Histoires de bons plaisirs – 13 – On remet ça… Par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 13 –  On remet ça… Par Verdon

Bien il est temps maintenant de retourner voir nos cochons et nos cochonnes qui copulent comme des lapins depuis la veille.

Rappelez-vous :

On a l’Huguette qui se fait lessiver la pacholle, assise sur son chéri le bon Momo tandis que Lucien son ex-gendre lui bourre le trou du cul qu’elle a vachement accueillant.et si ça brûle un peu c’est que notre fouteur il s’est mis du dentifrice sur la bite en guise de savon…Alors, sûr, ça la chauffe la vieille, elle a le feu au cul et Lucien en profite pour lui torpiller l’arrière-boutique, comme jamais… Puis ça se calme car vannés ils vont un peu se détendre.

Donc après un bon ménage et quelques courtoisies, nos trois artistes remontent rejoindre les deux autres qui semblent tout là-haut s’en donner à cœur-joie d’après les cris que pousse Rosie épouse de Lucien et nièce d’Huguette.

Arrivés tous les trois dans l’entrée de la chambre ils découvrent un paysage des plus charmants.

Rosine est en transe, assise et enconnée sur la bite bien raide d’Éric le gigolo d’Huguette. Lui en travers du lit et couché sur le dos il se la secoue, elle se pince les tétins.

-Oh ! Oui…oui…humm, c’est bon ! Oui continue….
– C’est bon, salope…vas-y, bouge-toi… Mais putain ! Soulève-toi tu m’écrases, les couilles…

Voilà ce qui arrive quand le mari se fait la tante, l’épouse se paye l’amant, donc rien à dire on est en famille. Rosine à cheval sur le ventre d’Éric, les genoux écartés, les bras en arrière appuyés sur le matelas, elle monte et elle descend sur sa pine bien raide, la tête renversée, les seins qui pointent en l’air….elle se fend le bas-ventre, elle est en pamoison prête à s’évanouir.

Belle-maman, le mari et Momo accourent tous les trois pour soulager Éric. Une cuisse pour chaque homme et la Baronne dans son dos qui l’enserre de ses bras en lui pelotant les seins… et ça vous la soulève la Rosie… et ça vous la repose… et puis ça remet ça. Du coup, le gros pénis qui entre et ressort de la fente fait jouir de plus belle la fille surexcitée. Elle a piqué le gugusse à Huguette ! Elle est toute contente en pensant que ce sexe avant d’entrer chez elle est entré chez Huguette.

– Oh putain que c’est bon ! Regarde comme, il baise bien !…il a une bonne queue ton chéri !
– Sûr qu’il a une bonne queue, Salope ! mais profite en bien, je te le prête. (pas jalouse la tantine !).Et ce faisant elle pétrit à pleines mains la poitrine de sa nièce et la bécote dans son cou tandis que plus à l’aise la pine du gigolo déconne verticale et crache la bonne soupe sur le ventre et les seins de Rosine et sur les mains d’Huguette.

Momo glisse une main sous le cul de la gourmande et lui titille l’anus, elle jouit violemment puis s’affale de tout son long sur le corps d’Éric, les seins écrasés sur son buste, elle s’affaisse, c’est le sperme qui les scelle.

Serrés dans leurs humeurs ils ne bougent plus, ils savourent les derniers soubresauts de l’amour qui s’éteint. Huguette masse délicieusement le dos de sa nièce tandis que le gros fouineur de Momo tripote maintenant avec envie les burnes du gigolo. Rosine se redresse et rabat ses cuisses de chaque côté du torse d’Éric offrant au garçon le merveilleux spectacle de sa chatte dont les deux lèvres grandes ouvertes comme les ailes d’un papillon ruissellent du jus de leur amour.

Médusés les trois autres applaudissent l’exploit, ce qui surprend les amoureux qui en sont presque gênés mais cependant très fiers. Le tableau est sublime.

Lucien de son côté est fier d’avoir vu sa femme baiser si joliment. C’est un des bons plaisirs qu’un cocu peut s’offrir s’il est confiant et bien honnête. Il félicite Éric,

– Chapeau ! qu’il s’écrie, tu me l’as bien limée ma Chérie !
– Merci, à ton service et je suis disponible pour te la chauffer quand tu veux.
– Non mais dites mes salauds il faudrait peut-être me demander mon avis, bandes de maquereaux !

Huguette ravie des prouesses de son petit ami, aurait bien pris la place de la bonne salope. Elle va cependant la féliciter. Elle la serre dans ses bras, ses seins volumineux contre les beaux obus de la belle infidèle, mais peut-on parler d’infidélité quand c’est si bien partagé ?

– Ne t’inquiète pas ma chérie, ils seront toujours bien avisés envers toi, ce sont de braves garçons et bien doués, avec eux tu seras toujours bien soignée.
– Oh oui, mais rudement…j’ai mal au cul ma tante !
– A la bonne heure, c’est le métier qui entre…tu t’y feras ma Belle et avec la belle tirelire que tu as-tu vas te faire une sacrée cagnotte.
– Oh Tatie, je ne suis pas une pute !
– Oh pardon ma chérie, mais ce n’est pas une tare, on est toujours une pute quelque part et c’est bien bon, n’est-ce pas ! (Eh oui elle est bien au parfum la bonne Huguette qui a si souvent ouvert ses jambes pour de si bons profits !…).

Debout elles se congratulent, s’embrassent à pleines bouches, ventres en corps à corps. Sur les broussailles en désordre de la meuf perverse, la chatte de la nièce dégorge encore bien chaudes les humeurs du jeune greluchon.

Les hommes se détendent, se chahutent, rigolent. Plus aucun d’eux ne bande. Ils s’en foutent c’est bon de vivre ainsi. Ils bousculent ces Dames… incapables d’attendre ils veulent aller manger… après la queue … la bouffe. Avec eux c’est comme ça : c’est le cul et le ventre et rien dedans la tête!

Dépêchez-vous les meufs … si non pan pan cul cul….

On souffle, on se repose…

Mais soudain c’est la crise. Rosie qui tombe en larmes dans les bras d’Huguette ! Elle crie, elle vocifère, envoie péter son homme qui cherche à la calmer.

– Allez-vous-en qu’elle crie aux autres déconfits et béats qui ne comprennent pas.
– Huguette leur fait signe de ne pas rester planter là.

Elle cajole Rosine, l’entraine près du lit tandis que la queue entre les jambes ces Messieurs quittent la chambre en refermant la porte pour étouffer le bruit des sanglots.

– Mais qu’est-ce qu’il lui arrive, demande Éric.
– Ce n’est pas grave répond Momo qui a un peu plus d’expériences avec les dames.

Ça leur arrive parfois de craquer suite à une grande tension. Elle a beaucoup baisé, joui de nombreuses fois, son p’tit cul a trinqué, et devant son mari…ça fait beaucoup d’émotions, une charge lourde à subir mais qui soudain se libère quand portée par nous tous elle jouit violemment, presque involontairement dans nos bras qui l’assistent et un p’tit peu l’obligent. Elle ne sait qui elle est : une épouse, une amante, une pute, une salope, une femme comme une autre, une envie de jouir sans soucis et sans honte et tant pis pour les autres.

Huguette aussi est un peu comme ça et je ne compte pas les fois où la garce m’a chassé du lit en me bottant le cul après une bonne baise, qu’il raconte le Momo « .

– Allons mettons la table, il fait faim. Elles vont bien se calmer. Une petite douche bien fraîche va les détendre et tout va rentrer dans l’ordre, vous verrez…. c’est parole d’ancien.

C’est ainsi que gauchement, les trois mâles s’activent, un peu dans la cuisine ou un peu sous la douche. Ils se détendent aussi en déconnant. Se frottent un peu les uns aux autres et tout doucement la tension remonte.

– Dis donc Éric, tu ne veux pas sucer mon nœud lui demande Lucien, j’ai le gland qui me démange !

Et ce dernier ne dit pas non qui engloutit dans son gosier la bonne pine du garnement dont il suçote le gland. Certes elle n’est pas très vaillante la bestiole, un peu fatiguée de sa dernière course, ramollie mais gonflée, boursoufflée, elle est agréable à faire rouler entre la langue et le palet, Éric se régale, elle a bon goût la pine de Lucien….

Accroupi sous la douche, Éric a pris en bouche la pine de Lucien et les deux mains sur ses fesses il fait des va-et-vient sur le bel instrument, enserre le gland, titille le méat tout en malaxant le gros paquet de couilles dont ce brave compagnon est joliment doté.

– Salope tu aimes ça, lui dit Momo qui le pelote sous la douche et profite de lui glisser sa main savonneuse entre les fesses pour lui foutre un doigt au cul, (je vous disais que c’était une manie chez lui…une bonne, je n’en doute pas!).

Éric se fait chahuter aussi les nichons. C’est vrai que ses tétons sur sa poitrine imberbe ça fait un peu nana !

– Tu ne serais pas un peu tapette ?

Bien sûr qu’il l’est un peu, le joli jeune homme qui apprécie beaucoup ce doigt dedans l’anus. Il se dandine heureux en remuant son beau petit cul comme un canard qui sort de l’eau. C’est fou ce que ce doigt au cul et ces pincement sur les seins lui font du bien. Momo il a du chic pour lui faire la chose en remuant son doigt, dommage qu’il ait la bite molle.

– Oh que c’est bon tes doigts dans mon anus, bouge les bien Momo… Oui comme ça, oui mets en deux, écarte-moi bien la rondelle… Humm tu fais ça bien… Encule-moi putain, j’ai envie… Oh oui, ouvre-moi bien le cul !
– Tu es une sacrée lope, tu la voudrais ma queue…hein mon coco !…Mais la tienne elle est molle aussi !… tu es une vraie salope comme j’en enfilais dans le temps et qui suçaient si bien !

Et puis il lui enfonce tellement les doigts dans le trou du cul, qu’accroché au cou de Lucien, il en a le souffle coupé et plus les pieds par terre.

– Au secours qu’il crie le jeune homme je veux une bite dure ! Oui je veux qu’on m’encule ! Oui je suis une salope !

Hélas ses copains ne sont pas prêts et ils le laissent choir, ce sera donc partie remise. C’est frustrant tout de même d’avoir le cul si bien ouvert et pas de bite à se mettre entre les ‘dents’…Oups !

Ils sont marrants ces mecs à poil, couilles et bites en détresse mais gais comme des lurons, ils en oublient le repas. Mais toutes bites assagies elles ont l’air maintenant satisfaites et pendouillent librement profitant d’une pause joliment méritée en attendant sûrement un prochain défoulement. (En fait ces Dames sont charmantes mais les garces… oh combien épuisantes !)

Mais pendant ce temps-là, s’ils savaient les mecs, ce que font leurs Nanas là-haut dans la chambre, ils n’en reviendraient pas.

Laissez deux femmes en peine, à poil et sur un lit, que voulez-vous qu’elles fassent si non qu’elles se consolent en se cajolant et en se sautant au cou. Qu’elles s’embrassent, qu’elles se serrent l’une contre l’autre, les nénés colle à colle et les mains vagabondes qui tripotent leurs fesses, leur chatte et leurs rondes poitrines.

Le ventre en avant et broussailles emmêlées elles se frottent leur chattes affamées de câlins…humides d’allégresse, la main dans la chatoune. Elle écarte les cuisses la vieille en dépliant les jambes pour que sa nièce lui gâte l’échancrure en y enfonçant profondément ses doigts. Elle soulève son ventre, elles se bécotent encore… Quand le cœur est malade, le cul vient à la rescousse !

– Que c’est bon ma chérie ! Oh oui…comme ça, humm ! Tu vas mieux maintenant ?
– Oh oui c’est trop bon ! Tu fais ça mieux qu’un homme ! Oh oui titille-moi l’anus !…Humm ! Oui comme ça…de petits tours sur ma rosette…Oh n’arrête pas, c’est trop bon !
– Comme tu mouilles, ma chérie !

Avec son doigt trempé de mouille, Huguette se plaît à lisser les parois du petit trou de sa nièce tout en incrustant de temps à autre le délicieux bourgeon qui se resserre de plaisir.

– Oh que c’est bon ! Appuie un peu plus fort…
– Salope, tu aimes qu’on te touche le trou du cul !
– Oh oui on est de bonnes salopes ! Hein ma Tatie !… Si les hommes nous voyaient !… Un doigt dans le cul !

Les hommes, justement, ne peuvent pas savoir ce que ressentent deux femmes quand pour se passer d’eux, elles se jettent l’une sur l’autre comme des bêtes fauves prêtes à se dévorer, avides de leurs chairs, jalouses de leur beauté.

Comment peuvent-ils savoir ce qui les pousse ainsi à tant se déchirer, se griffer, se pénétrer, s’aimer…à se mordre les seins, se taper sur les fesses…. se laper la moniche, se bouffer le p’tit trou…. et se pisser au nez… à s’aimer comme des folles.

D’ailleurs qui comprendrait, sauf une femme sans doute, les raisons, l’émotion, les frissons, l’indécence superbe, la honte délicieuse, la violence et le vice de leurs amours sauvages ! Et ces grappes de bisous sur les bords de leurs lèvres et ces délicieux suçons dessus leurs clitoris qui pointent comme des bites naissantes. Et ces outrages sublimes d’une langue perverse sur les rives ambrées de leur fine rosette.

Qui pourrait ressentir ce qui bout dans leurs seins et dresse leurs tétons, ce qui tord leurs boyaux, leur taquine la croupe et leur serre l’anus ! Ce qui liquéfie leur vagin et les trempe de sueur ! Ce besoin de crier, ces grimaces pathétiques, cette envie de pisser, de rire, de pleurer et tout autant de s’étreindre et de se bécoter.

Qui peut imaginer ce que ressentent deux femmes couchées en 69, qui tant serrent leurs cuisses de peur ou bien d’envie, que leurs chattes s’épanchent et dégorgent de mouille. Le nez dans leur hérisson elles se grignotent l’échalote, la langue qui patauge, elles ne se maîtrisent plus. Elles lapent à la source ces humeurs qui coulent, qui parfois les rebutent, mais dont elles s’éclaboussent.

Et quel homme oserait intervenir entre elles au risque de les faire fuir ou se faire écharper ?

Non rien à comprendre et surtout rien à faire. Ça se passe à huis clos. C’est une histoire de femmes qu’il ne faut déranger…. Peut-être regarder, mais de loin s’il vous plaît, en cachette c’est sûr…. et en bandant bien dur !

Mais bon sang quelle rage et quel joli spectacle quand deux femmes s’épousent !

Laissons-les s’entretenir elles n’en seront que meilleures lorsqu’enfin remises elles reviendront soumises, chercher des bras virils pour se faire pardonner leur superbe égoïsme et jouir de nouveau de ces encombrements que seul un amoureux joliment disposé peut donc leur procurer. Heureuses de retrouver du charme, de la puissance, de l’abandon et sans doute de la domination. Fières d’être des femmes capables d’assumer leurs plus vicieux fantasmes, de s’être passées des hommes tout en les regrettant ! Certaines de les subir encore, les craindre et les aimer pour partager ensemble de délicieux moments.

Les hommes pendant ce temps ne peuvent que se branler !…en les imaginant prêtes à recommencer à se faire maîtriser sous le poids de l’un d’eux ou de deux pourquoi pas tant elles sont quelques fois ouvertes et consentantes.

Alors tout le monde rêve…

Écrasées, enfoncées, étouffées sous l’amour qui pénètre fougueux là où il le peut… là où elles le veulent ou bien peut-être pas … Ah non mais pas par-là !… Oh oui mais pas tous deux ! … Ah bon !… il a de la place pour deux !… Oh là mais c’est curieux bien plus que merveilleux…. Au secours ma Tata ! Cette main sur ma bouche…. ces claques sur les fesses…. Oh ! Les brutes putain… ça ne va pas rentrer…. et la douceur bordel !

Bon, s’il faut lever la croupe, on n’est pas des nunuches !… On sait que cul en l’air on rend les hommes fous … allez-y donc messieurs, on vous aime vicieux, faites donc pour le mieux mais pitié pour notre cul, graissez-vous donc la pine dans notre cage à mouille! Poussez tout doucement… et voyez-vous ça entre !… On vous chie à l’envers… et putain ça va mieux !… et nos rosettes enfin avalent votre nœud et régalent vos yeux ! Vous bichez, nous on souffre mais vous vous en foutez ravis de voir vos bites s’enfoncer dans nos fesses.

Oh mais si vous sortez, rentrez vite messieurs, la porte grande ouverte ça fait du courant d’air, rebouchez-nous le trou, allez, venez c’est gros mais putain que c’est bon… on a pris l’habitude et la bite sortie on fera le ménage.

Vous êtes des salauds mais à votre décharge nous on est des salopes…

Oh ! Qu’importe après tout puisqu’en folles amoureuses nous vous sommes soumises, fessées comme des gamines, enculées, embouchées par des bites malpropres. Nous crions de bonheur et aussi de mal-être et nous disons des oui et des non, des encore et jouissons encombrées dans tous nos orifices par vos sexes têtus déversant sur nos corps la crue de vos excès.

Et peut-être encore, et encore … si nos envies demeurent… si nos mâles le peuvent…. si leurs bites sont dures… si nos culs les désirent…. si l’amour ne nous tue !

Puis vidés, épuisés, débandés vous allez vous enfuir penauds et satisfaits en nous laissant toutes nues, sur le lit en bataille, entièrement trempées par les ondées visqueuses de vos intempérances, longues trainées d’argent que dégorgent nos trous dans la raie de nos fesses. Epais débordement qui coulent de nos chattes ou bavent sur nos joues. Elixirs d’amour plutôt acres et salés qu’on lèche avec dégoût mais aussi par défi car nous avons usé nos amants jusqu’au bout en buvant dans la coupe de leurs lèvres emmêlées le breuvage divin.

Et collées l’une à l’autre, les yeux dedans les yeux nous éclatons de rire, de fierté, du bonheur de nous être défoulées….

Le rêve est terminé

Elles courent dessous la douche…Oh que ça fait du bien !…Ah oui c’est vrai, nous sommes bien des Femmes !…et les Hommes où sont-ils ?… Allons vite les trouver !…

il faut se mettre à table.

Les Nanas sortent de la douche, requinquées et joyeuses. Rosine toujours aussi sexy sous sa nuisette transparente, sans culotte et toujours le cul arrogant. Quant à Huguette elle a enfilé une petite tenue qui a tant de mal à contenir ses gros nichons qu’on dirait qu’elle va exploser. Son gros cul par contre se libère joyeusement de l’encombrant tissu qui le couvre. Elle pète de fierté et même d’insolence face aux regards des mecs qui restent bouches bées devant autant de superbe impudeur.

Les hommes ont enfilé des shorts… et c’est l’apéro.

Rosine est ravissante elle a troqué ses larmes contre de la gaité et de l’espièglerie.

Une petite réflexion sur leurs mecs qu’elles traitent de couilles molles :

– Ohé ! les mecs. Ça pendouille on dirait ! qu’elles leurs disent les salopes. Et on remet ça quand ?
– Chic répond Lucien…tout de suite ! (insatiable le mec !).
– Boff faudrait pouvoir ! et de toute façon, aujourd’hui mon cul a eu sa dose ! (paroles de Rosine, on s’en doute ! inutile d’aller voir…quoiqu’un p’tit cul qui a bien travaillé toute la nuit, ça vous a un petit air abandonné et béat à vous donner envie d’y retourner avec le bout de la langue afin de le consoler….n’est-ce pas ?…).
– Oui on va remettre ça prochainement propose belle-maman toujours aussi chaude et vicieuse à souhait avec ses deux gros seins qui se sont affalés lourdement sur son ventre replet.
– Et gare à vous les mecs !
– Super, répond sa nièce avec des yeux brillants et ses tétons vicieux qui se dressent à l’envie sous sa nuisette.

Et tout ce beau monde heureux et délassé se bécote…et se tripote encore en levant son verre :

– A à nos chaudes Pisseuses  » crie Lucien…
– A nos « Mâles pervers » reprennent en chœur les femmes …

 » Tout le monde ‘il est beau…Tout le monde il est content’ « ……….

La journée est finie……..

Mais putain sous les shorts…..on dirait que ça bande !

27.09.21

à suivre

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Une réponse à Histoires de bons plaisirs – 13 – On remet ça… Par Verdon

  1. Harivel dit :

    Je deviens complétement fan de cette saga, Continue monsieur Verdon !

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