A la salle de sport par Mondoi

A la salle de sport
par Mondoi

Je suis un hétéro de base mais il m’arrive d’avoir des envies de plaisir anal alors je me débrouille tout seul pendant mes masturbations en m’introduisant un doigt ou un objet voir un légume, je ne suis pas attiré par les hommes d’ailleurs c’est une femme qui m’a fait connaître ce plaisir.

Je fais du dégraissage à la salle de sport et j’ai sympathisé avec un mec, hétéro comme moi et nous sommes souvent ensemble à la salle à l’heure des repas, à soulever la fonte et à faire des abdos quand il n’y a personne.

L’autre jour, sous la douche, un peu euphorique car c’était avant un week-end avec un pont à rallonge, en rigolant, il m’a proposé de me savonner le dos, j’ai ri de sa proposition mais j’ai accepté. Il s’est mis à me frotter les épaules puis le dos, c’était agréable, je me laissais aller à ses caresses savonneuses et à un moment, je me suis mis à bander, j’étais gêné et essayais de cacher mon érection avec mes mains. Les siennes par contre, étaient descendues sur mes fesses et il me les massait, il me demanda :

– Tu aimes ? Te faire masser là?
– Heuuu, oui, c’est agréable

Il me les prenait à pleines mains et par moments, me les écartait, je sentais ses pouces passer dans ma raie et je ne savais pas comment arrêter cette séance de massages qui devenait très érotique, de plus ma verge était tendue à l’extrême et j’avais peur qu’il s’en aperçoive et me prenne pour un homo. Il se colla à moi pour ramener ses mains sur mes pectoraux et me masser la poitrine, je sentis à ce moment, un truc dur contre mes fesses, il bandait aussi.

Au début du frottement de son sexe contre moi, je ne bougeais plus, lui seul remuait en me caressant et sa tige se promenait sur mes fesses et ma raie mais je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis légèrement cambré et j’ai aussi frotté mes fesses sur sa verge.

Ses mains étaient descendues sur mon ventre et il prit mes mains qui cachaient mon érection et les écartât puis il caressa mon pubis et toucha ma queue dure.

– Ben dis donc, je te fais de l’effet à ce point?
– Je ne suis pas homo, tu sais?
– Je m’en doute, dit-il mais n’empêche que tu as la gaule, remarque moi aussi,

Et pour me montrer sa virilité, il se colla fortement à moi et sa bite passa entre mes jambes et se frotta sur mes testicules.

– J’ai pas baisé depuis une semaine, ça doit être pour ça que je bande, lui précisai-je
– Ne te justifie pas, quand l’envie est là, elle est là, fais moi voir ta queue plutôt

Je me retournais timidement et je vis la sienne, un beau morceau non circoncis d’une vingtaine de cm et un gros gland sous le prépuce, elle faisait bien quatre cm de diamètre et des veines bleues la parcouraient, il saisit la mienne et l’évalue à voix haute en la caressant.

– Belle pièce que tu as, aussi grosse que la mienne puis me saisissant les testicules à pleines mains, il rajoute.
– Et j’aime bien tes grosses couilles velues, elles doivent être pleine de jus si tu n’as pas tiré depuis une semaine?
– Heu oui, certainement
– Ca te dirait qu’on se les vide ensemble?
– Heuuu, je ne suis pas……..
– Oui, je sais, tu me l’as dis, tu n’es pas homo mais tu bandes quand même et moi aussi, ce serai dommage de ne pas en profiter, l’occasion fait le larron, tu vas aimer, je te caresse, tu me caresses, d’accord?
– OK, mais pas par derrière!!!
– Pourquoi, tu es vierge?
– Oui
– Tu n’y as jamais goûté, même pas un doigt?
– Un doigt si, avec une copine
– Rien de plus gros, une bougie, un petit gode?
– Oui, aussi, avec ma copine
– Et bien, tu vois, moi aussi et pourtant je ne suis pas homo, je suis sûr que tu te mets des trucs dans le cul tout seul à la maison, pas vrai ?
– Oui, ça m’arrive

Pendant que nous parlons, nos mains ne sont pas inactives, j’ai saisis son dard et je lui masse les couilles, je joue avec son prépuce et lui caresse la tige, il fait de même.

– Si tu es d’accord, tu me fais ce que je te fais et pour derrière pareil sauf si tu as trop mal, je me retirerais et tu viendras dans mes fesses, ok?
– D’accord, mais fais le moi en douceur, c’est ma première fois.

Il s’agenouille et me décalotte avec la bouche, il avale ma queue entièrement, remonte , redescend, en me massant toujours les testicules, parfois sa main va dans ma raie et un doigt titille mon anus, c’est terriblement bon, il me pompe et me lèche la queue, me branle et je me détend même de derrière, il l’a sentit et son doigt tente une entrée dans ma rosette, je pousse un peu comme me l’a apprit ma copine et ça rentre, le doigt glisse dans mon sphincter , je suis doigté par un homme.
Il me prodigue ses douceurs pendant de longues minutes puis se relève.

– A toi maintenant, fais-moi du bien et il me montre sa verge dure et tendue vers moi

Je m’accroupis et saisit son membre à deux mains, je suçote le prépuce en lui massant la tige et les couilles, je tire sur la peau vers le bas et le décalotte à fond, son gland sent un peu l’urine mais cela m’excite et je le lui lave avec la langue, il pousse un soupire de contentement, preuve que je me débrouille bien pour une première fellation, je mets mes lèvres en anneau et lui avale doucement la bite jusqu’aux poils pubiens puis remonte sur le gland que je lèche comme une sucette.

Ma main sur ses couilles part entre ses jambes à la recherche de son petit trou, il les écarte, je trouve sa raie velue, je la caresse des doigts, elle est lubrifiée par le savon et son anus aussi, je lui masse le bord en cercle, il est souple et appelle à la pénétration, je lui rentre mon index et lui fouille le sphincter, la encore, il a des soupirs d’extase, je le suce en même temps.

A un moment, il se retourne et me tend ses fesses, je comprends de suite la demande, je n’ai fais ça qu’à ma copine et elle à moi, je connais le plaisir que procure cette caresse et je lui rentre ma langue dans l’anus, c’est propre, un peu le goût de savon, je lui branle la rondelle en essayant d’aller le plus profondément possible, il aime, je le masturbe en même temps

– Ben ma salope, tu es bonne avec mon cul et ma queue, tu vas pouvoir bien m’enculer tout à l’heure.
Je lui fais ça un moment puis c’est mon tour
– A toi maintenant, je vais te nettoyer les fesses, penche toi.

Je me courbe en avant, il m’écarte les fesses et sa langue caresse mon trou avant d’y pénétrer, c’est trop bon, je pousse, ça rentre, il me branle la bite et me lave l’orifice. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’ai l’impression d’être largement ouvert de la petite porte, c’est ce moment qu’il choisit pour me rentrer deux doigts lubrifiés de savon, j’ai un soubresaut de surprise et un peu mal

– Tu veux que j’arrête, demande t-il ?
– Non, ça va.
– Tu en veux encore?
– Oui.

Et là, il me les rentre entièrement et me fouille le conduit, ça glisse bien, je tends mon cul à la pénétration, il commence un va-et-vient digital

– Tu prends bien, dit-il, tu vas être prêt à goûter à ma queue

Après un moment de doigtage, il se relève et me prend par les hanches, je sens qu’il pose son gland sur mon ouverture, il est chaud et dur, je sais que je vais déguster, je me rappelle la première fois avec ma copine, quand je lui ai dépucelé l’anus, elle aussi l’a sentie passer, mais je sais qu’après, il y a le plaisir.

Il appuie fort contre ma rondelle de puceau mais le savon et la salive facilitent la chose, le gland passe d’un coup m’arrachant un cri de surprise et de douleur. C’est vraiment gros dans mes fesses, je suis écartelé du sphincter, déchiré de la rondelle, je peine à reprendre mon souffle

– Tu veux que j’arrête?
– Non,
– Dis-le
– Encule-moi, vas-y

Il recommence sa progression, je suis envahis, un truc énorme, comme si je faisais mes besoins à l’envers, d’ailleurs la sensation y ressemble, je pousse encore pour m’ouvrir plus, ça rentre, cm par cm, j’ai l’impression que ça n’a pas de fin, que sa queue est interminable.

– Ca y est, m’annonce t-il, tu as tout le morceau dans ton cul, ça va ?
– Oui, mais qu’est ce qu’elle est grosse
– Tu vas aimer ça, je vais te limer le fion, branle-toi pendant que je t’encule

Il commence des va-et-vient, doucement au départ, la douleur disparaît progressivement, il reste la sensation d’encombrement, je suis remplis de bite mais les frottements dans le sphincter deviennent agréables alliés à la masturbation, il augmente le rythme des pénétrations, tantôt, il se retire doucement et se renfonce d’un coup, tantôt le contraire, il me pistonne, me défonce, me pompe le cul avec sa queue.

Je n’ai qu’une demi- érection et j’attends qu’il m’éjacule dans le ventre pour voir ce que ça fait mais il se retire et viens devant moi, me présentant ses fesses

– Mets-la moi maintenant, à ton tour d’enculer un homme et défonce-moi bien, j’aime ça

Il se penche tête contre le mur et s’écarte les fesses, son anus rose entrouvert au milieu des poils frisés de sa raie m’appelle comme une bouche prête à avaler mon morceau de viande raide, je pose mon gland contre les plis de chaires froissées et je pousse, ça résiste un peu, j’enduis ma tige de savon et là, la porte cède, je le tire vers moi par les hanches et lui enfile toute la longueur en un seul coup de rein.

Il a crié aussi

– A la vache, salaud, tu m’as déchiré le cul, continue, baise moi

C’est trop bon la sodomie, être serré dans ce conduit chaud et très peu lubrifié, le summum du plaisir, je lui fais le cul comme à ma copine, je le bourre, je ressors tout le morceau pour mieux le lui remettre, je joue avec sa rondelle, la branlant avec mon gland puis en fonçant ma queue au plus profond, de plus, la vue des salissures que son sphincter à déposé sur ma bite, m’excite, je sens la jouissance monter

– Retiens toi, me demande t-il, je préfère dans la bouche

Je m’extrais de son anus et lui tend ma queue sale à sucer, ça ne le gêne pas et il m’avale avec ce qu’il y a dessus, il me remet deux doigts dans le cul et me pompe vigoureusement, je viens en deux minutes et lui balance mon foutre au fond de la gorge, quel pied.

Je sais qu’il n’a pas joui encore et lui demande

– Tu veux où?
– Dans tes fesses


Il me retourne sauvagement et me plante sa verge dans l’anus, à ce moment je ressens vraiment du plaisir à être enculé et je tends ma croupe pour être bien baisé, il m’astique le cul férocement et en quelques minutes arrive à la jouissance et m’arrose le conduit avec son sperme chaud que je sent gicler en moi et se répandre, rendant la pénétration gluante, il en profite pour me ramoner encore un peu, mon anus fait un bruit de clapot, il se retire, je lâche un pet. Il me montre sa queue, salie aussi, je lui la lave mais avec du savon, je ne suis pas branché encore sur les trucs scato puis je file aux wc car tout ça m’a donné une furieuse envie de faire, il vient avec moi pour me regarder et je fais devant lui sans gêne, en plus il aime ça.

Depuis ce jour, nous continuons le sport en salle mais avec des plaisirs en plus, sa femme est au courant et voudrait une soirée avec elle et ma copine, à qui j’ai tout raconté et qui, elle aussi, voudrait assister à une séance entre hommes, je lui ai demandé en échange, qu’elle soit « très gentille » avec la dame.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à A la salle de sport par Mondoi

  1. Sapristi dit :

    Banal et sans surprise

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *