Chanette 34 – Le cas Jérôme – 1 – La soumission de Jerôme

Ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures (comme c’est dommage !) ignorent donc qui je suis. J’exerce le métier de dominatrice professionnelle… (ben oui, c’est un métier !) Je me prénomme Christine D (Chanette, c’est pour mes clients et quelques très rares intimes), j’ai, disons entre 30 et 40 ans, suis mariée avec un homme de moins en moins présent. Taille moyenne, peau mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde, pas mal foutue (et modeste avec ça !). Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant de la domination. Allez, c’est parti !
Ce jour-là, j’avais dominé un nouveau, prénommé Norbert en lui infligeant des tas de petites misères. Au bout d’une demi-heure il avait le cul tout rouge, les tétons et les couilles douloureuses. On aurait pu en rester là mais il m’avait payé pour deux heures (il y en a toujours qui ne se rende pas compte que deux heures de domination, ça peut être éprouvant. Je décide donc de le mettre en stand bye en l’attachant après ma croix de Saint André…
Je suis en guêpière, sans soutif, sans culotte mais avec des bas résilles auto-fixants
On sonne, c’est mon rendez-vous de 15 heures. Un autre nouveau… Je me revêts d’un joli petit kimono à fleurs et m’en vais ouvrir.
– Bonjour maîtresse, je suis Jérôme.
Faut voir comment le mec me regarde, c’en est presque gênant. Je me dis que je vais lui passer l’envie de me reluquer ainsi. Non mais dès fois !
Un coup d’œil sur le bonhomme. Chaussures de marque, costume sur mesure, Rolex au poignet, le mec pue le fric. Il n’est ni beau, ni moche, juste quelconque, désespérément quelconque.
– Tu me dis ce que tu veux ?
– Vous pouvez me faire tout ce vous voulez, j’accepte tout, je suis très soumis.
– Tortures, humiliations ?
– Tout !
– Alors tu me donnes mon petit cadeau et tu te fous à poil.
– Le cadeau ?
C’est un cave ou quoi ?
– Ben les sous, quoi !
– Bien sûr ! Où avais-je la tête ? Je suis un misérable, je mérite une bonne punition.
– C’est prévu !
Il sort de son portefeuille le montant de la passe, juste le montant, pas une roupie supplémentaire…
Je me retourne pour enlever mon kimono et me passe un soutien-gorge. Les seins c’est du bonus, il les verra plus tard… ou il ne les verra pas…
– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?
– Non, non, j’avais mes habitudes chez l’une de vos collègues, malheureusement elle n’exerce plus. J’ai voulu garder le contact, mais ça ne s’est pas fait.
– D’accord, alors ça y est, t’es à poil ?
– Ben oui !
– Et les chaussettes ?
– Oh pardon, je vais les retirer.
– Ta montre aussi… Bouges pas, je reviens.
Je vais chercher un collier de chien muni d’une laisse, que je lui passe autour du cou, puis j’emmène le type dans mon donjon.
Et c’est là qu’il découvre Norbert…
– Oh !
– Un problème ?
– C’est-à-dire… ce monsieur…
– Quoi « ce monsieur » ?
– Il est là à quel titre ?
– C’est un soumis, comme toi ! Ça te pose un problème ?
– Disons que c’est pour le moins imprévu.
– Bon écoute pépère ! Un : je suis encore libre de faire ce que je veux chez moi ! Deux : si vraiment la vue de cet esclave t’indispose, je peux le foutre en cage et poser une bâche par-dessus. Seulement il me semble que tu m’avais dit tout à l’heure que tu acceptais tout ! Alors faudrait savoir !
Le type me regarde d’un drôle d’air avant de me sortir :
– Vous avez raison maîtresse, c’est très humiliant de se faire dominer en présence d’un autre soumis ! Je mérite une bonne punition pour avoir objecté.
– Ben voilà !
Je commence de façon classique en lui accrochant des pinces sur les tétons, reliées par une chainette. Puis pour faire bonne mesure j’ajoute des poids.
– Ça te fait bander, on dirait !
– Oui, maitresse, c’est bon maîtresse !
– Tu sais que c’est un truc de pédé ?
La tronche qu’il me fait !
– Dis le moi que tu es un peu pédé !
– Non, non…
– Pardon ? J’ai mal entendu ?
– Si, si je suis un peu pédé, maîtresse !
– Ah je savais bien, tout à l’heure je te ferais sucer de la bite !
En fait il se demande si je bluffe ou pas. Il est en pleine confusion mentale ! Qu’est-ce que je me marre !
J’accroche deux autres pinces, sur ses testicules cette fois, et je serre un lacet à la base de la verge.
Sa bite bande joliment, je lui envoie quelques pichenettes, il n’aime pas ça ! Tant mieux.
– Et maintenant, à genoux esclave ! Et ouvre la bouche !
Je lui crache dabs la bouche plusieurs fois de suite. Il avale sans broncher.
– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci maîtresse.
– C’est un avant-gout ! Tout à l’heure tu boiras ma pisse !
– Oui, maîtresse !
Je me retourne et lui présente mon cul.
– Lèche moi l’anus !
Il ne se fait pas prier et vient me foutre sa langue dans le trou du cul.
– J’espère que tu te régales, il a quel goût, mon cul ?
Il ne répond pas, il doit se demander quelle réponse j’attends.
– Hé ! Je te cause !
– Il sent un peu fort ! finit-il par dire.
– Mais il sent quoi ?
Visiblement je l’embarrasse.
– Heu comme un léger goût de caca !
– Et tu aimes ?
– Oui maîtresse !
– Alors continue à me lécher mon cul plein de merde, je veux sentit ta langue dans mon trou, t’as compris, esclave ?
– Oui, maîtresse !
– T’aimerais que je te chie dessus ?
– Oui maîtresse !
Il me dit qu’il aime la scato, mais il n’apprécie pas trop la présence d’un autre soumis. Je vous dit, j’ai une clientèle très variée.
– Bon mais pas de bol, je ne fais pas ça n’importe quand ! En attédiant tourne-toi que je m’occupe de ton petit cul de pédé !
M’étant saisi d’une cravache, je fouette le cul du soumis. On m’a déjà dit que j’étais une bonne fouetteuse, je m’efforce de varier les coups, des forts, des moins forts… je varie également les intervalles entre chaque coup, je peux donner deux frappes dans la foulée puis attendre plusieurs secondes avant de balancer le suivant. Cette façon de faire empêche le soumis d’anticiper les coups.
Au bout d’un moment, le Jérôme à le cul rouge comme une écrevisse. J’arrête les frais.
– On se tourne, je n’ai pas fini de m’occuper de ton cul, mais on va faire autre chose.
Je m’harnache d’un gode ceinture très réaliste et le nargue.
– A ton avis, qu’est-ce qu’il va t’arriver ?
– Vous allez me sodomiser avec, maîtresse !
– On n’est pas chez le sexologue, moi je ne sodomise pas, j’encule !
– Oui maîtresse.
– Mais avant tu vas le sucer !
– Ah non !
Il n’a pas vu venir la gifle.
– Tu disais quoi ?
– Pardon maitresse !
– Je suppose que tu trouves ça humiliant, ben justement. Allez suce, connard !
Faut voir comment il suce, il fait n’importe quoi.
– Où est-ce que tu appris à sucer ? T’es vraiment minable.
– Je n’ai pas l’habitude, maîtresse !
– Eh ben ça se voit ! Viens par ici, je vais te montrer comment on suce.
A l’aide de la laisse je l’entraine jusque devant la croix de Saint André sur laquelle Norbert est resté bien sage. Je lui pince ses tétons afin de le faire bander… ça marche… quelques mouvements de masturbation pour rendre la chose encore plus raide. Et hop j’embouche la bite du Norbert.
Il est plutôt rare que je suce mes soumis, mais il y a des jours comme ça où j’ai l’humeur primesautière.
Je lèche à grand coups de langue, je suce en pratiquant de profonds va-et-vient. Il n’en revient pas le Norbert… Mais le but n’est pas de le faire jouir, je lâche sa bite et me tourne vers Jérôme !
– A ton tour maintenant !
Il n’est pas complétement con et devait s’attendre à cet ordre. Il semble hésiter. Si vraiment il refuse, je n’insisterais pas (mais je ne vais pas lui dire…)
– Tu voulais de l’humiliation, non ? Eh bien vas-y !
Il laisse passer quelques secondes, reprend sa respiration, puis approche son visage de la bite, ouvre la bouche et se met à sucer.
– Attention à tes dents et le fait pas jouir.
Il suce pendant quelques courtes minutes puis se tourne vers moi avec une mine de chien battu.
– Oh, maîtresse ! Quelle humiliation vous venez de me faire subir !
– C’est ce que tu voulais non ? Maintenant tu es un suceur de bites…. Dis-le que tu es un suceur de bites !
– Je suis un suceur de bites, maîtresse !
– Et tu sais ce qu’ils font aussi les suceurs de bites ?
– Pitié maîtresse !
– Pitié de quoi, je ne vais pas te tuer. Et puis ce n’est pas une réponse.
Il me regarde l’air complétement perdu, pendant que je détache Norbert à qui je tends une capote.
– En levrette, esclave, tu vas te faire enculer !
– Oh, maîtresse c’est la pire des humiliations !
Et à ma grande surprise c’est sans rechigner qu’il se positionne dans la posture annoncée. Je lui badigeonne le trou de balle avec du gel, puis fais signe à Norbert d’y aller.
Un peu de mal à rentrer, monsieur est serré, mais ça finit par le faire.
– Warf !
– Laisse-toi faire, esclave !
Norbert semble avoir du mal à maintenir son érection, aussi dois-je passe derrière lui afin de lui serrer les tétons, ça aide !
Je peux me débarrasser de mon gode ceinture, je n’en ai pas eu énormément besoin. Je mets fin au délire et demande à mes deux soumis de s’allonger sur le sol, bouche ouverte. Et c’est d’abondance que je leur pisse dessus.
Je demande à Jérôme de se branler à fond. Quant à Norbert je vais le garder encore une demi-heure.
– Je peux aller faire pipi, maîtresse ! Me demande ce dernier.
– Oui, mais tu aurais dû me le dire avant je t’aurais fait pisser sur l’autre soumis
– Voilà c’est fini ! Ça t’a plus ! Demandais-je à Jérôme
– Oui, maîtresse !
– La séance est finie, tu n’as plus besoin de m’appeler maîtresse.
– J’aimerais qu’on discute un quart d’heure autour d’un pot, c’est possible ? Me demande-t-il en se rhabillant.
– J’attends du monde, mais si ce que tu veux me dire n’excède pas cinq minutes, je t’écoute.
– En cinq minutes, ça va être juste… si je vous invitais au restaurant ?
– Je ne vais jamais au restaurant avec mes clients.
Pourquoi ? Me demanderez-vous ? Tout simplement parce que ça ne m’apporte rien, Toute la durée d’un repas avec en face de moi un type qui me parle de trucs dont je n’ai rien à foutre est pour moi le pire des supplices. Cela dit toute règle à ses exceptions, mais ce Jérôme ne rentre pas dans le champ de mes exceptions.
– Alors juste un café quand vous aurez terminé votre journée, je vous promets que ça ne durera pas plus qu’un quart d’heure…
Si vraiment ça ne dure pas plus de quinze minutes, ça ne va pas me tuer, j’ai donc accepté.
A suivre
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Maîtresse Chanette je n’ai pas été très sage ces temps-ci, je mérite une bonne punition/humiliation. Je crois que quelques coups de martinet sur les fesses me feraient le plus gran bien… et s’il y a une bite à sucer, je ne refuserai pas.
Hum, j’aime les esclaves soumis comme toi. Dommage que je ne sois plus en activité, je t’aurais poissé dessus et je t’aurais fait enculer par un autre soumis
Him ! Les domination de Came Chanette sont toujours un régal
Une petite domination de temps en temps, ça décompresse !