Drôle de stage par Estonius

Je travaille dans un grand établissement privé en plein cœur de la capitale, j’y ai fait toute ma carrière, et j’aurais pu finir cadre si les circonstances avaient été autres.

Plusieurs fois responsable de bureau, puis muté aux études en pleine croissance de la micro-informatique, puis chargé de la formation micro, bref des postes où venir travailler n’était pas vraiment une corvée. En retour j’étais bien noté par mes supérieurs et estimé de mes collègues.

Et puis un jour, changement de direction, le responsable informatique étant absent, la nouvelle patronne m’appelle pour dépanner son imprimante, je n’ai pas su faire et j’ai donc été jugé tout de suite : j’étais devenu un incapable en une demi-heure de temps !

Quelques jours après on me demandait d’aller en renfort dans un service de production, c’était en 2002, trois ans après, j’y suis toujours et me voici à faire des travaux qui ne m’intéressent pas encadré par une responsable débile !

Nous sommes aujourd’hui en juin, dans un mois je serais en préretraite, autant vous dire que je ne me casse plus la tête, je réponds au téléphone, j’aide mes collègues mais sinon c’est service minimum.

Et vlatipa…

.. que ce vendredi j’ouvre ma messagerie ! Et perdu au milieu de diaporamas rigolos, de vidéos coquines, d’histoires parfois drôles et d’images circulantes, un titre m’interpelle « stagiaire grande école ». Je m’attends à une blague à deux euros. Ben non c’est du sérieux

 » Nous allons recevoir pendant une semaine Mademoiselle Sabrina X, comme tu connais bien les sujets qu’elle veut voir évoqués pendant son stage, tu vas la parrainer toute la semaine prochaine… Ci-joint le plan du stage que tu pourras aménager à ta convenance et suivant ses attentes…

C’est ce connard et fainéant de responsable à la formation qui ose m’envoyer ça ! Le vieux qu’on a mis au rencard après des années de bons et de loyaux services, on vient lui demander de faire le chaperon à moins d’un mois de la retraite ! Je rêve ! Comme si on ne pouvait pas me foutre la paix ! Et puis, je ne vois pas pourquoi on m’obligerait à faire ça ! Ma décision est prise : Je refuse ! Et histoire de bien les faire chier, je ne vais pas répondre au mail, je refuserais lundi matin, quand on m’appellera, et devant la stagiaire ! Qu’est-ce que je risque ?

Et nous voici Lundi matin !

Le téléphone sonne !

– Monsieur E. vous pouvez venir me voir…

C’est la chef de service, elle est avec la stagiaire Je monte l’escalier ! J’ai parfaitement répété la scène, les mots que je dois dire, les réponses aux arguments. Ça va leur faire drôle !

Et je rentre dans le bureau de la chef !

Gloups !

Elle est débout, grande ! Grande comment ? Je n’en sais rien mais plus grande que moi ! Elle est vêtue d’un pantalon blanc mais surtout d’une sorte de débardeur bleu faisant briller de splendides épaules couleur chocolat, le décolleté est discret mais laisse rêveur, et ce sourire ! Elle est charmante la stagiaire ! Quel âge ? Une vingtaine d’année comme on dit !

– Je te présente Sabrina X…
– Enchantée !
– Je te la confie !
– Avec plaisir, m’entendis-je répondre
– Voilà la clé du petit bureau du fond, vous pourrez vous y installer pendant une semaine.

J’espère que je ne fais pas une connerie, me voici victime de mes glandes, de mes hormones, de je ne sais pas quoi, mais toutes mes bonnes résolutions sont dégringolées à la vision de cette superbe antillaise ! Comme on dit, la chair est faible !

Le premier jour se passe sans problème, je lui fais faire le tour des bureaux, lui demande ce qu’elle souhaite approfondir et répond à ces questions. Elle est très sympathique, assez bavarde aussi, genre  » j’ai toujours quelque chose à raconter « . Assez pénible ces gens qui ont une version très  » scolaire  » du monde du travail, mais bon… Il m’apparaît assez vite que le plan de stage qu’on lui a bâti ne correspond pas vraiment à ce qu’elle cherchait, ça l’embête un peu mais on fait avec, du moins ce lundi. On a été au restaurant d’entreprise ensemble, et la conversation est restée très professionnelle.

Le mardi, mademoiselle était habillée d’un machin jaune, flashant on ne voyait plus ses épaules mais le décolleté l’était plus que la veille ! Charmant spectacle… et alors que la journée est à peine commencée, les hostilités commencent :

– Est-ce que vous avez les pouvoirs de changer mon plan de stage ?
– Oui, mais uniquement sur les détails !
– Qui a ce pouvoir ?
– Le responsable à la formation mais il est en vacances depuis hier…
– Il a bien un adjoint ?
– Non !
– Le problème c’est qu’on ne m’a pas envoyé dans la bonne unité de production. Vous n’y êtes pour rien mais je perds mon temps ici !
– Pourquoi vous ne le faites pas remonter le problème à votre école ?
– Les administratifs s’en foutent ! Ça ne fera que la troisième fois qu’on me fait faire un stage qui ne correspond pas à mes demandes, si je leur en parle je passe pour une râleuse…

J’étais parti pour une séance de récrimination quand un collègue entra pour me demander un truc ! Il se présenta à la stagiaire puis ne put s’empêcher de faire une réflexion :

– Sois sérieux avec mademoiselle, Etienne, c’est une petite jeune, ce n’est plus de ton âge, fais attention à ton petit cœur…

C’est alors que Sabrina fit assez sèchement cette réponse ahurissante :

– L’âge ne compte pas quand on se sent bien avec quelqu’un !

Le collègue est complètement déstabilisé, esquisse un vague sourire, oublie qu’il était en train de me demander quelque chose et disparaît ! Mais pourquoi donc a-t-elle fait une telle sortie ?

– Je suis désolé pour votre collègue, mais dès fois ça m’énerve ce genre de propos et comme en plus je suis de mauvais poil…
– On fait quoi ?
– Je ne sais pas, on pourrait aller prendre un café, déjà !

Je lui propose la machine à café, mais elle préfère le bistrot du coin, c’est en principe interdit, mais je m’en fous !

Et là j’ai droit à la phase deux des récriminations de la demoiselle :

– Si vous saviez ce qu’on peut s’emmerder pour essayer de trouver une bonne situation….

Elle m’explique alors avoir obtenu un gros diplôme de comptabilité qui aurait dû lui ouvrir pas mal de portes d’entreprises :

– Il faut faire avec les entretiens d’embauches débiles, faut voir les questions qu’ils posent, ceux qui ne me prendront pas de toute façon parce que je suis noire, les gens disent qu’ils ne sont pas racistes, mais parfois ils ne se rendent même pas compte qu’ils le sont… Et ceux qui vous expliquent presque sans précaution que pour avoir le poste, ben il faudrait coucher ! C’est de l’abus de pouvoir… Je ne porte pas de jugement sur celles qui acceptent, mais moi, si je me mets à coucher ce ne sera pas pour me faire embaucher… Parce quel que soit le niveau de rémunération que j’obtiendrais je gagnerais toujours moins qu’une prostituée… et croyez-moi je ne leur jette pas la pierre…

Que voulez-vous que je réponde ? Je biaise !

– Donc vous n’avez pas trouvé de poste et vous avez décidé de continuer à étudier pour avoir un niveau supérieur, c’est ça ?
– Ouais, et c’est mal parti, si on me fait faire des stages qui ne me servent à rien… J’avais une amie qui a suivi la même filière que moi, c’est pareil elle a été dégoûtée, elle est parti au Québec, elle travaille dans un club de strip-tease. Je me demande si je ne vais pas faire la même chose !

Ce discours est tellement surprenant que je ne sais vraiment plus quoi dire !

– Vous en pensez quoi, vous, des métiers du sexe ?
– Oh, vous savez, je suis un homme, je ne vais pas faire l’hypocrite, voir une belle femme se déshabiller, ça n’a rien de désagréable.
– Oui ! Ça c’est les strip-teaseuses, mais la prostitution ?
– C’est plus compliqué, si personne ne force la fille à faire ce qu’elle fait, c’est une affaire privée, chacun fait ce qu’il veut, ça ne me choque pas plus que ça !
– Je peux vraiment être indiscrète ?
– Allez-y, mais je ne vous promets pas de vous répondre.

Mais je me doute de ce qu’elle va me demander.

– Vous êtes déjà monté avec une prostituée ?
– Oui !
– Et c’était bien ?
– La fille était gentille !
– Si je le faisais, je crois que moi aussi, je serais gentille. Parfois ça me tente, mais c’est un milieu qui me fait peur… Bon on retourne en stage !

Ouf !

Plus aucune allusion sur les métiers du sexe de la journée. Quand nous ne bavardons pas, elle écrit des trucs dans son coin. Le mercredi elle eu simplement une petite phrase me confiant que même si tout ce que je lui montrais ne l’intéressais pas, elle était content de m’avoir comme parrain de stage… elle fallut qu’elle conclut par un incroyable :

– Je ne sais pas si tout cela me servira à quelque chose… mais si un jour je deviens pute, je vous ferais des prix…

C’était dit, bien sûr sur le ton de la plaisanterie, mais c’était dit quand même. Ne dit-on pas qu’il n’existe pas de propos complémentent innocents… Puis elle embraya sur autre chose, elle ne souhaitait pas que la conversation dévie, pas ce jour-là… en revanche, le lendemain…

Car le jour suivant, il était prévu que nous nous déplacions chez un prestataire de service, autrement dit une boite de sous-traitance qui travaillait pour nous !

– Ça ne m’intéresse pas, j’ai visité une boite comme ça, quand on en a fait une on les a toutes faites, ce sont des gros cons qui exploitent leur personnel, qui leur imposent des rendements de dingues et des conditions de travail dégueulasses.
– On fait quoi ?
– On fait semblant d’y aller, vous me donnerez deux trois indications pour que j’en parle dans mon rapport de stage et ça ira très bien comme ça !

En fait on y est allé quand même mais nous ne sommes restés qu’une heure, cela avait le mérite de donner le change !

– Vous faites quoi, maintenant alors, vous rentrez chez vous ? Lui demandais-je.
– A moins que j’aille me promener… et vous ?
– Je ne sais pas trop !
– On se boit un café, alors !

Sabrina s’était aujourd’hui habillée d’un petit ensemble rose, le haut était légèrement décolleté mais étant pourvu de boutons pouvait s’ouvrir d’avantage ! Et alors que nous venions de nous asseoir, c’est exactement ce qu’elle fit. J’avais maintenant les yeux rivés sur la naissance de sa poitrine !

– Ça vous plait ?
– Je ne vais pas dire le contraire !
– Tu aimerais bien la toucher, hein ? (brusque passage au tutoiement)
– Certes !
– Ça peut se faire, tu sais !
– Bon, écoutez, Sabrina, je crois comprendre à quel jeu vous jouez, ça ne me choque pas du tout, mais je n’ai pas envie d’y jouer !
– Menteur !
– Non !
– Qu’est ce que tu risques ? On va dans un hôtel dans le coin, on reste une heure ou deux, j’ai des préservatifs dans mon sac, le risque c’est moi qui le prends, c’est celui que tu ailles répéter à tout le monde ce qu’il m’arrive de faire, mais bon je l’assume ! Je ne te prendrais pas cher, je peux pas prendre les tarifs d’une professionnelle, je le suis pas !
– Arrête, Sabrina, j’ai dit non !
– Ou alors si tu préfères, on descend aux toilettes, je te laisse juste voir et toucher ma poitrine, pour disons 20 euros !

Elle est en train de m’ensorceler ! Son doigt a pénétré dans l’échancrure de son haut et l’écarte un peu plus dévoilant maintenant la naissance de l’aréole !

– On ne vit qu’une fois, si tu ne le fais pas, tu regretteras de ne pas l’avoir fait !

Je suis en sueur, je bande, je suis mal !

– Je te laisserais même l’embrasser un petit peu… Imagine un peu ta petite langue sur mes seins…
– Bon d’accord on descend !

Nous descendons dans les toilettes après avoir payé la conso sous le regard goguenard du patron du bistrot. En bas elle déboutonne entièrement son haut, libérant un soutien-gorge à balconnets bas, laissant libre tout le haut des mamelons ! Je deviens dingue !

– Vas-y touche !

Bien sûr que je caresse, sa peau est d’une infinie douceur, et mon sexe le sait bien, qui manque maintenant de place derrière ma braguette. Elle n’est pas folle, elle l’a vue, elle y met la main, je la laisse faire tandis que ma bouche s’approche de cette poitrine qui m’attire comme un aimant, j’embrasse, je donne des petits coups de langue, m’approche du téton !

– Je peux ici aussi !
– Bien sûr !

Sa main n’a pas lâché ma braguette et elle me caresse désormais carrément le sexe à travers le tissu.

Il me vient une idée un peu foldingue c’est de lui demander d’enlever son soutien gorge pour 20 euros de plus, j’aime bien voir les seins entièrement libres… avant de réaliser que de toute façon je n’ai pas besoin de demander, la suite est maintenant devenu inéluctable !

– Alors on y va à l’hôtel ?
– Oui, on y va ! Répondis-je

Je m’enquière juste du prix, il était raisonnable !

Elle sut gérer le temps de trajet jusqu’à un hôtel que nous avons dégoté non loin de là, en philosophant sur les bonnes choses de la vie et en me parlant de sa passion pour la bonne bouffe ! A l’hôtel nous avons demandé une chambre pour deux heures…

Je me retrouve un peu con, dans cette chambre au décor nul ! Je me demande quoi faire ? Me déshabiller ? Attendre qu’elle le fasse ? Attendre qu’elle me dise de le faire ?

– Tu aimerais quoi ? Que je te fasse un petit strip-tease pour commencer ?
– Ça me parait une bonne idée !
– Mais déshabille-toi d’abord sinon tu vas faire craquer ta braguette.

Je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne un peu de me foutre à poil devant elle alors qu’elle ne l’est pas ! Mais je le fais quand même !

– Ah, toi aussi tu gardes tes chaussettes ?
– Pourquoi  » moi aussi  » ?
– Approche-toi de moi, après je te dirais un truc !

J’approche, elle me prend par la taille !

– Il parait que les putes n’embrassent pas, mais moi comme je n’ai pas encore le statut, je peux le faire…

Avant que j’aie pu réaliser quoique ce soit, son visage s’est rapproché du mien, nos bouches sont entrées en contact et sa langue s’est faufilée dans mon palais ! Le baiser fut bref mais je ne vous dis pas le résultat, ma bite est de nouveau au garde à vous.

– Tu dois bien t’en douter, ce n’est pas la première fois que je fais ça, en fait j’ai déjà fait payer des mecs une dizaine de fois, et mes tarifs, c’est à la tête du client. Un jour je sauterais le pas, mais je ne suis pas encore prête. Et puis la particularité de ce genre de relation, c’est qu’au lieu de faire de la baise classique, les mecs se disent  » si c’est une pute, elle doit connaître des tas de trucs !  » Comme ils ont payé ils se lâchent et demandent parfois des bizarreries. Alors si tu veux des choses qui sortent de l’ordinaire, n’hésite pas à me le dire, moi je n’ai pas de tabous !

Je ne réponds pas, je n’ose pas… mais elle insiste :

– Tu n’as pas des petits trucs que tu aimerais que je te fasse, des petits fantasmes secrets ?
– Euh si… comme tout le monde…
– Ben dis-moi, c’est compris dans le prix !
– Je pourrais te regarder faire pipi ?
– Pas de problème, on va incorporer ça au programme ! Allez assieds-toi sur le bord du lit, je vais te faire un show !

De nouveau elle déboutonne son haut et l’enlève, elle virevolte plusieurs fois, tout n’est que merveille chez cette fille, même son dos dont le sillon et les courbes créent d’étranges jeux d’ombres et de lumière. Le soutif vole dans les airs et atterrit sur le lit ! Splendide poitrine qui semble défier les lois de la pesanteur, mon sexe me fait mal et je me surprends à le tripoter d’une main distraite. Et la fête continue… mademoiselle enlève ses bottines, le pantalon dégringole, elle est maintenant en string, un joli string rose ! Oh les jambes ! De longues jambes noires qui n’en finissent pas, des cuisses de rêve, j’attends qu’elle se tourne… Mon dieu les fesses, incroyable cambrure ! Me voilà deux heures dans une chambre d’hôtel minable avec un top model qui m’a demandé pour ça sans doute que le quart du tarif syndical ! Je dois être en train de rêver !

– J’enlève le string aussi ! Demande-t-elle, rigolarde !
– Ce serait mieux ! Répondis-je sur un ton faussement sérieux !

C’est parti, elle s’écarte maintenant son sexe devant moi ! Quelle merveille que ce petit écrin tout rose au beau milieu de cette belle peau mousso-chocolatée ! Elle me fout son sexe sous le nez !

– Lèche ! Tout à l’heure je pisserai pour toi, lèche !

Je ne m’attendais pas à ce qu’on aille jusque-là, ma langue s’immisce à l’intérieur, y recueille le goût de son intimité, je farfouille à l’intérieur mais quand je m’attarde sur le clitoris elle me fait arrêter, peut-être ne désire-t-elle pas jouir ou alors pas si tôt !

Elle se tourne :

– Lèche-moi derrière !

Elle écarte ses globes fessiers, me donnant son petit trou à lécher ! Ça tombe bien, j’adore faire ça, j’essaie de forcer l’entrée avec le bout de ma langue, l’anus finit par s’entrouvrir, l’odeur très légèrement acre du lieu me plait, mais mademoiselle a envie de varier les plaisirs et finit par se retourner.

– Tu as une bonne langue, toi ?

Propos peut-être uniquement commercial, mais ça ne fait rien, ça fait toujours plaisir à entendre !

Je suis toujours assis, elle se penche et me caresse le sexe !

– Doucement je ne voudrais pas jouir tout de suite !
– Mais si tu jouis tout de suite, ça n’a aucune importance, on était d’accord pour deux heures, on fera deux heures !

C’est ce qui s’appelle de la conscience professionnelle !

Elle me branlotte quelques instants pendant que mes mains s’égarent sur son corps, puis elle penche son visage, dépose un bisou du bout des lèvres sur mon gland, avant de l’attaquer de la langue et de finir par mettre tout ça dans sa bouche.

– On s’allonge on sera mieux ! Propose-t-elle

Bonne idée !

Je me couche sur le dos au milieu du plumard, elle vient me déposer un très léger bisou sur les lèvres puis se met sur ses genoux entre mes cuisses, et recommence à me sucer, ses mains se projettent en avant et cherchent mes tétons, les trouvent, les serrent, les serrent encore plus fort ! Elle redresse son visage un instant !

– Tu aimes ?
– J’adore !
– Essaie de ne pas me jouir dans la bouche, préviens-moi si tu viens !

Les deux caresses combinées finissent par provoquer un état extatique, je suis bien, merveilleusement bien ! Le plus dur ça va être de m’approcher de la jouissance sans la réaliser…. Je finis par lui dire que mon plaisir monte !

– Ok, je vais préparer un préservatif, mais on va faire un petit break, mais avant c’est à ton tour de me caresser.

Voici une excellente suggestion !

Je la caresse donc partout, les bras, le ventre, les cuisses, et bien sûr les seins, je ne m’en lasse pas ! Le grain de sa peau est d’une douceur à peine croyable ! J’ai rarement eu l’occasion de coucher avec des femmes noires (ce doit être la troisième si je n’ai pas de trous de mémoire) mais à chaque fois deux choses m’ont impressionné, leur chute de rein et la douceur de leur peau. Ma bouche ne reste pas inactive et j’embrasse tous les centimètres carrés de peau qui me tombe sous les lèvres ! Là encore ses nénés de rêves ont eu ma priorité comme vous vous en doutez ! Je me place un moment entre ses cuisses pour lui lécher la chatte, elle se laisse faire mais comme tout à l’heure m’empêche de m’attarder sur son clitoris ! Je décide donc de ne plus faire de tentative de ce côté !

– Tu veux me prendre comme ça ou tu préfères une autre position ! Me demande-t-elle tandis qu’elle ouvre l’étui du préservatif, je pense alors qu’elle va soit me le tendre soit qu’elle va me le poser elle-même !

Et bien non !

– J’ai appris un truc sur Internet, je vais te montrer !

Me montrer quoi ?

J’ai bien l’impression que le préservatif disparaît dans sa bouche, Sabrina se penche pour me sucer, Et hop c’est magique ! Elle vient de me poser la capote avec sa bouche !

– Super ! J’y arrive bien maintenant ! Commente-t-elle amusée !
– Tu viens sur moi ! Proposais-je
– Je l’aurais parié, comme ça qui c’est qui fait tout le boulot, c’est Sabrina ! Mais ça fait rien; ce ne sera pas une corvée…

Et la voilà qui s’empale sur moi, et qui commence à coulisser, je participe au mouvement en gigotant des reins comme je peux ! J’adore cette position car outre le fait qu’elle est reposante (du moins pour moi) j’ai une vue d’enfer sur sa poitrine qui ballote au rythme de ses chevauchées. Après dix minutes de cet exercice, elle me dit alors :

– Ne bouges plus, on va faire quelque chose !

Elle se dégage et positionne ma bite à l’entrée de son anus ! Non, je vais même avoir droit à ça ! Je vous dis que je rêve !

– Surtout ne bouge pas, c’est moi qui conduis, c’est comme au bal !

Tu parles d’un bal, ma queue est absorbée par son cul millimètre après millimètre, quand je la sens bien enfoncée, prisonnière de ses sphincters, elle se met à coulisser d’abord très doucement puis plus violemment, elle pousse des petits cris, incroyable, mademoiselle jouit du cul ! Je crois un moment qu’elle simule pour me faire plaisir, mais non, son vagin s’humidifie de façon évidente ! Encore plus vite ! Je suis au bord, je lui dis, elle ne répond pas, elle s’en fout, je lui redis, elle se contente de gémir ! Je pars ! J’ai joui, elle continue quelques instants ! Je suis crevé ! Des trucs pareils c’est plus de mon âge !

– Super ! Que je lui dis. Je ne regrette pas d’être venu !
– Et attends, c’est pas fini, je t’avais promis que tu regarderais mon pipi, tu va le voir ! Mais on a le temps, on se fume une clope ?

C’est la première fois que je la vois fumer ! Je suis pour ma part un fumeur d’occasion mais je l’accompagne !

On a parlé d’un tas de trucs comme ça tous les deux à poils sur le lit pendant vingt minutes, puis coquinement elle me remit la main sur le sexe !

– Alors on est prêts pour la seconde mi-temps !
– Tu sais à mon, âge tirer deux coups de suite comme ça, je ne sais plus faire.
– Tss Tss ! Justement ça fait partie des choses qu’il faut que j’apprenne, à remettre un mec en forme !

Elle me dit ça en rigolant comme une bossue !

– Allez viens, je vais pisser ! On va voir ce que ça te fait !

Je la suis dans la salle de bain, (si on peut appeler ainsi ce minuscule réduit muni juste d’un lavabo et d’une cuvette de chiotte)

– Tu veux que je pisse comment, debout, accroupie ?
– Et si tu me pissais dessus ?
– Hummn, normalement c’est 20 euros de plus ! Mais comme tu es sympa… Le problème c’est qu’on va faire comment pour essuyer, il n’y a rien ou alors du papier à cul, mais c’est pas très romantique tout ça… Mais bon Ok, je vais te le faire !
– Et si tu me faisais goûter ?
– Petit cochon ! Mais c’est une excellente idée, comme ça on n’en foutra pas partout ! Allez allonge-toi par terre je vais m’accroupir sur ta bouche !

J’ai un peu de mal parce que le sol carrelé est froid, ça va vite, mademoiselle avait une petite envie, et tout de suite un filet tiède me coule dans le gosier, elle essaie de temporiser, mais elle a quelques difficultés, ce qui fait de temps à autre le débit devient trop rapide et le surplus s’en va à côté ! Ce n’est pas grave et ça la fait rigoler !

– Y’en a plus ! Dira-t-elle pour conclure, c’était comment ?
– Délicieux, il est vraiment délicieux ton pipi !

Il y a combien de temps qu’on ne m’avait pas fait ça ! Et quand je pense que j’ai failli refuser cette petite séance !

– Ça bandouille pas trop ! Hein ?
– Ouais, je n’ai plus 18 ans !
– Une petite fessée ça te dirait ?
– Pourquoi pas, mais essaie de me pincer les seins ça sera sans doute plus efficace !
– Ok mais on commence par la fessée !

Elle a dû me taper sur le cul pendant cinq bonnes minutes, à ce point que l’endroit finit par chauffer ! Agréable, excitant mais sans doute pas assez pour réveiller ma pauvre bite … alors elle me pinça le bout des tétons comme je lui avais demandé, le résultat était meilleur mais pas encore assez… Non ma dernière jouissance était trop proche….

– Bon on laisse tomber… de toute façon c’était très bien et j’en ai eu pour mon argent, tu es une chic fille, je te remercie pour tout ça !

C’est alors qu’elle me dit :

– Tss, tss, on essaie un dernier truc :

Alors elle se mit sur le lit sur le dos, écarta les jambes :

– Viens me sucer ! Viens me faire jouir !

Non ? Je n’en reviens pas, j’y vais, je me précipite ! J’espère avoir bien compris ce qu’elle m’a dit et histoire d’en avoir le cœur net après quelques coups de langue pour le fun j’attaque tout de suite son clitoris ! Elle ne me dit pas d’arrêter, alors je continue, Très vite elle se met à haleter, puis à émettre de petits gémissements, elle raidit ses muscles et pratiquement sans préambule se met à jouir, en criant comme une dingue !

– Ah ! ben toi alors ! Dira-t-elle simplement !

Du coup je bande ! Pas de façon fantastique, mais je bande, mais c’est intérieurement que je suis le plus heureux des hommes ! Sabrina me prend ma quéquette et se met à la branler ! Pas évident !

– Laisse, tout va bien ! Je suis comblé ! Lui dis-je !
– O. K. ! On va y aller, demain je ne ferais pas mon dernier jour de stage, je vais te donner mon numéro de portable ! Appelle-moi quand tu veux !

Après une petite toilette intime minimum, nous avons pris le métro ensemble, puis on s’est séparé quand nos itinéraires le furent aussi… Gros bisous ! Je me suis peut-être trompé mais j’ai cru apercevoir une larme dans ses yeux, moi j’ai retenu les miennes…

Mais allez donc savoir pourquoi je sifflotais comme un pinson en prenant le métro quelques minutes plus tard ?

Estonius © juillet 2005

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5 réponses à Drôle de stage par Estonius

  1. Nina dit :

    Complétement politiquement incorrect !
    Tant mieux, j’adore ça !
    Merci Estonius d’avoir eu le courage d’écrire ça (et en plus c’est très excitant) 😜

  2. Domingez dit :

    Avec les mentalités actuelles, la nana porte plainte pour harcèlement et le type se fait virer

  3. Marylu dit :

    J’ai adoré ! J’adore tous les récits bien écrit qui foutent en l’air es préjugées et les idées reçues

  4. Sapristi dit :

    Superbe récit, bien écrit, léger et très excitant, un brin d’humour. je me suis régalé. Bravo à l’auteur

  5. Orlando dit :

    J’ai adoré ce récit, et même que j’en bande encore. (si, si, je vous assure !) Estonius est un excellent raconteur d’histoire.

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