Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – La punition

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – La punition

Les deux jeunes filles sont poussées sans ménagement dans la grande salle et forcée de s’agenouiller.

L’homme à la perruque s’approcha d’elles et les gifla.

– Sœur Jeanne nous a rapporté que vous devriez être punies…
– Nous n’avons rien fait, balbutia Abigaelle, nous avons juste surpris Sœur Jeanne faisant commerce charnel avec un baudet.
– Que la peste bubonique emporte ces sales menteuses ! S’écria Sœur Jeanne à qui on n’avait rien demandé.
– Nous pourrions les torturer et elles nous raconteraient n’importe quoi; j’ai mieux à vous proposer. Venez mesdames que je vous fasse part de mes intentions.

Les deux belles dames s’approchèrent du nobliau, s’en suivit grands chuchotements, ricanements et hilarité car tout en parlant le perruqué ne pouvait empêcher ses mains de tâter les joufflues des nobles dames.

On fit détacher la jeune femme qui avait durement gouté de la cravache et dont le corps était zébré d’écarlate. Elle alla s’assoir dans un coin. Quant à Sœur Jeanne, après tant d’émotions ce sont les bras de Morphée qui vinrent l’achever et elle se mit à ronfler de façon disgracieuse.

– Quoique vous ayez fait, stupides catins ! Déclara le nobliau, vous serez punies, mais ensuite il nous faudra vous empêcher de nuire de nouveau.
– Mais nous n’avons nui à personne ! Proteste Mina.

Une nouvelle gifle la fit taire.

– Donc après la punition que nous vous infligerons ici même, il vous faudra choisir votre destin. Soit vous serez cloitrées à jamais dans vos cellules…

Il laissa volontairement la suite de sa phrase en suspens, se réjouissant des mines terrorisées des deux jeunes filles.

– Soit, vous serez vendues comme putain dans un bordel…
– On préfère ! Intervint Mina.
– Moi aussi, je veux être putain ! Ajouta Abigaelle.
– Mais pour cela, il va falloir nous montrer comme vous êtes vicieuses…
– Oui, oui, nous sommes très vicieuses ! S’empressa de confirmer Mina.
– Nous allons bien voir de quelle façon vous allez supporter votre punition…

Les deux jeunes femmes se regardent peu rassurées.

– Ouvrez la bouche, morues ! Vous allez me servir de pissotière !.

Les filles obtempèrent, elles connaissent le goût de l’urine, souvent quand elles se gamahuchent, leur vulve en restait imbibée.

Le nobliau pince cruellement le téton d’Abigaelle et se soulage dans son gosier avant de venir remplir celui de la brune Mina.

L’homme se retourne ensuite et crie à la cantonade que si d’autres veulent se soulager, ils peuvent volontiers le faire.

Louise, l’une des deux belles dames s’approche et demande aux deux prisonnières de s’allonger sur le sol. Puis elle enjambe Mina au niveau de sa bouche et déclenche un torrent de pisse.

Suzanne, l’autre belle dame ne veut pas être en reste et vient chevaucher puis asperger Abigaelle. Mais sa miction terminée, elle ne se retire pas.

– N’auriez-vous point terminé ? Demande le perruqué.
– Je crois que j’ai envie de chier ! Répond la noble dame.
– Eh bien, chiez, qu’attendez-vous, je veux voir votre noble étron choir sur le visage de cette catin.

Suzanne pousse et ouvre son anus, mais l’étron rechigne à sortir de son terrier.

– C’est terrible, je ne vais pas supporter une telle chose… chuchote Abigaelle à sa camarade d’infortune.
– Il le faut pourtant si tu veux devenir putain.
– Mais je ne peux point.
– Ce n’est pas si terrible… essaie de supporter…

Mais ce doux dialogue est interrompu par la chute d’une longue saucisse merdeuse qui vient s’affaler sur le visage de la blonde Abigaelle.

Suzanne qui n’a rien pris pour s’essuyer le joufflu, se sert de sa main et s’y étale le reste de ses excréments.

– Comment est votre merde, aujourd’hui ? Demande Louise.
– Eh bien goutez-y, ma chère !
– Mais bien sûr !

Et Louise ramène un bout de matière avec son index et le porte en bouche.

– Humm, elle est exquise ! Venez donc chercher cette impertinente petite crotte dans ma bouche de trainée

Les deux nobles dames s’embrassent à pleine bouche, faisant se balader l’étron d’une bouche à l’autre.

– Quand je pense qu’il y en a qui n’aime pas ça ! Se désole Louise.
– Quelle faute de goût !
– Qu’attendez-vous pour faire gouter votre merde à ces deux grues ? Intervient le perruqué.
– Je pensais justement me faire rincer le trou du cul par ces deux ribaudes. Intervient Suzanne.

On fait s’agenouiller Mina, et Suzanne lui présente son joufflu merdeux.

Timidement, la jolie brunette approche sa petite langue et vient tester ce gout très particulier. Elle ferme les yeux et nettoie la première trace. Elle s’habitue et continue, plutôt fière de s’être tirée de cette épreuve avec brio.

– Je suis vraiment une salope, j’ai léché toute la merde sur le cul de cette belle dame ! Dit-elle à son amie.
– Je ne pourrais pas… proteste Abigaelle.
– Mais si !
– C’est toi qui va lui faire goûter ! Lui dit Louise.
– Volontiers.

Abigaelle se débarrasse de l’étron qu’elle a sur le visage, tente de se relever et vocifère !

– Salope… tu ne vas pas me faire ça !
– Mais si, et même que ça va m’exciter !
– Gifle-la, ça va la calmer ! Intervient le perruqué

Mina, se prend au jeu et gifle son amie de toujours, qui surprise ne réagit pas. La brune réitère et lui crache au visage, cette fois la blonde, excédée se jette sur sa camarade, et c’est parti pour le corps à corps.

Les deux femmes se battent telles des chiffonnières après la foire, n’étant guère expertes dans l’art de la lutte, elles griffent, elles mordent, elles se tirent les cheveux, elle roulent au sol maculant leur corps de la merde que personne n’a ramassé.

Voilà une situation qui amuse fortement l’assistance qui joue les badauds, les hommes vits en pogne ne perdent rien du spectacle. tandis que les femmes rient et gloussent.

Ce jeu brutal excite terriblement Mina qui sent la mouille envahir son entrejambe. Elle veut jouir, mais admettez que la situation ne s’y prête guère.

Mais comme l’a très bien expliqué Denis Papin, les situations c’est comme la vapeur, ça peut toujours se renverser.

Alors Mina se débrouille pour immobiliser son amie en position de soixante-neuf. Elle a donc accès à sa chatte et y plonge sa langue sans attendre, mais en espérant une réciprocité.

Celle-ci tarde à venir, mais Mina est pugnace, et sa langue à force de ténacité parvient à faire gémir sa partenaire. Laquelle par politesse, par réflexe ou par obédience, allez donc savoir, se met à son tour à butiner la chatte qui est devant sa bouche gourmande.

Les deux femmes se gouinent maintenant à qui mieux mieux, ne se rendant pas même compte que quasiment tous les participants sont toujours agglutinés autour d’elles. Et ils ne restent pas inactifs Le mignon accroupi se régale du vit du mousquetaire et lui flatte les couilles, la fille des cuisines se fait lécher le trou du cul par sa propre fille, celle-là même qui avait été sévèrement fouettée auparavant.

Quant aux deux belles dames elles suçaient alternativement le perruqué tout en s’efforçant de ne rien perdre du charmant spectacle qui se déroulait sous leurs yeux.

Mina sent sa partenaire se raidir, elle concentre ses attaques linguales sur le clitoris de la blonde qui finit par crier sa jouissance, Abigaelle respire un grand coup et reprend son léchage faisant venir à son tour sa complice au paradis des amours saphiques.

Les deux femmes changent de position et s’embrassent. Mina a trempé son doigt dans le caca de Suzanne et l’approche des lèvres de Abigaelle.

– Je vais essayer ! Dit cette dernière.
– Ben voilà !

Et tout ce petit monde se met à applaudir.

Les deux femmes se relèvent, toutes souillées, et saluent le public comme on le ferait sur la scène d’un théâtre.

Du coup Sœur Jeanne se réveille !

– Mais que se passe-t-il ici, pourquoi applaudissez-vous ces deux trainées ?
– Ma sœur, vous êtes énervante, rejoignez votre cellule, foutez vous donc un crucifix dans le cul pour vous calmer et laissez nous nous amuser. Lui dit Louise en ponctuant ses paroles d’une belle paire gifle.
– Oh !

Suzanne est donc restée seule avec le perruqué, et après l’avoir bien sucé lui tend son joufflu afin qu’il l’enculasse comme une chienne.

Le drôle ne tarda pas à jouir dans l’anus de la belle et ressorti une bite gluante de sperme et de merde, Suzanne se fit un devoir de nettoyer ce chibre.

– Faut-il vraiment continuer ? demanda le nobliau. Ces catins me semblent parfaites pour le bordel ! Et je crois que vu leur beauté…
– Elles ne sont pas si belles que ça ! Intervint Louise. Et puis cela m’amuserait de les prendre à mon service personnel quelques semaines avant de les envoyer au bordel.
– Vous savez bien, chère Louise que je ne peux rien vous refuser.
– J’aurais bien aimer les fouetter un peu !
– Vous aurez l’occasion de le faire quand elles seront à votre service. Si vous voulez fouetter quelqu’un maintenant choisissez dans l’assistance, vous n’avez que l’embarras du choix.
– Pourquoi pas ? Toi la fille des cuisines, viens me voir, comment tu t’appelles ?
– Rosalie, Madame !
– Rosalie nous t’avons vu tout à l’heure te faire lécher le trou du cul par ta propre fille, sais-tu que cela est interdit par la religion ?
– Ce n’est point si grave, j’irais me confesser !
– Et tu crois que le curé va t’absoudre.
– Il m’absous toujours quand je lui lèche le derrière.
– Mais dans quel monde vivons-nous ! Se gausse Louise. Et dis-moi, que fais-tu d’autres avec ta fille !
– On se lèche l’abricot ! On se donne maints plaisirs et c’est bon !

Louise passa un collier autour du cou de Rosalie et la fit marcher à quatre pattes en lui assenant de bons coups de badine qui lui strièrent son gros cul de jolies marques.

Mais voici qu’Azor l’un des deux gros chiens attiré par l’odeur du cul de Rosalie se redressa et vint humer, puis lécher l’endroit.

Du coup Daran, l’autre chien s’empressa d’imiter son congénère.

– Couché les chiens ! S’énerve Louise, Rosalie ne vous mérite pas, si vous voulez lécher un cul léchez plutôt le mien !

Suzanne prend la laisse de Rosalie et l’installe dans un coin, puis elle revient et constate qu’Azor a déjà changé de partenaire balayant de sa large langue le joufflu de Louise.

Elle appelle Daran et le couche sur le côté, sa main enserrant son sexe,

– Soyez partageuses, mes jolies, invitez nos catins à vous rejoindre, on va voir comment elles se débrouillent.

Mina rejoint Suzanne, la bite du chien est déjà sortie de son fourreau et la noble dame le lèche à qui mieux-mieux se mouillant le menton de bave dégoulinante.

– Eh bien qu’attends-tu ?
– Rien, je vais le faire, mais. ce sera la première fois…
– Suce au lieu de me raconter ta vie !

Mina fascinée par ce cylindre de chair écarlate respire un bon coup, puis darde sa langue sur l’organe, en appréciant la texture particulière, sa langue balaye la tige et remonte vers l’extrémité, Dame Suzanne lui laisse sa place de façon à ce qu’elle puisse prendre le bout en bouche, la bite du chien secréte un liquide préspermatique qui envahit les bouches des deux dévergondées qui vont encore plus loin dans le stupre en s’embrassant à pleine bouche.

Abigaelle ne perd pas une miette du spectacle, partagée entre fascination et répulsion, et tandis que son amie se partage le vit de Daran, Louise à complètement retourné Azor et lui prodigue une fellation en règle, Elle fait signe à Abigaelle mais celle-ci, tétanisée ne bouge pas d’un poil.

Le perruqué vient derrière elle et lui administre une grande claque sur les fesses.

– Il serait singulier que ton amie rejoigne un bordel et que toi, tu restes enfermée à jamais dans une cellule de ce couvent.
– Je dois donc sucer ce chien ?
– Oui, mais ça ne suffira pas, il faut te guérir de tes atermoiements, je veux que tu te fasses prendre par le chien.
– Humm.

Quand Suzanne demanda à Mina de se mettre en chienne pour se faire couvrir par le chien, elle savait cet acte inéluctable et y consentit de bonne grâce. Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la scène sur sa droite, Abigaelle en train de faire sauter par Azor en poussant des jappement de plaisir.

Après ces émotions, tous ces débauchés se firent apporter quelques pâtés, tourtes et vin de Bourgogne, on mangeât et on but en chantant des refrains obscènes.

Assise l’une à côté de l’autre Abigaelle et Mina s’échangeaient de tendres baisers.

Le lendemain, Abigaelle entrait au service de Dame Suzanne et Mina à celui de Dame Louise

Au bout d’un mois, le perruqué les accompagna à Versailles et elle furent confiées aux bon soins de Madame Ducru, maquerelle de son état.

Les deux filles firent bonne impression et eurent comme clients quelques célèbres musiciens, jardiniers, et cuisiniers de la cour royale.

Elles accueillirent la Révolution avec enthousiasme, mais déchantèrent quand vint la Terreur, grâce à leurs relations elles purent s’enfuir à l’étranger. On perdit ensuite leur trace mais il se chuchota que les deux femmes firent ce qui est convenu d’appeler des « mariages avantageux ».

On sait aussi, qu’après être sortie du couvent, Abigaelle continua à remplir ses carnets de ses chauds souvenirs, on ne sait ce qu’ils sont devenus… Mais on cherche !

Fin

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9 réponses à Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – La punition

  1. Arabella dit :

    Il ne me déplairait pas d’être châtiée de la sorte ! Je suis très vicieuse et accepte soumission et humialtions

  2. Bureau dit :

    C’est quand même super hard… tout y passe… mais on s’y laisse prendre et l’éotisme fonctionne

  3. Felicia dit :

    C’est aussi l’ors d’une séance de punition que j’ai été initiée au sexe extrême, j’avoue avoir pris un plaisir pervers très particulier à sucer la bite d’un chien

  4. Mathilda Stenberg dit :

    Se faire chier dessus, sucer la bite d’un chien… Vous feriez ça, vous ? Me demandait quelqu’un par mal ! Mais c’est déjà fait ! Lui ais-je répondu !

  5. Brunet dit :

    Quel catalogue de perversion ! tout y passe pour notre plus grand plaisir

  6. Belinda dit :

    Fallait oser ! Fabuleux récit ! Je mouille !

  7. Chastaing dit :

    Tous les outrages, donc ! Mais il y en a de si délicieux !

  8. Vera44 dit :

    Il ne me déplairait pas qu’on me punisse ainsi car je suis parfois très vilaine !

  9. Harivel dit :

    Ce dernier chapitre très vassilien (c’est le moins que l’on puise dire) est très bon, bien loin de l’ambiance glauque du 1er chapitre.

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