Blonde et soumise par Sylvain Zerberg

Blonde et soumise
par Sylvain Zerberg


Attention : scato explicite inside

Je voudrais raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a quelques temps. Ayant toujours été fasciné par tout ce qui touche aux rapports de domination, j’ai posté sans trop y croire une petite annonce sur un site spécialisé demandant si une jeune femme serait intéressée par une expérience dans ce domaine avec un parfait inconnu. Recevant rapidement une réponse, nous échangeâmes nos numéros de portable (pour davantage de discrétion). Elle refusa de préciser ce qui l’intéressait au téléphone m’expliquant qu’elle en avait assez de perdre son temps avec des mecs qui fantasmaient et qui ne donnaient jamais suite. Je peux comprendre. Elle exigea simplement que l’on échange des tests récents. Et un rendez-vous fût pris à la terrasse d’un bistrot bruxellois.

Elle arriva pile à l’heure, j’étais déjà installé devant une bonne bière. Pour nous reconnaitre, il avait été convenu que je serais habillé d’une chemise vert clair, et le journal « Le Soir » serait déposé sur la table. Elle m’avait simplement dit qu’elle était blonde et porterait un petit sac rouge. Quand je la vis arriver, déjà mon excitation commença. Une belle femme, pas un canon, mais une belle femme, la quarantaine arrogante, le genre fausse blonde revendiquée puisque les sourcils sont restés bruns. Lunettes à grosses montures, joli sourire, nez mutin; tailleur bon marché et une bouche maquillée en rouge cerise et si sensuelle que je l’imaginais déjà en train de me sucer la bite. Elle s’installa à mes côtés et nous nous saluèrent.

– Bonjour ! me dit-elle. Vous existez réellement, c’est déjà ça !
– Bonjour ! Lui répondis-je, commençons par les formalités, j’ai apporté mon test…

Elle a aussi apporté le sien, tout va bien de ce côté-là !

– Donc on va préciser ce qu’on ne s’est pas dit au téléphone afin de ne pas faire d’impair : vous aimez être dominée de quelle façon ?
– Des souffrances physiques, dans la limite du raisonnable, pas de sang, et je ne veux pas qu’on m’attache…
– Ça ira ! Et les humiliations !
– J’allais y venir ! Vous pouvez me traiter de tous les noms, me faire faire des choses dégoutantes…
– Des choses un peu crades ?
– Ça ne me dérange pas !
– Toutes ?
– Crachat, pipi : tant que vous voulez, la scato on va dire qu’il faut faire ça modérément, enfin c’est surtout une question d’ambiance… de feeling… Parfois je peux me lâcher à fond…
– Bon, nous allons tester immédiatement votre aptitude à l’obéissance
– Allons-y ! Mais d’abord, puisque nous allons passer quelques moments ensembles, nous pourrions peut-être nous tutoyer ?
– D’accord ! Répondis-je, je m’appelle André et toi ?
– Moi c’est Sonia !

Je la trouve un peu effrontée pour une personne qui va se faire dominer, mais je ne dis rien, quelque part, elle me plait bien.

Le garçon lui apporta le Coca qu’elle avait commandé.

– Tu vas te rendre aux toilettes, y enlever ta culotte et ton soutien-gorge, tu les mettras dans ton sac et me les montreras quand tu remonteras.
– Fastoche !

Elle se leva et descendit vers les toilettes pour en revenir à peine 5 minutes plus tard. Elle ouvrit son sac discrètement et me montra le contenu : une petite culotte rose pâle et un soutien-gorge assorti.

– Quel effet cela te fait-il d’avoir la chatte à l’air ?
– C’est bizarre, on me l’avait jamais fait, celle-là !
– Tu est connu dans ce bistrot ?
– Jamais foutue les pieds !
– Alors d’accord, si t’aimes les humiliations, je vais te gâter ! Tiens, voilà un billet, c’est toi qui le donneras au serveur.

J’appelle le serveur qui revient avec l’addition !

– C’est la salope qui paye ! Lui dis-je tandis que Sonia tend son billet.

A la limite, le garçon est plus gêné qu’elle.

– Elle fait des pipes pas chères ! C’est une bonne pute, vous savez ? Ça vous intéresse ?

Il ne répond pas et disparaît ! Sonia est morte de rire. Ce n’était pas le résultat escompté. Pas grave.

– Je possède un petit studio pas loin d’ici, nous allons nous y rendre.
– Et je vais marcher comme cela ? La chatte à l’air ?
– Mais bien sûr ma chérie, comme ça tu sentiras le vent te rafraîchir la moule !

Nous arrivâmes chez moi très rapidement car il était situé à peine deux rues plus loin. Nous sommes entrés dans mon studio composé d’une assez grande pièce, d’une petite salle de bain et d’une kitchenette. Je lui déclarai tout de go :

– Tu es ici pour me montrer ton obéissance, tu as déjà réussi la première épreuve en venant ici sans culotte. Maintenant tu vas faire tout ce que je te dis et pour commencer tu vas te mettre à poil et à genoux.

Elle obéit. Je la trouvais déjà ravissante. Mais à poil elle n’est vraiment pas mal, de beaux seins laiteux exactement comme je les aime, elle se place face à moi dans une attitude de soumission parfaite. Je la contournais et lui saisit les seins par l’arrière et les pétris des deux mains. Elle ne disait mot.

J’au alors l’idée d’ouvrir son sac pour en extraire la culotte qu’elle avait retirée à ma demande au restaurant. La culotte est toute polluée, des traces d’urine devant, des traces brunes derrière.

– Dis donc trainée ! Ça t’arrive te t’essuyer ?
– Parfois, je suis un peu distraite !

Je lui pince fortement les seins pour la punir de cette impertinence.

– Et c’est quoi cette tache marron ?
– Mon caca, je suppose !
– Tu supposes donc tu n’es pas sûre, lèche pour être sûre !

Elle le fait avec une facilité déconcertante !

– T’es vraiment une morue ! Maintenant c’est le moment de la première fessée ! Lui précisais-je, redresse-toi et mets-toi contre la table, les mains bien à plat sur la table, bien loin.

Les jambes bien écartées. Je lui remontai la jupe et découvris une paire de fesses magnifiques. Je les caressais légèrement puis lui appliquai une première tape assez légère. Une seconde suivit, plus forte qui lui fit pousser un petit cri et je continuais de plus en plus fort. Une dizaine de tapes suffisaient pour une première fois. Quelques larmes couvraient son visage lorsqu’elle se retourna, je les essuyais et en profitais pour l’embrasser. J’ai ensuite caressé ses fesses pour faire disparaitre la douleur, mes mains passaient et repassaient pour arriver sur sa petite fente. Elle était toute mouillée. Je me suis déshabillé à la hâte et lui ai ordonné de me sucer la bite.

– Hum, tu suces trop bien !a

C’est alors qu’elle me dit :

– Si tu veux que je jouisse très fort, il faut que tu m’humilie, c’est ce qu’on avait convenu.

Bon, là tout de suite, je ne suis plus très motivé pour ce genre de chose, je me suis bien excité en la fessant, maintenant j’ai plutôt envie d’être romantique, alors j’hésite…

– Bon st tu ne veux plus jouer, c’est dommage, mais l’amour vanille ce n’est pas mon truc ! Minaude-t-elle

Je me dis alors que la motivation va venir toute seule, il me suffit de me forcer un peu. Et je lui fous une paire de claques, pas trop fort, je ne suis pas une brute.

– Tiens chiennasse !
– Oui, insulte-moi !
– Ouvre la bouche, grosse salope, morue, vipère lubrique, pute à dix balles.

Je lui crache dessus, elle en est béate de ravissement, elle doit être un peu zinzin.

Il me vient une idée farfelue que j’ai déjà vu sur Internet : je prends un gros feutre rouge et lui inscrit le mot « salope » sur le front, puis comme ça m’amuse je rajoute « pétasse » au-dessus des seins et « garage à bites » au-dessus du pubis avec une petite flèche.

– Allez suce moi encore ! Suce moi comme une pute !
– Humpf !
– Bon, ça va, je ne vaux pas jouir maintenant. Viens dans la salle de bain, je vais te pisser dans la bouche !
– Oh , oui ! Oh, oui !

Elle est à genoux devant moi, j’essaie de pisser mais vous croyez que c’est facile, vous, de pisser quand on bande, j’aimerais bien vous y voir ! Elle est là à genoux, la bouche ouverte, tellement belle et désirable. Je ferme les yeux, j’essaie d’épeler Shakespeare, à l’endroit et à l’envers, ça marche, ma bite est désormais demi-molle, je libère les sphincters du pipi et j’arrose la belle Sonia qui nous avale ça comme si c’était du champagne Ruinart, et comme elle ne peut pas tout avaler, ça dégouline sur ses seins, l’urine lui sculpte le corps de ma pluie dorée. Jolie spectacle !

– Tu peux me chier dessus si tu veux !

Ben voyons ! Je voudrais bien lui faire plaisir mais je ne sais pas si j’ai envie, enfin on peut toujours essayer ! Et puis je ne sais pas comment me mettre !

– Tourne-toi, je vais t’aider ! Me propose-t-elle.

Comment ça, « elle va m’aider » ? Je me retourne, et la voilà qui me lèche le fion, ça tombe bien d’adore cette caresse, cette langue dans mon cul, hum c’est bon !

Et voila qu’elle m’enfonce un doigt, à moins qu’il y en ait deux, quand on aime on ne compte pas ! Et elle y va, elle me pilonne en d’énergiques va-et-vient, c’est bon !

– T’aimes ça un doigt dans le cul ! Hein mon salaud !
– T’inverse pas un peu les rôles, là ?
– Non, je suis toujours ta soumise, mais j’ai aussi le droit de jouer. T’aimes ça qu’on te travaille le cul ?
– Mais tu vas te taire !
– Je suis sûre que tu te fous des godes dans le cul !
– Qu’est ce que ça peut te foutre !
– Et quand tu sors la gode du cul, s’il est plein de merde, tu lèches ?

Bon elle est partie dans ses délires, on ne va pas la contrarier d’autant que tout ça m’excite un maximum.

– T’en a un ici ?
– Un gode ? Oui mais je ne sais pas où je l’ai mis ! Mentis-je
– A mon avis il est dans le tiroir de ton chevet, c’est toujours là que les mecs les rangent ! Je peux regarder ?

Elle est infernale !

Evidemment elle découvre le gode et ne trouve rien de mieux à me proposer que de me le mettre dans le cul. Bof, soyons beau joueur, de toute façon j’adore ça.

Je me mets en levrette, je dandine du cul, je fais ma femelle, Sonia viens à nouveau me lécher le cul. Et je vous assure qu’elle ne fait pas semblant, sa langue est une véritable éponge.

– J’adore le goût de ton cul ! Me déclare-t-elle.

Puisqu’elle le dit.

Elle s’arrête un petit peu, me demande si j’ai du gel, et prépare le gode, avec capote et lubrifiant… Et hop ça entre, elle fait bouger le machin, actionne le vibrateur, je sens des ondes de plaisir me parcourir le corps.

– T’aimes ça, un gode dans le cul, hein ? Tu t’es déjà fait enculer par un mec ?
– Si on te demande, tu diras que tu n’en sais rien !

Elle me demande de « pousser » en même temps, j’ai compris ce qu’elle veut et fais comme elle a dit. Et puis tout d’un coup, elle ressort le gode.

Il n’est pas net, net, mais ce n’est pas non plus une catastrophe, et elle se met à le lécher comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat avec l’air de se régaler bien comme il faut.

– Maintenant je me laisse faire, chie moi dessus !

Quelle poésie !

Sonia s’est allongée sur le sol, je ne sais pas trop comment me positionner, mais elle me fait signe de venir au niveau de son visage.

Bon quand faut il aller, faut y aller, je pousse, et je sens que ça sort, puis plus rien !

– Nettoie mon cul salope !

Elle n’y va pas, elle se précipite, je savais que ça lui ferait plaisir

Je sens sa petite langue qui me trifouille l’anus, c’est rigolo, c’est rafraichissant. Puis elle s’arrête, je me retourne, je regarde ce qu’elle fabrique. Elle joue avec ce que je viens d’expulser, elle en a plein les mains et elle s’étale tout ça un peu partout, les seins, le cou, et même le visage et tout cela avec un sourire quasi extatique !

C’est dégoutant ou c’est fascinant, je n’arrive pas à me décider ! Ma bite le fait pour moi puisque je bande comme un sapeur.

Cela ne pouvait pas durer plus longtemps, nous n’en pouvions plus ni l’un ni l’autre et nous avons fait l’amour. Sauvagement !

Je lui ai proposé d’aller au restau, elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas, On s’est quitté avec un gros bisou, gros mais sans passion. On devait se revoir, on ne s’est jamais revu, c’est la vie…

Sylvain

Rewriting d’un teste anonyme paru en 1999 sur le site canadien de Sophiexxx sous le titre « elle était blonde ».

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5 réponses à Blonde et soumise par Sylvain Zerberg

  1. Félicia dit :

    Moi aussi je suis blonde et soumise et j’adore qu’on me punisse et qu’on m’humilie, je me suis donc un peu reconnue dans le personnage de Sonia

  2. Marie-Paule Perez dit :

    De la domination décalée, j’aime beaucoup !

  3. Claire dit :

    Je ne l’avais pas encore lu celui-là ! Le fantasme est plutôt bien décrit, même si on est dans le délire, quant au style, j’ai adoré

  4. Christophe dit :

    Un bon récit de domination soft narré dans un excellent esprit. J’ai beaucoup aimé la fin, peut-être est-ce du vécu ?

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