Chanette 25 – Football – 8 – Manipulation obscène par Chanette

Chanette 25 – Football – 8 – Manipulation obscène par Chanette

Ingrid s’amusa du sens aigu qu’avait Geneviève Caruso de la mise en scène. Son bureau était encombré de feuilles de papier provenant de son ordinateur ou écrites à la main, la dernière édition du Monde ouverte à la page de la politique intérieure trônait en évidence ainsi qu’un livre dont le titre lui importait peu.

– Voilà, je fais une série d’articles sur les nouveaux mouvements féministes en m’efforçant de faire une sorte de portrait de leurs dirigeantes. Commença Ingrid.
– Oui, c’est ce que vous m’avez dit au téléphone, et vous avez vu qui jusqu’à présent ?
– Personne, je commence par vous !

Caruso regarda Ingrid avec des yeux glacés.

« C’est pas gagné ! »

Elle avait préparé ses questions, s’apprêtait à les poser, se demandant maintenant qu’elle était au pied du mur si elle n’avait pas surestimé ses capacités.

Caruso répondit à la première question avec suffisance et cuistrerie, Ingrid prenait des notes ou plutôt faisait semblant d’en prendre puisqu’elles ne serviraient jamais.

– Vous n’enregistrez pas ? S’étonna Caruso !
– Non je note l’essentiel !
– Autrement dit c’est inutile que je vous fasse une réponse aussi complète ?
– Au contraire, ça me permet de synthétiser.
– J’aurais un droit de regard sur votre texte avant publication, j’espère ?
– Cela va de soi, ce sont les usages !
– Bon, question suivante !

« Je ne vais pas y arriver ! »

– Euh, juste une petite parenthèse, j’ai assisté à votre pièce, avant-hier soir, j’ai beaucoup apprécié !
– Je sais je vous ai remarqué, vous étiez l’une des rares personnes à m’adresser autre chose que des applaudissements de politesse.
– Les gens n’y comprennent rien !
– C’est vous qui n’y comprenez rien !

Ingrid restait comme une idiote devant cette répliqua inattendue, son visage ne croisant que l’expression repoussante de sa suffisance et de sa laideur.

– Je sais pas moi, j’ai bien aimé !
– Vous avez aimez quoi ? Le texte ou l’interprétation ?

Et là, Ingrid eu l’intelligence de comprendre.

– Le texte bien sûr !
– Ah ! J’aime mieux ça ! Parce que pour l’interprétation, cette conne de Cécile, elle est passé à côté du rôle !
– Celle qui joue le rôle d’Arabella ?
– Oui, elle a été nulle à chier, on me l’a proposé pour remplacer au pied levé une copine qui… Enfin peu importe !
– C’est dommage de massacrer un aussi beau texte ! Ajouta Ingrid qui n’était pas à une hypocrisie près !
– Oui, je suis assez fière de moi, mais j’aurais dû mieux travailler l’avant dernière scène, mais j’ai manqué un peu d’inspiration sur ce coup-là !
– Faut peut-être enlever des répliques, laisser les visages s’exprimer en silence ?
– Vous avez déjà fait du théâtre ?
– Bof, des petits rôles dans des pièces de boulevard. Mentit prudemment Ingrid.
– Moins de mots, vous en avez de bonnes, vous, je ne peux pas tronquer mon texte quand même ?
– Si vous le faisiez réciter par une voix off, cela laisserait de la spontanéité aux personnages.

Ingrid en arrivait à dire n’importe quoi de ce qui lui passait par la tête ! Mais l’idée séduisit la mère Caruso !

– Mais c’est génial ce que vous me dites là ! Pourquoi n’y ais-je jamais pensé ?
– On ne peut pas penser à tout…
– C’est ça l’idée, je trouve quelqu’un pour remplacer Cécile et j’introduis une voix off. Permettez, je passe un coup de fil.

Et la voilà qui téléphone au régisseur du théâtre, et fait annuler la représentation de ce soir !

– Tu me trouves un motif bidon, demain tu réunis tout le monde deux heures avant la représentation, on va changer une scène. Et tu me vires Cécile, demande à Farah de la remplacer…

Elle raccroche, ravie comme un gosse à qui on vient de réparer son jouet

– Oh, que je suis contente ! S’exclame Geneviève Caruso, tu ne peux pas savoir le service que tu viens de me rendre.

« Le poisson est ferré, mais comment concrétiser, maintenant ? »

– Il faut que je te remercie ! Continue la féministe qui désormais la tutoie ! Tu permets que je t’embrasse.
– Avec plaisir ! Répond Ingrid

« Berck, je vais vomir ! ».

Baiser chaste, le contraire eut été surprenant au stade de ce jeu pervers.

– Hum ! Tu as la peau douce : lui dit Ingrid sans en penser un seul mot.
– Ah ? C’est quoi ton orientation sexuelle ?
– Les femmes !
– Lesbienne ?
– On peut dire ça comme ça !
– Depuis toujours ?
– Sans doute mais je ne n’en n’avais pas conscience, j’ai été en couple avec un mec, ça a bien marché pendant quelques mois et puis j’ai rencontré une nana, ça a tout changé.

Ingrid se rendit compte qu’elle était en train de lui débiter le scénario de sa pauvre pièce de théâtre. Il lui fallait rectifier le tir.

– Comme dans la pièce, alors ? Remarque fort inopinément Caruso.
– Non, parce que mon ex n’était ni con, ni violent, mais j’en avais marre, je me suis pas trop posée de questions, je ne m’en suis pas posée non plus quand la nana m’a foutu dans son lit. En fait je me fous des explications à la « psy » et je me fous des étiquettes.

« Juste ce qu’il faut comme désaccord pour que la conversation se poursuive sans heurts ! Je me trouve géniale parfois ! »

– C’est pourtant pratique, les étiquettes, ça permet de savoir à qui ou à quoi on a affaire. Cru bon de faire remarquer Caruso.
– Je m’en suis passé jusqu’ici !
– Imagine la boutique d’un caviste sans étiquettes sur les bouteilles de vin, on ferait comment ?

« Quelle comparaison à la con ! »

– Evidemment !
– Tu vois !
– Mais certaines étiquettes sont trompeuses !
– Ça peut arriver, je te le concède, tu vois qu’on va finir par être d’accord !
– Hum
– Dis-moi, t’es en couple en ce moment ?
– Non !
– Rupture ?
– Non, ma compagne a trouvé un poste à l’étranger.

« Bon, c’était le préalable pour qu’elle me drague, elle va faire quoi maintenant, parce que pour l’aider, ça ne va pas être évident ! »

– Et toi t’es en couple ? Lui demande Ingrid au culot.
– Non, j’ai rompu, cette pétasse m’a trompée avec une morue.

« Amis de la poésie, bonjour ! »

– Tu ne tolères pas les écarts ?
– Non, l’amour c’est sacré, on ne trompe pas l’autre uniquement pour jouir, c’est ce qui nous différencie des mâles prédateurs !

« Bon, flattons-la dans le sens du poil ! »

– J’aime les gens de conviction comme toi,

Geneviève Caruso ne répond pas mais affiche un sourire béat.

« Allez, j’en rajoute une couche ! »

– Je crois que dans les rapports amoureux entre les gens, le physique joue un rôle, mais ce n’est que temporaire, ce qui est fondamental c’est la communion de pensées.

Caruso retient sa respiration.

« Ça y est, elle va oser ! »

– Eventuellement, je dis bien éventuellement, je t’intéresserais un peu ?
– Je crois bien, oui !
– Approche toi un peu.

« Et voilà le travail ! Du moins la première partie, parce qu’il reste encore du boulot ! »

– Je ne voudrais pas qu’il y ait d’ambiguïté, dans les rapports amoureux, je suis plutôt dominatrice, c’est peut-être pour cette raison que ça marchait moyen avec mon mec !
– Ça ne me dérange pas,

Ce qui vérifie l’aphorisme « Dominant dans la vie, dominé dans le lit »

L’instant d’après les deux femelles se roulait une pelle. Ingrid du prendre énormément sur elle pour surmonter sa répulsion et éviter le haut de cœur !

« Allez, on va dire que c’est une épreuve que je m’inflige ! »

– Je te montre ma chambre ?
– Volontiers

Une chambre sans caractère, avec au-dessus du lit une peinture bien moche de Sonia Delaunay.

Ingrid chercha un commentaire bien hypocrite à faire sur cette croute, mais y renonça, il y a tout de même des limites à l’hypocrisie.

– Tu aimerais que je te domine, tu aimerais être ma chose ?
– Pourquoi pas, du moment qu’au final, tu me fasses jouir !
– Alors déshabille-toi, on va jouer !
– Et toi tu ne vas pas te déshabiller ?
– Si, mais seulement quand je voudrais !

Caruso sembla hésiter. Ingrid se dit qu’elle aurait dû accepter de se déshabiller, si l’autre revenait en arrière, elle se retrouverait coincée.

– Si tu es une bonne soumise, je serais ta récompense, je te laisserai me caresser et m’embrasser partout.

Du coup Caruso retrouva le sourire.

– Partout, partout ! Répéta Ingrid histoire de bien enfoncer le clou !
– Alors on y va !

« Ouf »

Sans être un canon, elle en était même fort loin, Geneviève Caruso, à poil, n’était pas si moche, disons qu’elle était en fait désespérément quelconque, pas moche, mais pas très attirante non plus sans doute parce qu’on ne pouvait difficilement faire abstraction de sa sale tronche.

« Qu’est-ce que je vais en faire ? » se désespéra Ingrid, qui finit par se dire que le mieux serait sans doute de lui demander.

– Qu’est-ce que t’aimerai que je te fasse ?
– En voilà une question, tu manquerais d’imagination ?

A ces mots Ingrid change de tactique !

– Mets-toi à quatre pattes, saloperie, je vais t’apprendre à me parler sur ce ton !

Miracle, la Caruso obtempère ! Ingrid cherche autour d’elle un objet contendant, trouve une paire de mules, en prend une et s’en sert pour rougir le derrière de la militante féministe.

– Tiens salope ! Tiens charogne ! Tiens punaise !

Ingrid avait failli lui dire « Tiens mocheté », mais se garda de proférer des qualificatifs renvoyant à sa victime consentante, l’ingratitude de son physique.

Quand les fesses furent bien rouges, Ingrid envoya valser la mule à l’autre bout de la pièce.

– Tu vois, la mule, tu vas aller la chercher à quatre pattes et tu vas me la rapporter avec les dents comme la bonne chienne que tu es !

Ingrid se demanda si elle n’allait pas trop loin mais l’autre se préta tellement au jeu que quand elle revint avec la mule entre les dents, elle la renvoya une autre fois afin de rejouer la scène.

– Maintenant, mets-toi à genoux sur le lit, les mains sur la tête et tu ne bouges plus !

Ingrid lui gifla les seins, puis attrapa les tétons qu’elle pinça, tordit, tira, provoquant chez la soumise une très vilaine grimace. Puis elle se débarrassa de tous ses vêtements du bas.

– Descend de ce lit, tu vas maintenant me baiser les pieds, voilà comme ça, lèche le gros orteil, prend le dans ta bouche, suce-le comme si c’était une petite bite.
– Ah non ! Se rebella soudain Caruso !

Un instant déstabilisée, Ingrid su redresser la situation !

– Dis donc petite peste, je te rappelle qu’on est dans un jeu de rôle, je te rappelle aussi qu’au bout il y a une récompense, alors tu suces mon gros orteil comme je te l’ai demandé et tu me fais pas chier !

Ça passe ou ça casse… mais c’est passé !

– Bon allez, tu ne sais pas lécher les pieds, il faudra que je t’apprenne, mais pas aujourd’hui, lèche-moi le cul en attendant, et attention pas de chiqué je veux sentir ta langue fouiller dans mon trou à merde.

Et contrairement à l’épreuve précédente, Caruso s’acquitta fort bien de cette dernière demande et ne s’arrêta que quand la langue fatigua.

Ingrid n’eut aucun mal à s’apercevoir que sa partenaire moullait à présent comme une éponge.

« Bon, je fais quoi maintenant ? On a assez joué ! Je suis bien obligée de lui donner ce que je lui ai promis, l’objectif c’est bien de la chauffer à fond ! »

Il y avait cependant un problème, l’excitation n’étant pas vraiment au rendez-vous, Caruso qui fatalement finirait par lui lécher la chatte risquait de la trouver peu humide. Ne s’embarrassant pas de détails, Ingrid se força à faire quelques gouttes de pipi, il en coula un peu sur ses cuisses qu’elle essuya d’un revers de la main.

Alors Ingrid finit de se déshabiller, s’accroupit sur le visage de Caruso, lui faisant respirer les effluves de son cul, puis elle se coucha sur le lit, les jambes écartées.

– T’as été une bonne soumise, si tu veux ta récompense, je suis à toi !

Alors l’autre n’hésita pas une seconde, se jetant sur sa partenaire comme l’aigle sur sa proie, tout y passa, léchage et tripotage des seins, des cuisses et bien sûr roulage de pelle pendant lesquels Ingrid dû invoquer on ne sait quels fantasmes pour ne pas tourner de l’œil.

Caruso se réserva la chatte pour le dessert, l’odeur d’urine ne sembla pas la gêner ou du moins elle n’en fit point paraître. Et surprise, elle léchait plutôt bien, et Ingrid qui se demandait comment simuler n’eut pas besoin de le faire, mais elle força néanmoins quelque peu la dose.

Restais le plus éprouvant pour Ingrid, lui rendre son plaisir. Prenant son courage à deux mains, elle plongea sa langue dans la chatte dégoulinante et accomplit le travail. Il lui suffit de s’imaginer qu’elle léchait Pénélope Cruz, ça allait tout de suite mieux !

– T’aimes ça être humiliée ? Lui demanda-t-elle tandis qu’elles se rhabillaient.
– C’est un jeu, ça défoule !
– Et qu’est-ce qui t’humilierais encore plus ?
– Je sais pas, des trucs un peu scatos par exemple !
– Bonne idée, mais on peut faire mieux !
– J’ai quand même quelques blocages de principe, la zoo c’est dégueulasse parce que ça s’apparente à de la maltraitance animale.
– Si je te fais lécher la chatte par un Yorkshire, je ne vois pas bien où est la maltraitance animale ? Mais rassure-toi, je ne pensais pas à ça !
– Je sèche !
– Et si je t’obligeais à sucer une bite ?
– T’es compléteront folle ?
– Pourquoi, comme humiliation c’est pas mal, et moi ça va m’exciter de te regarder faire ça, après je te prendrais dans mes bras pour te consoler et pour me faire pardonner d’avoir été trop vilaine avec toi !
– Pas question !
– Bon tant pis, on laisse tomber, ça m’apprendra à avoir des fantasmes pouraves. Bon c’est pas grave, on aura passé un bon moment.
– Tu vas me laisser, alors ? Demande Caruso avec des trémolos dans la voix.
– Ben oui, autant se séparer tout de suite, ce sera moins douloureux que si on avait eu une longue liaison.
– Tu n’as pas fini ton interview !
– Suis plus très motivée !
– Bon, ben tant pis !

« Moment fatidique »

– C’est un peu con, quand même ! Balbutie la Geneviève.
– Je trouve aussi, mais bon, c’est comme ça, c’est comme ça !
– Attends, admettons que j’aurais accepté, tu m’aurais fait faire quoi ensuite ?
– Ensuite on serait revenus à des choses moins trash, c’était juste un truc pour tester tes limites !
– Alors d’accord !
– Tu veux le faire ?
– Dans ces conditions, oui !

Samedi

Ce ne fut pas évident pour Ingrid de convaincre François de participer à cette mascarade.

– Ça va te prendre cinq minutes tu te laisses sucer, c’est son fantasme a cette pauvre fille, elle est moche, mais elle a bien le droit de s’éclater, non ?
– Mais c’est qui ?
– L’amie d’une amie, c’est assez compliqué, disons que c’est un échange de service.
– Mais ça va m’apporter quoi ?
– D’abord ça me rend service, c’est pas si facile à trouver, j’aurais pu prendre un gigolo, mais c’est pas donné ! Ensuite si tu le fais, je te promets une super séance avec moi avant ton départ. Tu pourras tout me faire… dans les limites du raisonnable, bien sûr.

La mise en scène fut fort simple, comme l’autre fois, Ingrid fit accomplir à Caruso quelques pitreries afin de la chauffer. Dix minutes après elle la menottait, nue sur une chaise en l’affublant d’un carton blanc porté en collier sur lequel était indiqué : « C’est moi, la salope qui suce des bites ». Il ne restait plus à François, portant un masque de Mickey, qu’à intervenir afin de se faire prodiguer une fellation pendant qu’Ingrid prenait des photos avec son téléphone portable.

Une fois sa mission accomplie, l’homme s’en alla discrètement.

– Bon alors maintenant on ne joue plus ! Je suis désolée d’avoir fait ça parce que tu es sans doute plus à plaindre qu’à blâmer, mais la méchanceté gratuite, il faut parfois la stopper.
– Tu racontes quoi, là ?
– Je raconte que je vais te montrer deux ou trois jolies photos où on te voit menottée en train de prendre du plaisir à sucer à une bite bien bandée. Je viens de les envoyer à quelques amis, ils ne la diffuseront évidemment pas…
– T’es folle ou quoi ?
– Je n’avais pas fini ! Ils ne la diffuseront pas si tu acceptes de faire ce que je vais te dire !
– Tu joues ou t’es sérieuse ? J’ai comme un doute, là !
– Je ne joue pas, tu stoppes toutes tes activités pseudo féministes et tu te trouves une autre occupation, tu peux continuer le théâtre mais je ne te le conseille pas, tu n’es vraiment pas douée pour ça.

Caruso devient livide et s’égosille.

– Tu m’as manipulé, t’as osé faire ça ! Grosse salope !
– Dans cette affaire, ce n’est pas moi la méchante, c’est toi !
– Mais explique-moi, je ne pense pas avoir fait quelque chose de mal…
– Stop ! Je ne te dois aucune explication, ma mission est terminée, je me casse !
– Salope !
– Un dernier truc, tu devrais changer de look, ça te permettrait de rencontrer autre chose que des camionneuses. Après tout tu n’es pas si moche que ça !

Geneviève attendit qu’Ingrid ait disparu de sa vue (et de sa vie) pour ouvrir les vannes et chialer de toutes ses larmes.

« Que faire ? Portez plainte ? Mais pour quel motif ? Ignorer le chantage en affirmant haut et fort que les photos sont truquées ? Mais est-ce que ça marcherait ? Pas sûr ! Alors adopter le profil bas de la défaite et de la résignation et se dire qu’elle se vengera… Un jour.

Ingrid a tenté de me joindre au téléphone, je ne devais pas être libre à ce moment-là. Elle m’a envoyé un texto.

« Caruso hors circuit, j’ai fait ça en douceur, je te raconterais tout ça quand nous nous verrons, appelle-moi ! »

L’affaire est-elle terminée ? Non pas tout à fait.

A suivre

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6 réponses à Chanette 25 – Football – 8 – Manipulation obscène par Chanette

  1. Pascalou dit :

    Un chapitre qui porte bien son nom !

  2. Sorenza dit :

    C’est trash !

  3. sarap dit :

    D’accord c’est un chapitre de transition, mais pourquoi publier des chapitres de transitions ?

  4. Forestier dit :

    Comment voulez-vous qu’on soit excité après avoir lu le portrait de cette mégère ?
    Sinon, ca reste agréable et passionnant à lire

  5. Baruchel dit :

    Un chapitre un peu spécial, parce que je ne suis pas sur que l’érotisme fonctionne, en tout cas, pour moi il n’a pas fonctionné, allez faire l’amour avec une cinglée uniquement pour préparer une vengeance, ça ne m’a pas fait bander. Mais connaissant l’auteur on va dire que ce chapitre était sans doute nécessaire à la progression narrative du récit

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