Découvertes 7 – L’éducation de Clarisse – Punition ? par Fafalecureuil

Un message étrange de Gaëlle me demandait d’aller la voir rapidement. Un peu surprise, je me dirige vers sa chambre, je toque, elle vient m’ouvrir. Elle porte une nuisette de satin, sa peau de rousse contraste avec le noir du tissu.

– Entre…
– Que se passe t-il ?
– Je viens d’avoir ça…

Et elle me tend une photo où elle ne peut que me reconnaître, même si mon visage est caché… Je suis gênée, il faut dire qu’on me voit totalement offerte, les yeux bandés en train de me faire goder la chatte, et avec deux sexes en bouche…

– Ecoute… je ne
– Ne t’excuse pas, il n’y a pas de problème, simplement, une jeune fille est venue me remettre ça et m’a demandé de te donner un numéro de téléphone à contacter rapidement.
– Mais,
– Je n’en sais pas plus…
– Je peux appeler d’ici ?
– Bien sûr…

Et je composais le numéro, Gaëlle assise à côté de moi, sur le lit. C’était la jeune fille, je reconnus sa voix, elle voulait me donner quelque chose et me demandait si elle pouvait revenir à l’hôtel, mais pas dans ma chambre. Je demandais l’accord de Gaëlle et elle me promit d’arriver rapidement.

Gaëlle me demanda si je voulais un verre et elle se versa une vodka. Je trinquais avec elle, un peu inquiète de la suite des évènements.

– Tu sais, je ne sais pas ce qui m’a pris … je suis désolée…
– Ne t’excuse pas, tu avais l’air de prendre ton pied en tout cas !
– Oh, pour ça… j’en ai effectivement profité…
– Tu connais ces gens ?
– Euh… oui…
– C’est un club ?
– En quelque sorte, oui, c’est Jan qui m’a emmenée là-bas.
– Je ne l’imaginais pas comme ça…
– Moi non plus, mais ici, ils sont tous assez euh… libérés !
– Tant qu’ils prennent leurs précautions…

Deux coups brefs à la porte, c’était la jeune fille, les joues rouges, vêtue d’un jean et d’un t-shirt, elle me tendit sans un mot une grande enveloppe et m’expliqua que c’était les photos prises lors de la soirée ainsi que la bande vidéo filmée à mon insu. Elle m’avoua qu’elle les avait subtilisées pour que personne n’en profite. Puis elle m’embrassa sur la bouche et s’éclipsa.

Interloquée, je restais devant la porte. Gaëlle me demanda si tout allait bien. Je lui répondis que oui et je glissais l’enveloppe sous une veste. Elle me resservit un autre verre, je commençais à me détendre. J’imaginais déjà le haut de ses cuisses nues parcouru par mes doigts… Je chassais cette image de ma tête, Gaëlle était devant moi, les jambes croisées, sa peau…

– Fabienne ?
-…
– Tu vas bien ?
– Euh, oui, excuse moi, je suis perdue dans mes pensées, je crois que je vais me coucher…

Je me levais, pris l’enveloppe et Gaëlle m’embrassa sur la joue, je bouillais… et fermais la porte derrière moi.

Une fois dans la chambre, j’ouvris l’enveloppe, les photos prises dans la vitrine, les touristes étaient complices… à l’intérieur, mon corps offert, des photos de la jeune fille agenouillée à côté de moi, prise par plusieurs hommes à la fois, léchant leurs sexes poisseux. Je n’osais même pas imaginer la vidéo… Fatiguée, je cachais les photos dans ma valise et je m’endormis la main blottie entre mes cuisses.

Le lendemain, nous nous retrouvions au petit déjeuner, Gaëlle avait déjà bouclé sa valise, c’était notre dernier jour et son matériel photo était déjà prêt. Après avoir quitté l’hôtel, Jan passa nous prendre, cordial, sans un mot sur ce qui c’était passé hier, il nous emmena vers une usine de fabrication. Nous passâmes la matinée à voir des ustensiles et des gadgets de toute sorte, Gaëlle fit quelques clichés assez softs avec des filles spécialement venues pour l’occasion. Un peu jalouse, je restais à côté et discutais avec Jan de nos accords futurs.

L’après-midi passa de la même façon et je m’écroulais dans le siège de l’avion et m’endormis aussitôt, espérant qu’Anne viendrait nous chercher à l’aéroport…

L’avion atterrit et Anne m’attendais effectivement, ses tétons pointaient sous sa robe légère, elle était si désirable, comment tenir le coup jusqu’à la maison. Je l’embrassais sur la bouche, Gaëlle n’était pas surprise de notre relation, elle l’avait devinée depuis longtemps. Elle décida de prendre un taxi et au moment de lui faire une bise, j’effleurai sa bouche, elle fit semblant de ne rien remarquer mais je sentais son trouble. Elle se sauva, Anne me prit la main et me guida vers la voiture. Une fois assise, je l’embrassais langoureusement puis levais ma robe pour lui montrer mon clito distendu. J’avais ôté un des anneaux dans l’avion… Sans un mot elle se pencha et prit mon clito en bouche, me l’aspirant à m’en faire mal. Puis elle se releva, mit le contact et embraya. Elle m’obligea à lui raconter mon voyage dans les moindres détails et je fus forcée de convenir que je méritais une punition…

Arrivées dans le parking souterrain, elle défit les boutons de ma robe ouverte sur mon corps et m’obligea à monter ainsi, personne ne vint, ce qui m’arrangeait plutôt. Puis à l’intérieur, elle me dit d’ôter ma robe et de déballer les objets que j’avais rapportés. Elle prit rapidement des menottes et emprisonna mes poignets, puis alors qu’elle glissait ses doigts sur mon sexe, elle me pinçait les seins. J’avais envie d’elle mais elle était inflexible et lorsque la sonnette retentit, je compris que je ne devais pas bouger, Clarisse entra, suivie de… sa soeur ? Elle se ressemblait tant !!! Ca ne pouvait pas être autrement, nullement gênées, elles embrassèrent Anne sur la bouche. Elles portaient presque les mêmes vêtements, jupe ultracourte, body échancré et escarpins à lanières.

Anne me présenta à Chantal, qui me toisa du regard, Clarisse parut intéressée par les outils à sa disposition… Anne leur proposa de trouver de nouveaux jeux et j’étais à leur disposition. Elles s’installèrent dans le canapé et pour commencer, en bonne chienne, je dus leur lécher les pieds. J’y mettais beaucoup d’application et elles apprécièrent ce traitement. Puis Anne glissa la cassette dans le caméscope et lança la vidéo. Les commentaires ne tardèrent pas… je me fis traiter de pute, ce qui était loin d’être faux… Elles se gouinaient devant moi, m’interdisant de les toucher ou de me toucher, quel supplice, ensuite, elles enlevèrent les menottes qui m’emprisonnaient et me demandèrent de passer une robe de latex très échancrée et très courte, un collier de cuir muni d’un anneau ainsi que des escarpins à talons hauts. Puis ainsi vêtue je les suivis vers la voiture de Chantal, un grand break où un gros labrador attendait en remuant la queue, je m’assis sur le siège arrière dévoilant automatiquement mon sexe à mes voisines pseudo-jumelles qui entreprirent de me branler doucement en insistant sur mon clito distendu.

Anne conduisait, après une dizaine de minutes, nous étions dans un petit village, elle prit un chemin forestier et s’engagea. Elle stoppa après 500 mètres et je sortis, elle m’interdit de remonter la jupe dévoilant mon sexe et mon cul et me lia les bras dans le dos, puis deux laisses, une pour le chien et une pour moi, la chienne… Elles me promenèrent ainsi quelques minutes. Le chien évidemment colla sa truffe à mon entrejambes, curieux de savoir… Je sentais sa truffe froide et humide sur mes lèvres nues. Chantal tira sur sa laisse vivement, Clarisse donna une tape au chien et l’incident fut oublié. Puis Anne me força à m’accroupir et se mit en face de moi. Elle releva sa robe, son sexe me fascinait, les poils recommençaient à pousser, j’aimais son sexe, il était beau. Je savais ce qu’elle voulait, j’ouvrais la bouche… Elle explosa contre mes lèvres, je n’arrivais pas à tout avaler et le nectar brûlant coulait le long de mon visage. Les langues agiles de Clarisse et Chantal léchaient amoureusement ma peau jusqu’à mes seins qu’elles expulsèrent du latex qui les emprisonnait. Mon sexe bouillait je n’en pouvais plus. Anne sortit un appareil photo, prit des clichés alors que je me faisais lécher sous toutes les coutures par Clarisse et Chantal. Puis, elle détacha mes bras et le sexe et les seins à l’air, elle me promena comme une chienne docile. Elle attacha la laisse à un piquet de clôture et me fit enjamber une clôture de bois, dans cette position inconfortable, elle m’interdit de bouger, elle s’éloigna de moi, j’étais debout, en pleine campagne, on pouvait me voir à des centaines de mètres à la ronde. De plus en plus excitée, je me branlais discrètement. Le bois irrégulier frotté contre ma vulve trempée. En équilibre un peu instable je laissais mon sexe s’écraser contre le bois. Anne me regardait de loin et prenait des photos. Puis, elle disparut dans un champ de maïs en compagnie des filles, j’imaginais sans peine ce qui se passait… Quelques instants plus tard, Chantal sortit du champ, le sexe à l’air et se dirigea vers moi un épi à la main. Elle me fit descendre et me demanda de m’agenouiller avant de me mettre l’épi devant la bouche, inutile de dire qu’il avait visité tous les trous de mes compagnes, gluant et poisseux. Une fois nettoyé, elle prit la laisse en main et je la suivis dans le champ où Anne et Clarisse, nues, s’enfonçaient mutuellement un épi dans la chatte. Chantal me fit signe d’écarter les jambes et sans un mot elle enfonça l’épi dans mon sexe brûlant. Il n’était pas très gros et il disparut complètement en moi, seul un petit bout dépassait encore. Satisfaite elle m’embrassa, malaxant mes seins, les appuyant l’un contre l’autre. L’épi dans mon sexe me procurait des sensations agréables, l’aspect granuleux y était sans doute pour beaucoup. Chantal se plaça entre mes cuisses et ressortit l’épi puis le lécha comme une bite avant de me demander de me tourner. J’écartais les fesses spontanément et elle me lécha la raie longuement avant d’enfoncer sa langue, puis ses doigts dans mon cul. L’épi de maïs ne tarda pas, et entra avec quelques difficultés mais avec délicatesse, Chantal ne me fit pas souffrir. Anne et Clarisse me caressaient, maintenant, pinçant mes seins doucement, Chantal fouillait dans les rangées de céréales. Bientôt je sentis un épi énorme contre ma bouche, je le léchais, l’enduisant de salive sous les commentaires de mes amantes.

– On va te défoncer la chatte
– Lèche-le bien… comme une grosse bite

De plus en plus excitée, j’accueillais l’épi dans mon sexe progressivement, il était énorme et je sentais chaque centimètre de ma chatte écartelée. Pour que je ne crie pas, Anne plaqua ses seins contre mon visage, j’embouchais un sein et l’aspirais avec force. L’épi continuait sa progression jusqu’à la garde. Je me relevais et espérant enfin un peu d’attention, je dus suivre mes amantes. Marcher avec le sexe et l’anus comblés de cette façon était aussi délicat que délicieux. Après 100 mètres j’explosais, m’affalant sur le sol. Mes amies étaient obligées de me soutenir pour me faire rejoindre la voiture dans laquelle elles m’installèrent. Elles se rhabillèrent et montèrent. Le chien tirait la langue derrière moi, enfermé dans le coffre. Moi les seins à l’air, poisseuse, sale, un épi dépassant de ma chatte, j’espérais qu’elles me laisseraient me rhabiller sous peu, mais ça ne faisait pas partie de leur plan.

Avant de partir Anne demanda à Clarisse de sortir l’épi que j’avais dans l’anus, de peur de le voir disparaître… Elle s’y employa et le tendit à Anne. J’avais un peu honte, il était un peu sale et à ma grande surprise, Anne le mit en bouche et le lécha en me regardant dans les yeux. Je mouillais de plus belle lorsqu’elle mit le contact et s’engagea sur les chemins chaotiques où chaque bosse élançait mon con. Je n’étais pas au bout de mes surprises. Anne s’arrêta avant de remonter sur la route goudronnée. Une petite aire de pique-nique déserte située juste à côté attira son attention. Elle me fit descendre, il y avait un petit robinet d’eau potable et elle me demanda de quitter ma robe et de me laver, j’étais (un peu) cachée par la voiture. L’eau était froide et j’hésitais. Aussi, elle lia mes poignets à la galerie de toit, les bras écartés. Clarisse et Chantal ayant pour mission de me laver, elles remplirent deux bouteilles d’eau. Le contact de l’eau froide sur mon corps et plus particulièrement sur mes seins m’arracha un cri de surprise. C’était presque douloureux, mais je me décrispais sous leurs caresses rapidement. Anne prenait des photos lorsqu’un camion s’arrêta. Le chauffeur avait peut être tout vu depuis sa cabine… Anne se dirigea vers le camion stationné plus loin et après un moment un homme sortit et s’approcha de nous, dans le genre petit balèze, il écarquillait les yeux sur moi. Anne l’autorisa à me toucher autant qu’il voulait et il ne se priva pas, il pelota mes seins sans douceur, tâta mon cul puis il me branla un moment avec l’épi qui était toujours planté dans ma chatte. Sans un mot il me violait presque sous le regard de mes amies. Sur un signe d’Anne, Clarisse lui proposa un préservatif alors que Chantal détachait une de mes mains, me faisant tourner le dos à l’homme. Je voyais dans la vitre Clarisse embouchant un sexe recouvert de latex de taille moyenne. Puis Anne lui dit de m’enculer sous prétexte que je n’attendais que ça. Il s’y employa avec ardeur et me pilonna, il ne tarda pas à éjaculer. Il se retira, jeta le préservatif par terre, remercia Anne et s’éclipsa après avoir discuté à voix basse avec mon amie.

Mon supplice n’était pas fini, je sentis l’eau glacée sur mon cul et après 5 bonnes minutes de torture sous l’eau froide, je fus jugée propre. Je montais, nue, dans le coffre du break, à côté du Labrador tout content d’avoir de la compagnie. Chantal attacha le chien d’un côté et moi, de l’autre côté du vaste coffre. Les vitres teintées empêchaient les gens de me voir. Je serrais les cuisses, profitant de la présence de l’épi de maïs pour me donner du plaisir au gré des cahots du véhicule.

Anne stoppa dans le garage, elle nous fit sortir et je dus monter jusqu’à l’appartement tenue en laisse à côté de Spoutnik, le chien qui avait l’air de trouver ça drôle.

Une fois dans l’appartement, Anne me fit écarter les jambes et sous l’oeil de sa webcam, sortit l’épi de maïs de mon sexe béant. Puis, je dus lécher les pieds, puis les seins, le sexe et l’anus de mes compagnes avant qu’elles consentent enfin à s’occuper de mon plaisir. Elles déballèrent devant moi des jouets qui promettaient une soirée des plus mouvementées…

Je dus me présenter jambes écartées et bras en croix pour être caressée et léchée. Les filles placèrent sur mes tétons des touts petits cercles métalliques et les adaptèrent en serrant des vis sur les côtés. Je me cambrais pour les laisser accéder à mon anus, les langues de mes maîtresses se relayaient sur mon oeillet offert. Quel délice ensuite de les embrasser… Je retirais ensuite mes chaussures pour enfiler des bas résille, un porte-jarretelles sous les caresses d’Anne, une jupe fendue au ras des fesses, un body ne cachant rien de mes seins aux pointes ornées. Puis Anne se déshabilla et passa de nouveaux vêtements, bas noir, porte-jarretelles, jupe courte, chemise transparente, talons hauts. Elle se maquilla, elle faisait pute tout comme moi…

Peu surprise, je suivais Anne jusqu’à la voiture, Clarisse et Chantal restèrent à l’appartement. Sans un mot, après 15 minutes de route, la voiture s’arrêta sur un parking où plusieurs camions stationnaient. Anne et moi nous nous dirigions vers les poids lourds… une porte claqua, un routier sortit. Anne discuta avec lui, puis s’agenouilla, dévoilant son entrejambe, sortit un préservatif, et l’enfila sur un sexe dressé qui venait de jaillir. Puis elle suça cette queue tendue, regardant l’homme dans les yeux. Sa langue courait le long des couilles velues, elle le pompait avec force et il ne tarda pas à exploser. Anne se releva, ôta la capote pleine, la jeta dans une poubelle et prit le billet que l’homme lui tendit… C’était mon tour…

Je marchais vers un camion, la porte s’ouvrit, un gars énorme me sourit, un peu maladroite, je lui souris.

– Combien pour une pipe ?
– Euh… 50 euros…
– C’est cher, et pour la totale ?
– 100 euros…
– J’espère que tu assures…

Pour réponse, je posais ma main sur mon body, caressant mes seins. Lorsqu’il vit mes tétons ornés des petits bijoux de métal, ses yeux brillèrent, il m’invita à monter. J’escaladais les marches et me retrouvais assise à côté du gars.

– J’hésite… t’es chère…
– Alors regarde un peu… regarde comme je me caresse.

Et je caressais mes cuisses, écartant les jambes, passant ma main sur mon sexe humide. Je soulevais mon body et l’invitai à toucher mes seins… Il ne se fit pas prier et me pelota sans douceur, triturant mes bijoux dans tous les sens, ce qui eut pour effet de m’exciter. Je posais la main sur son entrejambe, rien de fameux… Bien que tendu, ça n’était pas Byzance… Je lui rappelai mon tarif et il choisit une pipe à 50. Je dégageai son sexe un peu chétif et entrepris de lui enfiler un préservatif tout en le branlant. Puis je le mis en bouche. Il était tellement excité qu’il explosa après quelques minutes. Il me reprocha de ne pas l’avoir fait durer et je décidais de lui octroyer un extra. Je me mis au-dessus de lui et je me branlais enfonçant mes doigts dans ma chatte. Puis, je m’accroupis, jambes écartées pour lui offrir une vue sur mon petit oeillet que je doigtais avec délice. Il avait retrouvé un peu de vigueur et je l’achevais en le branlant. Vidé, il me donna 50 euros et je m’éclipsais rapidement. Anne m’appela, elle était entre plusieurs hommes et les branlait doucement. Ils étaient cinq et la déshabillaient. En porte-jarretelles et talons hauts, elle me faisait mouiller, je m’approchais et elle prit la parole.

– Pour 150, on vous fait des trucs entres femmes…
– Quoi ?
– Tout !
– Pourquoi pas …

Je l’embrassais et elle me déshabilla doucement sous l’éclairage un peu glauque d’un lampadaire. Nos corps fusionnèrent, nos langues, nos mains disparaissant entre nos jambes sous le regard ébahi des routiers. Anne jouait avec les bijoux sur mes seins et les anneaux ornant mon clito. Puis, après une tournée de préservatifs, nous dégustâmes leurs queues bien dures. Un régal ! Ils ne tardèrent pas à vouloir nous prendre et nos chattes en feu furent rassasiées, remplies de tout côtés, nos culs, nos bouches furent visités sans relâche. Clou du spectacle, ils purent se finir sur ma poitrine écrasant leurs glands sur mes seins que je pressais contre ces bites inconnues. Anne entreprit d’étaler le sperme chaud et gluant sur mon corps en se frottant à moi. J’étais excitée mais je n’avais pas joui. Je ne me sentais même pas humiliée par la situation, ce que je faisais me plaisait ! Anne m’embrassa et peu après, empocha quelques billets. Alors que presque tous nos routiers s’en étaient retournés, deux hommes nous invitèrent à revenir chaque semaine à cet endroit. Anne leur répondit qu’elle y penserait et ramassa ses affaires. Sans se rhabiller elle se dirigea vers notre voiture, je fis de même. Elle passa au robinet et se rinça, puis elle me rinça avec douceur. Nous nous rhabillâmes et rentrâmes dans la voiture.

Anne me demanda si ça lui avait plu, je lui répondis qu’à ma grande surprise, je n’avais pas été intimidée et que j’étais prête à recommencer… Pour toute réponse, elle glissa ma main entre ses cuisses pour que je la caresse… Son sexe était humide et chaud, mes doigts massaient ses lèvres gonflées, s’enfonçaient en elle. Je détendis ma ceinture et plongeais mon visage entre ses cuisses, la conduite de mon amante devint suffisamment hasardeuse pour qu’elle me demande de patienter encore un peu. Je décidais donc de m’occuper de ma chatte et entrepris de me branler pour patienter et… exciter ma compagne.

Anne gara la voiture dans le garage, sortit de la voiture et sans un mot s’allongea sur le capot, jambes écartées. Je me penchais et me mis à lécher sa chatte baveuse, enfonçant bien ma langue en elle, et caressant son petit trou du bout des doigts.

-Défonce moi la chatte, Fabienne,
-Ici ?
-Oui, vas-y…

Et je présentais deux, puis trois et quatre doigts à l’entrée du sexe d’Anne, mon pouce passa lui aussi, Anne se branlait sur ma main, elle m’encouragea, j’avais un peu peur, j’avais de plus grandes mains que Clarisse… Anne prit mon poignet et me guida jusqu’à ce que ma main disparaisse dans sa chatte. Elle explosa après quelques secondes, son nectar coulant le long de ses cuisses, de ma main et de mon avant-bras. Je retirais ma main doucement et caressait mon amante extenuée. Après quelques instants, nous montions dans l’ascenseur. Les filles n’étaient plus là, après une douche réparatrice, je m’écroulais dans les bras d’Anne sous les draps frais.

Cette série a obtenu le 1er Prix de la meilleure saga pour l’année 2005

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Une réponse à Découvertes 7 – L’éducation de Clarisse – Punition ? par Fafalecureuil

  1. Irma dit :

    Pas mal tout ça, dommage que l’épisode du chien soit édulcoré.

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