Découvertes 1 – Quatre amies… Par Fafalecureuil

Anne et moi sommes amantes, nous venons de quitter une maison où nous avons passé des moments très particuliers. Marjorie et son amie Alia nous ont initiées à des jeux très particuliers. Ces dernières quittent désormais la région et je les accueille chez moi avant leur départ. Anne est avec moi en voiture.

Anne semblait ravie de nos découvertes, elle posa sa main sur ma jambe. Je trouvais personnellement que nous avions été très loin et très vite. Tout se bousculait encore dans ma tête. Anne percevait mon trouble.

– Tu sais, je crois simplement que grâce à tout ça, je vois ma vie sous un autre angle.
– Moi je me demande si je ne suis pas devenue folle.
– C’est vrai, ça va vite, mais dans un sens, tout cela m’a fait un bien fou.
– Explique !
– Eh bien, avec Jean, je ne peux pas dire que j’étais malheureuse sexuellement, il était vraiment très attentif à mon plaisir, très doux. Il savait que je n’avais pas beaucoup d’expérience et il m’a persuadée de me relâcher pour profiter plus pleinement de nos rapports.
– Oui, je vois, et apparemment, ça a été très efficace, tu fais tout ça tellement naturellement.
– Et en plus j’en profite, je t’avoue que j’ai adoré ça. Pas toi ?
– Je ne sais plus trop, je crois que je me sens honteuse.
– Je te comprends, surtout après ce que nous avons fait sous la tonnelle…
– Oui, enfin, non, pas seulement… C’est simplement que j’ai parfois l’impression de ne plus être dans ma propre peau, comme si j’assistais à mes ébats. Et du coup je me laisse aller à faire des choses que je n’aurais pas faites en temps normal.
– Tu sais, je crois que c’est pour ça que tu aimes être soumise à Marjorie, elle t’ordonnait de faire ce que tu voulais mais que tu n’acceptais pas de faire de ton propre chef. Quand elle te disait de faire ceci ou cela, tu n’hésitais pas et je pense que c’est le signe que tu aimes te livrer.
– Me livrer ?
– Oui, te livrer, être un objet de désir et qui plus est, un objet de désir très très appétissant…
– Tu veux dire que je suis perverse ?
– En quelque sorte, oui un peu, tout comme moi, sinon nous n’aurions même jamais couché ensemble. Tous ces jeux de séduction auxquels nous nous sommes livrées.
– Oui, mais je n’étais pas attirée que par le sexe, mais surtout par toi !
– Moi aussi, Fabienne, j’étais et je reste attirée par toi, tu me plais, j’aime être avec toi, j’aime te faire l’amour. Et, aussi j’aime baiser avec toi, sans retenue, sans tabous.
– Et moi qui te croyais prude !
– Je l’étais peut-être… Tu sais ce qui m’a longtemps complexée, c’est que je suis une femme fontaine.
– Mais c’est une chance !
– Oui, maintenant j’en suis consciente, mais avant que Jean m’en persuade, j’étais plutôt prête à penser que c’était assez sale et gênant. Quand je me masturbais, les premières fois je croyais que j’urinais, en discutant avec des copines de lycée j’ai appris que seules certaines femmes jouissent de cette façon. Ca m’a rassurée un peu, même si j’étais un peu particulière, ça n’était pas horrible non plus. Et tu sais ça complique un peu mes ébats… Je jouis tellement facilement que parfois j’en mets partout.
– Oui, je comprends ça aussi.
– Jean m’a vraiment appris à aimer ça, il m’a convaincue de me laisser faire et me donnait des orgasmes en me doigtant ou en me léchant. J’étais encore un peu honteuse mais c’était tellement bon que j’acceptais de plus en plus souvent ses initiatives. Je lui rendais la pareille en le masturbant aussi. Et nous avons eu des orgasmes terribles rien qu’en nous masturbant mutuellement.
– Mais tu n’aimais pas la pénétration ?
– Si, mais avec les caresses, la dimension du jeu nous émoustillait plus. Et comme Jean est gâté par la nature, il me fallait des préliminaires parfois assez longs pour que je me détende.
– Quelle chance tu avais, je ne me rendais pas compte à quel point vous étiez proches.
– Oui, même si nous n’étions pas faits pour vivre ensemble, nous avons pris beaucoup de bon temps. En quelque sorte il m’a révélé que j’aimais le sexe et surtout il m’a convaincue que c’était un avantage ! Tu sais, je crois qu’il y a eu un déclic quand il m’a
– Excuse-moi, mais on est arrivées, tu me raconteras tout ça tout à l’heure ?
– Euh… bien sûr !

Je sortis de la voiture pour ouvrir le portail. Une fois la voiture garée, Anne et moi nous avons guetté l’arrivée de la camionnette. Le bruit de moteur ne tarda pas et j’indiquais à Alia l’endroit ou garer la camionnette. Marjorie et Alia sortirent quelques affaires du véhicule. Marjorie s’approcha de moi et déposa un petit baiser sur mes lèvres en me remerciant pour mon hospitalité. Je leur proposais de boire un pot. Assises sur le banc de la terrasse, Marjorie, Alia et Anne discutaient bon train lorsque j’arrivais avec quelques boissons et un petit en-cas. Alia avait descendu le zip de sa combinaison noire et laissait entrevoir un magnifique décolleté dans lequel Marjorie, et Anne ne manquaient pas de lorgner. Sur la table, 3 cassettes vidéo semblaient être le centre de la conversation.

– On ne peut pas les regarder alors ?
– Non, Anne, il te faut une caméra du même format.
– Dommage, j’aurais bien aimé nous voir…
– Bah, tu trouveras bien une caméra quelque part non ?
– Si, bien sûr, j’étais simplement curieuse.

Anne me sidérait, elle était quand même limite nympho. Son aplomb restait inchangé par les circonstances. Evidemment la conversation tourna rapidement autour de ce qui nous avaient réunies. Marjorie disait à Alia qu’Anne était une véritable fontaine.

– Quelle chance ! Je trouve ça excitant, surtout au moment de l’orgasme.
– Oui, même si c’est un peu gênant parfois….
– Tu me disais dans la voiture que tu avais eu un déclic, c’était quoi, tu peux nous le raconter ?
– Euh, oui…
– Et surtout sois précise !

Anne sourit et après avoir rapidement résumé notre conversation dans la voiture, se lança dans son histoire.

– C’est donc grâce à Jean que j’ai eu ce déclic, un soir nous avions passé une agréable soirée au resto, Jean m’avait demandé de porter des vêtements un peu plus sexy que d’habitude.
– Dis-nous quoi !
– Oh rien de terrible, j’avais mis des dim-ups, il adorait ça, une robe noire un peu plus classe et des chaussures à talons. Pendant le resto, il n’arrêtait pas de me faire du pied, me caressant dès qu’il en avait l’occasion. Je commençais déjà à être émoustillée, puis nous sommes rentrés et dans l’ascenseur. Il l’a bloqué entre deux étages puis après m’avoir embrassée, il a soulevé ma robe et m’a caressée en face du miroir, il me pelotait les seins, me touchait la chatte à travers mon string. Je pouvais voir ses mains sur ma peau, puis il a fait glisser mon string à mes pieds je voyais ma toison noire et ses doigts blancs qui entraient en moi c’était merveilleux. Il m’a tendu un de ses doigts et toujours face au miroir j’ai léché son doigt. Je sentais son sexe grossir contre mes fesses. Je me suis retournée et je me suis agenouillée face à lui et j’ai embrassé doucement la bosse qui déformait son pantalon. Jean s’est retourné pour que je puisse me voir dans le miroir. Je dégageais son sexe et le caressais doucement. A l’époque, je le suçais rarement et Jean qui adorait ça, ne m’avait jamais forcée à le faire. Il m’a demandé de le lécher et j’ai approché ma bouche de son gland. Puis j’ai déposé des baisers et des petits coups de langue le long de son sexe, Jean adorait ça et je décidais de lui faire plaisir en embouchant son gland. Il faut dire qu’il est bien membré et que je n’arrivais pas à le mettre en entier dans ma bouche. Jean m’a demandé de me caresser en même temps et je glissais une main directement sur mon sexe pour me caresser. Puis Jean m’a demandé de ne plus bouger et de regarder le miroir. Je me voyais à genoux, une belle bite dans la bouche, le cul à l’air et une main sur ma toison. Avec mes dim-ups, je me trouvais presque un peu pute et Jean, au contraire, m’a dit simplement que j’étais belle quand je prenais du plaisir…
– Ca c’est vrai, je confirme, et Marjorie peut en témoigner aussi !

Je commençais à être un peu émoustillée, je voyais la main de Marjorie sous la table et je me doutais de l’endroit où elle était posée. Pour ne pas être en reste, j’enlevais mes chaussures et sous la table je fis du pied à Anne qui visiblement n’attendait que ça.

– La suite ! Raconte-nous, on veut des détails !
– Euh, oui, ensuite, j’étais comme obnubilée par cette image, j’étais subitement consciente que j’étais cette femme aux longs cheveux noirs qui suçait un homme dans un ascenseur. Je bougeais, l’image bougeait, je sortis le sexe de Jean de ma bouche et je me mis à le lécher en me regardant faire. Je voyais ma langue tourner autour de son gland, ma bouche aspirer ce membre tant que je le pouvais. Je le sentais grossir et Jean, m’a demandé de ralentir la cadence pour qu’il puisse s’occuper de moi. Je me suis redressée et toujours face au miroir Jean s’est accroupi entre mes cuisses et m’a littéralement dévorée. Je n’en pouvais plus, sa langue me fouillait, ses doigts étaient partout. Et je me voyais les jambes écartées, en équilibre, me faisant lécher par un homme. Je ne sais plus, mais je crois que je l’ai même supplié de me pénétrer, j’étais hors de moi, je voulais qu’il me baise, ici, dans l’ascenseur. Il s’est relevé, je me suis tournée pour me mettre en levrette et Jean a pointé son sexe contre ma chatte. Il allait doucement pour ne pas me faire mal. Je lui ai dit de ne pas bouger et c’est moi qui me suis empalée sur sa queue. D’un seul coup je l’ai senti en moi, il me remplissait totalement, c’était absolument divin. Je me voyais dans la glace, chancelante, haletant sous ses coups de boutoir, la jouissance se lisait sur mon visage, sur tout mon corps. Il ma tringlée pendant un moment avant d’exploser dans ma chatte. Puis il m’a embrassée et m’a dit que la soirée n’était pas terminée.
– Oh ! Ne nous fais pas languir !

Alia et Marjorie s’étaient rapprochées et se caressaient mutuellement. Moi, je n’en pouvais plus et me glissant à côté d’Anne j’entrepris de l’embrasser doucement dans le cou.

– Après, Jean a débloqué l’ascenseur, j’ai ramassé mon string et nous avons foncé vers notre appartement. Une fois à l’intérieur, il m’a emmenée au salon et m’a installée sur le canapé, puis il a cherché un miroir sur pieds dans le bureau et l’a placé en face de moi. Il m’a dit qu’il était très excité et qu’il aimerait que je me caresse. Je me suis donc caressée, relevant ma robe sur mon ventre. Je me voyais les jambes écartées, mes doigts s’insinuant dans mon sexe gluant de mouille et de sperme. Jean s’approcha de moi, il s’était déshabillé et il retira ma robe me demandant de continuer. Il me suçotait les tétons, caressait l’intérieur de mes cuisses sans jamais toucher mon sexe. Puis il me demanda ce que je voulais qu’il me fasse. Je n’osais pas répondre, et sans un mot il s’est allongé à mon côté et a approché son visage de ma chatte. Il m’a encore une fois fouillée avec ses doigts et sa langue, et je voyais dans le miroir que moi et lui, nous prenions beaucoup de plaisir. Il me donna un orgasme incroyable et à ma grande surprise il plaqua sa bouche sur mon sexe. Il m’a bue, puis gardant mon jus en bouche il s’est approché de ma bouche et je l’ai embrassé, il a partagé le fruit de ma jouissance avec moi. Je me goûtais et j’ai adoré ça. Je lui ai demandé de s’asseoir puis agenouillée à côté de lui je l’ai sucé comme je ne l’avais encore jamais sucé. Je prenais sa queue dans mes mains, je le masturbais, je le léchais, je le suçais, j’ai léché ses couilles remontant le long de son sexe. De temps à autres je me regardais faire dans le miroir et ça m’excitait encore plus. Je n’ai pas tardé à sentir son sexe grossir et il m’a fait signe qu’il allait venir. Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai continué à l’aspirer en avalant son gland. Il a explosé dans ma bouche, j’étais surprise par la quantité de foutre et je suffoquais, mais j’ai essayé de tout avaler. Le goût m’a plu aussi, il n’avait jamais éjaculé dans ma bouche et je regrettais presque de n’avoir pas essayé plus tôt. Le sperme coulait de ma bouche, Jean l’a étalé sur mes seins en les malaxant. Je me voyais luisante de mouille et de sperme dans le miroir et je crois que là, j’avais définitivement changé de point de vue. Jean m’a amenée à aimer mon côté lubrique et depuis je l’assume !
– Il faudra que tu nous le présentes !
– Oh je crois qu’il est avec quelqu’un d’autre et même s’il est assez cochon, il est fidèle…
– Ah, ça on ne sait jamais !

Je laissais les trois filles sur la terrasse pour aller refaire un peu de café. Revenant sur mes pas, je jetai discrètement un œil sur l’évolution de la soirée. Alia était face à Marjorie qui lui dézippait maintenant sa combinaison. Ses seins superbes et pointus ne tardèrent pas à attirer la bouche de son amante qui fit un signe à Anne. Cette dernière ne se fit pas prier et s’approcha des deux femmes et lécha doucement l’autre sein couleur d’ébène. Alia se redressa pour quitter son pantalon, elle était maintenant nue et Marjorie et Anne se déshabillèrent mutuellement en s’embrassant. Le spectacle était magnifique, les peaux très blanches contrastaient avec la peau d’Alia. Les mains touchaient palpaient, caressaient et je ne tardais pas à glisser ma main sous mon pantalon. J’avais une idée en tête et je montais rapidement pour changer de vêtements. J’enfilais des dim-ups noirs, des chaussures à talon, une petite jupette noire et une chemisette blanche. J’hésitais à me servir des pinces ou d’autres ustensiles mais me rappelant que je les avais emmenés plus tôt, je n’en disposais pas de toutes façons. J’avais l’air d’une soubrette, mon collier de métal toujours cadenassé autour de mon cou. Satisfaite du résultat je gagnais la cuisine. J’y trouvais quelques ingrédients nécessaires à la bonne poursuite de la soirée et posais le tout sur un plateau.

Je retrouvai Alia et Marjorie enlacées, Anne était entre leurs jambes et passait de l’une à l’autre leur faisant une magnifique démonstration de ses talents. Je m’avançais et déposant le plateau sur la table, je leur dis que j’étais à leur disposition. Anne se leva et m’embrassa langoureusement, Alia et Marjorie s’approchèrent de moi et commencèrent à me caresser. Trois paires de mains s’activaient sur mon corps et sous ma jupe et mon chemisier. Anne jeta un œil sur le plateau et avisant Alia et Marjorie leur demanda de se tenir debout devant elle. Elle se saisit d’une bombe de chantilly et avec un plaisir manifeste et partagé tartina avec application le corps de nos amies. Puis Anne fit de même en s’enduisant de crème et me dit :

– Tu sais ce qu’il te reste à faire ? Mais attention, rien qu’avec la langue !
– Oh, oui ! Avec plaisir

Et sans hésiter je plongeais vers ses corps, léchant habilement les seins, les ventres, les cuisses, de mes amantes. Alia me demanda d’arrêter puis elle indiqua à Anne et Marjorie de se mettre à quatre pattes sur la table. A son tour elle prit la bombe et recouvrit leurs fesses de crème. Anne et Marjorie écartèrent les jambes pour qu’elle puisse aussi recouvrir leurs chattes brûlantes de crème sucrée. Plaçant l’embout directement dans leurs sexes elle appuya doucement et les fourra de crème, j’étais impatiente de les lécher, et je me précipitais vers ces fesses appétissantes sous le regard d’Alia. J’aspirais leurs chattes où le goût de la chantilly se mélangeait de plus en plus à celui de la cyprine. Puis Alia se mit à quatre pattes, se cambra et demanda à Anne de lui écarter les fesses et à Marjorie de garnir le plat pour leur soubrette préférée. Mon amie sépara les deux globes charnus en me jetant un regard de convoitise. Marjorie s’appliqua, elle enduisit les fesses, le sillon, le sexe de son amie avec soin et comme elle introduisit l’embout dans le sexe puis dans l’anus d’Alia pour la remplir de crème.

Je n’hésitais plus une seconde et léchais avidement la crème le long du sillon allant jusqu’au clitoris gonflé d’Alia mais sans m’attarder. Une fois propre, je ramenais du bout de la langue la crème vers son anus et son sexe. Alia gémissait de plaisir sous mes petits coups de langue. Je l’excitais encore plus en plongeant ma langue dans son sexe en feu. Elle était délicieuse, son odeur intime un peu musquée me faisait chavirer, je l’achevais en enfonçant ma langue dans son anus. Alia jouit brusquement et je continuais à la goûter, alternant entre sa chatte et son cul. Ensuite, Marjorie et Anne me demandèrent le même traitement, la bombe de chantilly étant vide, elles la remplacèrent par du Nutella. La couleur était moins appétissante mais devant mon hésitation, Alia me fit signe, elle m’observait. Je lui obéis et commençais par les fesses de Marjorie qui m’encourageait en se cambrant. Elle ne tarda pas à jouir sous mes coups de langue et je pus enfin m’occuper d’Anne, me réjouissant à l’avance de savourer le fruit de son orgasme. Pour ma plus grande déception, au moment où Anne allait exploser, Alia m’écarta et avec Marjorie elles doigtèrent Anne pour la faire jouir. Je voyais avec envie ces doigts noirs et blancs qui s’activaient dans sa chatte, son cul. Alia rapprocha un grand verre du sexe d’Anne ne résista que quelques instants avant d’éclater. Alia remplit presque à ras-bord le verre avec le nectar d’Anne puis le posa sur la table en m’interdisant d’y toucher. Puis après elle m’allongea sur la table et elles s’occupèrent toutes les trois de moi. Anne avait rapporté les légumes et après m’avoir fait lécher une carotte de belle taille, elle me l’enfonça dans l’anus. Alia avait défait les boutons de ma chemise et me pinçait les seins, mordillait mes tétons, Marjorie à califourchon sur mon visage m’offrait son intimité et Anne alternant ses doigts, sa langue et quelques légumes judicieusement choisis me goda comme une folle. Puis les trois femmes changèrent de place. Alia me goda avec une courgette énorme en pinçant mon clito. J’étais aux anges, je ne savais plus qui me faisait quoi ma bouche, mes seins, ma chatte et mon cul étaient à leur merci et je ne tardais pas à être secouée par un orgasme dévastateur. Marjorie me fit nettoyer tous les objets qui avaient visité mes trous, puis je me relevais, titubante, Alia me tendit le grand verre et me recommanda de partager. Je bus avec délice le précieux nectar avant d’embrasser tour à tour mes amantes. Puis, je leur indiquais la chambre où nous nous écroulâmes, harassées et enlacées.

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Une réponse à Découvertes 1 – Quatre amies… Par Fafalecureuil

  1. Jansen dit :

    Quelle orgie mes amis, quelle orgie!

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