Au centre commercial Par Zazou

Au centre commercial Par Zazou

Voici une petite histoire qui m’est arrivée la semaine passée. Par un après-midi automnal marqué par des nuages gris, des feuilles rouges et jaunes, une pluie fine et un thermomètre bien bas, je pris la direction d’un centre commercial, dont je ne citerai le nom. Les courses sont souvent pour moi un synonyme de corvée, cependant ce jour-là j’aurai pu passer des heures et des heures dans ce magasin. Après avoir parqué ma voiture j’ai pris d’un pas motivé la direction de l’entrée. Une fois à l’intérieur je pris mon chariot comme d’habitude, prêt psychologiquement à faire les achats de la semaine. Arrivé au premier rayon qui se trouvait être celui des légumes, je laissa mon compagnon à roulette afin de me renseigner sur le prix des poivrons. Je m’avance, satisfais ma curiosité et soudain mon regards et happé.

Une belle jeune femme, la trentaine cheveux bruns assez longs se tient à 3 mètres de moi, concentrée elle sur les l’aspect des concombres. Cette demoiselle était très jolie voire même sexy. Elle était vêtue d’un pantalon blanc moulant laissant deviner un string en dentelle et d’un petit top noir assez décolleté, ma fois pas tellement de saison mais très agréable à regarder. Malgré tout le charme que pouvait dégager cette cliente, mes yeux ne se sont pas déplacés pour cette raison. En effet cette femme a éveillé ma curiosité, devinez pourquoi ?

Elle Dansait !! Ou plutôt elle gigotait, car fréquentant les discos depuis des années je n’avais jamais vu ce mouvement sur une seule piste de danse. Mais qu’est-ce qu’elle avait à bouger pareillement ?? Curieux de nature, je ne pouvais laisser cette question sans réponse. Je repris les commandes de ma Mercedes à poivrons et suivis ma proie. Faisant mine de rien je la suivais dans tous les rayons, en gardant bien entendu mes distances, sans qu’elle s’aperçoive de rien. C’est aux rayons bonbons et chocolats que j’ai enfin eu ma petite idée. Avant cette illumination intellectuelle, la belle brune croisa les jambes mettant en même temps une main à la hauteur de son sexe. C’est à ce moment précis que j’ai tout compris.

« On dirait que Mademoiselle à une envie pressante de faire pipi. Va-t-elle tenir jusqu’au bout de ses commissions ?? » Me suis-je dit.

A nouveau, pour en avoir le cœur net, rien de plus facile. On continue notre poursuite discrète. Plus le temps passait et plus son chariot se remplissait mais à voir son comportement, sa vessie devait aussi avoir son niveau qui augmentait, car non seulement elle bougeait de plus en plus mais ses mains lâchaient sans cesse la barre du chariot pour revenir se positionner sur son intimité afin de diminuer l’envie pressante. A un moment donné je l’ai même entendu :

– « C’est pas possible je ne vais pas tenir !»

Enfin !! Nous voilà à la caisse, elle avec un chariot plein à ras bord et moi avec mes poivrons. Ayant choisi chacun une caisse différente inutile de vous dire qui a fini avant l’autre. Tout en faisant mine d’attendre quelqu’un je la regardais ranger ses achats dans des cabas qu’elle venaient de poser sur le tapis roulant. J’ai bien cru qu’elle lâcherait tout devant la caissière, mais non sa vessie de marbre lui a permis de payer et de rentrer toutes ces affaires. Soudain à mon grand étonnement, au lieu de prendre en vitesse la direction des WC, je vis partir ma brunette du côté du parking. A peine eut-elle le temps de poser une boite de petit pois dans son coffre qu’un homme l’interpelle :

– Eh ben tu n’es pas en avance toi !
– M’en parle pas je devrais déjà être chez Ghislaine.
– Comment ça se fait que tu aies autant de retard
– Ben je me suis endormie devant la TV et je suis partie en vitesse faire les achats pour demain. Au fait je ne saigne pas là ? (elle montrait son front)
– Non pourquoi ?
– Parce que j’ai un de ces besoins de faire pipi qui me fend le crâne (mon intuition était la bonne)

Son sens de l’humour faillit me faire démasquer. Resté à proximité, je faisais semblant d’envoyer un message avec mon portable, mais sa dernière phrase à bien faillit me faire exploser de rire.

– Et alors ils n’ont pas de toilettes au centre ??
– Si bien sûr, mais je suis tellement en retard que j’irai pisser chez Gigi.
– Comme tu veux, bon ben je vais te laisser alors.
– Oui d’accords bye David.

Ne pouvant plus rester là planté comme un clou je décidai d’aller poser le résultat de 45 minutes d’achats (3 poivrons rouges) dans le coffre de ma voiture. Une fois l’opération effectuée je vis ma demoiselle fermer la porte de son véhicule et mettre le contact en marche. J’attendais qu’elle fasse quelques mètres afin que je puisse sortir du parking en toute discrétion. Malgré ma démarche technique, une voiture avait pourtant réussit à se placer entre nous. Cela m’a permis de réagir plus vite par rapport aux directions qu’elle prenait. Malheureusement après trois carrefours notre voiture intermédiaire était toujours devant moi ; elle avait apparemment envie de suivre aussi notre belle inconnue à la vessie de marbre. C’est après le 5ème carrefour que nos deux voitures se sont enfin retrouvées l’une derrière l’autre. On roule, on roule et soudain on sort de la ville pour arriver dans un coin beaucoup plus rural. Je n’ai pas pu compter jusqu’à vingt que déjà je vis son clignoteur droit se mettre en marche. A ce moment-là j’étais comme un gamin et un énorme sourire devait se lire sur mon visage. N’étant pas censé connaître la raison de son arrêt, je l’ai suivie et j’ai arrêté ma voiture juste derrière la sienne à l’orée d’une petite clairière tranquille.

– Je peux savoir pourquoi vous me suivez ?
– Oh mais je ne vous suis pas, j’ai un besoin pressant et pensais trouver un petit coin pour me soulager avant de rentrer à la maison.

(Elle se mit à rire)

– Alors je crois qu’on est deux.
– Ça alors c’est drôle.
– Je suis désolée mais il faut que je fasse car là je ne tiens plus.
– Oh oui tout à fait; faite seulement mais. Dites-moi, pourrais-je vous regarder faire ?

Après avoir ouvert des yeux ronds comme des olives elle me répondit :

– Je vous demande pardon ?
– Ben oui s’il vous plait j’aimerai bien vous regarder faire pipi.
– Non désolé. Non seulement on ne se connaît pas, mais vous seriez mon mari que ça ni changerai rien, car je suis très pudique.
– Bon, très bien.

Je m’appuyai contre ma voiture tout en continuant à la regarder lui faisant comprendre que je ne lâcherai pas prise et que je ne m’en irai pas d’ici sans l’avoir vu se soulager.

– S’il vous plait je ne vais pas tenir. Partez Monsieur ou au moins tournez-vous…
– Pas trop envie. Désolé mais je resterai ainsi.

Elle avait déjà croisé et décroisé 5 ou 6 fois ces jambes

– Bon ça suffit maintenant allez-vous en il faut vraiment que je fasse pipi si non je…

La pauvre n’a pas eu le temps de terminer sa phrase qu’une petite auréole se dessina très rapidement à la hauteur de son entrejambe. Une petite auréole qui devint très très vite gigantesque, laissant une immense trace d’urine qui descendait le long de son pantalon et qui commençait à former une belle flaque à ses pieds. Impossible de dire le nombre de litres que contenait sa vessie mais sa petite fontaine n’en finissait pas. Elle ne bougeait pas d’un poil elle regardait simplement ses pieds en contemplant avec honte le spectacle. Il y eu bien deux bonnes minutes avant qu’elle ne me dise :

– Bravo vous êtes content de vous ?
– J’avoue que ce n’est pas le spectacle auquel j’aurai voulu participer mais il n’était cependant pas déplaisant.
– Oh Monsieur fait dans l’humour. Vous n’êtes vraiment qu’un imbécile bon eh ben maintenant assumez vos conneries et venez m’essuyer
– PARDON ???

Cette fois ce fut à mon tour d’être étonné

– Tu as parfaitement compris. Allez viens me lécher la chatte gros cochon !

Ma petite brunette à la fois sexy et timide est subitement devenue cochonne et dominatrice (et se mit en plus de ça à me tutoyer). Etant grand amateur des jeux uros je ne me suis pas fait prier pour la rejoindre. J’abaissai son pantalon trempé de pisse ainsi que son petit string en dentelle qui était dans le même état. J’ai de suite collé ma bouche à son intimité afin de récolter le nectar qui perlait encore à ses lèvres charnues. Je me régalais.

– Mais c’est qu’il aime ça mon gros cochon allez vas-y bouffe moi la chatte lave la bien qu’elle soit toute propre. Mais j’y pense Monsieur n’a pas fait son pipi encore. Il doit avoir un gros besoin ?

A ces mots elle se coucha dans l’herbette enleva son top laissant apparaître une belle poitrine dans un magnifique soutien-gorge bleu roi.

– Maintenant mouillée pour mouillée. Autant finir le travail commencé. Pisse-moi dessus.

Sans avoir le temps d’être étonné j’abaissa ma fermeture et sorti mon sexe de mon pantalon. Du fait que je lui avais menti en lui faisant croire que je m’arrêtais moi aussi pour faire pipi, j’ai dû tout de même attendre un petit moment avant de pouvoir arroser de quelques gouttes cette jolie demoiselle.

– Regardez-moi ce pisseur. Mais il aime me pisser dessus en plus. T’es vraiment un gros cochon

Après avoir attendu que la dernière goutte soit tombée elle se précipita sur ma queue et la suça, la lécha, puis commença une fellation. A  deux doigts de me faire jouir elle s’arrêta net en me regardant avec des yeux pleins de malice.

– Tu es un gros cochon pas vrai ??
– Euhhh oui.
– Tu m’as fait pisser au froc par ta faute pas vrai ??
– En effet.
– Tu m’as aussi pissé dessus non ??
– Si, si !
– Bien. Alors pour tout ça tu mérites un gage que je vais te donner maintenant, Couche toi et enlève cette chemise.

Je m’exécutai selon ses ordres sans trop comprendre ce qu’elle voulait faire mais curieux de savoir quelle serait ma punition. Elle se tint tout d’abord debout à côté de moi à la hauteur de mes hanches, me donnant la superbe vue de ses petites fesses rondes. Elle se dévissa presque la tête pour me regarder droit dans les yeux.

– Prêt ??
– Prêt !!

Alors sans perdre une seconde elle m’enjamba, fléchit légèrement les genoux et se mis en position accroupie. Je me suis dit qu’elle devait très certainement avoir un petit reste de pipi qui n’était pas sorti et qu’elle allait se vider le fond de sa vessie sur mon sexe. Erreur !! Car ce n’était pas pour rien qu’elle me tournait le dos. A peine j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il se passait que je vis son anus se dilater encore et encore pour enfin voir un bout d’étron brunâtre pointer le bout de son nez. Elle ne devait pas avoir une grande envie car je l’entendais pousser. Finalement un magnifique saucisson d’environ quinze centimètres vient atterrir sur mon torse.

– Oh comme c’est bon de faire caca surtout avec de tel WC !

« Prrrrout »

– Hummmm un petit pet maintenant. Allez, viens me nettoyer aussi le cul avec ta langue.

Je m’exécutai une nouvelle fois sans rien dire. Après avoir nettoyé avec perfection sa rondelle nous avons fait l’amour comme des fous dans cette petite forêt où je ne manquerai pas de retourner.

Je ne sais pas si Ghislaine aura eu la visite de cette femme, mais quoi qu’il en soit je n’ai jamais été aussi content d’aller faire les commissions ce jour-là.

Au fait ma petite brunette ne m’avait-elle pas dit être pudique ??? Pas tant que ça à mon goût !!

fin

Cet épisode à eu l’honneur d’être nommé Prix spécial extrême pour 2006

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8 réponses à Au centre commercial Par Zazou

  1. Benoit de Macadamia dit :

    Merveilleux délire, c’est osé c’est bien écrit, c’est drôle, tout va bien

  2. Pascalou dit :

    Oh, les cochons !

  3. Hardy dit :

    Délicieux (si j’ose dire)
    Moi aussi j’aime voir arriver un joli boudin sortant d’un joli cul, tomber sur mon torse ou même sur mon visage.
    La scato mes frères, il n’y a que ça de vrai !

  4. Manzano dit :

    Vive le délire !

  5. lesignac dit :

    J’adore ces récits où tout est permit dans la plus grande décontraction

  6. Orlando dit :

    De la démence, mais qu’est ce que c’est bon !

  7. Fornicati dit :

    Génial, humour, excitation, décontraction, fantasmes extrêmes. Bref on se régale !

  8. Claire dit :

    un jolie petit récit bien humide comme je les adore et une belle fin que je recommande aux amateurs de sexe spécial (mais lisez donc les critères vous comprendrez )

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