A leur merci : jouet pour couple au camping chapitre 1 : 3 jours par Olivier.35a84

A leur merci : jouet pour couple au camping
chapitre 1 : 3 jours
par Olivier.35a84

Je suis brun, 1m79, 39 ans ; je m’appelle Olivier et j’habite le Vaucluse ; je recherche une dominatrice, un couple ou un groupe dominateur. Ce récit est un mélange d’expériences réellement vécues dans ce camping avec d’autres vécues ailleurs. Si j’ai réellement vécu les pratiques décrites, ce ne fut pas, hélas, d’une manière aussi concentrée dans le temps. Je suis, évidemment, à la disposition de tous couples ou groupes intéressés par ce type de plaisirs ; en espérant bientôt avoir de vos nouvelles. Voir mon mail en fin de page.

Après une année de travail et de vie de couple bien remplie, je décide de prendre, seul, une semaine de liberté. Officiellement, je vais faire des randonnées dans l’Ardèche ; en réalité, je vais à un camping libertin, prés de l’Ardèche, connu pour être un rendez-vous échangiste et où j’avais déjà vécu de nombreuses expériences de triolisme l’année précédente.

Je vais y rejoindre un couple dominateur avec qui j’avais longuement correspondu sur Internet ; je leurs avais confessé mes expériences, mes désirs et mes limites et nous avions convenu d’un cadre permettant la satisfaction de nos désirs communs.

Après avoir traversé de très belles gorges, je roule quelques kilomètres sur un chemin de terre puis arrive, au fond d’une gorge, à l’entrée du camp. Mon inscription faite et payée, j’ai droit à une première et excitante vision : attendant prés de la cabine téléphonique, une belle femme, la quarantaine, nue ; grande, brune, elle a une petite poitrine avec des aréoles très foncées et des tétons aussi larges et long qu’une phalange de mon pouce ; son sexe, épilé, ressemble à un abricot mur que je rêve aussitôt de suçoter. Après cette vision qui me laisse rêveur et excité, je cherche un coin tranquille prés de la rivière et y installe ma tente.

Une fois installé et déshabillé, je me promène dans le camp à la recherche du couple avec qui j’ai rendez-vous. En chemin, je m’échauffe à la vue de plusieurs femmes au sexe épilé ; malgré l’érotisme « ambiant », je sais d’expérience que la plupart des couples rencontrés sont aimables et non vulgaires. Les seules exceptions étant un groupe d’hommes seuls, vulgaires et primaires, qui rodent parfois la nuit dans le camp, ainsi qu’un groupe de couples très fermés, provenant de Marseille, qui ont plusieurs fois tenté d’imposer leurs goûts, leur direction et leur intolérance à l’ensemble du camping et sont ainsi entrés en conflit avec la direction du camping.

Je finis par arriver au bout du camp et, là, encadré d’un coté par la rivière et de l’autre par un rideau d’arbres et de buissons, je distingue le véhicule de mes futurs dominateurs : un grand camping-car prolongé par une grand tente auvent. Leur emplacement, éloigné des commodités du centre du camp (restaurant, toilette, douches, magasin), est isolé : ils n’ont aucun voisin proche. Je vérifie que la plaque d’immatriculation correspond bien à celle qu’ils m’avaient donné puis je m’avance et me présente. Isabelle, la quarantaine, est une grande blonde aux cheveux courts, épilée intégralement ; un petit peu forte, ses formes épanouies me ravissent ; Bernard, son mari, est trapu et musclé ; ils ont un chien, un berger allemand male, attaché aux piquets de la tente et qui semble très affectueux. Après les présentations d’usage, nous nous installons autour d’une table, sous le auvent, et discutons de choses et d’autres, faisant plus amplement connaissance. Enfin, nous discutons un petit peu de nos futures activités ; je leur présente un test que j’ai passé récemment et qui atteste que je suis HIV négatif et ils me présentent les leurs ; avant de m’inclure dans des soirées avec leurs amis, ils souhaitent que nous passions une soirée ensemble afin de voir dans quel cadre je participerai à leurs futures soirées. Bernard me fixe rendez-vous à 19 heures

A l’heure dite, je rejoins leur campement dans la tenue convenue : un ensemble rouge composé d’un mini short de footing et d’un tee-shirt sans manches moulant. Ils se sont rhabillés et discutent, assis autour de la table : Bernard a mis un short et un tee-shirt, Isabelle porte une jupe courte et un bustier.

Isabelle m’ordonne de me déshabiller et je m’exécute immédiatement. Elle me demande d’écarter les jambes et commente l’état de mes parties intimes : je suis déjà, en effet, à moitié en érection ; elle me demande de venir près d’elle puis m’attache les testicules ensemble avec un cordelette dont les deux bouts pendent jusqu’à mes chevilles. Elle me dit alors

« Soubrette, apporte nous l’apéritif »

Un carton, sur le sol, contient tous les éléments nécessaires : pour prendre chaque élément, je ne dois pas m’accroupir et me penche, leur offrant une vision détaillée de mon derrière et de mes parties sexuelles. Une fois chacun d’eux servi, Bernard déplace la table : un manche à balai, enduit de gel, d’une hauteur d’une cinquantaine de centimètres, est fiché dans le sol ; un gros crochet est vissé à sa base. Isabelle me fait venir contre le manche en me tirant par la cordelette ; elle me bâillonne avec un bâillon-balle très efficace puis me menotte les mains dans le dos et relie les menottes à un des anneaux d’un collier qu’elle fixe autour de mon cou ; puis elle attache chacune de mes chevilles à une sardine solidement fixé dans le sol. Je suis maintenant nu, jambes écartées, à leur merci ; tirant la cordelette, elle me force à m’empaler de quelques centimètres sur le manche puis attache la cordelette à l’anneau en bas du manche.

Je suis maintenant empalé, jambes écartées et pliées ; la pénétration est humiliante mais peu douloureuse ; mais la cordelette fixée à mes testicules m’empêche de me retirer du pal et la position devient vite difficile : pour ne pas m’empaler, je dois rester en tension et la position est très pénible. Bernard et Isabelle prennent alors leur repas, discutant tranquillement tandis que je m’épuise. Ce n’est que lorsqu’ils ont fini, alors que mes jambes tremblent de fatigue, qu’Isabelle me libère partiellement, libérant mes chevilles, détachant du crochet la cordelette et m’enlevant le bâillon. Je m’effondre sur le sol, épuisé mais Isabelle me rappelle aussitôt à l’ordre :

« Nous allons prendre le café ; viens sous la table, soubrette ».

Sur les genoux, je me glisse sous la table ; je m’aperçois alors que Bernard a retiré son short et qu’Isabelle ne porte pas de culotte, m’offrant une vue délicieuse qui ranime mes ardeurs.

« Va prendre ta sucette, esclave » dit Isabelle

Bernard a les jambes écartées et s’est placé au bord de son siège. Je m’avance et prend en bouche son sexe flasque qui, sous mes caresses buccales, prend très vite de la vigueur : il a un pénis relativement court mais très épais et je souffre vite de crampes des mâchoires ; ma position à genoux offre, sous la table, mon derrière à Isabelle qui me caresse les fesses et les parties sexuelles avec son pied ; je les entends qui discutent comme si de rien n’était mais je sens que j’arrive au bout de la résistance de Bernard. Isabelle me saisit alors les couilles avec une main et me dit « finis ton travail ». J’accélère le mouvement de ma bouche tandis qu’Isabelle joue avec mes testicules, les serrant entre deux doigts, les faisant rouler l’une contre l’autre, alternant serrages, douces caresses et étirement, plaisirs et douleurs. Bernard jouis dans ma bouche, j’avale et le nettoie, malgré mon écœurement, car je sais qu’Isabelle ne me ratera pas si je manque à mes obligations.

Isabelle m’ordonne de sortir de dessous la table, me détache les poignets puis me fait allonger sur le dos, les chevilles attachées aux sardines déjà utilisées et les mains liées aux barres de la table derrière ma tête. Bernard s’assoit par terre et observe tandis qu’elle s’assoit sur mon visage ; j’ai le nez collé à son anus et son sexe enfoncé dans la bouche ; je la lèche doucement quelques minutes, goûtant avec délice son sexe et ses odeurs intimes de sel, de transpiration et de femme. Mon pénis se tend et je sais que mon pénis et mes boules sont là, vulnérables, à la vue et à la portée des mains d’Isabelle qui punira la moindre insatisfaction. Puis elle dit

« Avale tout »

Je sens son anus se contracter et elle me pisse, doucement, dans la bouche ; son urine est peu concentrée et je l’avale sans grande difficulté ; puis je la nettoie de la langue. Elle s’accroupit alors, m’enfonçant son anus dans la bouche et me dit

« Ce n’est pas fini »

Je sais ce qui m’attend si je faillis à mon rôle ; je lui caresse puis lui pénètre l’anus du bout de la langue ; je sens celui-ci s’élargir et un objet dur me repousse la langue : c’est le moment de vérité ; je m’efforce d’avaler au fur et à mesure afin de ne pas être étouffé, malgré les nausées de ce menu hors du commun. Puis je la nettoie et la caresse avec la langue.

Elle s’agenouille alors en position de 69 et m’enfonce sa vulve dans la bouche, tandis qu’elle enserre à la base dans ses doigts mes testicules et mon pénis.

« Lèche » m’ordonne t’elle.

Je m’exécute avec plaisir, titillant son bouton à plaisir du bout de la langue, suçotant en douceur ses petites lèvres, léchant et dépliant toute sa vulve du bout de la langue ; en même temps, elle alterne caresses buccales du pénis et des couilles, aspiration du pénis et mordillement des testicules .
Puis elle me tire les testicules en les serrant à la base, ce qui m’étire la peau du pénis et me masturbe très fermement de l’autre main, ce qui m’étire la peau du gland à la limite du déchirement. Elle me mâche alors le gland, morceau par morceau, comme si elle le préparait avant de le manger en hachis au dessert. Sentant l’explosion arriver, elle éloigne sa bouche et, au moment de la jouissance, me presse de toutes ses forces les testicules dans son poing, comme s’il s’agissait de petits citrons dont elle voulait expulser tout le jus. Je jouis et j’agonise de plaisir et de douleur mêlés.

K.O., j’arrête de la lécher. Elle reprend mes couilles dans la main, les serre à nouveau, m’envoyant des ondes de douleur dans tout le corps, et me dis « continue ou j’en fais de la purée ». Je me force, malgré ma faiblesse, à continuer ; elle me chevauche le visage, frottant son entrejambe contre ma bouche tout en secouant et serrant mes parties sexuelles comme si celles-ci étaient les manettes de sa jouissance. Elle finit par jouir, bruyamment, m’écrasant à nouveau les testicules dans ses poings puis reste allongée sur moi, sans réaction, pendant ce qui me semble durer une minute.

Elle se relève enfin, me dit « tu es une bonne soubrette, c’est bien » et me libère.

Après quelques minutes de repos, j’arrive à rassembler assez de forces pour enfin me relever. Je bois alors plusieurs rasades d’eau à la bouteille et mange du pain afin de récupérer des forces.

Nous nous attablons et buvons ensemble de la bière fraîche tirée du frigo de leur camping-car ; « es tu prêt à continuer ? » me demande Isabelle ; j’acquiesce de la tête, à la fois trop intimidé et trop effrayé par ce qui m’attend pour répondre oralement.

« Bien » me dit-elle, « tu installeras demain ta tente prés de nous ».

Une semaine de camping : deuxième jour

Le lendemain, j’installe ma tente à coté du auvent. Comme on ne peut monter directement de la rivière et que les autres accès sont bloqués par des massifs de broussaille, il y a un espace caché devant le camping-car auquel on ne peut accéder qu’en passant sous le auvent : il suffit d’entraver ce passage pour interdire la venue de voyeurs ou de toute personne non bienvenue.

Quatre sardines restent fixées dans le sol, chacune reliée à une menotte : il suffit de quelques secondes à Isabelle pour m’attacher bras et jambes écartés quand elle le désire.

Tout au long de la journée, Isabelle utilise ce système pour m’attacher à chaque fois qu’elle a besoin de faire ses besoins… et elle boit beaucoup !

Les couples d’amis arrivent : il y en a trois :
– François et Nadège, la trentaine, minces et bruns tous les deux, la peau mate ; Anne est la seule femme des trois nouvelles arrivées à ne pas avoir le sexe épilé.
– Michel et Agnès, bruns, la cinquantaine bien entretenue. D’après Isabelle, Agnès aime bien dominer mais elle aime aussi être soumise.
– Jacques et Anne, bruns, la quarantaine ; Jacques semble très membré.

Je sais qu’Isabelle et Bernard les ont prévenus de ma présence bien avant leur arrivée et qu’ils ont discuté, mais j’ignore complètement quel sera leur comportement face à moi.

A l’heure de l’apéro, tout le monde se rassemble autour de la table, sauf moi qui fait le service. Trois matelas sont posés sur le sol ainsi qu’un petit banc. La soirée avance et tout le monde passe au repas, tout en buvant bien. Les inhibitions commencent à tomber et les convives font, sur le ton de la plaisanterie, des réflexions sur mon physique, mon cul, mes parties sexuelles et sur ce qu’ils pourraient en faire. Isabelle raconte ce qu’elle m’a fait subir la veille avec force commentaires et rappelle au dames que ce n’est pas la peine de traverser le camp pour aller aux toilettes, il y en a d’inoubliables ici.

Nadège dit « c’est une drôle de soubrette que vous avez là : elle ne ressemble vraiment pas à ce à quoi je m’attendais ».

La prenant au mot, Isabelle m’emmène dans le camping-car, me fait enfiler un caraco en dentelle et une jupe ultra courte. Mon retour ainsi déguisé déclenche l’hilarité et les réflexions salaces.

Isabelle m’attache alors les poignets reliés au collier, et m’envoie sous la table.

« Voici le café », annonce-t-elle, « les douceurs sont sous la table ».

Nadège étant la plus proche de moi, je commence par elle, caressant sa jambe de la langue jusqu’à ce qu ‘elle se détende et écarte les cuisses pour que ma caresse se précise ; au dessus, les réflexions vont bon train car son comportement passe peu inaperçu. Mais je ne reste pas longtemps : du pied, Isabelle me pousse vers François que je prend aussitôt en bouche ; à chaque fois, elle me renverra vers un autre convive mâle dés qu’elle juge celui dont je m’occupe suffisamment excité.

Une fois tout le monde sous tension, elle me fait sortir, me fait déshabiller et m’attache sur le dos sur un matelas placé sous une branche d’arbre, la tête en bout de matelas. Mes chevilles sont attachées écartées et tirées vers le haut et l’arrière, à la branche d’arbre ; mes mains sont liées derrière ma tête ; un coussin glissé sous les fesses me surélève le cul ; je ne suis pas dans une position inconfortable mais je suis ainsi à la merci totale des convives : cul, sexe et bouche offerts.

« Les toilettes sont installées » annonce Isabelle.

Et elle les inaugure aussitôt, s’accroupissant dans ma bouche et se soulageant sans chichis, puis elle me saisit les testicules et dit « pour tirer la chasse, c’est comme cela » tout en me serrant doucement les boules ; sur le coup, seul Nadège lui succède, les autres restant en retrait. Nadège sent très fort, ne s’étant probablement pas nettoyé en prévision de ce moment, et cela m’excite, ce qu’elle doit voir. Après s’être soulagée et s’être fait nettoyer avec la langue, elle reste, profitant de ma caresse buccale, puis se lève, me giflant gentiment le pénis en érection, et rentre dans le camping-car avec Isabelle.

Je constate alors que deux couples sont déjà en train de s’ébattre sur les matelas, les autres observant, excités. Isabelle arrive alors, « habillée » d’une ceinture – gode impressionnante ; Nadège se réinstalle sur ma bouche et je la caresse de la langue aussitôt ; pendant ce temps, Isabelle me prépare l’anus en m’enfonçant, à l’aide d’un gel, un puis plusieurs doigts et en les tournant jusqu’à que mon anus soit complètement ouvert et assoupli. Elle m’enfonce alors, à petits coups de reins, son gode tout en échangeant caresses et baisers avec Nadège. La scène me maintient en érection, malgré que mon intérieur soit distendu au delà de ce que je pensais possible. Après 10 minutes de ce traitement, je suis épuisé et complètement ouvert. Elles se lèvent alors et vont partager leurs plaisirs avec un couple allongé à coté de moi. C’est alors que je vois arriver Anne, l’air complètement éméchée, qui vient de se faire prendre en levrette. Elle se met sur moi en position de 69, la vulve débordant de sperme, et me dit « nettoie-moi » tout en jouant avec mon sexe en érection. Je m’exécute et, soudain, elle relâche sa vessie.

« Voilà le rinçage » dit-elle.

J’avale tant bien que mal puis la nettoie. Elle relève alors son torse, m’enfonce son anus dans la bouche et se soulage. C’est heureusement dense mais trop rapide pour que je puisse tout avaler. « Qu’est ce que c’est que cela ? Tu vas payer, petite truie ». Après m’avoir tout fait avaler puis avoir nettoyé son anus tandis qu’elle gifle mes parties sexuelles, les faisant douloureusement valser dans tous les sens, elle se relève et me piétine les testicules avec le pied, me faisant me contorsionner mais en vain : mes liens m’empêche d’échapper à ce supplice.

A partir de là, ma bouche sert à satisfaire les sexes des hommes et femmes présents, dés que ceux-ci ne sont pas occupés à des activités plus classiques sur les autres matelas. Je n’arrête cette fonction que pour celle de toilettes pour dame : toutes, plusieurs fois au cours de cette longue soirée, se soulagent et profitent de ma langue pour se faire nettoyer sexe et anus de leurs déchets organiques et sexuels. Mais le reste de mon anatomie n’a pas été oublié : Bernard puis Jacques profitent de mon anus, Jacques doit forcer pour me pénétrer, ce qui me fait hurler de douleur, cris étouffés par le sexe d’Anne, enfoncé dans ma bouche, qui l’embrasse à pleine bouche.

Les femmes ne sont pas en reste, jouant avec mes parties sexuelles, m’excitant afin de mieux pouvoir me tordre le pénis, une m’enfoncera le petit doigt dans le méat urinaire, une autre me mâchera chaque testicule, observant en souriant mes contorsions de douleurs.

Isabelle me finira de la même manière que la veille, avec l’aide de Nadège qui me tire et tords les testicules d’une main tout en m’enfonçant et remuant quatre doigts dans le rectum, appuyant sur la prostate, tandis qu’Isabelle suce et mordille mon gland malmené . Au moment de la jouissance, Isabelle me garde en bouche mais Nadège m’écrase les couilles dans son poing tout en m’enfonçant son autre main entière dans l’anus. La douleur mêlée d’un peu de plaisir est si forte que je crois que je perds conscience.

Je me réveille détaché, Isabelle me passant une crème sur mes testicules gonflés et une autre dans mon anus ravagé.

Et dire que ce n’était que le deuxième jour.

Une semaine de camping : troisième jour (à partir de là je prends des libertés par rapport à mon vécu réel)

Malgré la douleur ressentie, mon anus et mes parties sexuelles ne sont plus que légèrement douloureux au réveil. Heureusement car la semaine commence à peine.

Tous les couples ont planté leurs tentes ou garé leur mobil-home autour de celui d’Isabelle et Bernard ; cela forme maintenant comme un petit village fermé aux entrées non désirées.

La journée se déroule doucement ; je lis, discute et remplis mon rôle de toilettes forcée pour dame, mais sans problèmes.

Vers 16H, Nadège propose une partie de pétanque à Agnès, Isabelle et Anne ; je demande si je peux participer et Isabelle me répond : « évidemment que tu vas participer : c’est toi qui a le cochonnet ». Elle m’attache alors en position assise, les bras liés à la branche et les cuisses tenues écartées par des liens attachés à des sardines. Ainsi lié, leur « cochonnet » est bien accessible, mes boules et mon pénis touchant la terre.

Elles jouent en deux équipes de deux, chacune ayant trois boules. Elles ont heureusement fixé comme règle de départ que les « carreaux » sont interdits, afin de ne pas « casser le cochonnet ». La première partie et la deuxième partie se passe bien : les boules arrivent en roulant doucement et ne me cause aucun mal ; au contraire, la vue de ces jolies femmes nues me fait monter une chaleur dans le bas-ventre et mon pénis se relève peu à peu.

Lors de la revanche, les équipes semblent plus remontées ; le jeu s’échauffe vite. Très vite les boules arrivent fort sur ma cuisse et me cause des bleus. Mais Nadège marque le point en délogeant une boule collée au « cochonnet » ; je vois arriver la boule qui roule vite, passe au milieu de mes cuisses pour terminer entre le « cochonnet » et l’autre boule, renvoyant l’autre boule contre mon mollet et m’enfonçant les testicules ; le choc me coupe le souffle et m’envoie des élancements qui me remontent jusqu’au cœur ; apparemment, elles ont assoupli la règle : interdiction de faire voler les boules mais les carreaux sont de nouveau permis…

L’équipe de Nadège gagne mais le propriétaire du cochonnet n’en peux plus : trois coups au but m’ont laissé une douleur sourde entre les jambes.
Heureuse de ses coups et ayant constaté l’effet que leur vue a sur mon pénis, Nadège s’amuse un peu : elle vient vers moi, se tourne puis me colle son derrière contre le visage ; se penchant, elle me caresse le gland du bout des doigts ; très vite, je suis tendu au maximum ; elle me penche le pénis à 90 degrés, me décalotte puis me gifle le gland en faisant des aller-retour avec deux doigts. Je ne débande pas mais chaque coup m’envoie des picotements entre douleur et plaisir dans la colonne vertébrale.

J’oublie à qui je m’adresse et lui dit « suce-moi ».

Elle se retourne et me regarde dans les yeux ;

« Si c’est ce que tu veux » dit-elle.

Elle me détache les bras et les rattache en croix avec deux sardines. Puis elle me bâillonne, me prend en bouche (sensation divine) et me suce, alternant avec des moments où elle me gobe les testicules dans sa bouche si douce. Mais une fois que je suis tendu comme un roc, elle commence à me mordiller, d’abord doucement puis fort : elle alterne écrasement du gland ou d’un testicule avec les molaires et morsures marquantes du gland avec ses incisives.

« Alors, tu apprécies ? » se moque-t-elle.

J’ai l’impression d’avoir été dévoré vivant mais la douleur me rappelle que mes précieuses parties sont toujours là.
A suivre…

Mon mail : olivier.35a84@gmail.com

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Une réponse à A leur merci : jouet pour couple au camping chapitre 1 : 3 jours par Olivier.35a84

  1. Orlando dit :

    L’auteur devrait se recycler dans la traduction de mode d’emploi de produits chinois, car c’est bien à cela que font penser ses descriptions surréalistes. Et puis un peu d’humour aurait rendu ce texte beaucoup moins… triste !

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