Enquête sur une orgie meurtrière 7 – Le pied de la masseuse. par Sade_1

Enquête sur une orgie meurtrière
Partie 7 : Le pied de la masseuse.
par Sade_1

Le lendemain, les deux filles furent réveillées par un homme qui entra dans la pièce, le petit déjeuner sur un plateau. Il les dévisagea d’un air dégoûté, puis sortit en marmonnant :

– Sales gouines.

Anaïs se leva aussitôt, prête à faire demander des excuses à l’homme pour ces propos, Morgane la retient :

– Laisse-le, il est jaloux.

Elle ne réussit à retenir sa compagne que par le pouvoir d’un baiser. Les deux inspectrices avaient la bouche pâteuse, avec la mauvaise haleine qui suit une mauvaise nuit et un profond parfum de mouille qui perdurait. Cela retient quand même la jolie blonde.

– Je me demande pourquoi ce n’était pas Clara, s’inquiéta Morgane.
– Peut-être qu’elle a pris sa journée, fit Anaïs qui embrassaient les deux magnifiques seins de sa collègue.
– Oui, tu dois avoir raison.

Les deux inspectrices finirent tout de même par se lever. Apres un bref petit déjeuner, elles sortirent. Anaïs fila au salon de massage et Morgane inspecter le premier étage. Cette dernière réussit à en faire le tour. Ce n’était qu’un long couloir où défilaient des prostituées. Au bout, un petit escalier montait à l’étage supérieur. Une jolie femme en gardait l’entrée. Morgane, ne voulant pas attirer l’attention sur elle, ne tenta pas de forcer le passage de peur d’être renvoyée. Elle abandonna, après quelques essais inutiles, de séduire la gardienne, afin de lui soutirer des informations. Celle-ci, une jolie asiatique, un peu maigre mais aux longs cheveux noirs raides teintes de pointes rousses. Elle avait un beau visage euro-asiatique, ses parents ne devaient pas tous deux être asiatiques. Morgane redescendit. Les deux enquêtrices se retrouvèrent pour déjeuner.

– Tu me laisses la chambre, cet après midi. Je vais m’occuper de …
– Tu vas travailler, finit Morgane.

Elle savait qu’Anaïs s’en voulait de sortir avec la masseuse. La fidélité entre elle et Marianne était très forte. A chaque fois qu’elle jouait de son corps pour son métier, Anaïs en souffrait, alors autant que possible lui faire oublier ce qu’elle faisait préoccuper Morgane. Elle aussi, était liée à sa copine, mais elles s’étaient laissées autant de liberté que possible. Sophie lui avait dit que si une relation devait s’établir entre elles, à longue durée, elle voulait garder ses libertés. Morgane avait accepté mais n’avait jamais couché avec une autre femme depuis qu’elle était liée à Sophie. Pourtant, certains soirs quand cette dernière rentrait, elle avait l’odeur d’une autre femme et elle lui racontait ce qu’elle avait fait. Cela l’avait gênée au début, puis elle s’y était faite. Elle n’était même pas jalouse, sa copine n’appartenaient à ces femmes qu’un soir, elle l’avait tous les jours. Aujourd’hui, elle pouvait profiter de cette liberté, et elle se faisait plaisir, sans être infidèle à Sophie. Leur relation était amoureuse, celle qu’elle avait eue avec Clara n’était que sexuelle.

– Oui voilà, recueillir un témoignage
– Essaie de savoir ce qu’elle sait sur les prostituées.
– Je saurais, ne t’inquiètes pas.
– Et sur ce qu’il y a au deuxième étage. Il y a une gardienne qui garde, je ne sais quoi et j’aimerai bien savoir.
– Je te dirai ce que je peux lui soutirer.

Les deux jeunes femmes finirent leur repas et se séparèrent. Morgane tourna quelques temps dans le rez-de-chaussée, elle n’avait pas envie de retourner au 1er étage, même si une prostituée la tentait bien. Elle tomba alors sur une porte où deux symboles représentant des femmes s’embrassant. Elle ouvrit la porte intriguée. C’était une salle immense où des tables accompagnées de deux chaises accueillaient des femmes de tous âges. Une sonnette retentit et toutes les femmes se levèrent en même temps. Elles changèrent de siège, se décalant vers la gauche. Morgane cherchait une fille pour passer une après midi de plaisir, c’était sans doute l’endroit rêvé. Elle s’approcha d’une rouquine de 40 ans aux yeux noisette. Celle-ci n’était pas vilaine, mais trop vieille pour la jeune inspectrice. Celle-ci resta polie et ne retira pas sa jambe quand la rousse lui fit du pied. Elle répondit aux questions de la femme, en omettant beaucoup de détails sur sa vie privée.

– Vous êtes belle, mais pas très sexuelle dans vos relations, dommage, lui dit la rousse quand la sonnerie retentit.

Morgane observait une blonde qui se rapprochait d’elle à chaque sonnerie. C’était une belle femme de son âge, de taille moyenne, ses cheveux descendaient tout raide le long de son visage, légèrement bronzée, au milieu duquel perçaient deux yeux noisette. Elle venait d’embrasser la femme face à elle et venait de se décaler.

– Embrasse la, dit elle à Morgane, en lui désignant la femme qui s’installait en face de l’enquêtrice.

Celle-ci, une brune aux yeux verts, n’était pas aussi jolie que la blonde. Son visage long où s’étalait un peu trop de maquillage semblait austère. De plus, elle avait 10 années de plus que Morgane.

– Caroline, se présenta t’elle.

C’était une femme très bien, cultivée, qui cherchait une relation durable. Elle avait annoncé à Morgane qu’elle n’avait aucune envie de se lancer dans des liaisons tumultueuses d’une seule nuit. Les deux femmes avaient donc parlé d’autre chose que de sexe, ce qui ne déplut pas à l’inspectrice. A la sonnerie, cette dernière planta ses lèvres dans celle de la brune. Elle trouva le baiser fruité et très doux. Elle salua et s’installa à la table suivante. La blonde relâcha la bouche d’une femme aux cheveux noirs, habillée comme une gothique. Leurs cheveux, blonds et noirs, s’étaient mélangés dans une très belle harmonie. La blonde vint enfin s’asseoir en face de Morgane. Elle portait une jupe courte, surmonté d’un tee-shirt blanc très simple, et une paire de chaussures ouvertes.

– Alors, elle embrasse bien ?
– C’est pas une habituée, mais elle a une saveur agréable, fit Morgane. Et la gothique ?
– Pas mal, vu ce que j’ai appris sur elle, je pensais que ce serait pire, mais c’était pas mal, mis à part le fait qu’elle m’ait mordue la langue. Et toi, tes baisers, ils sont bien ?

Morgane se souleva pour atteindre les lèvres de la blonde, elle inséra sa langue doucement dans la bouche de sa partenaire. Elle la taquina, un peu par des mouvements contrôlés, puis se retira. Angèle, c’est ainsi que s’appelait la blonde, pinça délicatement la lèvre inférieure de Morgane, avec ses dents pour faire durer le contact, mais doucement leur bouche glissait, s’écartant.
– J’adore, fit Angèle.

Morgane acquiesça en regardant la jeune femme. Elle était vraiment très belle avec ses grands yeux noisette qui pétillaient de malice. Elle sentit alors un pied froid et nu se posait sur sa cuisse. Angèle lui posa quelques questions sur ces relations sexuelles et lui demanda ce qu’elle aimait comme position. Pendant ce temps, le pied continuait son ascension, elle sentit un orteil touchait sa culotte. Plusieurs fois, il essaya de tenter de passer l’obstacle, mais l’accès lui fut interdit. Morgane sentit alors le pied frottait son sexe par dessus la culotte, les orteils avec des mouvements lents et précis la doigtaient.

– Tu as fait ça avec toutes les filles que tu as rencontrées ici ?
– Non, juste avec les trois qui m’ont le plus plu, mais avec toi j’irai bien plus loin.

Morgane ne répondit pas tout de suite.

– Si tu n’as pas envie, je ne te force pas, je trouverais bien quelqu’un, sur les 6 personnes que j’ai vu, tu es la mieux, mais y en a une qui s’est ouverte à moi, et j’hésite toujours à retourner la voir pour passer à plus intense.
– Je n’ai pas dit que j’avais pas envie, mais ma chambre n’est pas libre, fit Morgane pour se laisser plus de temps pour réfléchir.
– J’ai un endroit, viens.

Cette fois, l’inspectrice laissa ses sentiments la guider, elle avait envie de cette fille dès l’instant où elle l’avait vu. Le baiser qu’Angèle avait donné à la gothique avait excité ses sens. Après avoir elle même embrassé la jolie blonde, elle avait eu du mal à se contenir pour ne pas directement la rejoindre dans un lit. Elle laissa sa partenaire lui prendre la main pour l’amener aux toilettes. A nouveau, elle lui happa les lèvres, la faisant reculer. Elle sentait la poitrine de la jeune femme se gonflait contre la sienne, au milieu duquel une main baladeuse se frayait un chemin. D’un coup, elle se sentit soulevée. Elle se retrouva assise dans un équilibre précaire sur le bord des lavabos. Angèle fit tomber sa culotte, et à genou entreprit un minutieux travail de langue. Se faire lécher dans un lieu public était quelque chose de nouveau pour Morgane. Elle ne profita pas des premiers coups de langue de la blonde, trop occupée à surveiller la porte d’entrée, puis elle goûta au plaisir du danger d’être surprise. C’était excitant et bizarre à la fois, elle aimait cette sensation. La tête enfouie sous sa jupe, elle sentait Angèle travaillait avec ses doigts et sa langue. Elle ne sentait ni amour, ni passion dans les gestes de la belle blonde, mais une terrible habitude dans les mouvements de cette femme encore si jeune. Soudain, un gémissement sortit des toilettes derrière elles. Deux femmes sortirent peu de temps après. Angèle continua son cunnilingus nullement gênée. Les deux filles restèrent sur le seuil de la porte à les regarder. Morgane, rouge de honte, essayait de cacher ce qu’elle pouvait. La blonde sortit la tête de sous ses jupes, les lèvres humides de salive et de mouille.

– Oh ! Ma chérie, c’était toi ? fit-elle, en s’adressant à l’une des deux femmes, une autre blonde aux yeux bleus et au visage plus pale.
– Oui, c’était excellent, d’ailleurs. Et toi, c’est bien ? En tout cas, elle est mignonne.

Angèle leva le pouce en envoyant un baiser de la main à sa “ chérie ”. Les deux femmes sortirent.

– C’était ta copine, fit Morgane, furieuse et stupéfaite.
– Oui, elle te plait ?
– Je croyais que tu étais célibataire, fit Morgane en négligeant la réponse.

Morgane remit sa culotte et s’apprêta à partir.

– On s’est donné une semaine de plaisir, ici. On en profite toutes les deux, ne crois pas que je sois une salope infidèle.
– Je ne le crois pas, mentit l’inspectrice
– Tu sais, fit Angèle, on est ici pour découvrir, s’amuser et apprendre aussi. Ce soir, je vais partager mon lit avec plusieurs filles en même temps, dont ma copine. On s’aime et je n’aimerai qu’elle, mais on le veut toutes les deux. C’est un cadeau qu’on s’est fait en commun. Il n’y a ni mal, ni infidélité à ça. Pendant toute la semaine, on va s’amuser établir des relations d’un soir avec le plus de nanas possibles et après on retournera à notre vie normale, ou l’on ne se trahira jamais.

Morgane comprit un peu mieux le raisonnement d’Angèle, elle ne pouvait pas la critiquer, elle vivait le même type de relation avec Sophie.

– Ce soir, si tu veux venir, n’hésite surtout pas.

La masseuse la fit tomber sur le lit. Avec une danse très sexy, elle enleva son soutien gorge, puis son string noir vola dans la même direction, dévoilant un petit trésor. Sa langue se posa sur les seins d’Anaïs puis descendit tout le long du ventre, s’arrêtant avec une petite danse autour du nombril, puis reprenant son chemin, passa sur la dentelle de la petite culotte, descendit le long des cuisses. Puis ce membre rose passa sur les beaux pieds blancs de l’inspectrice, précédés par une paire de doigts qui avait fait rouler les chaussettes hors du lit. Anaïs sentit son orteil happé par la bouche fraîche de la jeune masseuse. Des petits mouvements de va et vient refaisait entrer et sortir ses orteils. La langue de Lisa passa doucement sur la plante des petits pieds ce qui fit frémir la blonde. Gobant soudain le pied, la belle latine l’avala à moitié. Elle le suça alors à la manière d’une énorme glace, sa langue virevoltant partout dans sa bouche léchant chaque parcelle de peau, goûtant à chaque saveur que le pied pouvait offrir. Anaïs, malgré ses efforts de retenu, ne pouvant s’empêcher de se toucher en regardant sa conquête. Peu à peu, Lisa remonta et poussa la main de l’inspectrice laissant sa langue travailler à sa place. Les doigts d’Anaïs glissèrent dans les cheveux de la latine, les caressant, jouant avec. Son autre main tenait les draps, ses ongles s’enfonçant dans le matelas. La langue de Lisa douce et experte s’infiltrait dans tous les orifices de son sexe. Langoureusement, elle faisait monter la jolie enquêtrice au septième ciel.

– Baise-moi, murmura cette dernière.

Lisa happait les chairs d’Anaïs, mouillait son sexe de salive, avalait le clitoris, entrait sa langue au plus profond du sexe, alla chercher le point g, la taquinait avec sa langue friponne. De plus en plus, la jolie blonde se cambrait, s’apprêtant à jouir. Lisa sentant ce moment arriver, accéléra son mouvement. Ses longs cheveux bruns pendant tout autour du sexe blanc de l’inspectrice recouvert par le visage halé de la belle latine. Ses lèvres pulpeuses s’emparaient de toute parcelle de peau qu’elle put obtenir. D’un coup, la cyprine jaillit, un long flot de jouissance s’échappa de ce sexe gonflé éclaboussant le visage sans défaut de la masseuse. Celle-ci, la bouche grande ouverte, buvait ce jus d’amour récolté par la passion du sexe. Elle avala ce nectar, n’en laissant pas une goutte s’échapper. Anaïs, affalée de toute sa masse, ne bougeait plus paralysée par le plaisir. Lisa revient sur elle. Elle posa ses lèvres fermées sur celles de la blonde. Celle-ci rouvrit les yeux. Elle admira le visage parfait de la jolie latine, ses cheveux s’étaient collés entre eux par la cyprine et son visage était trempé. Ses lèvres pulpeuses brillaient de mouille. Anaïs ouvrit la bouche. Lisa lui maintient la nuque en arrière et cracha un peu du nectar qu’elle avait conservé dans sa bouche. L’enquêtrice n’avait jamais vraiment eu le goût de sa propre jouissance en bouche. Elle trouva ça formidable.

– Encore, dit-elle.

Pour toute réponse, elle sentit une langue accrochait la sienne, elle sentit le visage et les cheveux trempés de la masseuse la mouillait. Elle serra Lisa dans ses bras, leur bouche toujours liée, leur langue s’attachant encore plus solidement.

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Une réponse à Enquête sur une orgie meurtrière 7 – Le pied de la masseuse. par Sade_1

  1. Baruchel dit :

    Cette série se traîne comme si l’auteur ne savait pas où aller. Reconnaissons tout de m^me que cet épisode est au-dessus de la moyenne de sa production

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