Annonce télépho-Nique par Fanuro

Bien qu’aimant profondément les femmes j’ai eu un jour envie de savoir ce que ça faisait de sucer une bite et de se faire enculer, je voulait être la femelle d’un homme viril et vicieux et c’est dans cet esprit là que je sautait le pas et je me suis rapidement retrouvé à pomper des queues et me faire prendre. J’y pris de suite beaucoup de plaisir et l’histoire qui suit est vraie.

Désirant connaître diverses expériences, je décidais d’appeler un de ces numéros de téléphone que l’on trouve dans les journaux locaux. L’un d’eux prétendait regrouper les hommes d’Epinal et de sa région et c’est donc sur celui ci que je jetai mon dévolu. J’enregistre donc l’annonce suivante :

« Homme 34 ans, marié, bi, passif, couilles et anus rasés, aimant porter les culottes de sa femme, sucer et se faire prendre, cherche un homme très vicieux et imaginatif pouvant recevoir pour dilater mon petit trou, m’enculer, me juter dessus et réaliser ses phantasmes. »

Puis je reste au téléphone une vingtaine de minutes avant que l’on m’annonce qu’un correspondant cherche à me joindre. Le cœur battant j’accepte de discuter avec cet inconnu.

« Allô, bonjour »
« Bonjour, moi c’est Paul et toi ? » me demande t-il
« Eric »

Sa voix est rauque et douce à la fois. En passif, je le laisse mener la conversation.

« Tu es d’où ? »
« J’habite juste à côté d’Epinal »
« Moi je suis d’Epinal même et je cherche quelqu’un comme toi, tu es passif c’est ça ? »
« Oui tout à fait, j’aime bien être guidé »
« C’est parfait, je suis très actif et j’aime bien utiliser les mecs comme des salopes, tu aimes faire la salope ? »
« Oui, oui, surtout quand mon partenaire est bien vicieux »
« Physiquement tu es comment, moi j’ai 52 ans, brun, 1,80 m pour 85 kg, poilu sur le torse, le sexe et j’ai une bite d’environ 18×4 cm »
« j’ai 34 ans, je suis brun aussi, cheveux très court, je fais 1,72m et 70 kg, je suis un peu poilu sur le torse et ma queue fait environ 16×3 cm »
« O K, c’est pas mal tout ça, mais tu recherches quoi exactement ? »
« Je voudrai connaître de nouveaux plaisirs, autres que sucer et me faire enculer tout simplement, découvrir des trucs insolites ou me faire baiser dans des lieux inhabituels. C’est pour ça que je veux un homme pervers et imaginatif. »
« Je crois que tu es tombé sur la bonne personne, je suis très vicelard ! Mais est ce qu’on peut tout te faire ? »
« Oui, enfin presque tout car je ne suis pas attiré par la scato et je ne veux pas que l’on me fasse mal, mais à part ça je suis ouvert à tout »
« Ne t’inquiètes pas, je suis très doux et pour la scato on verra ça peut-être plus tard. Mais au fait tu es libre quand ? »
« Je suis disponible cet après-midi entre 14H00 et 18H00 »
« Très bien, donc on peut se voir aujourd’hui »

Il me donne son adresse et je me rends chez lui à 14H30. J’ai mis un jean et une chemise mais surtout un string blanc en dentelle que j’ai piqué dans le linge sale de ma femme.
J’arrive à la porte de son appartement à la fois excité et inquiet. Je sonne et la porte s’ouvre sur un homme robuste au visage souriant. Le fait qu’il soit en peignoir me surprend un peu mais je me ressaisi quand il me tend la main.

« Eric je suppose ? »
« Moi c’est Paul, vas y entre je t’en prie »

Il me précède jusqu’au salon où il me propose de m’asseoir dans un grand canapé en tissu. Visiblement il a déjà tout préparé car en dessous de sa table de salon traînent des livres et des films de cul, des godes de différentes tailles et des tubes de gel. Il m’offre à boire, j’accepte volontiers et il revient avec deux grandes bières puis il s’assoie à côté de moi. Il me pose une main sur la cuisse puis m’ordonne :

 » Déshabille toi devant moi ! »

Sans répondre je me lève, j’enlève mes chaussures et mes chaussettes puis je commence mon effeuillage. Très lentement j’ouvre ma braguette, je sors ma chemise de mon pantalon et face à lui je déboutonne calmement ma chemise, lui dévoilant ainsi mon torse tatoué et musclé. Il est toujours assis sur le canapé et se caresse par dessus son peignoir. Je laisse tomber ma chemise au sol, je me mets dos à lui et je fais doucement descendre mon pantalon en me penchant en avant, montrant ainsi mes fesses imberbes et mon petit string blanc fiché dans ma raie. Quand je me retourne il est toujours en train de se caresser par dessus l’étoffe et il peut voir que ma queue commence à tendre le tissu de ma culotte. Il me lance alors :

« Qu’est ce que tu es mignonne comme ça ma pute, viens t’asseoir à côté de moi  »

J’obéis en prenant soin de passer très lentement et très près de son visage pour rejoindre le canapé.
Nous prenons notre verre et nous nous caressons un peu en buvant. Puis il se lève, prend une cassette vidéo qu’il insère dans son magnétoscope et lance le film. A l’écran deux vieux sont en train de baiser un jeune gars. Je ne perd pas une miette du film tout en buvant ma bière et en pelotant Paul (qui fait de même de son côté) toujours par dessus son peignoir.

Quand notre verre est finit Paul ouvre son peignoir, me saisi fermement par la nuque et attire ma tête vers son entre jambe. Il porte un slip de coton blanc, ou presque car au fur et à mesure que je m’approche je vois des tâches jaunes qui ornent le tissu. Sûrement une queue mal égouttée après un pipi plus voire une ou plusieurs éjaculation vu l’état du tissus. Puis de sa main libre il écarte l’élastique et vient plonger mon visage dans son caleçon. Effectivement ça sent fort la pisse et le foutre, mais ça m’excite encore plus car je me sens vraiment soumise et humiliée. Il frotte ainsi ma figure sur sa queue à demi molle en me demandant de bien en profiter et en me traitant de garce. Maintenant il se met complètement à poil et me plante sa bite odorante dans la bouche. Je la suce avec application en passant bien la langue autour du gland et sur le méat. Sa main a quitté ma nuque pour mes fesses qu’il pelote sans vergogne. Un doigt baladeur glisse le long de ma raie à la recherche de ma rondelle. Quand il arrive au but il passe sous mon string et me titille l’œillet.

Puis il me fait mettre debout devant lui, de dos et me dit de me pencher en avant en prenant appui sur la table basse et d’écarter les jambes. Il descend mon slip jusqu’aux genoux, m’écarte les fesses avec ses pouces et plaque son nez sur mon anus et renifle l’odeur comme un vrai petit chien. Sa langue ne tarde pas à prendre le relais. Je la sens qui parcourt toute ma raie, qui revient sur ma rondelle pour s’y introduire le plus profondément possible. J’adore ça et ça me fait bander très dur. Puis il se saisit de plusieurs godes et du gel et me demande alors de m’écarter moi même le cul. Un doigt enduit de lubrifiant s’enfonce déjà facilement en moi. Il est bientôt remplacé par un vibromasseur de petite taille qu’il m’enfile progressivement. Petit à petit il me dilate les sphincters en me mettant des engins de plus en plus gros (le dernier faisant 25 cm de long sur 6 de large) et en les faisant bouger dans tous les sens en me traitant de salope, de garce, de garage à bites. Je sens que j’ai le fion complètement éclaté et quand il retire le dernier gode, j’ai l’impression que mon trou ne se referme plus, c’est une sensation divine.

A cet instant il se lève et m’allonge sur le canapé puis vient se mettre debout à côté de moi. Je remarque qu’étrangement il ne bande pas à fond, et pour cause…Il prend sa bite d’une main et, en me regardant droit dans les yeux, commence à me pisser dessus. Son jet doré atteint d’abord mon ventre puis ma queue et remonte sur mon torse. C’est chaud, c’est excitant et je trique encore plus. Voyant que je ne proteste pas il me dit d’ouvrir la bouche, qu’il veut m’arroser les amygdales. J’obéis trop content de pouvoir goûter à son champagne et je m’efforce d’en boire le plus possible. Quand la source est pratiquement tarie il remet sa bite dans la bouche pour que je le remette en forme avant qu’il ne m’encule. C’est avec plaisir que je pompe cette tige pour la faire grossir, impatient de la recevoir au plus profond de moi.
Il me demande de prendre mes jambes et de les replier le plus possible contre ma poitrine. Puis il pose son gland contre ma pastille en commence une lente pénétration dans mon cul encore tout dilaté. Il m’enfile jusqu’à la garde, donne deux ou trois coups de reins puissants et se retire pour me donner de nouveau sa bite à sucer. Là, je ne suis pas très chaud car comme je l’ai dit je ne suis pas vraiment attiré par le scato et sa queue sort quand même de mon cul…Mais il insiste :

 » Allé vas-y grosse garce, lèche ma pine, elle n’est pas sale, c’est juste le goût de ton fion ! »

Devant sa détermination j’ouvre la bouche avec un peu d’appréhension et il y glisse son engin. C’est vrai qu’elle n’est pas sale et puis finalement ce goût âcre me plait et je me surprend à aimer ça. Il répètera l’opération quatre fois, me limant un peu plus entre chaque pipe avant qu’il n’explose sur mon visage. En effet lors de la dernière succion il a juste eu le temps de se retirer de ma bouche pour venir m’asperger le visage de longs jets crémeux puis frotter sa pine sur ma figure et m’étaler son foutre partout.

Mais voyant que je n’ai pas joui il entreprend de me sucer à son tour en me mettant trois doigts dans le cul. Très doué de sa bouche et de ses doigts, il ne tarde pas à me faire juter une quantité incroyable de sperme qui est venue se répandre son ma poitrine et mon ventre. Il passe alors une main partout sur mon corps, mélangeant nos foutres respectifs et sa pisse pour enfin me donner ses doigts à lécher.

Cet après-midi a vraiment été génial, j’aime les hommes directifs et vicelards comme Paul. Mais bien qu’il m’ait laissé son numéro de téléphone (il me proposa pour une prochaine fois de le prévenir à l’avance car il comptait me faire faire d’autres truc avec plusieurs de ses copains.) lorsque j’ai voulu le rappeler deux semaines plus tard, son numéro n’existait plus ; je suis alors passé à son appartement mais là non plus il n’y avait plus personne…Peut-être me sera-t-il donné un jour de rencontrer un autre homme comme Paul…

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Une réponse à Annonce télépho-Nique par Fanuro

  1. Honorius-causa dit :

    Une sodo sans capote avec un inconnu !!! Ça ne va pas la tête ?

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