Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 9 – Les sept furies par Nicolas Solovionni

Et pendant ce temps-là sur Vargala station…
Le docteur Nuru interpelle Gundula Miller.
– Je suis passé voir le patient de la chambre 12, il a quoi au juste ?
– Des hallucinations !
– Et vous le soignez à coup de Loubliom ?
– Ça le soulage !
– Si vous le dites ! Mais on ne va pas le garder cent sept ans. Arrêtez le traitement et s’il n’hallucine plus vous l’autorisez à partir.
Gundula ne voit pas bien comment désobéir à son patron… et sans Loubliom; Schmidt retrouva la raison.
– Qu’est-ce que je fous là ? Demanda-t-il
– Vous vous être tapé une infection qui vous faisait délirer…
– Et c’est fini ?
– On dirait !
– Je peux m’en aller alors ?
– Oui, mais après avoir passé à la caisse.
– Je peux récupérer mes affaires ?
– C’est dans le placard, voulez-vous que je vous aide ?
– Ça devrait aller, je n’ai pas grand-chose… Ah mon spacephone ? Il est où ?.
– Ça monsieur, je ne peux pas vous dire !
– Il a dû rester à l’hôtel…
A la caisse c’est l’embrouille….
– Mais comment voulez-vous que je vous règle ? Je ne sais pas où j’ai laissé mon spacephone…
– Laissez-moi un objet en gage…
– Quel objet ?
– Ce bracelet n’a pas l’air mal du tout !
– J’y tiens, c’est ma grand-mère qui me l’a offert.
– On vous le rendra quand vous aurez de quoi nous payer !
– Vous n’avez donc aucun scrupule !
– Non, monsieur, aucun !
Il se rendit donc à l’Hôtel du cygne.
– J’ai dû oublier mon portable dans ma chambre.
– On ne nous a rien signalé de tel, monsieur ! Répondit le préposé à l’accueil.
– Le Capitaine Béchima est-il toujours là ?
– Oh, non monsieur, il est parti…
– Il aurait pu m’attendre !
– Il n’a sans doute pas pu, monsieur !
Le fait de perdre son spacephone n’est pas catastrophique en soi, on peut en acheter un autre et un code secret permet de rapatrier les données. Mais pour acheter un spacephone, il faut des sous, et on règle soit avec… un spacephone, soit avec du fiduciaire… encore faut-il en avoir !
Ce n’est pas toujours simple la vie en ces temps futurs !
Il a l’idée de se renseigner à l’astroport (sans trop savoir pourquoi d’ailleurs) Et là il apprend que le Tamanoir a explosé et que Béchima, son capitaine a pris l’espace avec un autre vaisseau.
Autre idée, retrouver Sambariz, son homme de main, ici… Il ne risque pas de le retrouver, les lecteurs le savent bien… mais Schmidt ne le sait pas. Il écume les endroits où il pourrait se retrouver, mais finit par se faire remarquer. Il ignore bien sûr que la Mafia a lancé un avis de recherche le concernant.
Et c’est ainsi qu’après que deux mafieux bien costauds l’aient exfiltré d’un bistrot où il posait trop de questions, il se retrouve ligoté sur une chaise à la Madrague devant le bourgmestre et parrain de la mafia locale, Roger Montesinos et son inévitable âme damnée, Bret Quinto.
– Mais c’est une erreur ! Laissez-moi tranquille !
– On sait que tu as commandité trois meurtres…
– Mais pas du tout !
– Je vais te raconter un truc, ton tueur à gages, le dénommé Sambariz était là l’autre jour sur la même chaise, à chaque fois qu’il nous racontait un mensonge on lui coupait un doigt. On lui en a coupé combien, monsieur Quinto ?
– Oh, je ne me souviens plus !
Il devient blême, Schmidt !
– Alors reconnais-tu avoir commandité les meurtres de … (il sort un papier de sa poche) Zubin Riddick, Stal Salim et Xiao Wang.
– Je n’ai fait qu’obéir aux ordres !
– De qui ?
– De mon capitaine, Rutger Béchima !
– Et il est où en ce moment ?
– Il a quitté la planète ! Non, non qu’est-ce que vous faites ? Arrêtez !
L’un des mafieux lui coupe l’index de la main droite. Schmidt hurle et pisse le sang.
– Une compresse s’il vous plait ! Ton capitaine n’a pas pu quitter la planète puisque son vaisseau a explosé sans crier gare !
– Mais il a décollé avec un autre vaisseau ! Renseignez-vous à la capitainerie, vous verrez que je ne mens pas.
Et c’est exactement ce que fait Quinto…
– Il a raison ! Finit par dire ce dernier
– On n’a rien pour recoller ton doigt, faudra faire avec ! Et pourquoi avoir éliminé ces trois personnes ?
– Disons qu’on a accompli une mission pas très régulière et que si elle s’ébruitait on risquait gros. Ces trois personnes en savaient trop.
– Et on peut savoir ce qu’est cette mission pas très régulière?
Schmidt hésite puis se dit qu’il n’a plus rien à perdre.
– Il s’agissait de ravitailler une planète esclavagiste.
– Hum ! Conduisez-moi ce connard à la presqu’ile il va retrouver son tueur à gages, ça lui fera de la compagnie.
Eh non il ne risque pas de retrouver Sambariz dont le cadavre pourrit dans un ravin de la jungle, mais ça, la Mafia l’ignore.
N’étant pas un familier de Vargala, Schmidt ne sait rien de cette presqu’ile des exclus. Une barge l’a déposé en lisière de l’épaisse forêt et il est là tel une poule devant un couteau, désemparé et un doigt en moins.
Il se demande comment survivre en un tel endroit et faute d’autre idée, il pénètre sous les arbres. Mais plus il avance, plus l’exubérance de la végétation et l’impossibilité de s’orienter finissent de lui saper le moral. Il veut rebrousser chemin, mais n’y parvient pas se rendant compte qu’il s’est bel et bien perdu. Le constat est terrible : il est prisonnier de cette maudite forêt.
Il s’assoit sur une souche, en proie à un profond désespoir. Tous ses sens sont en éveil et il lui semble entendre un bruit de jaillissement.
– De l’eau ? Une source ? Au moins je ne mourrais pas de soif…
Il avance difficilement vers l’origine du bruit…
Une clairière, Une source. Une petite mare… Des femmes s’y baignent… quatre femmes… à poil !
– Oh ! T’es qui, toi ? Demande Zorah.
– Schmidt ! Je suis perdu.
Kali est sortie discrètement de l’eau et se saisissant de son arc tient l’homme en joue.
– Jette ton arme !
– Mais je n’ai pas d’armes.
– J’ai pas confiance, fous toi à poil !
– Mais…
– Dépêche-toi ou je te balance une flèche dans les cuisses.
Tel un zombi, Schmidt s’exécute.
– T’as pas d’armes, t’es un exclu alors ?
– Mais j’en sais rien, j’y connais rien, je ne suis pas de cette planète.
– Je suppose que tu as fait une connerie ?
– C’est une erreur judicaire…
– Mais oui, c’est ça. A vrai dire on s’en fout, on va t’indiquer le chemin pour rejoindre le camp principal, mais on ne veut plus te voir dans nos pattes, t’as compris ?
– C’est quoi le camp principal ?²
– C’est là où sont tous ceux qui ont été bannis de la cité. Allez rhabille-toi, on va t’indiquer la bonne direction.
– Vous n’avez rien à manger ?
– Et puis quoi encore ? Bon allez, on va te filer un truc, on est pas méchantes.
– Mais vous, vous êtes qui ?
– Peu importe.
Et Schmidt se dirigea vers le camp principal et plus personne n’entendit parler de lui.
Tout le monde a repris ses activités. Ozawa a eu de la chance et a trouvé un poste de navigateur sur un gros cargo de transport régulier.
Il me fallait maintenant que j’étais de retour sur Vargala tenir la promesse que j’avais faite aux filles de la forêt.
On a fait simple on s’est réparti les quatre filles restantes dans les établissements tenus par Dyane, Dilos et Nadget.
– Voilà, on va vous fournir des fringues et un peu de monnaie pour vous acheter des spacephones et pouvoir vous retourner. Vous allez devoir rester tranquille pendant disons deux semaines, le temps de voir si la mafia va réagir, ensuite vous ferez ce que vous voudrez.
Et le lendemain Shella vint me voir.
– J’ai discuté avec les filles, on voudrait te remercier pour ce que tu as fait pour nous et organiser une petite fête… On peut faire ça où ?
– Euh, c’est gentil… Chez moi, il y a de la place…
– Invite qui tu veux, plus on est de fous… On fait ça demain soir ?
– Pourquoi pas ?
Alors on fait le compte, elles sont sept, Zorah et sa fille Kali, Sheila, Antinéa, Vidia mais aussi Minerva et Honney que l’on a pas encore croisé. Dans l’hypothèse (fort vraisemblable) où la fête tourne à l’orgie, comment voulez-vous que j’assure ? Je ne suis pas super biroute ! J’ai donc demandé à Nerren et à Dilos de se joindre à nous.
On fait les présentations. A l’exception de Sheila les filles ne connaissaient ni Nerren ni Dilos.
Ces charmantes demoiselles se sont cotisées pour m’acheter un petit cadeau souvenir, un ceinturon en cuir de boujnik avec leur sept prénoms gravés. Ça m’a touché !
J’ai acheté des petits fours (eh oui on sait faire ça aussi sur Vargala !) du watchibole et du Champagne, que l’on le débouche, on remplit les coupes, on trinque, on picole… (mais raisonnablement)
« Bon ! S’impatiente le lecteur, on est sur un site d’histoires érotique, non ? Alors l’érotisme c’est pour quand ? »
C’est pour maintenant…
– Cette fête, si on la faisait un peu coquine ? Suggère Sheila d’un air égrillard.
– Vous êtes d’accord, messieurs ? Ajoute Vidia qui s’approche de Dilos en se tortillant de façon très suggestive.
– Bien sûr qu’on est d’accord ! Répond ce dernier.
Encouragée, Vidia débraguette Dilos qui se laisse faire comme un nounours.
– Les filles j’ai trouvé une bite ! S’exclame-t-elle, rigolarde, en prenant soin de masturber la chose afin qu’elle bande bien comme il faut.
– Garde la pas pour toi toute seule ! Intervient Antinéa qui rejoint sa collègue afin de tripoter, elle aussi cette jolie biroute.
– Mais elles sont déchaînées ! Ne peut s’empêcher de faire remarquer à haute voix, Nerren.
– Encore plus que tu ne le crois ! Répondent en chœur Kali et Sheila qui s’approchent subrepticement de lui et faisant fi de ses fausses protestations, envoient son pantalon et son caleçon sur ses chevilles.
Le voilà cul nu et bite à l’air ! Et il est immédiatement entouré, sa bite dans la bouche pulpeuse de la belle Sheila, tandis que Kali lui prodigue une feuille de rose très humectée préalable à l’intromission d’un doigt dans son cul. Voilà qui tombe bien pour Nerren qui adore le plaisir anal.
Il y a quand même quelque chose qui cloche. Toutes ces joyeuses turpitudes se déroulent alors que les filles sont encore parées de leurs nouvelles fringues. C’est Zorah qui doit les remettre dans le « droit chemin »
– Mais enfin les filles, si on veut faire la fête ils faut le faire décontracté ! Voulez-vous vous mettre toutes à poil… et plus vite que ça… et je suis certaine que ça plaire à ces messieurs…
Zorah donne l’exemple en dévoilant son corps de belle mature, les autres filles répondent à la suggestion de leur ainée en faisant voltiger leurs fringues. Et bientôt c’est une véritable pluie de soutien-gorge et de petites culottes qui s’abat dans mon appartement. Quant à nous les mecs, on ne va pas rester habillés non plus, il n’y a pas de raison…
C’est vrai que c’est bien mieux comme ça. Tout le monde est maintenant à poil y compris Minerva et Honney qui semblent d’indécrottables lesbiennes et qui se bécotent en se caressant les nichons. Elles n’aiment peut-être pas les bites, ce sont des choses qui arrivent et c’est parfaitement leur droit !
Il ne reste donc que Zorah de disponible, on se rapprochent et on s’embrasse. Elle a toujours eu un faible pour moi et pour ma part j’adore lui lécher ses jolis nénés.
On se caresse, on se tripote, je lui lèche la chatte, elle me suce la bite… Puisqu’on vous dit que c’est la fête…
Dilos a fort à faire avec ses deux partenaires qui réclament tout deux d’être baisées. C’est donc ce qu’il fait alternativement. C’est qu’il est endurant Dilos ! Et pendant qu’il en baise une l’autre vient taquiner de sa bouche les seins de sa copine. C’est beau la solidarité féminine !
– Je veux que tu m’encules ! Me dit Zorah.
On ne saurait refuser de sodomiser une femme qui en fait la demande ! N’est-ce pas ?
Elle se retourne et m’exhibe son magnifique postérieur dont j’écarte les globes afin de redécouvrir son bel anus brun en forme d’étoile de mer. (en forçant un peu l’imagination tout de même !).
Bien évidemment je ne peux m’empêcher de lécher ce petit coin de paradis au petit goût si particulier. Je m’amuse ensuite à lui planter un doigt et à le faire gigotter.
– Le doigt c’est bien, mais j’aimerais bien ta bite ! Proteste-t-elle mollement.
Si on peut plus s’amuser… Mais bon si elle veut qu’on l’encule, on va l’enculer… J’avance mon gland à la hauteur de son trou du cul… Un coup de rein ! Et hop j’ai ma bite dans son fion et je la pilonne en cadence.
Pas très loin de nous, Sheila a fait coucher Nerren sur le sol et s’est empalée sur sa bite qu’elle chevauche telle une écuyère de cirque.
Du coup, Kali rendue libre vient narguer sa mère..
– Dis donc, maman tu n’en a pas marre de te faire enculer comme la dernière des salopes !
– Oh, non, c’est trop bon ! Viens me lécher mes bouts de seins pendant qu’il me défonce. le cul
– Mais bien sûr, ma maman chérie.
Et pendant que Zorah hurlait de plaisir, j’ai joui dans son fion et c’est sa propre fille qui a eu le privilège de me nettoyer la bite. Pas vache la maman s’occupa ensuite de la petite chatte de sa fille pour lui rendre le plaisir auquel elle avait droit !
Nerren n’a pas pu résister longtemps à la chevauchée fantastique de Sheila et à joui à son tour, laissant sa partenaire à moitié groggy.
Quant à Dilos, après avoir fait jouir ses deux donzelles, il éclata à son tour avant de s’avachir dans un de mes fauteuils en soufflant comme un bœuf.
Tour le monde a donc joui y compris les deux goudous qui sont tellement collées l’une contre l’autre que l’on dirait des sœurs siamoises.
Fin de la partouze ? Je n’ai pas l’impression, on va dire alors fin de la première mi-temps, on récupère tant bien que mal en buvant des coupes, en blaguant et en se caressant en mode soft.
Un bon quart d’heure plus tard, la forme semblait revenir et je décidais de faire un peu de provocation en m’approchant des deux goudous.
– Alors, les filles, tout va bien ?
– Mais bien sûr capitaine, on aime bien faire la fête !
– Oui, mais vous restez à l’écart !
– On ne reste pas à l’écart on profite du champagne, du watchibole et des petits gâteaux !
– Allons ,allons, vous voyez très bien ce que je veux dire !
– Certes ! Mais on ne voudrais pas vous choquer, vous avez été si gentil avec nous.
– Je ne comprends pas…
– Mais si ! C’était notre métier de sucer des bites et ça va probablement le redevenir… On n’a rien contre mais dans le privé, je préfère la chatte de ma copine ! M’explique Minerva.
– Mais, intervient Honney, si vous souhaitez qu’on fasse des choses avec vous, ce ne sera pas une corvée, mais ça nous embêterait que ce soit une obligation.
– Personne ne vous oblige à quoi que ce soit !
– Dans ce cas on peut faire un effort, qu’en penses-tu Minerva ?
– Allons-y !
Et l’instant suivant, Honney avait ma bite dans sa bouche, tandis que Minerva me gobait les couilles.
De son côté Dilos était sollicité par trois femmes, Zorah et sa fille Kali ainsi que Sheila.. Comment va-t-il s’en sortir avec ses trois diablesses ?
C’est tout d’abord très soft, caresses, baisers, puis la chose s’enhardit, mains sur la bite et sur les fesses. Dilos n’est pas véritablement amateur de choses anales mais il est assez gentlemen pour ne pas refuser ce que veulent lui offrir ces demoiselles, Le voilà donc avec un doigt dans le cul, tandis qu’une bouche s’est emparée de sa bite et qu’une main fort coquine vient lui presser les tétons afin de maintenir son excitation à un bon niveau.
Mais pour la suite, on fait comment ? Apparemment elles ont toutes trois envie de se faire baiser
– Prends-moi ! lui dit Kali
Puisque c’est la première à demander…
Il la couche sur le bord de la table, les jambes pendantes et la pénètre vaillamment. Tandis que pour faire bonne figure, sa mère d’un côté, Sheila de l’autre, lui lèchent les seins.
– Vidia et Antinéa ont accaparé Nerren et comme il leur a fait comprendre qu’il n’était pas avare de doigts dans le cul, elles s’en donnent à cœur joie en rigolant comme des bossues. L’une le doigte, l’autre le suce et on alterne…
Bref, c’est l’orgie et je ne voudrais pas que le récit devienne ni trop confus (il l’est déjà pas mal avec tout ce monde) ni répétitif. Donc on abrège un peu… Et vous allez vous dire que c’est fini ! Ben non parce qu’après les rafraichissements, le champagne, le watchibole et les petits fours, il y a encore du temps pour une troisième mi-temps !
Parce que si on est un peu exténué, du moins je parle pour les hommes, nous n’avons pas envie de nous séparer, pas encore…
Alors pendant ce second entracte ponctuée de plaisanteries diverses, et de gentils câlins tout en faisant honneur au buffet et à ses boissons, j’aperçois Sheila et Zorah se marrer comme des clés à molette qui descendent des escaliers après s’être chuchotées des trucs inaudibles
Et voici Zorah qui m’attrape par la main, me fait lever de mon siège et m’entraine dans une folle farandole à laquelle tout le monde participe.
Ça devient n’importe quoi, on fait plusieurs fois le tour de la pièce en chantant des trucs graveleux datant de mes années étudiantes
Et voilà que Sheila qui était en tête de farandole stoppe sa marche en criant :
– Un gage pour le capitaine ! Un gage pour le capitaine !
Un gage ? Mais pourquoi un gag ? Quelque chose m’aurait échappé ?
– Au milieu pour le gage ! Me dit Zorah !
Je n’y comprends rien mais comme vous le savez, je suis très joueur, c’est mon côté gamin, donc je m’exécute.
– Le gage, m’annonce Sheila, c’est que tu dois sucer la bite de Nerren.
– Et si tu le fais correctement, Nerren aura le droit de t’enculer ! Ajoute Zorah.
Si elles s’imaginent que ça va être une corvée… Mais je crois comprendre. Sheila m’a regardé accomplir ce genre de choses lors des deux dernières partouzes… et elle veut que ses copines profitent elles aussi du spectacle ! Soit !
Nerren hésite (à mon avis il fait semblant d’hésiter) puis me rejoint au milieu du petit cercle formée par ces demoiselles et se plante devant moi, la bite demi-molle.
Il va donc falloir en préambule remédier à cet état de fait..
Quelques mouvements de branle, tandis que mon index gauche vient lui ramoner le trou de balle ont tôt fait de remettre sa biroute en situation optimale.
Y’a plus qu’à sucer ! Comme disait une ancienne star du porno.
Et c’est ce que je fais; j’adore faire ça ! D’autant que sa bite est douce et bonne, je le lèche, je fais des va-et-vient intempestifs, je donne des petits coups de langues sur les couilles, Bref toutes les figures de circonstances.
Ces dames y vont de leur réflexions salaces :
– Qu’est-ce qu’il suce bien, ce cochon !
– Pas tant que ça, il ne la met pas entière dans sa bouche !
Ben non, je suis désolé mais je n’ai pas pris des cours d’avaleur de sabre !
– Tends ton cul, maintenant, il va te prendre ! Me dit l’une des filles.
Déjà ! Moi j’aurais bien sucer encore un peu ! Mais comme j’ai l’impression que je ne suis plus maître du jeu…
Je me met en levrette et attend l’assaut.
Nerren fait durer le plaisir et commence par m’honorer d’une savante feuille rose qui me fait frétiller l’anus.
Puis je sens le gland qui quémande le passage, je l’aide en m’efforçant de m’ouvrir au maximum. Ça passe qu’un seul coup d’un seul et les allers et venues commencent, me procurant des sensations inouïes.
Le chœur des filles se met alors à entonner une antienne antique.
– Il est des nôtres, il se fait enculer comme les autres.
C’est malin !
Ça dure un moment, forcément mon enculeur a déjà joui deux fois… mais qu’importe, en la matière la durée n’est pas un inconvénient… au contraire. Et moi je me sens bien.
Nerren finit par jouir, ce n’est pas la super jouissance, mais bon, il a fait ce qu’il pouvait.
Sa bite ressort gluante de sperme et tachée de traces de matière fécale, c’est Sheila qui vient lui nettoyer tout ça en se léchant les babines.
Moi, je me redresse avec le cul légèrement douloureux.
– Bon les filles, maintenant je pourrais peut-être savoir pourquoi j’ai eu un gage ?
– Parce que c’était mon bon vouloir ! Me répond doctement Zorah.
Evidement vu comme ça…
On se rassoit, on finit ce qu’il y a boire et à manger.
Nerren proteste de plus pouvoir se resservir du champagne.
– Elle est où ta réserve ! Me demande-t-il
– Pas la peine je vais t’offrir le mien de Champagne, propose alors Vidia qui joignant le geste à la parole, attrape une coupe vide et pisse allégrement dedans.
Il a tout bu, le coquin…
Puis je prends la parole, j’ai décidé de faire ma B.A.
– Les filles, j’ai une idée, il y a un petit bistrot qui est en vente. Je peux vous prêter de l’argent pour l’acheter, l’avocate s’occupera de la paperasse.
Elle viennent toutes me faire la bise, c’en est émouvant.
– Et comment on va l’appeler ce bistrot ? Demande Kali.
– Pourquoi pas la Farandole ? Lui répond Sheila.
Maître Maude Hansson est passée me faire une petite visite.
– Bonjour, tu m’offres un café ?
– Avec plaisir !
– J’ai rencontré la cheffe de la police, je lui ai fait part de mes intentions, elle a trouvé que c’était une bonne idée mais elle m’a conseillé d’étendre mon activité, la demande en assistanat juridique lui semblant faible ici. Je ne sais pas trop quoi faire ! T’as une idée toi ?
– J’aimerais que tu t’occupes de la paperasse pour le bistrot des filles (je lui explique…). C’est moi qui te rétribuerai.
– D’accord ,et pour la suite ?
– Là tout de suite j’ai pas trop d’idées, mais faudrait que je réfléchisse…
– Et si je te mets la main là, ça va t’aider à réfléchir.
– Mais veux-tu laisser ma bite tranquille !
Fin de l’épisode
Cette fois la partouze finale n’a pas lieu dans l’espace ais sur la terre ferme. Mais qu’importe le lieu pourvu que la baise soit bonne !