Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 3 – Le journal du capitaine Dernoul par Nicolas Solovionni

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 3 – Le journal du capitaine Dernoul par Nicolas Solovionni

Il ne me reste plus qu’à prendre connaissance de ce fameux livre de bord et après je verrai bien…

Extraits du livre de bord de Kamil Dernoul, capitaine du Mitacq
(que nous allons présenter en version romancée afin que la lecture en soit plus agréable ):

Nous avons dû faire une erreur de navigation, on est trop loin. Nous sommes au sein d’un système avec une étoile de classe G. La base de données n’indique que son numéro d’immatriculation. Rien d’autre….

Il y a deux planètes dans la zone habitable, on va regarder…

Première planète : 400° C au sol, pas la peine d’insister….

Deuxième planète :Oxygène et gaz neutres, températures « terrestres ». Détection d’une activité biologique. Aucun paramètre de dangerosité. Beaucoup de brouillard mais pas partout….

Nous nous sommes placés en orbite d’observation et avons activé l’ensemble des détecteurs habituels.

[note du narrateur : ces détecteurs sont de plusieurs ordres : gravité, pression, analyses climatiques, radiologiques et chimiques, détection biologique… mais aussi détecteur géométrique, capable de repérer des structures rectilignes ou assimilées (lignes droites, enceintes rectangulaires trahissant une éventuelle activité intelligente).

Nous avons tourné une vingtaine de fois en changeant régulièrement d’orbite jusqu’à ce que…

– C’est quoi ça ? Me demande Ping, mon second
– On dirait une construction, on ne voit pas bien, putain de brouillard.
– Je vais filtrer… oui c’est bien une construction.
– Et comme ce n’est sûrement pas une base militaire terrienne, ça ne peut être qu’un vestige des précurseurs !
– On se pose alors ?
– Bien sûr qu’on se pose !

Et comme le veut la tradition on a baptisé la planète, et étant donné que c’est la septième planète que j’ai l’honneur de baptiser elle se nommera Dernoula 7.

On a atterri à 200 mètres de la construction. Après nous être équipés comme il se doit, Je suis descendu avec Ping et Valda et nous nous sommes approchés

Le bâtiment en question est trapézoïdal, rouge pourpre, environ 25 mètres de long et 12 de hauteur. il est constitué d’un rez-de-chaussée de deux étages mesurant chacun environ 4 mètres de haut. Chaque étage est en retrait par rapport à celui d’en dessous, une plateforme extérieure y est jointe. Je suppose que c’est probablement pour permettre à des engins volants de se poser.

On s’approche davantage. La matière qui le constitue est brillante et extrêmement dure comme du diamant.

Il y a une porte, en fait un trou béant, après un balayage de lumière ne nous révélant rien d’hostile à l’intérieur nous entrons avec précautions.

Apparemment l’ouvrage est très ancien, il ne reste que les murs et les planchers. Les portes (je n’ai pas vu de fenêtres) sont des trous béants d’environ 3 mètres de haut (ce qui peut éventuellement renseigner sur la taille des anciens occupants) des trous entre les étages indiquent qu’il y avait des escaliers (ou des ascenseurs ou des trappes) disparus. On ne perçoit aucune trace de canalisation d’eau, d’électricité ou de quoi que ce soit. Je suppose que tout cela étant biodégradable, le temps a fait son œuvre. Le mobilier a aussi disparu, normal s’il était en bois, ce qu’il l’est moins c’est qu’on devrait trouver tout de même du « métallique ». On ne peut pas bâtir toute une technologie sans aucun métal. Quoi que, allez savoir, leur savoir-faire nous dépasse forcément !

– Rien à piquer ! Remarque Valda avec dépit.

Je déplace la poussière du sol, à la recherche d’une entrée vers un éventuel sous-sol, mais sans résultat, il faudra que l’on revienne avec du matériel, j’aimerais bien aussi prélever un échantillon du matériau de construction.

– On rapportera notre découverte à l’armée, ils nous filerons une petite prime.
– J’ai peur qu’elle soit vraiment toute petite leur prime ! Râle Valda.

Elle est mignonne Valda, mais elle râle tout le temps.

On est resté un bon moment à l’intérieur, on a fait les acrobates pour atteindre les étages supérieurs sans rien trouver de plus.

Rentrés dans le vaisseau, je demande à visionner toutes les images satellites au cas où nous aurions raté quelques chose.

Le brouillard persistant sur l’ensemble de la planète ne nous aide pas, le relief très accentué par endroit, non plus.

L’idéal serait de se satelliser de nouveau sur une orbite basse et de filtrer systématiquement toutes les vues. Le genre de chose qui a malheureusement un cout en matière d’énergie et qu’il serait irresponsable de gaspiller. Nous ferons donc ça plus tard si nécessaire.

En attendant, on peut toujours faire un petit tour dans les environs en réacteurs dorsaux, en effet, une chose m’intrigue, c’est que si nos instruments ont détecté une activité biologique, nous n’en avons observé aucune de visu. Mais comme la zone où nous avons atterri est désertique…

On commence par un repérage environnemental avant de se lancer : A l’Ouest des pentes montagneuses, à l’Est un lac, reste le nord ou le sud. Va pour le sud !

Le sol devient verdâtre, on se pose, il pousse de plantes rachitiques, ça ressemble à des plantes grasses, mais c’est vert ! Incroyable comment la fonction chlorophyllienne peut-elle fonctionner sous ce brouillard ? Sans doute grâce aux éclaircies ? Miracle de l’auto-organisation de la nature !

On a tourné dans le coin sans rien trouver d’intéressant, Ping propose d’aller vers le lac, allons-y pour le lac !

Alors non seulement ce lac est d’une tristesse à pleurer, un lac sous le brouillard ça n’évoque rien de joyeux, mais la berge est infestée de milliers d’une espèce de crabes allongés qui n’arrêtent pas de gesticuler. J’ignore de quoi ils se nourrissent , des vers, des algues ?.

On ne descend pas, ils sont peut-être venimeux, certes nous avons nos tenues protégées, mais on a déjà vu des bestioles attaquer par projection d’acide des combinaisons spatiales, alors les bestioles on va les laisser tranquilles.

N’ayant pas d’autre but, on rentre. Décontamination des combinaisons dans le sas, puis maintenant ça va être petit coup à boire suivi d’une réunion de concertation.

Je me tourne, Ping et Valda ont disparu. Il sont encore en train de baiser dans un coin, si c’est cette planète pourrie qui excite leur libido, je n’y comprend plus rien. Bon on va attendre que ces messieurs dames aient terminé leur petite affaire.

Ça y est tout l’équipage est réuni dans le mess. Le vaisseau n’est pas en autogestion, c’est moi le patron et je fais ce que je veux, mais faut toujours consulter les autres, parfois de bonnes idées surgissent… Je prends donc la parole.

– Nous n’allons pas nous éterniser, il n’y a pas grand-chose à faire ici. Demain nous allons retourner dans le bâtiment rouge, on va dégager la poussière afin de savoir s’il y a une trappe qui mène en dessous, on va sonder le sous-sol afin de savoir s’il y a des fondations creuses. Et surtout nous allons prélever un échantillon du matériau de construction. Des objections, des questions, des remarques ?

Pas de remarque, je distribue les rôles, je demande à Ping de superviser tout ça. Le lendemain pendant que tout le monde se met au travail, je reste dans le vaisseau avec Valda, moi aussi j’ai le droit de baiser, non mais dès fois !

La description qui suivait portait la mention ; « ne pas conserver dans le livre de bord ». Mais il semble bien qu’on ait oublié de l’effacer. Nous vous présentons une version brodée :

Nous sommes donc restés à trois, ce matin, Valda et moi, mais il y a aussi Zak, qui occupe entre autres fonctions celle de médecin du bord

Je dis à ce dernier de me rejoindre et lui demande s’il serait partant pour un petit trio. Il est toujours partant. Reste Valda, je l’appelle :

– On se ferait bien une petite détente, qu’est-ce que tu en penses ?
– Vous êtes encore en rut ? Je vous signale que je ne suis pas la seule femme sur ce vaisseau.
– Oui, mais les autres sont occupées, et puis tu es la plus belle.
– Et la plus coquine ! Ajoute Zak.
– Et si je dis non ?
– Pourquoi, tu as mal à la tête ?

Zak a sorti son engin et se le branle négligemment.

– Suce-moi juste un peu !
– Juste un peu, alors, parce que j’étais en train de faire une partie d’échec gagnante.
– Mais, oui, juste un peu !

Mais je connais Valda, quand elle a une bite dans la bouche, elle a tendance à oublier le « juste un peu », c’est la reine des suceuses.

Effectivement elle se déchaîne. Je me dégage l’oiseau à mon tour et me positionne à côté de Zak, de façon à ce qu’elle puisse nous sucer alternativement.

Un coup c’est moi, un coup c’est Zak ! C’est la fête à nos bites ! Pas qu’à nos bites d’ailleurs, parce que la petite Valda à quelques habitudes fort osées comme nous peloter les couilles ou nous introduire un doigta inquisiteur dans le trou de balle.

Mais il ne faudrait pas non plus qu’elle nous fasse jouir trop vite. Moi et Zak avons une petite idée derrière la tête, et Valda qui connait bien nos petits penchants gentiment pervers se doute bien de la suite.

– Qui passe derrière ? Demande Zak.
– C’est moi le capitaine, j’ai la priorité !
– Vous parlez de quoi, les garçons ? Demande Valda, jouant les innocentes.
– Un qui t’enfile, l’autre qui t’encule !
– Vous n’en avez pas marre ?
– Non, non pas du tout.
– Mes trous ne sont pas à votre disposition !
– C’est pour cela que nous sollicitions votre accord, chère madame !
– Dans ce cas, puisque c’est demandé gentiment… Consent-elle en se déshabillant nous offrant la vue de sa superbe poitrine.

On la connait par cœur, mais on ne se lasse jamais des bonnes choses ! Et j’dore lui titiller ses gros tétons, des doigts et de la bouche..

Zak se couche sur le sol de la cabine, bite dressée. Valda vient s’empaler dessus puis se penche afin que je puisse lui pénétrer le petit trou.

Et c’est parti pour une double pénétration bien coordonnée, depuis le temps que l’on fait ça tous les trois, on commence avoir une belle expérience.

J’ai joui en premier, je me suis dégagé et j’ai présenté ma bite visqueuse à Valda, afin qu’elle me la nettoie de sa petite bouche gourmande. Elle n’a pas rechigné, elle adore, ça, la salope !

– Hum, c’est du bon foutre de capitaine ! Commente-elle en se pourléchant les babines.

Zak a pris son pied quelques minutes après.

Valda est partie s’assoir.

– Tu fais quoi ?
– Je me paluche, vous n’avez pas été foutu de me faire jouir, bande de nazes !

Quel sale caractère, mais je l’adore !

Fin de la zone à effacer.

Cela fait plus d’une heure que l’expédition est partie, ils auraient dû être revenus.

– Allo, Ping, qu’est-ce qui se passe ?
– Pas de trappe, on a creusé à l’extérieur, la fondation semble être en dur et n’est profonde que d’un mètre…
– Et en dessous ?
– Rien ! Que de la terre et de la caillasse.
– Et qu’est-ce qui vous retarde ?
– C’est l’échantillon de matériau…
– Vous n’y arrivez pas ?
– Si mais c’est la galère, je n’ai jamais rien vu d’aussi dur, du coup je crois qu’on va prélever juste un tout petit morceau.
– Et ça va prendre combien de temps ?
– Plusieurs heures ! On n’aura peut-être pas fini aujourd’hui.
– Pas grave, on n’est pas à un jour près.

C’est le lendemain que les bizarreries commencèrent :

Curieux de savoir si mon équipe s’y prenait correctement, je décidais de les accompagner.

– On essaie d’enlever un morceau près de la porte ! M’explique Ping en cheminant, comme ça on peut travailler à l’extérieur et voir mieux ce qu’on fait.
– Bonne idée !

Arrivé à trois mètres de la porte, on pile : le sol grouille de crabes, les mêmes que ceux qu’on a observé à la berge du lac.

– C’est incroyable, ça ! Qu’est-ce qui les a attirés ici ?

Je ne cherche pas à comprendre, je contacte le vaisseau et demande que quelqu’un nous rejoigne avec un lance-flammes et on a cramé tout ça.

Quatre heures ! Il nous a fallu quatre heures supplémentaires pour prélever un tout petit morceau de ce putain de machin trapézoïdal.

Et c’est avec la satisfaction du travail accompli qu’on est rentré au vaisseau.

Et là : horreur le vaisseau est entouré d’une myriade de crabes. On dégage tout ça au lance-flammes et on rentre vite fait.

On aurait pu repartir sur le champ, mais d’une part l’équipe était fatigué et puis quand une situation deviens abracadabrante, j’aime bien comprendre. Alors le départ attendra un peu.

– Est-ce qu’on a enregistré ce qui se passait dehors ? Demandais-je.
– Ben non, pourquoi faire ? Me répond quelqu’un.
– Parce que ça nous aurait permis de savoir pourquoi tous ces crabes se sont pointés.
– Quelque chose les a attirés.
– C’est ça, ce doit être des crabes curieux ! Me gaussais-je.

Mais en fait pourquoi pas? Ces bestioles ont peut-être une conscience collective et comme ils n’ont jamais vu de terriens, ils viennent les voir de près. Explication quelque peu rassurante, mais qui n’arrive pas à me rassurer.

Je demande à ce qu’on branche la caméra extérieure; on verra bien. Et dans la foulée on branche aussi une caméra longue portée pointée sur la porte du trapézoïdal.

Deux ou trois heures passe et puis…

– Capitaine, capitaine…
– Quoi ?
– On dirait qu’il y a comme une lumière qui sort du machin rouge.

Je vérifie, c’est vrai ! Je demande deux volontaires et on y va, On apporte tout un matériel de guerre, lance-flammes, désintégrateur, grenades, et même un filet métallique au cas où un extraterrestre s’amuserait à nos dépens. On prend aussi nos réacteurs dorsaux ce qui nous permettra une retraite rapide en cas d’embrouille.

C’est parti !

Il n’y a plus de crabes vivants à la sortie su sas, on franchit les 200 mètres sous séparant du trapézoïdal au pas de course. On arrive devant la porte où là aussi , il n’y a que de crabes calcinés, on ne voit plus la lumière. On a été victime d’un mirage ou quoi ? On entre à la façon des militaires qui investissent un périmètre. Rien à signaler à l’intérieur. Rien devant, rien à gauche, rien à droite, rien en haut…

– Si ! Gueule Hofjom en désignant le trou au plafond.

Ça devient chaud !

– Tu veux aller voir ! Lui demandais-je

Le gars est d’accord, je lui fais la courte échelle, il grimpe sur mes épaules et atteint le premier étage.

– Tu vois quoi ?
– Rien, j’avance un tout un petit peu ?
– Vas-y !
– J’y vais !
– Tu vois quoi ?

Pas de réponse !

– Hofjom ! Tu vois quoi ?

Pas de réponse ! J’insiste, j’insiste, ça devient inquiétant. Bien obligé d’aller voir, je monte sur les épaules de Fram. Je scrute l’endroit avec ma torche, je ne vois rien, ni lumière suspecte, ni Hofjom. Je file jusqu’à la baie d’atterrissage, il n’y est pas non plus, je regarde en bas si parfois il aurait sauté, je ne vois rien, j’appelle, pas de réponse

C’est impossible, il ne s’est pas volatilisé ! Il serait parti où ? Au deuxième étage ? Mais il aurait fait comment ? Il a donc été enlevé ou désintégré par un engin silencieux ! Mais c’est que ça ne va plus du tout !

Je contacte le vaisseau et demande à Ping de me rejoindre avec deux hommes en renfort.

Je prends le risque, je devrais dire la responsabilité de les faire monter au premier étage pour examiner le lieu. En cas de grabuge, ce sera retour immédiat au vaisseau et décollage dans la foulée.

En cas de désintégration certains métaux résistent, il reste toujours quelques chose et puis le choc produit un espèce de vide au sol dans la poussière environnante. Mais Ping et ses compagnons ne trouvent rien.

– Que deux d’entre vous montent au deuxième étage !

Ils n’ont rien trouvé, on est rentré au vaisseau, dépités, choqués. Tout le monde est bien sûr rapidement au courant et la décision d’attendre avant de repartir semble aller de soi.

Mais que peut-il se passer ? S’il a été enlevé ce ne peut être que par une sale bestiole qui ne risque pas de nous demander une rançon !

La caméra pointée sur le bâtiment rouge n’a rien décelé, mais c’est vrai aussi qu’il y a une porte arrière qui n’est pas dans notre champ de vision.

En fait on en est au point qu’on espère récupérer le corps… pour être sûr…

On décide donc d’attendre l’équivalent de 24 heures terrestres, avant de prendre la décision de décoller.

Inutile de dire que personne n’a convenablement dormi. Et que le petit déjeuner du matin s’est déroulé dans une ambiance morose.

Et puis, un crachouillis dans le micro externe.

– C’est moi, Hofjom, ouvrez-moi !

De quoi ? On vérifie à l’écran, c’est bien lui il a l’air intact. On le fait entrer, on le décontamine dans le sas. Tout le monde est joyeux, on s’embrasse, on s’étreint. Mais il faudrait peut-être qu’il réponde à la question :

– Qu’est-ce qu’il t’es arrivé ?
– Je sais pas, j’ai dû me perdre !
– Depuis hier soir ?
– Je ne me suis pas rendu compte du temps.
– Attends, tu te souviens être monté au premier étage du machin rouge.
– Evidemment, je suis monté sur vos épaules et je me suis retrouvé à l’étage.
– Et après ?
– Après je me suis perdu.
– Mais ça ne tient pas debout, comment veux-tu te perdre ?
– J’en sais rien mais je me suis perdu !

Ça ressemble à un choc amnésique son truc, mais ça n’explique pas comme il s’est volatilisé !

– Avant d’arriver au vaisseau tu étais où ?
– Ben dans le machin rouge !
– A l’étage ?
– Oui !
– Tu ne t’es pas inquiété de ne pas nous voir ?
– Non, je me suis dit : « ils vont se rendre compte que je me suis perdu… »

A suivre

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4 réponses à Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 3 – Le journal du capitaine Dernoul par Nicolas Solovionni

  1. Andrieu dit :

    J’ai adoré

  2. Biquet dit :

    Les cochons dans l’espace

  3. Honorine dit :

    Ne dit-on pas qu’à bord de l’ISS, il se passe aussi ce genre de choses 😉

  4. Forestier dit :

    La vie a bord des vaisseaux spatiaux est décidemment bien agréable ! (je me répète un peu là 😉

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