Les vacances d’été furent consacrées à la famille, donc pas de rencontre jusqu’à septembre.
Un premier rendez-vous eu lieu, mais en plein Marseille avec peu de temps, mais suffisamment pour faire quelques photos dans un jardin public peu fréquenté.
Il faisait chaud, elle avait mis comme toujours pour nos rencontres une jupe (ou robe) plissée cette fois. On discuta assis sur un banc public attendant le moment propice sans témoin, je m’éloignais de quelques mètres et la visait : très naturellement elle ouvrit légèrement les cuisses pour m’offrir la vision de sa culotte. Elle avait un don pour s’exhiber discrètement, tout au moins au début, elle enchaîna plusieurs poses, c’était à moi de les saisir au bon moment.
A un moment, elle se mit debout, faisant semblant de fouiller dans son sac, regardant si personne ne venait, je la vis alors mettre ses mains sous sa jupe, faire glisser sa culotte aux genoux, se pencher encore plus, puis l’ôter mais en s’asseyant ; puis en ouvrant très généreusement les cuisses, elle prit quelques poses très obscènes, allant même jusqu’à écarter ses lèvres, tout cela lentement, comme si je n’étais pas là.
Je m’approchais d’elle pour me dire :
– Tu sais Bernard, c’est très excitant pour moi de faire ça et ça me plaît de sentir l’air sur mes poils et sur ma chatte.
Tout cela dit avec de la classe, elle m’étonnait toujours. Puis je la fis poser sur les jeux d’enfants, balançoire et structure où je pouvais la voir par dessous, et là ce n’est plus discrètement du tout, obscène, mais sans témoin, c’est trop risqué.
C’était si excitant que l’on retourne vers un banc un peu caché, je n’ai pas le temps de lui demander que déjà, une main sous la jupe, elle se masturbe !
– Je suis quand même une salope, hein, Bernard !
– Oh, oui, mais avec un S majuscule !
– Je vais soulever ma jupe pour ne pas la mouiller.
Elle le fait et se caresse jusqu’à la taille, tandis que je sors mon sexe en m’assurant qu’il n’y avait personne.
Rien ne l’excite plus qu’un homme qui se masturbe, en trente secondes elle se fait jouir avec deux doigts et mouille le banc ! Elle se penche très vite pour me sucer, c’est trop risqué, donc elle vient de l’autre côté où il y a des bosquets s’allonge à plat ventre pour faire ça mieux !
Moi en dix secondes, je jouis dans un kleenex, car elle adore sentir dans ses doigts la sève monter jusqu’à l’explosion sublime.
Une fois redevenus sages dans la voiture, elle m’annonce qu’en promenant son chien, elle a fait connaissance avec un homme plein de charme, libre, et qu’elle me tiendrait au courant. En attendant, elle était d’accord pour poursuivre nos relations coquines, tant mieux !
Tant mieux, car nous aurions raté un truc sublime.
Début octobre, on se retrouve et aussitôt elle me dit :
– Bernard, j’ai entendu parler d’un sauna qui vient d’ouvrir à Plan de Luques (proche banlieue) et je ne suis jamais allée dans ce genre d’endroit, on essaie de voir ?
– Bonne idée, moi non plus, je ne connais pas ça, on y va !
On trouve facilement, ça parait fermé, il est 15 heures, il fait beau et chaud, on hésite. Une voiture arrive, se gare à côté de nous. Un homme de 55 ans environ, un peu corpulent nous dit bonjour :
– C’est ouvert, c’est très bien comme établissement, venez voir, c’est tout neuf !
On échange quelques propos, puis on y va. A la réception un homme sympa nous accueille, nous explique, nous fait payer, donne une grande serviette à chacun et propose une visite. On le suit pour voir les vestiaires, le jacuzzi dans lequel barbotte l’homme de la voiture, le sauna, puis on monte au premier où il y a des travaux, tout n’est pas fini encore.
On le remercie, on passe aux vestiaires et déjà excités, on se touche et on s’embrasse… Puis on va au sauna, dur à supporter cette chaleur, puis jacuzzi (douches aussi).
Elle hésite à ôter sa serviette devant l’homme, je la lui enlève alors qu’elle est bien face à lui et il apprécie cette vision. On échange quelques mots en entrant dans le bain tiède, on s’assied face à lui ; aussitôt on flirte, je lui caresse les seins hors de l’eau, les suce. Il n’en perd pas une, mais correct, se contente de regarder.
Heureusement, car Odette discrètement m’avais dit qu’il ne lui plaisait pas, bien qu’il soit sympa.
Moi je voulais malgré tout lui faire plaisir en lui montrant mon amie et … nous faire plaisir aussi.
C’est la première fois qu’on fait des coquineries dans l’eau, c’est très agréable, elle me masturbe pendant que je lui lèche les tétons, puis je sors de l’eau pour qu’elle suce mon membre bien raide, l’homme se branle dans l’eau. Puis je m’assied sur le rebord, la fait sortir de l’eau afin qu’elle se plie vers moi, les fesses vers lui, que j’écarte. J’y prends un réel plaisir, elle aussi, comme s’il n’était pas là. Ensuite, je la fais pivoter pour s’asseoir entre mes cuisses que j’ouvre en grand. Je lui murmure :
– Tu as vu, il se branle dans l’eau pour toi, ça te plaît ?
– Oh, oui, ça m’excite, je veux bien tout faire mais pas qu’il me touche.
– Je lui dirais s’il tente de le faire, tu veux jouir devant lui.
– Oui !
Elle tourne son visage pour qu’on s’embrasse et j’entreprends de la masturber comme elle l’aime : deux doigts dedans, un sur le clito et quand elle est bien « partie », je la fais se masturber elle-même, mais elle me chuchote :
– Je voudrais voir son sexe
Je me mets à hauteur pour qu’elle me suce et fais signe à l’homme de sortir de l’eau. Et il nous montre alors un sexe impressionnant par la largeur et un gland très gros, cela suffit pour qu’en dix, vingt secondes, elle se mette à jouir !
Puis aussitôt elle se laisse glisser dans l’eau et je fais de même, on se frotte, se glisse l’un contre l’autre, elle sur moi, appréciant cette tiédeur et là comme par miracle, d’un coup, elle s’empale sur mon sexe ! La première fois que cela arrive sans préservatif, c’est un régal et au lieu de se dégager, elle se pousse encore plus en gémissant
– Tu te rends compte, il est entré tout seul en toi ! Fis-je remarquer
– Il en avait envie, depuis le temps, c’est bon tu sais que tu sois dans ma chatte, et puis on joue au mari et à la femme pour les autres, c’est quand même plus logique
– Ça ne te dérange pas, tu es sure ?
– Non, au contraire, c’est meilleur !
C’est alors qu’on entend des voix venant des vestiaires, on comprend que le patron fait visiter, une voix d’homme, puis de femme, j’aperçois un couple montant l’escalier, à peine le temps de voir une blonde, cheveux courts et joli jambes. Un coup de chance inouï, et je propose à Odette d’aller au sauna, lorsqu’ils seront aux vestiaires, elle accepte ! Ce que nous faisons, impatients de nouveautés.
On commençait à avoir très chaud lorsque des doigts tambourinent au hublot, on leur fait signe, la porte s’ouvre. Elle entre en premier, le corps dans la serviette, de jolis yeux bleus, un beau visage 45 ans maximum, lui plus vieux,
– Bonjour, on ne vous dérange pas ?
– Bonjour, pas du tout, installez-vous.
Nous, on est à poil, et il enlève sa serviette révélant un joli corps, des seins moyens moins beaux que ceux d’Odette, mais un minou presque sans poil.
On échange quelques mots, c’est aussi une première pour eux et on part au jacuzzi car c’est intenable.
L’homme est toujours là, il a bien fait de rester, car bientôt, il y aura du spectacle.
Odette est dans l’eau, moi juste à l’escalier d’accès lorsque ce couple arrive. Je tends la main pour qu’elle ne glisse pas dans l’eau puis elle s’y trempe, lui allant s’asseoir à côté d’Odette sortie de l’eau. Elle est à droite, l’homme à gauche qui échange quelques paroles.
Je me place à coté d’Odette, la belle inconnue à ma droite. On parle un peu sur la douceur de l’eau etc., quand je vois son ami poser une main sur la cuisse d’Odette. Je lui dis qu’il va vite en besogne. L’inconnue rétorque :
– On est là pour s’amuser, non ?
– Oui, bien sûr, allons-y
Je lui fais des bisous dans le cou, caresse son épaule, un sein, sa main vient sur ma cuisse, elle me murmure :
– J’adore les bisous, encore s’il te plaît
– Tu les aimes partout ?
– Oh, oui, alors, si tu le fais bien, je peux jouir vingt fois !
– Hum, j’adore lécher et faire jouir.
Elle avait mon sexe en main déjà tandis qu’Odette était masturbée par son ami ! Je lui bisouille encore l’épaule, descend vers son sein tout en glissant une main entre ses cuisses, puis elle sort de l’eau pour s’asseoir sur le rebord, les cuisses très ouvertes ! Vision superbe que cette chatte écartée, rouge, aux lèvres charnues que ma bouche vient goûter. Un régal car elle apprécie tout de suite, me tenant la tête, s’ouvrant au maximum, gémissant comme d’ailleurs Odette que je ne voyais pas.
Elle a joui assez vite en se caressant un sein, puis une autre fois quand je glissais un doigt dans sa fente. Elle me fit comprendre de me relever pour me sucer, un régal aussi d’autant que cette coquine d’Odette à genoux dans l’eau faisait pareil à son ami. Je me penchais vers elle :
– Est-ce que tu aimes aussi les femmes, car c’est la première fois qu’on rencontre un couple, j’aimerais que tu la caresses
– Oui, bien sûr, j’adore !
Quelle chance, ce jour là ! Je la vois alors venant derrière Odette lui caresser les épaules, les seins, se mettre à genoux derrière elle bien collée et faire un geste sublime :
Elle ôte le sexe de son ami de sa bouche pour l’embrasser, elle à pleine bouche. Un vrai rêve, Odette s’y prête tour de suite, puis elles se partagent le sexe raide.
Je les rejoins pour partager ce divin plaisir, deux bouches qu’on échange, deux sexes, ce n’est pas assez, Bernard le pervers fait signe à l’homme de s’approcher. Qu’importe la beauté quand on possède un sexe comme ça ! Il ne se fait pas prier et je « force » Odette à le sucer, la bouche dilatée par ce gland hors norme !
Je tape sur l’épaule de Danielle, (je viens d’apprendre son prénom) lui montre, aussitôt à genoux, elle vient aider sa complice, la bouche déformée aussi c’est dingue, mais il a eu peur de jouir et préféra qu’elles le branlent dans les douches.
Elles nous sucent encore un peu, puis je suggère à Danielle de lécher Odette. Aussitôt je place cette dernière sur le rebord et Danielle vient entre ses cuisses, lui caresse les seins qu’elle suce en lui caressant le dos et les fesses. Avant qu’elle la lèche, j’avertis qu’elle mouille beaucoup qu’elle gicle même.
– Hum, j’adore, au moins, là, elle ne feint pas.
Et elle la suce avec avidité, une merveille pendant qu’Odette nous branle ! Elle jouit très très vite, une fois, puis deux, en « éjaculant » et Danielle est quand même surprise.
Puis, je leur propose d’inverser les rôles. Odette n’a jamais fait ça, mais elle accepte. Danielle assise sur une marche de sortie écarte ses cuisses. Moi à coté, je lui écarte la chatte en invitant Odette à la regarder, la toucher avant de faire plus. Instants magiques où elle découvre la chatte d’une autre, l’examine avant d’y poser sa langue, sa bouche, une pure merveille et la jouissance arrive vite aussi, sublime.
Pour bien finir tout ça, je propose d’aller en haut, il y a un coin installé avec un grand matelas.
C’est d’accord, on passe à la douche d’abord avec l’homme dont la grosse queue sera vidée par Odette sur les seins de Danielle, il était très heureux, le gars ! Mais au lieu de profiter du spectacle, il s’en va.
A quatre, on va se mélanger de toutes les manières surtout les deux femmes que l’on va inciter à se laisser aller aux caresses les plus folles. Odette ne refuse rien, vite adepte de la bisexualité, appréciant un soixante neuf, dessus, dessous. On leur glisse notre sexe en bouche, on les caresse, c’est sublime, et comme on est « mari et femme », je la prend sans capote, puisque dans l’eau nous l’avions fait, elle en levrette avec Danielle lui léchant le clito et mon sexe en passant. Du vrai bonheur et son ami fit pareil avec une capote, bien sur, il y en avait à disposition ainsi que du papier absorbant.
Odette nous inonda plusieurs fois de son jus et pour conclure je me plaçais sur Danielle, mon sexe entre ses seins, elle donnant des coups de langue, puis elle m’attira pour une super fellation sois les yeux d’Odette prise en levrette. Quand je l’avertis que « ça montait », elle continua à me sucer de plus belle, je ne résistais plus, elle accepta ma semence, je la vois encore la déglutir !
Ce fut si réussit que l’on convint de se revoir.
A suivre donc, chers lecteurs
Très bonne description, on s’y croirait 😉
bonne ambiance, ça sent le vécu