Histoires de bons plaisirs – 7 – Quattro par Verdon…..

Histoires de bons plaisirs – 7 – Quattro par Verdon…..

Nous avons pu remarquer dans les épisodes précédents que notre chère Huguette, même si elle a un peu de retenue, n’est pas de celles qui font les mijaurées et blêmissent longtemps devant une paire de balloches. Elle s’est régalée devant un spectacle érotique à Paris et la main d’un vieil homme sur son cul ne lui a pas déplu, pas plus qu’elle n’a craint de se faire enconner sous les yeux exorbités d’un chauffeur de taxi.

Ensuite, si elle se jette dans les bras de son amant, poursuivie par trois pines de bons genres, parions que c’est plus pour la forme que pour la crainte et sans doute le souhait de les voir et les sentir d’un peu plus près…..

Les mœurs qui se libèrent tout doucement en cette belle époque permettent aux plus curieux des avancées dans le libertinage et les Dames ne sont pas les dernières à profiter de ces bonnes occasions pour s’asseoir sur leur pudibonderie et vivre leur sexualité comme les hommes.

Huguette commence donc à réaliser que la situation dans laquelle elle se trouve, est en train de prendre une tournure qui ne lui déplaît pas, même si à vrai dire elle n’est pas trop rassurée. Elle se trouve confrontée à trois superbes pines et les premières émotions passées elle sent que la rencontre commence à devenir intéressante.

– Eh bien allons-y se dit-elle en s’avançant vers le groupe d’hommes.

Deux messieurs s’empressent autour d’elle. Tous deux de part et d’autre la prennent par les cuisses et la soulèvent. Elle ne touche plus les pieds par terre et les enlace en s’appuyant sur leurs épaules. C’est bon elle sent leur peau nue contre ses flans, elle est en sécurité dans leurs solides bras, c’est un certain confort qui lui est agréable.

Le troisième, le plus jeune ou plutôt le moins vieux lui offre un verre de punch bien tassé qui lui verse directement dans le gosier et qu’elle avale avec délectation.

– Hum ! C’est bon, dit-elle en se pourléchant les lèvres avec un sourire aguichant.
– Mais c’est que ça la chauffe la petite chatte, ça lui fait du bien ! c’est Robert qui dit cela en lui tapotant la fesse…Elle se détend.

Elle, Baronne de son état, au milieu de ces hommes à poil ! Ça l’excite. Elle a la sensation de rentrer dans son rôle de femelle. Elle n’a plus de craintes, elle se libère, elle adore….son regard se fixe avec envie sur leurs sexes.

– Hum ! ce n’est pas vrai ! Ces trois belles queues me font envie.

Elle va se soumettre à leurs plaisirs, à leurs lois, elle est faite pour ça, c’est dans l’ordre des choses, elle le désire, elle recherche surtout de la bonne jouissance, faire des choses interdites, braver le conformisme, devenir une salope !…..

Du coup quand ils la reposent, elle quitte d’elle-même sa jupe et son chemisier et se colle à l’un d’eux en pointant ses nénés sur son buste, elle se pend à son cou, tandis qu’un autre, le sexe tendu, se serre contre son dos en l’agrippant par les hanches…Elle aime leurs empressements et leurs chairs un peu rugueuses et poilues et cette odeur affriolante de bouc en rut qu’elle avait ressentie dès son arrivée.

– Ah les coquins ! tous ces hommes ! c’est la première fois ! Mais qu’est-ce qu’il fait le troisième ?

Eh bien derrière elle, il a les mains coquines le voyou. Il profite que les deux autres la maintiennent pour lui descendre sa culotte et lui passer la main entre les cuisses.

– Oh putain mais c’est chaud là-dessous ! Qu’il dit le fouineur.

Elle fait mine de repousser la main aventureuse en bougeant son cul mais en réalité ça lui plaît, elle frissonne, s’égaie, elle les ouvre ses cuisses la cochonne à la recherche de plus profondes caresses. Ça lui fait une drôle de sensation cette main inconnue dans la raie de ses fesses.

– Oh mais j’aime ! je deviens salope ! Oh ce doigt sur l’anus…il est gonflé ce mec…quoiqu’après tout…

Ce petit doigt au cul irradie sur ses lèvres un sourire délicieux, elle s’en mord les babines.

Quand même, trois hommes nus qui se côtoient sans gêne et sans jalousie autour d’une nana ! Elle est leur centre d’intérêt, elle peut toucher leurs sexes, découvrir leur différentes textures, leur moelleux, leur mollesse. Elle en prend dans ses mains plusieurs en même temps et tripote leurs burnes et fait rouler leurs couilles. Les femmes adorent faire ce genre de caresses. Ça excite les mecs, quand leurs bites côte à côte s’attendrissent ça les rend un peu tapette, ça casse un peu leur machisme, les voilà un peu moins virils.

Oh mais ça ne va pas durer longtemps, bientôt deux mains ne seront pas de trop pour maintenir leurs ardeurs et la meuf aura intérêt à planquer ses miches avant qu’ils ne se déchainent.

– Ouah ! Ils sont fous! Qu’elle s’écrie.

Entre ses jambes elle mouille la salope, oh oui elle trempe ses cuisses et les trois gars se régalent de cette humidité. Après l’avoir déposée sur le sol, les guibolles écartées ils l’obligent à se courber pour leur permettre d’aller voir ce qui se passe entre ses jambes.

– Allez, écarte tes guibolles, feignasse, ouvre ton pont-arrière…et v’lan sur ton derrière !
– Oh Maman si tu voyais ta fille ! ils me touchent le cul…est-ce diable possible !

Elle s’ouvre, mais sous l’effet de ces mains qui fouillent ses bas-fonds elle resserre son anus et dandine son cul, son échine frissonne et ses seins s’émoustillent.

Marcel se place devant elle en lui fourrant son encombrant dessous le nez. De ses deux bras tendus il lui écarte les fesses pour que ses copains profitent de l’offre béante et généreuse de son joli bas du dos. Elle est grande ouverte la grenouille.

Dans cette position elle est honteuse, tourmentée, soumise à ce gros sexe qui lui taquine le bout du nez et qui pue d’une odeur un peu forte, violente même, une odeur enivrante.

Une odeur de mâle en somme ! Une odeur de cul en chaleur ! Oh oui ça sent le mâle en rut comme Momo quand il rentre de ses tournées entre hommes et qu’il me met, le grand dégueulasse, son cul sur la figure…ils sont salauds ces hommes !

– Moi ça m’excite, j’aimerais voir ce qu’ils se font ? Qu’elle se dit la salope.

Maintenant les trois gars fouinent sous son cul, comme des mécanos penchés sous le capot d’une belle Bugatti pour en estimer la valeur. Ce pourrait être aussi un trio de maquignons en train d’évaluer les qualités à la monte d’une jolie génisse.

En fait vus sous cet angle, les attributs de Marcel n’en ont que plus bel aspect.

– Oh les gros roustons de Marcel, qu’elle dit en lui tâtant les bourses. Elle en a plein les mains de ses balloches…Et le beau nœud qu’il a !…Oh ! je suis folle !

Alors elle en profite pour le caresser, le décalotter, lui faire même un bisou. Et ça lui plaît au tonton, il est heureux, humm c’est bon…

Mais soudain ce salaud de Mario lui fout un doigt au cul bien planté jusqu’à l’os, ça lui fait faire un bond et lâcher la bite de Marcel tandis qu’empalée sur ce gros doigt inquisiteur elle se soulève sur la pointe des pieds, toujours appuyée sur les épaules des deux autres gars, pour échapper au vigoureux supplice qui semble lui tortiller le tuyau jusque dans l’estomac…

– Oh ! la vache, mais il me troue le cul, l’enfoiré…

Enfilée par le gros dard elle crie, les jambes à l’équerre et du coup elle pisse par petits jets dorés qui giclent sur les bustes velus des deux autres compagnons. Alors c’est la panique, ça crie, ça lâche prise, ça fouette…la visite est stoppée et le doigt retiré, la Belle repose de nouveau sur terre. Un peu vexée, un peu frustrée, elle se retourne vers Mario :

– Petit con qu’est-ce qu’il t’a pris de t’enfoncer si profond dans mon cul ?
– C’était pour bien le décrasser, chère Baronne !
– La Baronne elle te dit  » merde « et fous-le toi dans la bouche, mon salaud !

C’est ce qu’il fait le couillon pendant que les autres rigolent en s’essuyant le ventre, charmés d’avoir écopé d’une si bonne douche.

C’est la pause, la fièvre retombe, les pines débandent et Madame reprend fière allure elle est contente et insolente.

– Mais que vous m’avez l’air godiches avec vos queues en déroute Messieurs, ose faire remarquer au bout d’un moment, l’intrigante femelle en se dandinant à poil avec un petit air concupiscent !

Ola ! Quel toupet ! Il ne fallait pas en dire plus pour lâcher les fauves et se faire taquiner de nouveau les rondeurs de sa croupe par tous ces affamés. Chacun y va d’une bonne tape sur le gras de ses fesses. Elle se réfugie dans les bras faussement indifférents de Momo. Il les laisse faire, le salaud.

– Elle est à vous messieurs dit-il en la couchant sur ses genoux.

(Non mais voyons n’a-t-on jamais vu une pimbêche courir dans les bras de son cocu pour échapper à une récrimination bien méritée de la part de trois bons gars dévoués à ses intérêts!).

Aussi nos bons mousquetaires qui ont bien connaissance de l’art et de la manière d’attendrir une bourgeoise revêche, se sont vite affairés autour de son postérieur afin de le choyer autant qu’il le mérite. Ils lui ôtent ses derniers sous-vêtements, s’exclament sur la beauté de son cul et chacun est chargé de lui flatter l’arrière-boutique. Ils ne contrôlent plus leurs sauvages instincts et leurs excitations. Ils se la saisissent, lui écartent la raie, la tourneboulent, la corrigent divinement en tambourinant savamment son agréable charnu….Ils bandent de nouveau.

– Elle en veut la garce, on va lui en donner qu’ils disent tous en se jetant sur elle.

Quand ils voient ses gros nichons débouler de son soutif, oh que de jolis nichons bordel !…des nichons qu’ils pelotent à pleines mains, ils lui pincent les tétons… Elle ne se rebiffe pas la pouliche…

– Ils sont fous ces mecs…mais ce n’est pas vrai !….Quoique !

Je vous laisse imaginer l’émotion d’une Dame nue et livrée à ces lascars. Elle se sent honteuse mais fière en même temps. Après tout se sachant jolie femme, dans cette tenue devant ce groupe de mâles surexcités, n’est-elle pas la Reine ! Cela flatte son amour propre bien plus que ça ne l’indispose. Envahie de toute part sur son corps par ces regards, ces pincements, ces flatteries, ces baisers, ces doigts qui la fouillent par ici et par là, elle se sait convoitée et ça la stimule, elle ne va pas résister longtemps à si doux traitement, oh oui elle jubile ! Elle mouille …

Oh putain ce qu’elle mouille la coquine, elle déborde de mouille et quand un homme glisse la main entre les cuisses d’une femme qui mouille il sait bien qu’elle est prête, qu’elle va se lâcher, c’est fini, elle ne peut plus reculer elle a atteint ce point de non-retour, elle va s’abandonner, elle a un vide entre les jambes, un creux dedans son ventre, un besoin dans la chatte et une crainte au cul…Mais bon sang qu’elle a chaud….

Quand les chiens sont lâchés…la bête ne résiste. C’est la curie.

La proie est au milieu offerte à la folie furieuse d’une meute de gars. Elle disparaît sous un monticule de culs, de queues, de couilles qui valsent, s’entrechoquent et jouissent. Chacun veut son morceau de gras. Elle crie, elle étouffe, elle rigole, repoussant de ci de là une main trop curieuse, s’accrochant à une bite furieuse, s’ouvrant à un doigt pernicieux

– Putain mais qu’est-ce qu’ils font ces cons-là ! ils sont en train de me rendre folle !

Oh elle va jouir! ….Et son mec qu’est-ce qu’il fait ?

–  » Au secours mon chéri !…. Mais où est-il ? « ….le salaud il se branle …ben voyons !….alors profitez-en :  » baisez-moi Messieurs, prenez, tout est à vous ! « .

Du coup elle se donne à corps entièrement, la bouche, les seins et le cul et la chatte…. elle se lâche et profite de toutes les bontés de ces mecs déchaînés. Gentiment offusquée d’être un peu malmenée par ses vieux affamés qui lui ouvrent les jambes, lui écartent les fesses, lorgnent son trou de balle, visitent sa moniche et tâtent ses nichons, elle n’a plus de secrets.

– Jamais autant de doigts, pas même mon bon docteur (un sacré coquin celui-là), ne m’ont farfouillée la chatte ou bien le trou du cul avec tant d’insolence!

Elle n’en est point fâchée et puis ça l’amuse d’autant que malgré tout s’ils sont un peu brutaux, ils sont quand même gentils et très attentionnés. Marcel lui liche l’anus, les autres les tétons ça lui fait du bien et elle mouille toujours comme un éponge. On ne lui a jamais fait tout cela à la fois ! Elle se sent femme du bout de ses cheveux jusqu’à la pointe des pieds. Pour son plaisir et celui de ces hommes. Elle a un trou, deux trous, trois trous et trois hommes dispos….’queues’ demandées de plus !

Mario lui grignote le gazon entre les cuisses tandis que le Robert fourre son nez sous ses aisselles pour se gaver de la saveur salée et odorante des épaisses touffes de poils.

Ils sont si pressés qu’ils se mélangent les pinceaux….

– Bon sang mais ils ne vont pas s’enculer entre eux tout de même ?

Ça l’aurais amusée, non, non ça ils savent faire, mais aujourd’hui c’est une femme qu’ils partagent, le cadeau d’un cocu, une femelle soumise à point qui veut découvrir la pluralité. C’est pour ça qu’ils se trouvent à plusieurs au carrefour de ses jambes et se disputent les bouts de ses mamelons. Ils pincent, elle crie, elle mouille encore et se débat tout en jetant des petits yeux vicieux pour narguer son mec qui la regarde béatement. Un doigt entre les fesses il se masturbe, il jouit le con ! Voir sa chérie au milieu de cet essaim de mecs ça lui procure une grande excitation.

– Putain! un doigt dedans le cul pendant que l’on me viole ! et il s’en fout !

Ah le salaud ! Tant pis pour lui, d’ailleurs ça y est, elle est déjà enconnée, elle ne sait pas par lequel, mais qu’importe c’est bon ! Elle s’abandonne, se laisse faire …c’est fort !

– Cochonne ! Qu’il lui dit dans l’oreille….…tu te fais baiser devant moi,…ils ont de belles queues, ils vont te les foutre au cul !, tu aimes ça, salope ! …va-s-y écarte tes fesses !…tu vas voir ce que tu vas prendre à la maison….
– Ne t’inquiète pas qu’il lui dit Marcel, elle va l’ouvrir son cul ta salope et on va lui mettre…elle aime ça !
– Oh oui allez-y messieurs, tapez-vous la salope de ce vilain cocu! Oh oui j’aime ça, c’est bon !

C’est alors que Mario la saisissant à bras le corps, la soulève pour la présenter cuisses écartées, chatte ouverte et baveuse sur la bite verticale de Robert qui l’attend allongé sur le fameux tabouret capitonné. Elle gigote comme une tortue que vous mettez sur le dos. Mais soutenue par Marcel et dirigée par Mario elle descend, le ventre fendu, vers sa destination. Et le gros nœud rubicond de Robert folâtre déjà sur les rivages broussailleux de sa chatte quand soudain….

…Toc, toc, toc…

Oh ! Voilà mon emmerdeuse préférée qui toque à ma porte !

– Mais que veux-tu encore ?…putain… tu me coupes l’inspiration…
– Eh bien, c’est que je….
– Oh mais tu bandes ma parole ! (pas aveugle la mémère !) et elle me tâte les couilles.
– Ben oui…juste au moment où j’allais la baiser !….. tu me gâches le travail !
– La baiser ! mais où est-elle ? Tu me fais des infidélités ?
– Mais non, c’est mon personnage il allait baiser Huguette, je m’y croyais, je bandais comme de vrai, bon sang tu as tout gâché !
– Oh excuse-moi, je suis désolée…
– Mais je peux la remplacer ta baiseuse, pour une fois que tu as la bite de service ! Allez, viens ! (elle ne perd pas le Nord la chipie !)…

Eh bien oui, j’y vais… fatalement dans l’état où je suis elle ne peut pas y échapper la salope ! Je me la baise la vieille….oh oui et je la baise bien ! Elle est bien bonne, elle a encore du métier ! Elle fait ça si bien… et puis j’en avais besoin ! Ma bite en est ravie ! D’ailleurs tiens, je vais me l’enculer pendant que j’y suis !….

–  » Ah .non « …

Elle me dit ‘non’ la garce, rapport à son trou du cul qui s’est payé du noir deux nuits auparavant, (mais ça on en reparlera plus tard).

Sacrée nana, le cul encore en souffrance la chatte en redemande !

Notre petite affaire terminée, mon travail tombe en jus de couilles, je lui offre un café (après une bonne dose de lait c’est normal !)

– Mais au fait qu’est-ce que tu venais chercher tout à l’heure ?
– Bof, en fait, je ne sais plus très bien, je m’ennuyais et j’avais envie de savoir où tu en étais dans ton roman.
– Eh bien voilà, mon roman ce soir il s’est perdu entre tes jambes, petite curieuse, tu as aimé salope, c’est bien ça que tu venais chercher !
– Et voilà, du coup mes chers lecteurs vont rester sur le cul ce soir… la goutte sur la queue…et les Nanas, eh bien les nanas, il va falloir qu’elles s’épongent ….

Elle s’en est retournée toujours aussi fière, comme si de rien était, ma coquine…c’est un monument, si elle n’existait il faudrait l’inventer…Tiens je devrais la glisser dans mon roman !

Bon cette nuit je crois que je vais bien dormir, ça soulage de se vider les burnes de temps en temps, elle a bien fait de venir ma lubrique voisine je sens qu’après une bonne nuit je vais reprendre mon roman, détendu et prêt à faire remonter la pression.

25/08/21

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2 réponses à Histoires de bons plaisirs – 7 – Quattro par Verdon…..

  1. Bitos2 dit :

    Joli style, j’ai bien aimé !

  2. Biquet dit :

    Ce récit des aventures d’Huguette
    M’ont fait frissonner la braguette

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