Une vie de soumis 1 – L’initiation par Ysan01

Une vie de soumis
1 – L’initiation
par Ysan

Préambule : Ysan c’est moi, mais en réalité tout le monde m’appelle Flo, diminutif de Florence. Ainsi l’a voulu mon maître.

Etudiant aux beaux-arts, 20 ans, de très petite taille (à peine 1,60 m), un visage harmonieux, une belle chevelure blonde ondulée. De part mes origines asiatiques, je suis parfaitement imberbe et dépourvu de tout système pileux si ce n’est un léger duvet autour du sexe, mais je m’épile avec soin. Ma peau douce et mordorée est faite pour les caresses. Prenant régulièrement des hormones, ma poitrine s’est développée, j’ai de petits seins d’adolescente qui plaisent beaucoup à mes amants. Mais leur plus grande excitation, ils la trouvent dans la forte cambrure de mes reins, la rondeur harmonieuse de ma croupe et mon petit œillet toujours prêt à avaler les bites même les plus charnues.

Ma petite queue dissimulée dans l’entrejambe par un habile dispositif dont je vous conterai la mise en place plus loin, perché sur mes talons aiguilles, la taille bien prise dans un corset de satin noir dont les jarretelles sous-tendent mes bas à couture, suis-je encore un garçon ou déjà une fille ? Je ne saurai dire : chérubin androgyne, poupée d’amour, jouet sexuel pour mes amants.

Ma plus grande fierté est de voir la fascination des hommes pour ma beauté équivoque. Ils sont prêts à tout pour que je leurs accorde mes faveurs et mes charmes. Quand leurs instincts se déchainent alors je trouve ma jouissance dans les délices d’une soumission complète aux sévices qu’ils m’imposent : flagellations sévères, épreuve de l’uro, supplices des pinces…..et bien d’autres encore, imaginés par mes amants les plus pervers.

Comment en suis-je arrivé là ? C’est une longue histoire que je veux vous conter maintenant mais il faudra de nombreux chapitres.

CHAPITRE I

L’INITIATION

Très jeune j’étais doué pour la peinture et le dessin. A 18 ans j’ai voulu quitter ma famille et suivre les cours des beaux-arts à Paris. Mon professeur était un colosse barbu, nous devions l’appeler « maître » il me fascinait.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour réaliser que moi aussi je l’intéressais beaucoup et pas uniquement pour la qualité de mes peintures ou de mes dessins. Il tournait incessamment autour de moi, me passait la main dans les cheveux, me prenait par la taille ou laissait traîner une main sur mes fesses. Au prétexte de me guider dans la tenue du crayon ou du pinceau, il n’hésitait pas à venir se coller derrière moi et je sentais son sexe en érection contre ma croupe. J’étais gêné et rougissant persuadé que tous mes camarades remarquaient son manège. Un soir, il m’a retenu dans l’atelier après le départ de tous les élèves :

– Ysan, je t’observe depuis longtemps tu es très beau, ton corps doit être magnifique, je veux que tu poses pour moi. Si tu as un peu de temps nous pourrions commencer dès ce soir… déshabille toi !

L’ordre était impératif, j’étais fasciné, en un tour de main je me suis retrouvé entièrement nu devant lui.

– Monte sur ce socle, les mains derrière la nuque, reste sur la pointe des pieds et cambre bien les reins.

Il a commencé par tourner lentement autour de moi, j’étais pétrifié. Puis il s’est rapproché, de la pointe des doigts, il effleurait ma croupe, provocant mes premiers frissons. Ses caresses sont devenues plus précises autour de mon sexe dont je ne parvenais pas à maîtriser l’érection. Il pinçait fortement la pointe de mes seins, mais la douleur m’apportait un début de jouissance. Et puis sans un mot, il s’est éloigné et carnet en main a commencé ses croquis. La séance de pose a été longue et épuisante

– Mon petit Ysan tu dois être fatigué, vas sur le canapé, la tête dans les coussins, replie tes jambes et présente moi ta croupe, je veux faire d’autres croquis.

J’étais dans une position particulièrement indécente. Il s’est approché pour me caresser les fesses, provoquant en moi de nouveaux frissons. Et puis il s’est éloigné pour faire de nouveaux croquis. La séance de pose a encore duré un temps qui me paraissait interminable :

– C’est bien, en voilà assez pour aujourd’hui, viens voir mon travail.

Il y avait une vingtaine de dessins tous d’une grande finesse mais d’un érotisme certain en particulier la séance sur le canapé où l’on voyait surtout mon cul. Quant au dernier croquis c’était un travail d’imagination : un monstre barbu pointant un sexe énorme devant ma croupe offerte.

Mon maître m’observait, j’ai souri en voyant ce dernier dessin. Là tout a basculé très vite, il m’a serré contre lui, moi toujours entièrement nu. Je me hissai sur la pointe des pieds pour lui offrir mes lèvres, bouche ouverte pour que sa langue puisse me pénétrer profondément. Tout en m’embrassant avec fougue, il caressait mon sexe, titillait mes pointes de seins, j’étais palpitant d’émoi.

Et puis brusquement il m’a fait agenouiller et a sorti son membre, une queue impressionnante au gland épais et turgescent. Il n’a même pas eu besoin de me forcer, je savais ce qu’il attendait de moi. Adolescent, j’étais toujours volontaire pour sucer mes petits camarades au dortoir ou sous la douche, ils m’appelaient « la fille » mais jamais je n’avais eu en bouche un membre aussi volumineux. Je m’appliquais, titillant le gland, léchant la hampe. J’étais satisfait d’entendre ses râles de plaisir, quand brusquement il s’est retiré :

– Mon petit Ysan tu suces divinement bien, mais je veux te prendre, vas sur le canapé.
– Mais je n’ai jamais été sodomisé, votre sexe énorme va me déchirer, pitié maître j’ai peur, laissez moi vous sucer !
– D’abord cesse de m’appeler maître, maintenant je suis ton amant tu dois me tutoyer et puis je ne pouvais pas imaginer qu’un si joli petit cul était encore puceau. Je ne veux pas te faire souffrir mais te donner du plaisir et en prendre avec toi, vas sur le canapé, mets toi en levrette, je vais te préparer.

J’ai obéi. En un tour de main il était nu auprès de moi et j’admirais sa musculature puissante, son torse velu et bien sur son sexe magnifique en érection. J’étais en levrette, comme il l’avait exigé. Il a commencé par crémer le tour de ma rondelle et a doucement introduit un doigt dans mon anus, puis deux et puis trois. Je poussais de petits gémissements bien plus de plaisir que de douleur :

– Tu vois Ysan tu supporte mes trois doigts, je t’assure, ma queue n’est pas plus grosse tu dois pouvoir la prendre sans problème.
– Oui chéri, je t’aime, je veux te satisfaire, je suis à toi, prends moi maintenant, encule moi ! Tant pis si j’ai mal !

J’ai senti son gland, pointé sur mon œillet et d’un mouvement brutal il a forcé ma rondelle. Je hurlais de douleur, je mordais les coussins, mais j’étais empalé il me fallait subir. Après quelques violents coups de butoirs il a ralenti sa cadence, voulant faire durer le plaisir. Sans cesser ses va-et-vient il parvenait à pincer mes seins et caresser ma queue :

– Tu vois Ysan, tu la supporte bien ma bite, tu en avais envie petite salope. Je l’ai défoncé ton petit cul et tu aimes ça.
– Oh ! J’ai mal mon chéri, j’ai mal mais tu commences à me donner du plaisir. J’ai le feu au cul, défonce moi. Oh oui ! Je sens ta bite qui enfle, tu vas décharger, je joui, tu m’encule bien, c’est bon, c’est bon !!!!!!

J’ai alors senti le jet puissant de son foutre envahir mon ventre et en même temps j’ai déchargé dans sa main. Nous nous sommes tous deux écroulés sur le canapé, épuisés par la violence de nos ébats et moi fortement meurtri. Il nous a fallu un moment pour récupérer :

– Ysan cette séance m’a ouvert l’appétit, nous allons fêter ton dépucelage par un bon repas.

Il avait ses habitudes dans un restaurant du quartier latin. Le patron nous a proposé une table dans un coin discret :

– Voulez vous vous installer côte à côte sur la banquette,
– Non je préfère que nous soyons face à face. Ysan mets toi sur la banquette, c’est plus moelleux, tu dois être meurtri.

Le patron m’a regardé en souriant, je suis devenu écarlate, avait-il compris ? Pendant tout le repas nous avons parlé peinture, cinéma, musique. J’étais fasciné par celui qui n’était plus mon maître mais était maintenant devenu mon amant. Ensuite il a voulu me raccompagner chez moi en voiture. Il conduisait d’une main, l’autre trop occupée à me peloter. Une fois arrivés, il m’a embrassé avec fougue. Ma main c’est hasardée sur son sexe, il bandait :

– Tu vois Ysan comme j’ai envie, nous allons monter chez toi, je veux te prendre avant de repartir.
– Mais mon chéri c’est impossible, ma logeuse est très sévère, je ne peux recevoir personne.
– Alors tu vas me sucer dans la voiture et je veux que tu avales tout

Il a eu quelques difficultés pour sortir sa verge en érection, moi j’étais prêt à lui donner à nouveau du plaisir. Cette fois je n’ai pas voulu lécher et titiller sur toute sa longueur cette bite magnifique. J’ai préféré garder son gland bien enfoncé au fond de ma gorge. Je voulais être sur de pouvoir tout prendre quand le moment serait venu, il me l’avait imposé. Mais sa queue était si grosse que dans les va-et-vient de mes lèvres je ne parvenais pas à descendre guère plus bas que le prépuce, malgré tous mes efforts et au risque de m’étouffer. Alors sans ralentir les mouvements de mes lèvres et de ma langue, d’une main j’ai branlé sa longue hampe et de l’autre je caressais ses testicules. Il a giclé très vite et violemment. J’avais la bouche pleine de son sperme chaud, acre et visqueux. Maîtrisant mes hauts le cœur il m’a fallu plusieurs gorgées pour tout avaler :

– C’était très bon Ysan, je te félicite. Tu suces comme une vraie putain, tu donnes ton cul comme une chienne en chaleur. Tu es très doué, je ferai quelque chose de toi.

Tout en parlant il a sorti un paquet de la boite à gants :

– C’est pour toi Ysan. Ce qui est dans ce paquet tu devras le porter demain toute la journée. Tu dois venir aux cours normalement et à cinq heures je t’attendrais chez moi. Dors bien maintenant.

J’ai eu droit à un long baiser, quelques caresses sur la pointe de mes seins et il est parti. Rentré chez moi j’ai vite ouvert le paquet, c’était un plug de gros diamètre. Ainsi demain je devrais toute la journée porter cet instrument de torture enfoncé dans mon petit trou. Pour l’instant j’étais épuisé par cette folle fin de journée, une douche bien chaude, un peu de crème sur mon œillet meurtri et je me suis vite endormi en pensant que demain une vie nouvelle commençait pour moi. Mon maître devenu mon amant avait dit :

« Mon petit Ysan tu es doué je ferai quelque chose de toi»

(à suivre)

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