Fabienne : du sous-sol au miroir par Estonius

Fabienne : du sous-sol au miroir
par Estonius

Fabienne du sous-sol au miroir

1 – Fabienne au sous-sol

C’était fin 2004. La journée avait été exténuante, ponctué par une réunion chiante et inutile, et des dossiers difficiles qui s’accumulaient. Je ressentis le besoin de détresser.

Un petit coup de métro pour me diriger vers le quartier chaud de la capitale, et je me rends dans un petit établissement où au sous-sol un mini cinéma diffuse deux films dans deux salles connexes, l’une diffusant des films hétéros, la seconde des films avec des transsexuelles. Il n’est pas rare qu’il y ait des contacts entre les spectateurs. Quant à moi, je viens surtout pour assouvir mes fantasmes bitophiles. J’adore voir un mec astiquer une belle queue, quand c’est possible, je touche, je caresse… je suce aussi et il m’est aussi arrivé d’aller plus loin… Parfois il n’y ne se passe rien, c’est la vie…

Je paie, je descends, il n’y a qu’un seul homme dans la salle hétéro, je passe à côté de lui, il croise mon regard un bref instant, mais c’est tout, je vais dans la salle voisine, curieuse salle dans laquelle il n’y a rien pour s’asseoir mais où est placé en plein milieu une immense table matelassée sur laquelle on peut s’étendre…. Ils projettent un film avec une superbe transsexuelle souriante et bien membrée. Je m’arrange pour me positionner de telle façon que si l’homme de l’autre salle se retourne; il puisse me voir, puis ostensiblement je me mets la main à la braguette…

Ça ne loupe pas, après quelques minutes, le voici qui s’amène, lentement, arrivé à ma portée il me met la main à la braguette, je lui rends la politesse, mais il me dégage. Monsieur n’a pas envie qu’on le touche, par contre lui n’hésite pas à me tripoter par dessus le tissu de mon pantalon. Par commodité je m’adosse au mur et faute de mieux, je le laisse faire… Il ne s’y prend pas trop mal d’ailleurs, j’ouvre ma chemise pour qu’il puisse s’occuper un peu de mes tétons ce qu’il fait mais sans insister. Au bout de cinq minutes, ma quéquette n’en pouvant plus, je prends l’initiative de dégrafer ma ceinture et de faire glisser mon pantalon. L’homme sort alors mon sexe de mon slip et entreprend de me masturber. Il fait d’ailleurs cela très bien, mais ce n’est pas trop ce que je venais chercher, je refais une nouvelle tentative sur sa propre braguette… mais non il ne veut pas…

Quelqu’un descend l’escalier, le type prend peur et s’éloigne ! Je me demande bien pourquoi ! On est tous ici en terrain de connaissance, non ? Je ne me rhabille pas, on verra bien si j’intéresse le nouveau venu, et je me branle mollement en regardant les images du film… Et bien le nouveau, il ne perd pas de temps, à peine arrivé il me tripote déjà la queue. Je lui mets la main où il faut, il se laisse faire. Voilà qui est plus intéressant. Après quelques caresses furtives, il fait tomber pantalon et caleçon et m’exhibe un très joli zizi, bien lisse, avec un joli gland un peu brillant, je le prends en main, le branle un petit peu. Hummm, ce joli sexe m’attire, j’ai bien envie de le sucer, j’espère qu’il voudra bien. Il me branle aussi, nos corps se rapprochent, il m’embrasse sur la bouche, je n’aime pas trop ça, mais j’ai aussi appris qu’il fallait parfois faire des concessions, puis il se recule, et entreprend de se déshabiller intégralement, il y a des mecs qui adorent ça ! Il me demande de faire pareil, pourquoi pas, je lui demande si je pourrais le sucer, il est d’accord, alors allons-y… Nous voilà tous les deux nus comme des vers en train de nous masturber et de nous caresser. J’arrive à un point d’excitation assez dingue, et je me mets à genoux pour prendre en bouche ce magnifique sexe, je m’en pourlèche les babines, la texture est très douce, le goût un peu acre, mais je me régale, je lèche, je suce, je bave…

Des pas dans l’escalier… Est-ce que mon nouveau partenaire va paniquer à son tour ? Non, pas du tout ! Au contraire ça à l’air de l’exciter de savoir que quelqu’un va nous découvrir dans cette position. Les pas se rapprochent, ils viennent dans notre direction…. Un mec s’approche, il se met à côté de mon partenaire, libère son sexe, joli aussi, plus épais et plus long que l’autre, je le caresse mais sans cesser ma fellation…

Puis les événements s’accélérererent : Voilà qu’une quatrième personne se met à genoux près de moi et quémande la queue que je suis en train de sucer. Ils étaient donc deux à descendre… un bref coup d’œil, je vois d’abord les ongles vernis et manucurés, un travelo ? Pourquoi pas, et puis :

– Vous ne vous emmerdez pas les mecs !

La voix, une voix de femme ! Stupéfaction, surprise et grand trouble…

Et là il faut que j’ouvre une parenthèse, voilà bien près de vingt ans que je fréquente ces endroits, je n’y ai rencontré que trois fois des couples, la première fois il ne s’est rien passé, ils sont partis quand madame en a eu marre des sollicitations des mecs, la seconde fois, le couple en question a su faire comprendre aux « autres » qu’ils ne souhaitaient pas partager leur intimité et sont restés plutôt sages, la troisième fois, madame était une gagneuse doté d’une poitrine impressionnante, escorté de son protecteur et qui m’a fait une pipe d’enfer dans une cabine où nous étions plusieurs hommes serrés comme dans le métro…

Ce doit être mon jour de chance, je la regarde, la chevelure est blonde cendrée et lui encadre un visage qui n’est pas de la première jeunesse (au moins quarante ans) mais agréable, très ovale, les rides du sourire marquant le coin des yeux, un rouge à lèvres très provocateur complète le tout. Elle est vêtue d’une jupe noire, et d’un petit haut rose boutonné sur le devant.

Je lui laisse volontiers le sexe de mon partenaire, elle le branle quelques secondes, puis y pose ses lèvres, introduit le gland dans la bouche, puis le ressort.

– Tu me fais mon petit cadeau pour que je continue ?

J’aurais du m’en douter… le gars lui demande combien elle veut… c’est pas très cher…

– C’est symbolique, Précise Luc, son compagnon, mais c’est son fantasme de faire la pute, alors vous allez lui faire plaisir, bien sûr…

Il paie, moi aussi ! Du coup cette joyeuse inconnue, déboutonne son haut laissant apparaître un très beau soutien-gorge noir, puis fait passer ses seins par-dessus les bonnets, jolie poitrine un peu laiteuse et aux extrémités marrons et épaisses. Puis elle reprend sa fellation un instant interrompue. Je me redresse voulant aussi profiter de ses services (et après tout, j’ai payé !) Elle nous suce alternativement, et je dois dire qu’elle sait parfaitement se servir de sa bouche et de sa langue.

– Si vous voulez la baiser, ne vous gênez pas ! Elle adore ça, c’est une vraie salope ! Indique Luc !

Voilà qui a l’air d’intéresser mon partenaire de tout à l’heure, alors Fabienne (appelons-là comme-ca), se couche sur la table, les jambes écartées et ballantes, évidemment elle ne portait pas de culotte. Le gars se place un préservatif et commence à la besogner…

– Toi aussi, tu veux la prendre ? Me demande son compagnon.
– Pourquoi pas ?

Je me place à mon tour une capote attendant la suite des événements. Des pas dans l’escalier, un mec arrive, semble tout surpris par ce qui se passe, approche doucement comme s’il se demandait s’il avait la permission de le faire.

– Sors ta queue ! Lui propose Luc en lui touchant la braguette.

Le mec à l’air perdu, il regarde à droite à gauche, recule de trois pas…

– Allez ne soit pas timide, elle aime ça les queues, cette salope, une occasion comme ça, tu n’es pas près de la rencontrer…

Mais le mec en proie à un grand trouble intérieur quitte la salle et s’en va tranquillement dans la salle hétéro.

Le partenaire de Fabienne a fini par jouir et je prends sa place Il se reculotte tandis que je commence à besogner cette curieuse inconnue.

– Si tu veux, lui propose Luc, on t’emmène chez nous, on pourra continuer…

Le gars fait alors le geste classique de regarder sa montre, il refuse poliment puis s’esquive. Tandis qu’en ce qui me concerne, excité comme pas possible, je jouis très vite.

– Et toi tu voudrais venir ?
– Pourquoi pas ? Si c’est pas trop loin.
– Non, dix minutes de métro ! Tu aimes bien te faire enculer ?
– Quand c’est bien fait, je ne suis pas contre.
– Super, on y va dans cinq minutes, mais pas avant cinq minutes…

Fabienne se remet debout !

– Tu sais ce qui va t’arriver maintenant ! Lui demande son compagnon.
– Oui !
– Tu sais ce qu’on leur fait aux salopes qui font la pute dans les sous- sols des sex shops !

Elle ne répond pas, mais s’arcboute sur la table, relève sa jupe et présente ses jolies fesses. Luc défait alors sa ceinture et commence à la flageller.

– Tiens trainée, tiens grosse pute, tiens salope !

Puis il me tend la ceinture !

– Ça me gêne un peu !
– Mais non, ça fait partie du jeu, ça ne la gêne pas, elle.
– Sûre ?!
– Allez y fouettez-moi j’adore ça et je le mérite ! me dit alors Fabienne

Dans ce cas…

A mon tour je lui zèbre le cul ! Il est rapidement très rouge !

– Encore un peu ! Me demande Luc

A nouveau des pas dans l’escalier… Cette fois ci le type n’hésite pas, il vient voir, se met à rire, puis se dirige lui aussi vers l’autre salle. Il y a des mecs bizarres quand même.

Je lui donne encore quelques coups, puis on arrête…

– Allez en route ! Me dit Luc en me gratifiant d’une tape sur les fesses

Je me demande dans quoi je m’embarque !

2 – Fabienne au miroir

On va à pied jusqu’à la station de métro Etienne Marcel, le mec me parle mais fait dans le banal. C’est l’heure de pointe, on est serré comme des sardines et on ne peut pas converser. On descend à la station Raspail, leur appartement est tout près, c’est pas mal, des petits bourgeois comme on dit.

– Tu veux boire quelque chose ?

On s’enfile une bière bas de gamme et les deux zozos sans aucun commentaires commence à se dévêtir complètement. Je ne vois pas comment je pourrais faire autrement que de les imiter.

– J’ai envie de pisser ! Tu veux me regarder ? Me dit Fabienne.
– Ah, oui j’adore ça !
– T’aimes bien regarder les femmes pisser ?
– Oui !
– Et les jeux avec le pipi ?
– Aussi !
– Tu veux que je pisse sur toi ?
– Oui, pourquoi pas !
– Allez hop, tout le monde dans la salle de bain.

Fabienne me demande de m’allonger sur le carrelage et m’enjambe au niveau de mon sexe. Très vite son urine dégouline sur mon sexe qui bande au maximum.

– Tu veux en boire ?
– Oui !

Elle s’avance, j’ouvre mon gosier et en reçoit plus que je ne peux en avaler.

– Nettoie-moi tout ça, maintenant !

Je me le fais pas dire deux fois, et pose ma bouche sur son sexe, je lèche tout ça bien comme il faut. Elle ne dit rien, mais à sa façon de respirer, je comprends que je peux continuer à la sucer jusqu’à ce quelle jouisse, ce qu’elle ne tarde pas à faire assez bruyamment.

– Tu m’as bien fais jouir, salaud ! commente-t-elle.
– Si tu as envie de pisser, n’hésite pas, elle aime bien aussi recevoir cette petite salope ! Me dit Luc.

J’essaie donc, mais ça a du mal à venir. Luc sans doute pour me stimuler, passe derrière moi et après m’avoir peloté un peu le cul, introduit un doigt dans mon anus. C’est bon mais ça me déconcentre complètement pour ce que j’essayais de faire.

– Les deux à la fois, je ne vais pas y arriver, enlève ton doigt, tu le remettras quand j’aurais pissé.

OK, ça marche, il n’est pas borné, du coup je lâche mon jet sur la poitrine de Fabienne, ça la fait rigoler, elle se caresse les nénés pour bien étaler tout ça, puis ouvre la bouche. J’ai compris le message, je vise, elle avale ! Quelle belle cochonne !

– On va devant la glace ? Demande alors Fabienne tout en se séchant à l’aide d’une serviette.

La glace, c’est quoi, ça la glace ?

Nous voici dans la chambre, il y a une grande armoire à glace un peu ancienne.

– Commence par me sucer ! Me demande Luc et après on va t’expliquer notre trip.

Pas de problème, je me mets à genoux et remets en bouche ce très beau sexe, et m’efforce de faire ça du mieux possible. Avec une belle bite, c’est plus facile, normal, je dois être plus motivé, et donc là je me régale, je la lèche partout, je l’aspire, je la suce, je me sers de mes lèvres, de ma langue, des deux en même temps, je fais des va-et-vient, j’aspire, bref la totale.

– Ecarte tes jambes ! Me dit Fabienne

Elle rampe sur le dos puis s’arcboute afin d’atteindre ma propre bite, elle suce divinement.

C’est donc ça leur trip ! Dommage que ça va finir dans quelques minutes, mais que voulez-vous les meilleures choses ont une fin.

Mais en fait, ce n’était pas ça le trip !

Fabienne quitte ma bite, et son mari ma bouche. Luc s’assoit alors sur le rebord du lit et après s’être protégé me demande de venir m’empaler sur lui. Cette position à l’avantage de contrôler complètement la pénétration, par contre, il faut bosser…. Je ne me fais pas enculer si souvent que ça, et nous sommes obligés d’avoir recours à un peu de gel. Là ça marche, quel plaisir de se sentir rempli comme ça, j’adore… Mais voilà Fabienne qui s’approche, qui m’encapote, et qui s’empale à son tour sur mon sexe. Voilà une figure de style étonnante mais pas si facile à coordonner.

– Tiens-moi par la taille, me dit Fabienne.

Luc fait la même chose avec moi, puis donne un coup de rein et on se retrouve tous couchés sur le flan mais sans se déboiter. On s’active tous en cadence, dans cette position c’est plus facile et moins fatigant et bien sûr on est positionné devant la glace.

Luc a joui le premier, s’est retiré, j’ai continué un peu à pilonner Fabienne qui poussait des petits cris de plaisir avant de jouir à mon tour.

J’ignore si ces braves gens ont prévu une suite. Je tente un :

– C’était bien tout ça, mais il va falloir que je rentre.

Mais on ne me retient pas. Je me rhabille. Luc remet juste son slip et Fabienne s’affuble d’un pyjama assez grotesque.

– Bon ben au revoir, et peut-être à une prochaine !

Chastes bisous à Fabienne, poignée de main à Luc. Nous n’avons pas échangé nos coordonnées, l’occasion aura fait le larron… souvenir fort et inoubliable mais un doigt de convivialité en plus en aurait fait un souvenir exceptionnel.

FIN

Ce récit est basé sur des faits authentiques, j’ai juste changé les noms des protagonistes, quand au lieu de rencontre il s’agissait du sous-sol aménagé de la sex shop de Beate Usche, rue Saint-Denis à Paris remplacée aujourd’hui par un magasin de godasses.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

5 réponses à Fabienne : du sous-sol au miroir par Estonius

  1. Theophile dit :

    C’est plein de cochons dans les sous-sol des sexshop, un jour j’y descends, pas de cabines de libre, mais l’une d’entre-elles est ouverte et un mec avec le pantalon sur les chevilles se fait sucer la bite par un autre type. Je suis tétanisé par ce spectacle et je les regarde faire en sortant ma bite de mon pantalon pour me branler. Un autre bonhomme se colle derrière moi à ce point que je sens sa queue contre mes fesses, il se saisit de ma bite et la branle. Dans la cabine le suceur s’est retourné et offre son cul a son partenaire. Il se sont enculé devant moi, quel spectacle ! Le gars derrière moi me demande si je veux le sucer. D’accord je le suce, il y avait longtemps que je n’avais pas fait ça, c’était bon. Une cabine se libère et deux mecs en sortent, on s’y précipite, j’étais plus a l’aise pour sucer. Il a voulu laisser la porte ouvert, pas de problème et quand il m’a proposé de m’enculer j’ai accepté sans sourciller. Il a joui assez rapidement (avec capote) Un autre se pointe et me tripote le cul, j’ai compris qu’il voulait lui aussi me sodomiser. Pourquoi pas, quand il y en a pour un il y en a pour deux

  2. Dianne dit :

    J’adore regarder deux mecs en train de s’enculer

  3. Lemoine dit :

    Ça sent le vécu, j’ai bien aimé

  4. Tob dit :

    Ça m’est arrivé une fois dans les couloirs de projection d’un sex shop : j’avais un peu sympathisé avec une mec, on s’est branlé et on s’est sucé la bite. Il m’a proposé de venir chez lui et de baiser devant sa femme. je me suis dégonflé.

    • Werber dit :

      Moi aussi, une rencontre intéressante avec branle et fellation réciproque. Il me propose un plan avec sa nana et me donne rendez-vous le lendemain au métro Chemin vert… je l’attends toujours !

Répondre à Tob Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *