Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 13 – Trio salace

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 13 – Trio salace

Scato explicite inside !

Un raclement de gorge dans l’embrasure de la porte des chiottes, c’est Corenta !.

– Je ne vous dérange pas ?
– Non ! (Je ne vais pas dire oui !)

Alors Corenta s’approche de moi, très, très près et m’enlace carrément.

– J’ai envie de toi !

J’avais compris ! On s’embrasse, profondément bien sûr. Rapidement, les fringues de Corenta tombent au sol, on se caresse, les mains vont partout.

– Je vous laisse entre vous ! Suggère Jenny.
– Mais non, viens donc nous rejoindre !

Elle n’hésite pas une seconde, et nous voici en train de faire à trois ce nous faisions à deux

– Tu peux t’assoir sur la cuvette, je vais te lécher le minou ? Me propose Corenta.

J’y vais, j’écarte bien les cuisses et la douce langue de la blondinette vient me fouiller mes chairs intimes.

– Je fais quoi, moi, je fais banquette ? Intervient Jenny.
– Passe derrière moi et occupe toi mon cul !
– Assise comme tu es, ça ne va être évident.
– Attend une seconde, je crois qu’il faut que je chie. Précisais-je
– Tourne toi qu’on puisse voir !

Toujours aussi salope, la Corenta, mais je ne me défile pas et démoule un long boudin qui tombe avec un bruit flasque dans l’eau dormante de la cuvette des chiottes.

– Oh ! que c’est beau ! S’extasie Corenta en regardant au fond de la toilette ! Tu en penses quoi, Jenny ?
-Je pense que c’est de la merde !
– Certes mais elle est trop belle !
– Si tu le dis !
– Hé, les filles, vous n’allez pas vous engueuler ! J’aimerais bien qu’on me nettoie le cul maintenant, je ne vais quand même pas me servir de papier. Corenta tu te dévoues ?

Elle n’hésite pas une seconde et se met à me lécher mon cul, manifestement elle se régale.

– Hum, qu’est-ce qu’elle est bonne ta merde.! Je t’en ai laissé un peu Jenny.
– Non merci ! Répond l’intéressée.
– Ce n’était pas une proposition, c’était un ordre ! Croit devoir préciser Corenta.
– Je m’en fous je n’ai pas envie de faire ça !
– Essaie, ça ne va pas te tuer.
– J’ai dit non !
– Tu préfères que j’aille chercher la cravache pour te forcer un peu.
– Vous êtes des catins !
– Ah, enfin un compliment ! se gausse Corenta.
– Jenny, tu approches ta langue et tu lèches juste un peu, fais-le pour me faire plaisir !
– Vous êtes chiantes, toutes les deux,
– Allez au boulot !

Jenny se lance, elle a maintenant le nez sur mon trou du cul, elle hésite, retient sa respiration et lèche et peu, puis se redresse.

– Alors ?
– C’est moins pire que ce que je pensais.
– Lèche encore, il en reste. lui dit Corenta

Cette fois, elle n’hésite même plus !

– Finalement ce n’est pas mauvais… mais vous me faites faire de ces choses, j’ai honte !
– Faut pas !

Corenta récupère l’étron au fond de la cuvette, le regarde d’un air attendri, puis en lèche l’extrémité.

– Hum, c’est trop bon ! Tu veux lécher, Annabelle ?

Pourquoi pas, au point où on en est ! Soyons folles

Alors on a léché de conserve, mais la surprise vint de Jenny, excitée comme une puce par la situation qui de façon complétement inattendue, quémanda sa part.

On s’est ensuite embrassé toutes les trois et je n’ai pas besoin de vous préciser quel gout avait ce baiser pervers !

Jenny a ensuite voulu faire pipi, Corenta et moi, lui avons offert nos bouches. Puis nous lui avons nettoyé la chatte de nos langues allant jusqu’à la faire jouir.

Et tandis que Jenny s’en alla prendre une bonne douche bien méritée, nous nous sommes fait jouir Corenta et moi à grands coups de langues là où il le faut, avec en bonus le doigt de Corenta dans le trou de mon cul.

Elle n’est pas belle, la vie ?

Je retrouvais Jenny dans la salle de bain

– Pisse encore une goutte, je vais te prélever un peu d’urine, elle est où la potion magique ? Demandais-je à Jenny
– Dans la cuisine !

Ben oui il ne faut pas que je m’affaiblisse !

Cette fois, je n’ai plus rien à faire ici, je décide de repartir et en informe Malvina.

– Et Lukas, tu vas le laisser comme ça ?

(souvenez-vous que je l’ai transformé en mouton au chapitre précédent)

– Ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque…

Je lui ai rendu sa forme humaine, il est monté à l’étage, pour bouder, je suppose.

Et après plusieurs heures de vol, me voici de nouveau chez Lothaire.

– Bon je vais t’expliquer ce que j’attends de toi…

Je m’attends au pire !

Il ouvre un coffre en bois, il y a plein de grandes feuilles là-dedans avec des schémas compliqués.

– Il y en a un paquet, c’est intransportable, mais rassure toi j’ai appris à numériser tout ça, ça tient sur un téléphone portable.

Mais qu’est-ce qu’il raconte ?

– Tu parles anglais ?
– Je me débrouille. Pourquoi ?
– Parce que tu vas partir aux Etats-Unis.
– Hein ?
– Le moment est venu de rentrer chez nous. La Terre possède maintenant ce qu’il faut pour construire une fusée interstellaire à moteur mixte, nucléaire et ionique…
– Epargne moi le charabia.
. S’ils ne le font pas c’est qu’ils considèrent que ça ne sert à rien… mais toi tu vas aller influencer ces gens-là. Avec tes pouvoirs, ça va faciliter les choses.
– Non mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Ce ne sera pas si difficile que ça, il faudra trouver le bon ingénieur et le persuader de mener ce projet à bien.

Je reste sans voix, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’on me confie une mission de cette envergure.

– Avant de partir, tu devras lire et apprendre par cœur un petit argumentaire que j’ai rédigé, ça répond aux questions qu’on te posera là-bas..
– Euh attention, en ce qui me concerne, je n’ai aucunement l’intention de m’embarquer pour l’espace.
– Mais personne ne te demande une chose pareille. Nous étions douze rescapés du crash originel. Vico s’est fait bouffer par une araignée et nous avons dû nous débarrasser d’Amaury. Nous serons donc dix pour ce voyage et pour cela nous reprendrons notre aspect alien, tu verras, ça ressemble un peu à des sauterelles !
– Dix, seulement ?
– Moi ma femme et mes filles Perrette que tu ne connais pas Il y aura aussi Rosalio et Philippine s’ils désirent venir, mais je me fais fort de les convaincre… et trois autres.
– Et le voyage prendra combien de temps ?
– 40 ans !
– C’est long !
– On s’en fout, on est immortel !

Il fallut bien que je pose la question qui me brulait les lèvres :

– Et les mutants ?
– Il faudra les organiser, ce ne sera pas une mince affaire, et surtout faire en sorte que personne ne découvre leur état. C’est là que tu interviendras, tu es la plus douée des mutantes, tu seras donc leur Reine.

Je vous dit pas mon égo ! Et du coup j’acceptais la mission !

J’ai donc fait une demande de visa pour les Etats-Unis. En attendant je suis allé voir ma petite famille.

– A Houston ? Mais tu vas faire quoi à Houston ? Je croyais que tu travaillais sur un bateau de croisière.
– Ça n’a pas marché, je suis tombé sur un mec qui cherchait une hôtesse française pour le musée de la NASA.
– Ça me paraît bizarre ton truc. Et on te revoit quand ?
– J’en sais rien mais je vous donnerais des nouvelles.

Lothaire m’a briefé assez longuement, je peux désormais soutenir une conversation sur l’astronautique sans avoir l’air d’une idiote. Il s’est occupé des billets d’avion et je l’ai retrouvé à Roissy

– Je te présente Galia ! Me dit Lothaire. Elle va voyager avec toi.

Galia est une charmante jeune blackette, mais je m’interroge sur les raisons de sa présence.

– Elle sera ta réserve d’élixir de survie. Pour le reste tu te débrouilleras sur place, il y a des herboristes à New York…
– Euh, attends, je ne comprends rien, je n’ai rien contre mademoiselle et je ne suis pas raciste, mais elle ne correspond pas aux critères…
– Ben si, justement, le critère ce ne sont pas les tâches de rousseurs mais le pigment qui les compose, la mélanine. Et notre amie, du point de vue mélanine, elle est servie.
– Mais il lui faut un visa
– Elle en a un ! Ce n’est pas elle mais ça lui ressemble, pareil pour le passeport, tu feras ce qui faut aux contrôles et à la douane…

Et discrètement Lothaire me refile le téléphone portable qu’il lui a subtilisé.

Elle n’a pas l’air joyeuse, la Galia. Cela se comprend aisément.

Avion jusqu’à New York puis un autre avion jusqu’à Houston où je loue une chambre d’hôtel.

Pendant tout le trajet, Galia assise à mes côtés n’en a pas décroché une, je la laisse tranquille par discrétion.

Mais arrivées à notre chambre d’hôtel, il fallut bien que nos rapports se définissent.

– Bon, je voudrais que tu m’expliques ce qui t’es arrivée ? Lui demandais-je
– Qu’est-ce que ça peut te foutre, pétasse !
– Bon, je suis peut-être une pétasse, mais je peux t’obliger à faire tout ce dont j’ai envie ? Seulement ce ne sera pas marrant ni pour moi ni pour toi, alors OK, t’es en galère, je n’y suis pour rien, je ne peux pas te sortir de là…

(En fait, si, je pourrais l’en sortir, mais outre le fait que ce soit assez compliqué, je serais obligée de rechercher une autre donneuse, alors autant conserver celle-ci)

– Mais, continuais-je, je peux m’arranger pour que ça se passe le mieux possible.
– C’est quoi votre truc, c’est une secte ?
– Non, mais ça y ressemble, alors raconte-moi ton histoire.
– C’est tout simple, je me suis fait piéger comme une conne, je revenais de Martinique. A Roissy il y avait une file d’attente impossible pour les taxis. Un type m’a proposé de me prendre dans sa voiture. On a roulé un peu et un moment il a stoppé sur une route déserte. J’ai d’abord cru qu’il voulait me violer, mais en fait il m’a mordu au cou, tu vois j’ai encore la trace. J’ai dû tomber dans les vapes et quand je suis revenue à moi, je n’avais plus de volonté, le type me dominait complètement.
– Il t’as dit quoi ?
– Je n’ai pas tout compris, mais en gros que désormais je serais une espèce d’esclave. C’est d’un gay !
– Et après ?
– Il m’a ramené à Roissy et il m’a livré à toi.

Rapide, le mec !

– Tu allais où en France ?
– A Paris, je suis en coloc.
– T’as un boulot ?
– Préparatrice en pharmacie.
– T’as des amis ou de la famille qui risquent de s’inquiéter ?
– Plutôt, oui !
– O.K. tu va les prévenir que tu as rencontré quelqu’un dans l’avion, et que tu as une belle opportunité professionnelle, tu ne donneras pas de détails, mais tu préciseras que tu vas rester au Etats-Unis environ une année entière.
– Une année ?
– Ben oui !
– Vas-y téléphone, tu peux envoyer ta photo si ça peut rassurer, mais si tu déconnes je coupe.
– Faut que tu me prêtes un téléphone, le connard qui m’a mordu, m’a piqué le mien.
– Non, c’est moi qui l’ai, vas-y téléphone !

Elle s’est prêtée au jeu sans que j’aie besoin d’intervenir.

– Donc toi t’es complice d’un réseau ! M’apostrophe-t-elle. Et t’es contente ? T’es fière de toi ? T’as la conscience tranquille ?
– Je viens de te dire que je m’efforcerais afin que notre collaboration se passe le mieux possible, Point barre.
– J’ai un peu soif !
– Tu veux quoi, je vais faire monter des boissons.

Je sonde juste un peu son cerveau, je comprends qu’elle va essayer de dire au garçon d’étage, qu’elle est prisonnière. Ça ne marchera pas, je vais lui montrer de quoi je suis capable.

A suivre

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4 réponses à Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 13 – Trio salace

  1. Réveillé dit :

    Bienvenue chez les cochonnes 🙂

  2. Xtra dit :

    Il fallait un certain talent pour rendre ludique ces pratiques extrêmes

  3. Timothy dit :

    Pas de censure, pas de tabous, c’est bien

  4. Honoriine dit :

    Ça pour être salace, c’est salace !

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