Pourtant nous sommes mariés depuis 25 ans, et depuis toutes ces années, nous explorons, ma femme Clémentine et moi toutes les fantaisies qui nous passent par la tête ; nous avons découvert en voyageant sur le net, (et en découvrant Vassilia) que nous n’étions pas seuls, mais peut-être même des pionniers d’une sexualité « alternative » que certains culs-pinçés appellent des perversités, ou plus prosaïquement des cochonneries.
C’est pendant notre voyage de noce que mon épouse me fit découvrir les jeux de pipi d’une façon plaisante ; mas elle ne s’imaginait pas ce jour là de l’effet que cela me ferait et surtout que 25 ans plus tard, nous en prenons encore bien du plaisir.
Nous étions sur une plage d’une île paradisiaque, et avions dégoté une petite crique à quelque distance de la plage principale du village de vacance où s’entassaient les amateurs de bronzette.
Jeunes mariés, très surchauffés par la température ambiante (40 ° en janvier, c’est super !) et par des boissons exotiques (et locales), tout était bon pour se bécoter, se peloter et échafauder des plans très sexe pour le retour à la chambre.
Je me prélassais dans l’eau, et Clémentine, sur le sable en mini bikini jouait de ses rondeurs ; des seins gonflés (et très naturels), un joli ventre un peu arrondi, des fesses encore plus rondes, le tout bien huilé, brillant sous le soleil.
– Regarde, j’ai envie de toi
Nous étions seuls, et elle écartait les jambes plus qu’il n’aurait fallu, tournée vers la mer, vers moi. Et d’un doigt léger, elle caressait doucement son bas ventre à travers le fin tissu, l’insinuant doucement dans le sillon naturel de son sexe.
– Arrête de faire cela, je ne vais pas pouvoir sortir de l’eau !
– Ah bon, c’est pas grave, montre moi cela.
– Non, tu es folle, on pourrait nous voir
Les éventuels spectateurs étaient fort loin. Clémentine, d’un regard circulaire vérifia rapidement ce fait, se leva, s’approcha de l’eau et se mis assise sur le sable, tournée vers moi, les pieds dans l’eau.
Les petites vagues à chaque mouvement, remontaient le long de ses jambes, glissaient sur ses jolies cuisses bronzées et mourraient sur le triangle de tissu qui cachait bien mal son bas ventre, l’inondant et le collant à la fente de son sexe
Je savais ce qui se nichait sous la culotte, et imaginais cette belle fente mouillée, à la fois rose et noire par ses poils qui en garnissaient les lèvres.
(Je n’ai jamais été très amateur des chattes rasées, c’est une question de goût ! !)
Soudain Clémentine, un grand sourire à la clé, m’annonce qu’elle a un problème.
Les nombreux cocktails et les verres d’eau faisaient leur effet.
– J’ai envie de faire pipi, mais j’ai la flemme d’aller à la chambre.
– C’est pas loin pourtant, ma chérie ! ! Tu ne veux faire que pipi ?
– Ben oui, pourquoi ?
– Tu n’as qu’à faire dans l’eau, personne te verra.
Clémentine, vraiment très flemmarde, ne bougeait pas ; un peu « pompette » en plus, elle continua un moment à jouer avec les vaguelettes, à laisser l’eau lui couvrir le ventre à intervalle régulier, recommençant ses petits gestes sur son bas-ventre.
Avec des yeux que je devinais rieurs derrière les lunettes de soleil, elle commença à bouger régulièrement les jambes, les écartant, les refermant, et toucha de plus en plus le bas de son slip mouillé.
– Attends, chéri, j’ai une meilleure idée ; regarde.
Sans gêne, avec un naturel extraordinaire, Clémentine écarta une fois encore ses cuisses, je la vis saisir le fond de son slip de bain, l’écarter pour découvrir sa vulve poilue (juste ce qu’il fallait pour que cela ne dépasse pas le maillot, après une épilation adéquate faite avant notre départ)
– Regarde bien, je vais pisser pour toi.
Interloqué, mais très attentif, je fixais intensément l’entre jambe de ma femme ; de la main gauche, elle tenait la culotte, de la droite elle ouvrit avec l’index et le majeur la fente rose et luisante (de mouille ou d’eau de mer ?).
Je vis son ventre se contracter, et tout à coup, merveille des merveilles, un jet clair et dru jaillit de sa fente et vint mourir dans l’eau, à quelques dizaines de centimètres devant moi.
Cette merveilleuse vision dura quelques longues secondes, le jet se fit moins puissant, s’arrêta, puis après une contraction de la vulve, gicla une fois encore, puis une troisième fois avant de mourir dans les poils frisés ; je m’étais vite approché, et vis bien distinctement des gouttes de pipi s’accrocher dans les poils voisins du méat.
– Ça t’a plu, mon chéri ?
Clémentine, avec un sourire gourmand, remit le slip en place.
– Si tu es sage, tu en auras tout à l’heure un peu plus !
Inutile de vous dire que je m’étais mis à bander comme un fou, toujours assis dans l’eau. Je mis quelques longues minutes pour redevenir décent et pouvoir sortir de l’eau.
Je ne pensais qu’au spectacle inattendu de ma femme pissant devant moi, avec déjà l’envie de revoir, de toucher et même de goûter.
Je ne connaissais pas de films ni de bouquins sur ce sujet, je me suis posé un instant la question de savoir si cela était « normal » d’aimer cela.
Sans avoir de réponse à cette question, je décidais, avec la complicité de madame, d’explorer les délices du pipi partagé.
Le retour à la chambre fut fébrile ; Clémentine, consciente de mon trouble et de mon plaisir, fut joueuse et passablement sadique
Elle avala consciencieusement et malicieusement quelques verres d’eau pour se désaltérer, puis du thé, mais repoussa longuement mes avances.
Au moment où, excité, je me disposais à carrément la violer, elle me prit dans sa bouche, doucement, longuement, puis me branla brutalement et vigoureusement ; j’adorais regarder ses beaux seins danser au rythme de sa caresse, et enfin elle fit gicler mon sperme ;
à ce moment là, au début de notre mariage, elle n’aimait pas, et refusait d’avaler cette liqueur dont elle n’appréciait pas l’odeur.
– Viens dans la salle de bain.
Je la suivis, la queue encore bien dressée ; elle se mit debout dans la douche, les cuisses entrouvertes, le bassin en avant, d’une impudeur extrême.
– Tu veux boire ma pisse ? Rajouta-t-elle, un poil vulgaire.
Je m’agenouillais devant elle, approchais de son ventre, et ce fut le bonheur.
Une cataracte chaude et odorante s’écrasa sur ma bouche ouverte, sur mon menton ; j’ouvrais la bouche, lapais, avalais ce que je pouvais, lui saisissant les hanches, la tirant vers moi, lui pétrissant les fesses, les cuisses.
Levant les yeux, je voyais ses seins aux mamelons dressés, et son rire, sa bouche gourmande qui me disait
– Avale, avale mon cochon, avale tout ! !
Cela dura un temps infini, je restais sous la douche chaude jusqu’à la dernière goutte ; que c’était bon, un peu salé, tiède mais merveilleux quoi ! !
– Tu n’as pas envie toi aussi ?
– Si, mais je peux pas, je bande trop
– Calme toi mon chou, viens, embrasse moi.
Clémentine m’embrassa goulûment, longuement ; je la soupçonne maintenant d’avoir voulu indirectement goûter , sans oser le faire directement à ma source ; en effet après un long baiser, je débandais doucement ; Clémentine m’encouragea doucement
– Pisse moi dessus, vas-y
Et après quelques efforts, je me mis à uriner contre elle ; elle me saisit la queue, dirigea le jet chaud sur son ventre, ses cuisses, ses fesses en se retournant, ses seins ensuite en redressant la queue et en dirigeant le jet vers le haut.
Mais ce jour là, pas plus que le sperme, elle ne voulut goûter mon urine.
Ces souvenirs qui ne datent pas d’hier sont restés gravés dans ma mémoire ; qui a dit que les femmes étaient moins « portées sur la chose » que les hommes ?
Ma femme et maintenant la mère de mes enfants, partage ces moments de sexe débridés (et dit-on hors normes) depuis des années.
Encore maintenant, à plus de 50 ans, nous adorons nous faire ce plaisir, et ne craignons pas de choisir des endroits insolites pour se pisser l’un sur l’autre : dans des coins isolés de la campagne, sur des plages désertes, au bord de notre piscine, dans les douches ou les baignoires de nos amis, des hôtels ou simplement chez nous (mais c’est moins drôle ! !)
Nous vivons cette passion de l’uro avec bonheur, faites-en autant, ce n’est vraiment pas mauvais pour la santé ! !
Jean Marc