Tel est pris qui croyait prendre Un plat de résistance par Philippe25bi

Fidèle visiteur de votre site, je tiens à vous témoigner ce qui nous est arrivé à ma femme Véronique et moi même durant les fêtes de fin d’année.

Nous sommes mariés depuis 16 ans, trois enfants. Bi tous les deux, nous nous entendons merveilleusement sur le plan sexuel où nous avons une complicité de tous les instants. Mon épouse, petite, 38 ans, est pourvue de rondeurs que j’adore. J’ai 45 ans et pèse 130 kg. Ma femme adore mes rondeurs. Dans nos jeux sexuels, elle aime être, comme elle le dit, « très salope ». Elle adore les mots crus ainsi que les humiliations en tous genres.

Mais, jusqu’en décembre 2004, elle avait toujours refusé d’avoir des relations avec une tierce personne, même si pendant nos ébats, elle y faisait allusion. Nous nous autorisions des extra hors couple, mais jamais ensemble.

Un soir ou j’avais travaillé tard, je rentrais dans la chambre et la vis nue sur le lit, et me dit avoir compris « certaines choses ». Elle me fit part de son intention d’inviter un ami à manger un soir. Ceci me mit en émoi, car cet ami, André, 48 ans, réunionnais d’origine avec lequel je joue au hand-ball en vétérans, est quelqu’un que nous apprécions énormément, mais en plus, il possède un « jouet » énorme que je peux admirer régulièrement sous les douches d’après match. J’imaginais déjà sa queue pénétrant les trois intimités de Véronique avec délectation. Mon épouse me dit alors :

– « Je vois que tu es content, ce sera ton cadeau de Noël ».

Tout excité, nous fîmes l’amour comme à notre habitude, très fougueusement. Véronique, sachant mon péché mignon, me pénétra même avec son gode ceinture après avoir joui à deux reprises.

Le 26 Décembre au soir, André sonna à la porte et nous nous dirigeâmes tous les deux dans le salon. Véronique ne tarda pas à nous rejoindre dans une tenue qui me laissa interloqué une dizaine de secondes. Elle était en soutien gorge et porte-jarretelles rouge, un fouet en cuir à la main. Elle se dirigea vers moi et me dit d’un ton autoritaire:

– « le dîner c’est toi ! ».

Un peu gêné, je regardais André qui esquissa un sourire complice. Je compris rapidement que ce dernier était au courant et qu’ils m’avaient monté un petit manège qui allait à coup sur rester dans les « anales ». Puis Véronique m’invita à me déshabiller. Je me suis retrouvé nu en un instant, André fit de même. Véronique me lança sur un ton autoritaire :

– « A genoux chien, lèche moi les pieds ».

Je m’exécutais un peu timidement et mon épouse me fouetta les fesses. J’étais pris à mon propre piège et cela ne me déplaisait pas. Véronique connaissant mes penchants bi passif demanda à André de venir derrière moi. Mon épouse lança alors :

– « Tu vas enfin prendre dans les fesses ce que tu me mets depuis des années », et ajouta sur un ton tendre: « je suis sûre que ça ne va pas te déplaire ».

Je mouillais, la bite tendue au maximum, et André passa ses doigts sur ma queue pour s’en imprégner. Il me tapissa ensuite l’anus avec, et je sentis alors son pouce forcer l’entrée. Je poussais alors un petit cri. Il retira son doigt et s’approcha de ma croupe. Je me retrouvais vite avec la grosse queue d’André à l’entrée de mon anus. Il m’ouvra doucement le cul et sa bite s’enfonça lentement mais sûrement. Ça n’en finissait pas ! Je me sentais dominé complètement et cela me procurait un sentiment de soumission fort agréable. Je n’en revenais pas: j’étais en train de lécher les pieds de ma femme avec la grosse queue de 20 centimètres de mon meilleur ami dans les fesses. Il me besogna durant 2 bonnes minutes puis se retira.

Véronique avait mis son gode ceinture et se plaça à son tour derrière moi. Elle m’encula d’un coup en me traitant de « grosse salope, grosse truie, pute, etc. ». Puis elle m’ordonna de prendre la bite d’André. Elle était énorme. Je le gobais à fond. Une odeur salée se dégageait et il ne tarda pas à gicler son jus épais à grands jets dans ma bouche. Véronique m’ordonna

– « Avale tout, sac à sperme ! ».

Je m’exécutai alors. Toujours à quatre pattes elle pris ma queue et me branla. Je me vidais sur le tapis en moins de 30 secondes. Toute excitée, elle fit rebander André en le suçant. Celui ci la prit en levrette et la fis jouir violemment plusieurs fois alors que je me remettais de mes émotions dans le canapé. Nous finîmes la soirée dans la rigolade.

Véronique me demanda à un moment dans un éclat de rire ce que j’avais pensé du « plat de résistance ». Je lui ai répondu que j’étais à sa disposition pour une autre recette. André me confia, que souvent sous la douche d’après match, il fantasmait sur le fait de pouvoir me sodomiser. Ils avaient souvent partagés avec mon épouse et la sienne (Nathalie), lors de mes déplacements, leurs envies et aspirations sexuelles. Nous nous sommes promis de recommencer bientôt. Véronique me confia qu’elle avait pris un plaisir incroyable, et que cela l’avait rassurée pour les prochaines fois de savoir au préalable si j’étais près à accepter moi aussi ce que je lui demandais de faire depuis des années. Puis elle ajouta

– « La prochaine fois, Nathalie sera là ».

Je crois que nous nous préparons de bons moments en perspective. Je dois les remercier tous les trois pour leur complicité et ce cadeau merveilleux, et dire à ma petite cochonne d’épouse que je l’adore.

Je promets de vous raconter nos prochaines surprises.

Philippe -Doubs 25
philippe25bi@hotmail.fr

Ce contenu a été publié dans Confessions, Histoires, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Tel est pris qui croyait prendre Un plat de résistance par Philippe25bi

  1. Muller dit :

    La trame est bonne mais le développement bâclé ! Dommage

  2. Volmar dit :

    De l’initiation bisex classique, malheureusement top courte et sans surprise. Dommage c’est si bon la bite !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *