Echangisme bi par Showlap1

Echangisme bi
par Showlap1


Cela fait maintenant plus d’un an que Christelle et moi pratiquons assidument l’échangisme. Elle a trente-deux ans, et moi trente-cinq. Nous sommes ensemble depuis deux ans. Au début, nous avions envisagé un pacte du genre : chacun fait ce qu’il veut de son côté, mais raconte tout à l’autre. Ce principe est resté théorique, car, avant que nous ayons eu l’occasion de le mettre en pratique, Christelle m’avait avoué que, même si elle avait a priori confiance en ma parole, elle ne voulait pas risquer de s’imaginer toutes sortes de choses dès qu’il y aurait un peu de flou dans mon emploi du temps ou dans mes relations.

– Imagine, me disait-elle. Un soir, tu restes plus tard au bureau pour le pot de départ d’un collègue. Connaissant ton attirance pour Flavie, la responsable marketing, je conçois très bien que tu l’entraines discrètement dans un bureau voisin pour une fellation derrière la porte. Il suffira qu’elle déboutonne son chemisier pour que tu aies la trique. Elle se met à genoux, ouvre ta braguette, te pompe le dard en attrapant tes couilles dans sa main, tu lui gicles au fond de la gorge en trois minutes, et hop, c’est fini ! A vingt heures, tu es à la maison, guilleret et attentionné. Et si jamais, il ne s’est rien passé entre vous… tu auras beau me jurer tout ce que tu veux, je continuerai toujours malgré moi à avoir des doutes…

Bien qu’assez bizarre, son raisonnement a, dans ses conclusions, quelque chose de très agréable…

– Donc, continuait-elle, si tu te fais tailler une pipe par une autre, je préfère être là pour te rouler des pelles ou pour tenir la tête de la fille. Comme ça, moi aussi, j’en profiterai un peu.

Forts de ces principes visant à éliminer tout risque de mensonge et de suspicion, nous nous sommes inscrits sur un site de rencontres. Christelle est magnifique. Sa photo montrant ses longs cheveux blonds bouclés, sa poitrine opulente, nous permet à elle seule de recevoir des dizaines de sollicitations par semaine, parmi lesquelles nous pouvons choisir nos partenaires. Presque chaque week-end, nous recevons un couple, ou nous allons chez eux.

Dans la plupart des cas, les choses se passent très bien, même si la satisfaction totale n’est pas toujours au rendez-vous. Le feeling avec le ou la partenaire de l’autre couple n’est pas forcément excellent. Malgré les échanges préalables de mails et de photos, il y a une part d’incertitude qui subsiste, cela fait partie du jeu. Mais même dans ces cas-là, je dois avouer que je la vision d’un autre homme découvrant le corps de Christelle « dans la vraie vie », après l’avoir désirée en photo, me procure une immense excitation. La plupart du temps, dans ces situations, elle est en mini-jupe, jambes nues, chaussures à talons vernies rouges ou noires. Quand elle a décidé de lancer les ébats, elle croise ou décroise les jambes, déboutonne son chemisier avec décontraction. J’observe avec satisfaction les pupilles dilatées de l’homme en face de moi, sa pomme d’Adam qui se serre, son pantalon qui devient plus étroit. Et le regard souvent amusé, quelques fois jaloux, que sa femme lui porte à ce moment.

Parfois nous restons tous les quatre dans la même pièce, parfois il est convenu que les chacun des « néo-couples » aille faire l’amour dans une pièce différente, souvent la chambre et le salon. En ce cas, la plupart du temps, les portes restent ouvertes pour que tout le monde entende tout le monde, quand les cris et les gémissements sont suffisamment forts. Mais cela permet également que les demandes glissées à l’oreille restent confidentielles.

Lors d’une récente soirée, c’est cette situation qui prévalait. Il ne faut pas croire que le résultat est forcément plus « plan-plan ». Claire, ma partenaire d’un soir, a convaincu son mari de rencontrer d’autres couples parce qu’elle adore le sexe anal, mais que celui-ci rechigne à cette pratique, qu’il trouve un peu « dégoutante »… Leur accord permet à Claire de se livrer à ce plaisir avec un autre homme, à condition que son mari ne la voie pas en action.

Christelle et le mari sont restés au salon ; Claire et moi nous sommes retrouvés dans leur chambre. Après des préliminaires assez classiques, nous nous sommes installés tous les deux face au miroir de la penderie, moi assis sur le lit, et elle assise sur mes cuisses. Elle souhaitait que je la sodomise, mais voulait ne surtout rien rater du spectacle, depuis l’instant où mon gland bien lubrifié viendrait en contact avec son anus, jusqu’à ce que, progressant le plus lentement possible, ma tige s’enfonce entièrement dans son cul, et qu’elle sente le contact de mon pubis contre ses fesses. Durant cette longue intromission, les yeux rivés sur le miroir, elle me murmurait en gémissant :

– Prends bien mon cul de salope… Enfonce ta queue dans mon trou du cul… Encule-moi comme une grosse pute… Ta bite est bien dure, bien grosse… Mets-la-moi à fond…

Puis, penchée en avant, ses mains appuyées sur mes genoux, elle a fait monter et descendre son cul pour s’empaler sur mon sexe pendant de longues minutes. Sentant venir ma jouissance, elle s’est arrêtée pour nous permettre de souffler un peu.

– Tu sais quoi, me demande-t-elle ? Je voudrais essayer un truc que je n’ai jamais osé faire… Mais il faudra que tu y ailles doucement, et que tu arrêtes dès que je te le demanderai…

Sans que nous ne quittions notre position, elle s’empare d’un gode souple qu’elle lubrifie abondamment, avant de me le glisser dans la main.

– Mets-le-moi par devant !

Je m’allonge sur le dos. Elle se couche en arrière sur moi, relevant les genoux pour mieux écarter les cuisses, tout en prenant garde de ne pas perdre la pénétration anale. Elle n’a plus l’image, mais préfère fermer les yeux pour se concentrer sur ses sensations. Ses doigts écartent sa fente et massent son clitoris. Placé à l’entrée de son vagin, le gode peine à se frayer un passage. Elle guide ma main tout en ondulant des hanches, ce qui a aussi pour effet de masser ma queue dans ses fesses. Au bout de quelques pressions bien dosées, le gode s’installe tout entier dans son sexe, venant masser le mien par l’intérieur. Quelques va-et-vient de l’objet, alternés avec des mouvements de mon bassin, lui ont fait pousser des hurlements de jouissance dont ont largement pu profiter son mari et Christelle… et probablement tous les habitants de l’immeuble…

Notre toute dernière aventure m’a conduit à une autre pratique que je n’avais jamais envisagée auparavant. Nous recevons un jeune couple, vingt-cinq ans l’un et l’autre. Marc est beau garçon, athlétique, la peau mate, modérément velu. Véra est brune, mince, de taille moyenne, cheveux mi-longs avec une frange sur le front, un piercing à la paupière gauche. Elle n’a pas un physique exceptionnel, mais son attitude, sa façon de parler, ses regards, donnent immédiatement envie d’entrer en contact… intime avec elle.

Après deux apéritifs, les choses démarrent très vite. Nous restons tous les quatre dans le salon. Véra et moi sommes sur le canapé, encore à nous peloter et nous déshabiller mutuellement, quand Christelle et Marc sont déjà entièrement nus, sur la moquette, à un mètre de nous. Christelle, particulièrement excitée ce soir, m’avait confié qu’elle souhaitait être prise après un minimum de préliminaires. La fellation experte qu’elle a prodiguée à Marc lui a permis d’être exhaussée, et elle est maintenant allongée sur le dos, les jambes largement ouvertes, pendant que Marc, les genoux écartés bien campés au sol, a plongé son membre entres ses cuisses, nous permettant, depuis le canapé, d’avoir une vision parfaite de sa queue entrant et sortant de la chatte ruisselante et dilatée de Christelle.

Véra et moi sommes captivés par le spectacle. Elle me masturbe avec application pendant que mes mains parcourent son corps. Elle m’entraine sur la moquette et nous nous plaçons juste derrière eux. Tout en continuant à me branler, elle caresse les fesses de Marc de l’autre main.

– Il a un beau cul, non ? me demande-t-elle.
– Oui, c’est sûr…

Sa main glisse à l’intérieur de ses cuisses, remonte jusqu’à la raie. Ses doigts viennent titiller son trou du cul, descendent jusqu’à ses testicules.

– Ce que j’aime, quand il bande, c’est de toucher entre ses couilles et son trou. Tu sens sa queue bien dure qui commence ici ; du coup, on a l’impression qu’elle fait trente centimètres de long… Ça me donne le vertige… C’est une zone super sensible. J’adore lui caresser. Lui lécher aussi.

Elle l’embrasse sur les fesses. Il ralentit ses mouvements pour qu’elle puisse glisser sa langue dans la raie, descendre jusqu’à ses couilles et remonter jusqu’à son anus. Il pousse de longs gémissements rauques.

– Et il aime ça, lui aussi… Le problème, continue-t-elle en riant, c’est que je ne peux pas lui faire tout ça en même temps qu’on fait l’amour.

Il ralentit encore, ondulant des hanches, écartant un peu plus les fesses. Véra plonge son majeur dans sa bouche et l’enduit abondamment de salive.

– Ce qu’il adore, c’est que je lui glisse un doigt dans le cul. Quand il est en moi, je sens sa queue qui gonfle encore plus.

Elle joint le geste à la parole : après un petit mouvement circulaire, son doigt disparait dans l’anus de Marc. Un gémissement aigu de Christelle semble confirmer ses paroles. Véra fait aller et venir son majeur dans le cul de Marc, sans arrêter ses caresses sur ma queue et mes testicules.

– Tu sais ce qui lui ferait plaisir, me demande-t-elle au bout d’un moment ?
– Non, non, je lui réponds, bien qu’ayant une petite idée de là où elle voulait en venir.
– Je lui ai déjà mis un gode, mais bon… il n’a jamais goûté une vraie queue…
– Ah oui, mais moi, tu sais, je n’ai jamais… et je ne suis pas sûr d’en avoir envie…
– Pourquoi pas essayer ? Je peux te garantir, que, s’il aime ça, il va en faire profiter ta chérie !… Et puis, moi, je pourrais t’aider, tu vas voir…Et peut-être qu’après, tu pourras m’en faire autant…

J’accepte de tenter l’expérience. Véra se lance dans une fellation qui m’inonde le sexe de salive, et le fait se dresser au maximum. Elle se place à côté de Marc et, tout en continuant de me sucer et de me flatter les testicules, me conduit à m’installer juste derrière lui. Elle sort mon gland de sa bouche et vient aussitôt le placer sur l’anus de Marc, lui aussi trempé de salive. Elle imprime des mouvements verticaux à mon sexe pour le faire glisser du haut de sa raie à son scrotum, cette zone qui la fascine tant. Moi qui craignais de débander, je suis surpris d’être excité à ce point. Elle frotte maintenant mon gland un peu partout entre ses fesses. Le bruit de crissement mouillé de ma queue contre les poils de cul frisés de ce garçon me ravit. Elle se décide à appuyer mon gland au centre de sa rondelle, tout en appliquant un mouvement circulaire, comme pour l’agrandir l’orifice.

Puis, avec son autre main posée sur mes reins, elle pousse mon bassin vers l’avant. Malgré ma queue bien dure, sa rondelle résiste. Véra la badigeonne de salive avec son doigt, qui vient à nouveau ouvrir le passage. Le doigt sitôt ressorti, mon gland prend la place et cette fois, rentre d’un ou deux centimètres. Un bon coup de rein, et je franchis son anneau. Aidé de Véra qui fait glisser ses doigts partout pour lubrifier ma queue et l’entrée de l’anus de Marc avec toujours plus de salive, je progresse centimètre par centimètre, m’arrêtant quelques secondes après chaque poussée pour lui permettre de se détendre. Christelle, qu’on avait un peu oubliée, se rappelle à nous.

– Oui, oui, encule-le bien, ce petit salaud ! A chaque fois tu avances, j’ai l’impression d’en prendre encore plus dans la chatte. Ah, c’est trop bon. Vas-y, bourre-lui bien le cul !

Comment rester insensible à de tels encouragements ? Je saisis Marc fermement par les hanches et lui lime le cul sans ménagement. Puis, je le laisse décider de la cadence, pour qu’à chaque coup de rein qu’il donne vers l’avant il s’enfonce profondément dans Christelle, et qu’à chaque mouvement vers l’arrière il s’empale sur mon sexe. Ses gémissements ne font que s’amplifier. Après quelques instants, sa rondelle se met à serrer ma queue comme un lacet, et il jouit en même temps que Christelle, s’écroulant sur elle. Véra m’aide à sortir de son cul et se place aussitôt en levrette.

– Moi aussi, moi aussi, vite, implore-t-elle.

Apparemment plus habituée que Marc à se faire sodomiser, Véra reçoit mon sexe sans difficulté. Avec ma main glissée sous son ventre pour masser son clitoris en même temps, il ne faut que quelques secondes pour que nos orgasmes éclatent à leur tour.

Depuis cette soirée, nous avons décidé de modifier notre présentation sur le site de rencontre, et d’ajouter deux lettres sous ma photo : bi.

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Une réponse à Echangisme bi par Showlap1

  1. Chandernagor dit :

    C’est bien, c’est chaud, mais on peut se demander pourquoi ces dames ne font rien ensemble ,

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