent elle se retourna sur côté gauche m’entraînant avec elle. J’attendais, la bouche grande ouverte qu’elle veuille bien m’utiliser. Cela ne tarda pas, après deux tentatives, je sentis un tout petit jet, comme pour vérifier que tout était en place et qu’elle pouvait se laisser aller. J’avalais avec servilité. Elle me laissa la lécher et se tendit ensuite pour m’envoyer une rasade plus conséquente. Je ne fus pas surpris, je connaissais le goût de son pipi, je bu sa pisse comme un esclave reconnaissant, enfin heureux que sa maîtresse l’honore en l’élevant au rang de latrines privés. J’idolâtrais ce sexe qui me distillait ce nectar si délicat avec tant de largesse cette nuit. Ce n’était pas un échantillon qu’elle avait décidé de m’offrir ce soir, elle exauçait mes vœux les plus chers en s’offrant sans retenue comme je l’en avais souvent prié.

La complicité pour accomplir cet acte devait être totale, c’était le cas ce soir, nos deux corps fusionnaient.

J’avais chaud entre ses cuisses, j’avais du mal à trouver l’air dont j’avais besoin mais pour rien au monde je ne laisserais ma place cette nuit. J’avalais le plus vite possible, me rendant disponible pour une suite que j’espérais abondante. Je ne fus pas déçu, elle se déversa en offrant de grosses gorgées à ma bouche toujours avide.

Notre délire durait depuis au moins vingt minutes lorsqu’elle se remit sur le dos, me libérant de fait en me disant tout simplement « viens ». Je m’allongeais sur elle et introduisis ma verge gorgée de sang dans son minou devenu douloureux sous l’effet de la sussions. Ce fut une baise de routine mais j’aimerais bien que des nuits comme celles-ci deviennent aussi des routines.

Après que le monstre fut enfin soulagé, je retournais dans mon coin, m’endormant avec le goût délicieux de ma femme sur mes papilles.

FIN

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3 réponses à INSOMNIE par Faustin

  1. Fleur02 dit :

    Quand ça mouille, c’est que c’est bon (je me répété un peu là !😜
    Très bel article

  2. Kriss Baxter dit :

    Un excellent texte bien travaillé et teinté d’uro

  3. Claire dit :

    Il y a plein de bons récit uros planqués dans les profondeurs du site, celui-ci est vraiment très bon

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