Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 6 – Sheila en partouze par Nicolas Solovionni

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 6 – Sheila en partouze par Nicolas Solovionni

Et nous voilà partis.

J’avais préalablement briefé Sheila sur l’une des joyeuses traditions du voyage interstellaire, celle consistant après le passage en hyperespace à fêter ça dignement et de façon très décontractée entre officiers autour d’un pot.

– Et alors, je ne suis pas officier à ce que je sache ! Me rétorque-t-elle
– Non, mais comme tu es sous ma protection, ça revient au même.
– Et tu es en train de me faire passer un message ? Si c’est ça je ne comprends pas bien…
– Parce que souvent ce genre de petites réunions tourne en orgie.
– Je vois ! Je faisais un métier où je pouvais refuser un partenaire ou une pratique. Et j’étais payée ! Est-ce que ce sera le cas ici ?
– Oui, sauf que tu ne seras pas payée !
– Donc personne ne me violera ?!
– Nous sommes des gens corrects, le sexe est une fête, pas un défouloir où les gens font n’importe quoi.
– Et si ça ne me convient pas ?
– Si ça ne te convient pas tu rejoindras ta cabine, personne ne t’en voudra.
– De toute façon ce ne sera pas ma première partouze, je verrais bien comment ça se passe !

Et ça, pour voir, elle a vu… On vous raconte.

On a commencé par le Champagne (on commence toujours par le Champagne !) et puis c’est toujours pareil, chacun attend le petit geste qui fera tout démarrer… et chacun veut que ça ne soit pas lui. On est bizarre parfois.

Mais voici que Yoyo, le chat du bord se prend d’affection pour Sheila et frotte son dos contre ses jambes, celle-ci se laisse faire.

– Tu aimes les chats, on dirait ! Lui lance Nerren.
– Oui, mais là c’est lui qui m’aime !
– Moi aussi j’aime bien les chats, mais je préfère les chattes ! Intervient Dilos.
– Ah, oui, et laquelle tu préfères ? Demande Dyane.
– La tienne bien sûr !
– Et qu’est-ce que tu voudrais lui faire ? La caresser ? La mienne adore les caresses.
– Les caresses ou les léchouilles ?
– Les deux ! Mais maintenant que tu m’as allumé avec tes bêtises, te voilà obligée d’aller jusqu’au bout.
– Comme si j’étais du genre à me dégonfler ?

Et Dyane retire son pantalon sous les encouragements de la petite assemblée.

– Et celui qui attrape ma petite culotte aura le droit de me taquiner la chatte.

Elle fait un geste de moulinet avec la culotte et soudain la lance en l’air provoquant la fuite du matou. Tout le monde lève les mains en haut et c’est Sheila qui l’attrape. En en étant la première étonnée.

– Viens ma grande, ça tombe bien… j’avais très envie que tu me lèches.

Sheila hésite quelques secondes avant de se lancer, elle s’approche de Dyane, se baisse entre ses cuisses et vient lui lécher l’abricot.

Avec cette petite coquinerie, si la partouze n’est pas lancée, c’est à désespérer du genre humain !

Nerren qui est comme qui dirait « à voile et à vapeur » s’approche de moi avec des intentions peu catholiques et plaque sa main sur ma braguette.

– Ça te fait bander, hein capitaine ? Me nargue-t-il gentiment.
– Tu sais bien que je bande souvent.
– On peut voir ?
– Ça doit être possible, oui ! Répondis-je en libérant la bête !

Je n’ai même pas le temps de la sortir complétement que déjà Nerren la prend en bouche et commence à me la sucer avec gourmandise.

Je ne sais pas si je suis réellement bisexuel, me foutant complétement des étiquettes, mais ce qui est vrai c’est que j’aime bien les bites. Et que dans ce genre de rapport je suis plutôt intéressé par le côté passif de la chose.

J’attends donc l’occasion de lui demander la réciprocité, mais je dois dire que pour le moment il me suce fort bien.

Un coup d’œil aux environs, Dyane allongée sur la petite banquette continue à se faire allégrement lécher la moule par la belle Sheila. Nadget que je n’ai pas vu se déshabiller se fait lécher les seins par Dilos lequel se tape une érection du tonnerre de Dieu ! Yoyo est revenu. Tout va bien !

Nerren continue à me fellationner (quel vilain mot !) mais en homme courtois il a tenu à me baisser mon pantalon et ma culotte, ce qui lui permet d’avoir accès à mes roubignoles.

Et voilà que je sens sa main s’aventurer en dessous de mes couilles. Nul besoin d’être grand clerc pour deviner ses intentions salaces… Et effectivement quelques instants plus tard j’avais son doigt dans le cul et il le gigottai joyeusement. Je ne vais pas me plaindre, j’adore ça…

N’empêche que j’aimerai bien le sucer à mon tour. Je lui demande, il est d’accord, il n’est pas si compliqué Nerren !

Et j’ai enfin sa belle bite dans ma bouche, inutile de préciser que je m’en régale ! Je suce avec gourmandise me régalant de ce gland au gout salé, de cette belle verge bien droite et ornée d’une impertinente veine bleue. Je suce, je suce et je bande.

– Tu veux que je t’encule ? Me demande-t-il (alors qu’il connait pertinemment ma réponse).

Je me mets en position et après m’avoir humecté le fion de sa langue, il me pénètre d’un coup sec. J’adore cette sensation de rempli qui me procure des frissons de plaisir .

Quant à Dilos il encule Nadget, la belle blackette. Je vous dis : tout va bien !

Nerren a fini par jouir dans mon cul en beuglant comme un cochon. Il ressort sa bite de mon cul, une bite pas très propre polluée de sperme et d’un peu d’autre chose aussi.

Il regarde autour de lui qui pourrait bien la lui nettoyer, mais tout le monde est occupé : Sheila et Dyane se sont mises en soixante-neuf et se sont lancées dans une partie de broute minette respectifs. Elles sont peu discrètes et leurs gémissements envahissent la pièce.

Du coup Nerren sort de la pièce suivi par Yoyo qui doit se figurer qu’on va lui servir du pâté.

C’est au tour de Dilos de jouir comme un malade et de quitter la pièce (on va finir par se croire au théâtre de boulevard si les entrées et sorties continuent à cette cadence !)

Du coup Nadget vient me voir et sans hésiter une seconde me gobe la bite. Mais quelle partouze mes amis ! Quelle partouze de folie !

Sheila et Dyane se sont fait jouir (peu discrètement) et après s’être échangé un gros bisou bien baveux, se dirigent vers la table et se resservent du champagne.

Nadget s’apercevant que Sheila est maintenant libre, me lâche la bite pour aller l’entreprendre…

– Je reviens ! A-t-elle le culot de me dire !

Mais enfin, ça ne se fait pas !

Je reste comme un con sur mon siège. Je vais finir par me branler tout seul si personne ne se décide à me rejoindre.

Dilos et Nerren reviennent avec la bite toute propre.

Dilos tente de s’immiscer dans le couple lesbien formé par Sheila et Nadget oubliant par là qu’on ne dérange pas deux femmes prenant leur plaisir ensemble. Il se fait donc rembarrer gentiment mais fermement et s’en va s’assoir auprès de Dyane après s’être versé un jus de fruit.

Il me faut préciser que Dilos a longtemps été le petit copain attitré de Dyane. Ce n’est plus le cas, il ne sont pas fâchés mais bon, les rapports ne sont plus les mêmes

Du coup Dyane qui s’était assoupie quelques instants se réveille et vient me voir !

– Alors Capitaine, on fait banquette ?
– Ce sont des choses qui arrive !
– Ne bouge pas, je vais faire un truc.!

Elle me branlotte quelques instants afin de me rendre la bite bien raide, puis vient s’empaler dessus. Super position pour moi puisque c’est la femme qui fait tout le boulot (ben quoi, j’ai bien le droit d’être feignant de temps en temps, non !)

Elle me chevauche ainsi plusieurs minutes avant de vouloir changer de trou ! Pas de souci, la voilà qui s’encule toute seule comme une grande fille ! Et histoire de maintenir ma bandaison elle me pinsouille mes tétons ! Quelle coquine !

Dyane se met à haleter rapidement tandis que le sang afflue sur son visage et au-dessus de ses seins. Elle va jouir, elle jouit ! Du coup moi qui ne bougeais quasiment pas, je me mets à donner quelques coups de rein pour libérer ma propre jouissance.

C’était bien ! On s’embrasse ! Et elle n’hésite pas à me nettoyer la bite. Chic, pas besoin de faire un arrêt-lavabo ! Par contre Dyane m’informe de son envie pressante.

– Ça te branche ? demande-t-elle
– Bien sûr !

Je m’allonge sur le sol, Dyane vient coller sa chatte sur ma bouche ouverte, puis ouvre les vannes. Elle procède en petits jets successifs afin que je m’étouffe pas et qu’on en mette pas partout.

Elle avait le pipi gouteux !

Sheila après avoir joui une nouvelle fois sous les coups de langue de Nadget, s’approche de Dilos et sans lui dire un mot lui tripote la queue… et deux minutes plus tard il la baisait.

– Allez on trinque !

On se remplit nos verres, on se rhabille, je passe un coup de serpillère.

Il faut bien savoir terminer une partouze, si on veut recommencer… Disait Lao Tseu. (à moins que ce soit un autre…)

Louzia3 n’est pas si loin et après un voyage de quinze jours sans histoire nous y atterrissions.

A suivre

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Une réponse à Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 6 – Sheila en partouze par Nicolas Solovionni

  1. Forestier dit :

    Les partouzes spatiales de l’ami Solovionni sont toujours un régal

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