Expériences à trois par Dunami

Expériences à trois
par Dunami

J’avais à l’époque une trentaine d’années, et je vivais avec une jolie petite brune de 27 ans, Aline, qui aimait le sexe par-dessus tout. Nous faisions beaucoup l’amour, deux ou trois fois par jour au début, dans des endroits et à des moments très variés. Au bout de quelques temps nous fîmes le constat, alors que nous venions pourtant de jouir, qu’il fallait impérativement trouver quelque chose d’autre pour raviver l’intensité de nos relations.

Quand j’étais en elle, je prenais plaisir à l’interroger sur son passé sexuel, ses ex; cela me stimulait beaucoup car de son côté, entrant dans mon jeu, elle me donnait de nombreux détails très, très intimes. C’est ainsi, en baisant, et en me parlant des exploits de l’un de mes prédécesseurs, que l’idée lui vint de me proposer d’imaginer la scène à trois avec l’un de ses ex, un dénommé Philippe. J’imaginais donc, et crus faire le  » libéré » en ajoutant que j’entendais faire plus qu’imaginer. Elle ne me répondit pas sur le moment, préoccupée qu’elle était, par l’approche de son plaisir montant.

Quelques jours plus tard, Aline me dit que Philippe était de passage dans notre ville et que nous devions déjeuner ensemble à midi. Je les retrouvais au restaurant où Aline s’installa à côté de Philippe. Le repas se déroulait de façon banale, quand je me rendis compte, à un surprenant grognement de Philippe, qu’il se passait quelque chose d’anormal. Je remarquais que ma femme avait une main sous la table et je compris au mouvement de son bras, à l’attitude de Philippe qui ne savait plus comment se tenir, qu’elle avait entrepris de caresser son voisin de table. D’ailleurs elle avait un petit sourire coquin qui en disait long. Quelques instants plus tard Philippe eut un haut le corps et Aline reposa sur la table une main dont les doigts étaient souillés de sperme frais. Elle tint sa main ostensiblement en évidence sur la nappe puis porta ses doigts à ses lèvres en me regardant. En nous séparant, elle invita Philippe à venir le soir même prendre l’apéritif.

Il vint à la maison. Nous nous assîmes au salon, Aline et Philippe dans un canapé deux places et moi assis seul en face. Ma femme avait mis une jupe très courte, un slip et un chemisier ouvert sans soutien-gorge. Philippe était en jean. Après deux ou trois whiskies, le ton devenait enjoué, fait de leurs souvenirs communs. J’avais remarqué qu’à deux ou trois reprises Aline avait donné des claques amicales sur la cuisse de Philippe, mais je constatais aussi qu’à la troisième claque, elle avait laissé sa main à l’endroit où elle était retombée, c’est à dire assez haut sur la cuisse de Philippe, à la hauteur de l’aine. Quelques instants plus tard, je remarquais un mouvement imperceptible d’un doigt de la main droite de ma femme, un mouvement circulaire et très lent, très étudié, qui permettait à son doigt de frôler le bas ventre de Philippe. Elle s’assura que j’avais bien vu. Tout en continuant à bavarder, elle me jeta un regard dans lequel je lis à l’évidence une interrogation sur le point de savoir si elle était autorisée ou pas à aller plus loin. Je lisais dans ses yeux quelque chose comme  » J’ai envie de le faire bander. Je peux ? » Dans mon regard elle lut qu’elle avait le feu vert et, le message ayant été bien reçu, son doigt reprit son mouvement de manière plus accentuée.

Deux doigts d’Aline étaient maintenant en mouvement. Ils manœuvraient de telle sorte que Philippe réagissait à en juger par l’apparence de son pantalon. Il se sentit gêné, paniqué et il me jeta un regard craintif mais ce qu’il lut dans mes yeux fut de nature à le rassurer; quelque chose du genre  » Que voulez-vous, elle est ainsi ! Laissez-vous faire ! » Dans le même temps j’adressais un regard encourageant à Michelle dans lequel elle pouvait comprendre que je l’invitais à persévérer et admirais sa science de la caresse.

Elle persévéra donc puisque sa main toute entière était maintenant en mouvement et de plus carrément installée sur la braguette de Philippe, ce qui ne l’empêchait d’ailleurs pas de continuer à bavarder comme si de rien n’était. Elle le masturbait franchement au travers du pantalon et parvint à ouvrir la fermeture éclair pour continuer directement ses caresses sur le slip, améliorant ainsi le contact avec le membre. Par contre Philippe n’avait pas l’air dégagé du tout, il était même très embarrassé par l’ampleur de son sexe devenu bien encombrant. Michelle cessa tout à coup de parler et, se tournant vers son voisin de canapé, défit la ceinture de son pantalon puis baissa pantalon et slip de son ex, qui souleva les fesses pour faciliter la manœuvre, et extrayant un sexe complètement raide, elle le tint dans sa main droite et me dit :

–  » Elle est belle non ? »

Elle jouait délicatement avec le membre faisant preuve d’une assurance qui prouvait qu’elle le connaissait depuis longtemps. Ma femme manœuvrait la peau de la bite d’avant en arrière découvrant de temps à autre un gland rose et fendu. Philippe avait une queue assez longue et plutôt fine, de belles couilles rasées remontées contre sa hampe, qui semblaient bien remplies. N’y tenant plus Michelle se pencha et commença de la sucer à petits coups de langue, puis l’engouffra en entier dans sa bouche. Je la regardais pomper goulûment et avec application son ex. Elle retrouvait des goûts oubliés. Philippe ne tenait pas le coup et fut sur le point de jouir quand Aline le libéra et laissa la queue humide et pantelante.

Elle se leva et vint vers moi. Quand elle fut debout devant moi, elle souleva sa jupe et attendit sans rien dire. Je compris qu’elle souhaitait que l’initiative vienne de moi, aussi je baissais son slip sur ses chevilles et passant une main sur sa chatte, constatais qu’elle était humide. J’y faisais pénétrer un doigt pour éveiller et stimuler son désir mais ce n’était pas vraiment indispensable. Je lui donnais une gentille petite claque sur ses fesses nues et la renvoyais vers Philippe toujours assis sur son canapé, la queue en l’air.

–  » Vas-y Michelle !! Va te faire baiser, tu en as tellement envie, va, moi je regarde. »

De retour près de Philippe, ma femme s’installa au-dessus de ses cuisses, lui tournant le dos, le visage et le ventre tournés dans ma direction pour que rien ne puisse m’échapper. Elle écarta les cuisses, puis de sa main gauche sépara les lèvres de son vagin, puis passant sa main droite entre ses jambes elle attrapa le membre de Philippe, et descendit doucement. Elle cessa son mouvement quand le gland de Philippe se trouva ajusté à l’entrée de sa chatte. Là, elle me regarda bien en face, signifiant  » J’y vais ou non ? C’est toi qui décides, je ferai ce que tu veux. » Au point où nous en étions, je me voyais mal lui dire de ranger tout cela, que cela suffisait comme cela et l’inviter à proposer un autre verre à son ex. Je lui fis donc un petit signe d’approbation de la tête; les dés étaient jetés.

Elle reprit son mouvement descendant et s’empala en gémissant sur le sexe de Philippe tout en me fixant dans les yeux. De l’endroit où je me trouvais assis, je vis disparaître toute la bite de Philippe dans le ventre de ma femme. Elle était maintenant assise sur les cuisses de son ancien amant, les mains posées sur les genoux de Philippe, et elle s’animait d’un mouvement de hanches très lent et circulaire pour que la queue de Philippe aille bien dans tous les recoins de son vagin. Elle reprit alors son bavardage interrompu. Je la connaissais bien et je savais que dans un instant elle aurait du mal à continuer de parler ainsi. Elle égrenait donc des noms de copains, de copines, des sorties, des soirées, tout un passé qu’elle avait en commun avec Philippe, lequel se contentait de répondre par des grognements.

Cinq ou dix minutes plus tard, j’avoue que je n’ai pas chronométré, fasciné que j’étais par le spectacle qui se déroulait devant mes yeux, ma femme cessa de parler pour gémir. Son plaisir approchait. Maintenant elle parlait de nouveau mais, faisant comme si je n’existais plus, ses propos étaient tous à connotation sexuelle; elle félicitait Philippe pour sa vigueur, pour la taille de son membre, lui dire combien elle appréciait de l’avoir de nouveau en elle; lui dire combien il lui avait manqué d’être ainsi prise; pour encourager Philippe, lui demander des choses terriblement hard. Michelle ne parlait plus; ne se contrôlait plus; il fallait qu’elle jouisse; elle râlait; elle criait; elle le suppliait d’y aller plus fort; de bander plus fort; de la défoncer; de la féconder.

Tantôt elle avait les yeux fermés, tantôt au contraire elle les avait grand ouverts et tournés vers moi, histoire de s’assurer que je ne la quittais pas des yeux, que je ne perdais pas une miette de son infidélité. Elle avait une vraie passion pour la fornication, c’était sa distraction favorite. Son mouvement de haut en bas était devenu très rapide; en appui sur les genoux de Philippe, elle accélérait toujours de plus en plus. C’est à peine si j’apercevais de temps en temps la hampe luisante de Philippe tellement elle était rapidement engloutie entre les lèvres de Michelle. Dans un dernier effort pour s’empaler, se défoncer, elle jouit dans un cri que tout le voisinage entendit. Elle resta effondrée plusieurs minutes sur les genoux de Philippe, conservant sa queue en elle, puis elle reprit ses esprits. Etait-ce histoire de se faire pardonner ou au contraire féliciter, elle quitta les cuisses de Philippe et s’approcha de moi.

Pour me consoler, elle se mit à genoux entre mes jambes et après avoir découvert mon membre qu’elle trouva bien entendu raidi par le spectacle, elle me suça gentiment du mieux qu’elle put. Mais c’était oublier le sort de Philippe qui n’avait pas joui et s’étant approché de Michelle par derrière souleva sa jupe pour découvrir ses fesses. Ma femme lâcha ma queue et levant les yeux vers moi me dit

–  » Tu vas voir qu’il va m’enculer. Je le connais, il adore cela, il me l’a fait cent fois. » Me dit-elle d’un air satisfait, certaine de son fait comme quelqu’un qui a été mainte fois enculé et qui est sûr de l’attrait de son postérieur.

Philippe dit :

–  » Oui, je vais te l’enfoncer dans le cul devant ton mari ! »

Pas idiot le jeune homme; il avait tout compris. Ayant posé sa main gauche sur les fesses de Michelle, Philippe prit sa queue toujours raide et luisante dans sa main droite, la promena un instant entre les fesses de ma femme, il chercha l’entrée, eut quelques difficultés pour y parvenir mais la trouva; Il ajusta son gland découvert à l’entrée et la sodomisa d’un coup sans me demander mon avis ni ma permission. Michelle avait la bouche pleine de ma queue mais les yeux grand ouverts pendant que Philippe s’enfonçait en elle jusqu’au fond et son regard exprimait la satisfaction. Philippe avait accroché ses deux mains aux hanches de ma femme et la défonçait sans aucune retenue. Chaque coup de rein de Philippe se répercutait par l’intermédiaire du corps de ma femme et m’enfonçait un peu plus dans sa bouche. Cela dura tout un moment pendant lequel les participants profitèrent du corps des autres.

Bientôt Philippe fut sur le point de jouir. Il avait donné plusieurs douzaines de coups de queue dans ma femme et depuis quelques instants il avait accéléré le rythme. Il commentait l’avancée de son plaisir, son stade d’érection, à haute voix. J’avais vraiment l’impression de voir sa bite à l’intérieur du cul de ma femme, avec son gland tout rouge et découvert, a hampe luisante et grasse. J’imaginais ses couilles prêtent à se vider et si je ne les voyais pas, je les devinais complètement remontées contre sa bite et cognant contre les fesses de ma femme. J’entends encore Philippe s’adresser à nous :

– « Je ne tiens plus le coup ! Il faut que cela sorte ! Ca y est, je vais gicler ! Mes couilles vont se vider dans ton cul devant ton mari ! »

Michelle atteignit son second orgasme avant lui; Je revois encore son regard fou de plaisir, puis le visage de Philippe devint grimaçant; Il hurla qu’il giclait en me regardant dans les yeux et sa bouche laissa échapper un râle alors qu’il éjaculait dans Michelle. Ma femme ouvrit les yeux et me regarda pendant que le sperme de Philippe coulait en elle; Elle avait l’air de me dire :  » Tu vois maintenant ce dont il est capable ? » Cela me fit jouir à mon tour.

Philippe prit ainsi l’habitude de passer de temps à autres à la maison pour y baiser ma femme. Il arrivait sans prévenir, et sans rien dire, il extrayait sa queue de son pantalon, et s’approchait de la bouche, de la chatte ou encore du cul de ma femme, tirait son coup et disparaissait me laissant une épouse couverte de sperme. Quelquefois, quand je rentrais à la maison, j’entendais des cris, des gémissements, des obscénités, qui sortaient de la chambre, du salon ou encore de la cuisine, et trouvais Philippe et Michelle en pleine fornication. Il est arrivé aussi une fois ou deux, en me réveillant, de trouver Philippe, nu dans notre lit, entre ma femme et moi. Ou encore couché sur ma femme. Ouvrant un œil, j’avais alors le nez sur une queue dans la chatte ou le cul de ma femme et j’assistais au première loge à une copulation qui se déroulait à dix centimètres de moi et m’éclaboussait du jus de l’un ou l’autre des amants. J’entendais chaque mot, chaque parole prononcée, les encouragements de ma femme adressés à son amant, les  » Vas-y Philippe, baise-moi ! Enfonce plus fort, plus loin ! Ou encore les  » Vas- y gicle maintenant ! De même pour les propos de Philippe les  » Tiens prends ça ! Oh ce que tu me fais bander ! Je vais jouir en toi ! » Ce à quoi ma femme répondait par un immuable  » Oui, Oui, vas-y  » Cela me réveillait complètement et je trouvais ma femme en plein orgasme, laquelle, ayant repris ses esprits, me disait alors

–  » Regarde mon chou, tu te fais cocufier en direct, veinard ! Peu d’hommes ont l’occasion de voir d’aussi près leur femme les tromper ! »

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Une réponse à Expériences à trois par Dunami

  1. Deleuze dit :

    Un peu déçu qu’il ne se passe rien entre ces messierus

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