Clotilde 10 – Des rêves à la réalité par Fafalecureuil

Clotilde
10 – Des rêves à la réalité
par Fafalecureuil

Nous nous réveillâmes le lendemain après-midi toujours enlacés. Quel bonheur !

Alors que Ronan préparait un déjeuner, Véra m’appela qu’elle avait décidé de passer une semaine de vacances au soleil pour se remettre avec une de ses cousines et je la félicitais de son initiative. Après avoir mangé, Ronan m’emmena faire un tour en ville, la première étape concernait ma tenue de motarde, il m’acheta un ensemble de cuir, un casque, des gants, des bottes, ce n’était pas très sexy mais il insista, prétextant que ce qui lui plaisait le plus était à l’intérieur… Au moment de payer, je demandais au vendeur si je pouvais m’habiller de suite, il accepta et je fonçais dans la cabine où je retirais tous mes vêtements et passais la combinaison à même ma peau. Je fermais la tirette, fière de moi et glissais le reste de mes affaires dans mon sac. En sortant, il me fit un sourire,

– Toi tu me caches quelque chose, je le sens…
– Ah bon ?
– J’en suis sûr… A ton petit air satisfait, je sens que tu as quelque chose derrière la tête.
– Si tu devines ce que c’est, tu auras une belle récompense.
– J’ai peur de deviner trop facilement…
– Oh ?

Il s’avança et tira doucement le zip de la veste, centimètre par centimètre, jusqu’au sillon entre mes seins blancs contre le cuir noir.

– Très joli, je mérite une récompense ?
– Bien sûr, en route

Une fois sur la moto, je glissais mes mains bien plus bas que d’habitude et entrepris de le caresser, je sentais son sexe gonfler dans son pantalon, il me supplia d’arrêter après avoir un peu raté un freinage…

– Si tu continues, on va droit dans le décor,
– Si tu t’arrêtes et qu’on fait un petit tour dans le décor…
– Choisis l’endroit, ma chérie…
– Prends la nationale à droite on va trouver un coin tranquille

Après quelques kilomètres un petit bosquet me tenta, Ronan s’arrêta et je l’emmenais entre les arbres. Après quelques instants il avait déjà passé sa main dans mon pantalon et me caressait doucement, de l’autre main il dézippa ma veste pour enfin dévoiler mes petits seins. Je m’agenouillais devant lui et sortis son sexe. Après une succession de petits baisers, je passais ma langue sur le gland que je découvrais, titillant de mes dents, aspirant, léchant avec plaisir. Ensuite je passais ma langue sur ses testicules durcis. D’un coup je les gobais l’un après l’autre, puis je passais ma langue derrière ses bourses. Ronan me caressait doucement les cheveux. Il me releva et baissa mon pantalon, puis il écarta mes jambes et enfouit son visage entre mes cuisses, il me lécha longuement, alternant les baisers et les coups de langue, titillant mon clito. Je gémissais de plaisir. De mes mains, j’écartais mes fesses, il comprit le message et sa langue passa le long de ma raie. J’écartais un peu plus et je sentis son souffle sur mon petit trou, puis sa langue agile. Je me liquéfiais de plaisir sous ses caresses, maintenant il me doigtait en même temps et je le suppliais de me prendre tout de suite, en levrette. Il me pénétra très doucement, il faut dire qu’il était plutôt bien gâté et que comme il était attentionné, il prit son temps. Le jeu en valait la chandelle et il me lima pendant de longs instants alors que de sa main il pinçait mon clitoris. La jouissance m’arracha un cri et il m’enlaça tendrement pour que je ne m’écroule pas. Il n’avait pas encore joui et je lui demandai de se retirer, à nouveau à genoux devant lui je le branlais doucement, avant de le prendre dans ma bouche. De ma main libre, je pressais ses bourses et il éjacula dans ma bouche après que je lui ai demandé. J’avalais tout, ravie et gourmande. Nous nous rhabillâmes et reprîmes la route. Une fois en ville, il m’emmena dans une agence de voyage et nous prit des billets pour une semaine en Martinique. Le soir même, sans bagages nous sautions dans l’avion. Un peu perdue, je réalisais que je n’étais pas en congés et je que devais trouver une excuse pour mon travail. Ronan me rassura, on appellerait dès notre arrivée. Une fois à l’aéroport, il ralluma son portable et je pus téléphoner à mon bureau pour prendre une semaine de congé prétextant une urgence. Après avoir raccroché, je me sentis en vacances et tout le reste ne comptait plus.

L’hôtel que Ronan avait choisit était sympathique et bien placé, il loua une voiture sur place pour nos déplacements et m’emmena faire quelques courses, je pris deux robes, des chaussures, deux maillots de bain. Pendant deux jours nous profitâmes du soleil, des plages, des restaus. Toujours nue sous ma robe, nous faisions souvent l’amour, au détour d’un chemin, dans les toilettes d’un restaurant, dans une cabine d’essayage. Le troisième soir, je me réveillais en sursaut, trempée de sueur, j’avais rêvé que j’étais poursuivie par un des serveurs de l’hôtel et qu’il m’avait rattrapée et emmenée de force dans une remise de l’hôtel. Ensuite il avait déboutonné ma robe et attaché mes mains dans mon dos, il présentait son sexe devant ma bouche et me forçait à le sucer. Après, il me retourna et c’est moi qui le suppliait de me défoncer le cul. Maintenant, j’étais réveillée, allongée dans mon lit, je portais mon doigt à ma bouche et réalisai soudain que je m’étais masturbée dans mon sommeil, je m’imaginais aux mains de ce black, soumise à ses désirs, je m’imaginais qu’il me partageait avec des amis à lui, qu’ils prenaient possession de mon corps, toujours attachée, je ne pouvais que leur obéir et me soumettre à leurs fantasmes. Dans mes pensées, j’étais une poupée, seul leur plaisir comptait, ils me baisaient comme une chienne, au milieu d’eux, allongée, les sexes s’alternaient dans tous mes orifices, ils me couvraient de sperme, c’était fantastique… Je me doigtais, mais ça ne me suffisait pas et je décidais de réveiller Ronan, excitée, je me glissais sous le drap et cherchait son sexe. Il dormait sur le ventre, et je lui écartais doucement les jambes. Je posais ma main sur son sexe, puis j’embrassais ses fesses. Il grogna doucement, je continuais promenant un doigt le long de sa raie jusqu’à ses bourses. Son sexe commençait à gonfler. Il se réveilla,

– Laisse-moi faire, ne dis rien

Il me laissa faire, je lui écartais davantage les jambes pour commencer à le masturber, enduisant son sexe de salive, puis je plongeai ma tête entre ses cuisses, gobant ses testicules, léchant, aspirant, goûtant la sueur de mon partenaire qui gémissait de plaisir. Je glissais ma langue plus haut, puis, embrassais le petit anneau plissé. Il se contracta, mais je lui demandais de se calmer. Je repris mes caresses, son sexe était raide comme un piquet et je continuais à le masturber en même temps que ma langue s’activait de plus en plus. Après quelques instants il n’en pouvait plus et je lui demandais de s’occuper de moi. Il me mit à quatre pattes sur le lit et il écarta mes fesses pour s’attaquer directement à mon petit trou que mes doigts venaient de visiter. Je commençais à me branler en même temps et lorsqu’il me pénétra enfin, je dus mordre les coussins pour ne pas hurler de plaisir. Il éjacula longuement et lorsqu’il se retira, je le pris dans ma bouche, me délectant du mélange de nos parfums. Après ça je m’écroulais dans ses bras. Au réveil, je lui racontais mon rêve.

– Si tu fais de tels rêves, et qu’à chaque fois tu me réveilles de cette façon, qu’est ce que ça va être si tu passes à la pratique ?
– C’est vrai que dans mon rêve, il y avait plusieurs hommes.
– Et tu as envie de le réaliser ce fantasme ?
– Non, enfin, je ne sais pas.
– Tu sais, je t’ai toujours dit que tu pouvais continuer à vivre ta sexualité comme tu le souhaitais, tu es libre, ma chérie de disposer de ton corps comme tu l’entends.
– …
– Je veux simplement que tu le fasses dans des conditions de sécurité satisfaisantes, et je ne tiens pas à ce que tu fasses de mauvaises rencontres.
– Tu es là, je ne crains rien,
– Peut-être mais je veux que tu sois prudente.
– Je te le promets,
– …
– Tu es jaloux,
– Oui, bien sûr, le contraire serait incroyable, mais j’ai accepté de vivre comme ça avec toi. Et en même temps je sais que c’est totalement différent de la relation que nous avons.
– Je ne sais pas, mais je ne veux pas te perdre, je préfère mettre mes fantasmes de côté et rester avec toi.
– Je ne te demande pas ça, je te demande deux, choses, vivre selon tes envies et tes désirs et
– …
– Vivre avec moi.
– Comment ça ?
– Eh bien, si tu le souhaites, j’aimerai que nous vivions ensemble.
– Mais nous nous connaissons à peine,
– Oui, et c’est pour ça que je ne te demande pas de réponse, je veux que tu réfléchisses.
-…

Après un bon petit déjeuner, nous partîmes nous promener, visiter des rhumeries, la journée fut fantastique, nous étions tellement complices, attentionnés l’un l’autre. C’était le bonheur. Dans la soirée, il me dit qu’il devait passer à la banque et qu’il serait absent deux heures environ. Il avait passé la journée à m’exciter à la première occasion et à notre grand regret il était impossible de « conclure ». Aussi, je me trouvais excitée, la main entre mes cuisses. Décidée à me donner du plaisir je m’étais saisie de ma chaussure et glissais le talon contre ma fente trempée. La porte fenêtre grinça légèrement, je ne pris pas garde et continuais. En me relevant un peu je remarquais un mouvement dans le miroir, je me figeai, il y avait un homme sur notre balcon. Un grand métis qui me matait. Sans hésitation, je continuais, la fenêtre était fermée et ne pouvait s’ouvrir que de l’intérieur, et franchement la situation m’excitait. Je bougeais légèrement sur le côté pour qu’il puisse mieux voir ce que je faisais. Le talon complètement enfoncé dans mon sexe, je me branlais activement. J’avais dénudé ma poitrine et je pinçais rudement mes tétons. Ca ne me suffisait pas, j’en voulais plus. Je me levais et avant que le beau métis n’aie eu le temps de se sauver, je lui fis signe d’approcher. J’ouvris la fenêtre, il entra. Son pantalon était bien déformé et je glissais la main vers la braguette, mais sans l’ouvrir. Je lui demandais son nom

– Samuel,
– Samuel, j’ai envie de passer du bon temps, as-tu un moment à me consacrer ?
– Bien sûr…
– Alors je suis toute à toi, tu as des capotes ?
– Oui, dans mon portefeuille…
– Bien,

Je m’agenouillais et libérais son sexe pour le mettre dans ma bouche. Belle queue, pas énorme mais je n’allais pas être difficile. Je léchais ses couilles et aspirais son gland alternativement, sa main se posa sur ma tête, me forçant à le prendre totalement en bouche, un petit peu de brutalité me convenait. De ma main libre, je glissais un doigt vers mon petit trou avec délice. Soudain, la porte s’ouvrit. Une belle jeune fille nous surprît.

– Salaud ! Espèce d’ordure !
– Ecoute, ce n’est pas….
– Je ne veux rien savoir !
– Mademoiselle, attendez, c’est de ma faute, je vous jure.
– Comment ça de votre faute.
– C’est moi qui l’ai allumé, j’ai tout fait pour qu’il vienne dans ma chambre.
– …
– Je l’ai forcé à le faire, je l’ai même menacé de me plaindre.
– Comment ça ?
– Ecoutez, je suis sûre qu’on peut oublier ce petit incident, Mademoiselle.
– Mais que croyez vous, que je vais vous laisser me piquer mon copain parce que vous avez le feu au cul ?
– Je comprends que vous soyez furieuse
– Oui, je suis furieuse, et vous allez me le payer.
– Ecoutez, je suis toute disposée à me faire pardonner, dites-moi ce que vous voulez que je fasse.
– Vous devez être punie !
– Si vous voulez me punir, allez-y
– Comment ça ?
– N’hésitez pas, je le mérite bien après tout.
– Je ne comprends pas…
– J’ai commis une faute, si vous voulez me punir, je dois assumer. Je ferai ce que vous voudrez pour me faire pardonner.

Elle était déstabilisée, et c’est vrai qu’elle me matait, on aurait dit qu’elle en profitait en plus, je me tournai vers elle, lui exposant mon corps nu, moite. Elle me toisa du regard, jeta un œil à son ami,

– Bien, alors venez, ce soir à 23 h dans la remise du grand bâtiment rouge, au fond du jardin. Vous aurez votre punition, et toi aussi Samuel !

Elle sortit en claquant la porte avec son ami. Je me retrouvais seule mais avec une perspective inédite pour la soirée. Ronan arriva peu de temps après, je lui racontai tout.

– Tu iras ?
– J’ai promis… Je ne veux pas être à l’origine d’une rupture.
– Bien, si tu le souhaites je jetterai un œil de temps à autres.
– Non, accompagne-moi.
– C’est entre toi et eux, je ne pense pas que ce soit une bonne idée, mais je ne serai pas loin.
– Ok, alors,

Après un repas au restaurant, j’étais fiévreuse et impatiente, le temps ne passait pas, nous allâmes boire un verre au bar. Au retour, Ronan m’emmena dans les fourrés et me demanda de le sucer, ce que je fis avec joie, lui se contenta de m’exciter avec sa langue, ses doigts, après un moment il me rappela qu’il était temps de me rendre à mon rendez-vous et je pris la direction de la remise, il était 23 heures précises, je toquais et la porte s’ouvrit Ronan n’était pas très loin. La jeune fille me toisa, Samuel était dans un coin, tout penaud.

– Je savais que vous viendriez.
– Je mérite une punition, je ne voulais pas me défiler.
– Bon, ne trainons pas, mettez- vous au centre de la pièce et, euh, baissez votre jupe.
– Bien.
– Vous ne mettez pas de culotte ?
– Non, je…
– Je vais vous donner une fessée, baissez-vous !

J’obéis sans discuter cambrant bien les reins pour exposer mon cul. La jeune fille me donna une fessée magistrale autant les premiers coups étaient retenus et timides, autant les derniers claquaient sur mes fesses nues et rougies. Je mouillais abondamment, les mains de la jeune fille s’attardaient parfois sur ma peau, de plus en plus souvent. Elle s’arrêta

– Voilà, vous êtes punie !

Sa voix était troublée, je le sentais,

– Non, pas encore à la hauteur de ma faute, vous savez, je vous ai dit que je savais que je méritais une punition exemplaire. Je vous obéirai et me soumettrai.
– Mais…

Je m’agenouillais devant elle et me prosternait. Ce fut un déclic pour elle. Elle renvoya Samuel sèchement, il sortit rapidement. Elle se tourna vers moi.

– Ne bouge pas, je reviens,
– Bien.

Je restais à genoux, sur le sol. Elle revint avec une fine baguette et un beau concombre elle m’ordonna d’enlever le haut.

– Mets les mains sur la tête maintenant.
– Bien
– Tu feras tout ce que je voudrai ?

Elle défit mon chemisier, caressa mes seins nus, elle pinça doucement mes tétons, je gémissais de plaisir.
Ensuite elle promena la baguette sur tout mon corps, aucun coup, sauf des petites pichenettes, très agréables…

– Tout ça t’excite on dirait ?
– Pour être honnête, oui, ça m’excite beaucoup…
– Tu aimes être punie alors ?
– Oui, et vous pouvez m’attacher si vous voulez, comme ça je serais toute à vous…
– Bonne idée, mets les mains dans le dos, je vais attacher tes poignets avec cette corde.
– Je suis prête…

Elle passa derrière moi, je sentis le concombre glisser entre mes cuisses.

– Tu voulais une queue ? Tu vas en avoir ! Baisse-toi !

Après qu’elle me l’ai fait lécher, le concombre franchit mes grandes lèvres et la jeune fille me l’enfonça doucement, m’arrachant un soupir de plaisir. Elle me branla pendant un moment, je sentais qu’elle aussi prenait du plaisir… Elle se releva et reprit la baguette.

– Je ne sais pas si je dois te fouetter ou si je …. Tu sais, Samuel ne m’a jamais léchée, tu veux bien le faire ?

Elle ouvrit son jeans, fit glisser son slip de coton révélant des lèvres roses au milieu d’une superbe toison noire et crépue. Je m’avançais et la léchais avidement. Elle s’était allongée sur une table et m’offrait son sexe, je plongeais mon visage bientôt couvert de mouille. Elle plaquait mon visage contre son sexe, je la fis jouir 2 fois sous mes coups de langue. Elle se releva enfin, elle glissa sa main entre mes cuisses. Elle me branla, je la suppliai de continuer, de me défoncer la chatte. Elle s’arrêta brusquement, me laissant pantelante. Elle défit mes liens et m’allongea sur le sol. Elle se mit en 69 sur moi, je sentis sa langue inexpérimentée sur mon con, c’était néanmoins très agréable. Elle releva mes jambes et enfonça doucement un doigt dans mon petit trou, alors que je tendais ma langue pour lui lécher l’anus. Elle se contracta un peu, mais après quelques instants, elle se détendit et encore une fois je la fis jouir avec ma langue. Son plaisir coulait sur mon visage, ma poitrine, son odeur musquée avait un pouvoir ensorcelant. Après avoir reprit son souffle, elle se releva,

– Quelle salope, tu m’as fait du bien, je crois que je n’ai jamais joui comme ça avec mon copain, merci… Attends, je reviens, je dois aller aux toilettes. Tu restes encore ? Je crois que j’ai encore envie…
– Bien sûr, je suis à ta disposition.

Quelques instants après, elle revint,

– J’ai une meilleure idée, tu as bien dit que tu feras tout ce que je veux.
– Euh, oui…
– Alors j’ai très envie de faire quelque chose de …
– N’hésites pas, dis-moi ce que tu veux…
– Tu vas penser que je suis folle…
– Non, dis-moi, si ça ne me convient pas, je te le dirai.

Elle s’approcha de moi, son sexe était à la hauteur de mon visage, elle caressa doucement mes cheveux.
– Non, je ne peux pas c’est trop humiliant…
– Je n’ai peut-être rien contre le fait d’être humiliée, tu sais ?
– Tu es sûre ?
– Je te promets d’être franche. Dis-moi ce que tu veux et je te dirai oui ou non.
– J’ai très envie de, enfin, de te pisser dessus.
– Oh ?
– Si tu ne veux pas…
– On ne me l’a jamais fait…
– Je ne l’ai jamais fait non plus, mais là j’ai envie…
– … D’accord,
– Certaine ?
– Oui, ça m’excite plutôt pour être franche.
– Sortons, s’il te plaît, nous serons tranquilles à cette heure
-…

Son ton n’était pas autoritaire et je ne savais pas trop quoi faire, je lui fis signe de la tête, et la suivit à l’extérieur. Je m’agenouillais dans l’herbe, juste derrière le bâtiment, elle se mit au dessus de moi, je m’avançais pour embrasser son sexe. Elle écarta ses grandes lèvres. Le jet frappa ma poitrine, brûlant et odorant. Ca me plaisait assez, timidement, j’ouvris la bouche, elle dirigea son jet, je goutais, salé, un peu amer, chaud, excitant, je sentais mon sexe se liquéfier. J’ouvris grand la bouche et elle plaqua son sexe sur ma bouche pour me faire boire les derniers jets. Ensuite, elle se releva m’embrassa, se saisit de son pantalon et s’enfuit me disant qu’elle me reverrait demain…

Je remis mes habits, un peu chamboulée, et je retrouvais Ronan un peu plus loin, il n’avait rien vu, je fonçais à la chambre et après une douche, je racontais tout à Ronan, qui me fit l’amour après m’avoir assurée que ça ne l’écœurait pas.

Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner, la jeune fille me fit signe. Je lui fis signe à mon tour. Elle glissa quelques mots à mon oreille. Je retournais à ma place et m’excusais auprès de Ronan.

Une fois dans la chambre, la jeune fille ne tarda pas.

– J’ai très envie de faire pipi, je peux me servir de vos toilettes Madame ?
– Bien sûr, Mademoiselle, je vous en prie.

Je la précédais, je me déshabillais et me mit à genoux sur le carrelage de la douche. Elle souleva sa jupe, elle n’avait pas de culotte. Encore une fois, j’embrassais son sexe, enfonçant ma langue en elle, soudain, le jet brûlant inonda mon corps, elle inonda mes cheveux, mon visage, ma poitrine, mon ventre, mon sexe. Elle avait du boire des litres, je buvais à sa source sans aucune appréhension. C’était délicieux. Je la nettoyais avec ma langue et elle sortit en me demandant de la retrouver ce soir.

– Reviens ce soir !
– Bien… Je peux emmener mon ami ?
– Non, juste toi et moi.

La journée fut fantastique, Ronan était plutôt excitée par mes aventures et ne ratait pas une occasion pour me le faire savoir. Il ne débandait pas et il faut avouer que ça me convenait parfaitement. Il refusa néanmoins de m’attacher, bien que je le lui aie demandé à plusieurs reprises.

Le soir même, dernier soir de nos vacances, je retournai à la remise, Ronan m’avait accompagnée et devant la porte il prit les vêtements que je lui donnais, puis (à ma demande) il m’attacha les mains dans le dos et me banda les yeux. Il me fit entrer et repartit. Elle m’attendait.

– Ce soir c’est à moi de te donner du plaisir.
– Alors je veux être ton jouet.

Elle s’avança elle était nue, je sentis ses seins, menus comme les miens, je l’embrassais sur la bouche, puis nous fîmes l’amour sur le sol avec nos langues, nos doigts, nos bouches, nos dents. Elle goûta au sperme de mon compagnon qui venait d’éjaculer dans mon con encore gonflé. Elle ne recula pas et partagea avec moi les restes de nectar. Je lui demandais de m’attacher, elle se plia à mes souhaits et bientôt je me retrouvais pieds et poings liés, totalement ouverte et offerte. Après m’avoir branlée avec beau concombre, elle me sodomisa doucement, ma jouissance arrivait et je lui demandais de me fister. Elle était un peu hésitante et je la guidais lui assurant qu’elle ne me faisait pas mal, enfin pas trop… Elle s’enhardit bientôt, tournant sa jolie petite main d’ébène dans mon sexe pâle. Je ne résistais quelques secondes avant de jouir. Elle me détacha et m’embrassa, Pour finir je lui demandais de continuer à me fister et elle s’y employa avec vigueur, pour me faire taire, elle s’assit sur mon visage. Je plongeais ma langue dans son petit trou, elle sursauta, mais je la plaquais contre mon visage, continuant à darder ma langue. J’étais tellement excitée, elle aurait pu faire tout ce qu’elle voulait, l’odeur forte me rendait hystérique. Ses doigts pénétrèrent mon anus. Je jouis alors qu’elle m’humiliait… Elle pissa dans ma bouche et je bus tout ce que je pouvais, folle de désir. Après, elle me prit dans ses bras, m’embrassa sur la bouche et m’assura que je lui manquerais beaucoup. Elle glissa une petite carte dans ma main lorsque je la quittais.

Le retour se passa bien, après avoir dormi une journée, entière, Ronan me demanda de m’habiller et nous sautâmes sur sa moto. Ronan voulait me faire une surprise et m’emmena au centre ville. Une fois arrivés, nous entrâmes dans un magasin plutôt huppé et là il me proposa de choisir une robe de soirée.

Deux vendeuses arrivèrent et proposèrent de m’aider, je me laissais faire n’ayant jamais été dans ce genre de magasin. Très sympathiques elles me débarrassèrent de ma veste et après quelques instants, me proposèrent trois robes et me demandèrent de passer en « cabine ». En fait la cabine était énorme, confortable et je commençais à me demander combien pouvaient coûter ces robes… Aucune étiquette, je quittais mes vêtements et, totalement nue, je passais la première robe pour la montrer à Ronan.

– Le rouge te va à ravir, ma chérie, qu’en pensez-vous Mesdames ?
– Très bien, il faut bien sûr quelques retouches sur ce modèle, je vais prendre vos mesures Madame.
– Euh, oui bien sûr

Je retournai dans la cabine, elle prit mon tour de taille autour de la robe, mon tour de cou, au moment de prendre mon tour de poitrine, elle me demanda si je pouvais retirer ma robe pour lui faciliter la tâche.

– Oh, euh bien, je ne porte pas de, enfin de,
– Aucun souci Madame, nous avons l’habitude, et pour être honnête, ce type de robe est bien plus agréable à même la peau.

Je dégrafais le haut révélant ma poitrine menue. La vendeuse me mesura un peu sous toutes les coutures, elle ne pouvait pas ne pas remarquer comme mes tétons étaient tendus, mais elle resta de marbre, me complimentant simplement sur la beauté de mes seins.

– Merci
– Vous allez voir Madame, une fois que la robe sera coupé à vos mesures, ce sera parfait, bien sûr il faudra réessayer mais je ne doute pas du résultat…
– …

Pour la deuxième robe, même topo, une robe noire, dos nu, très échancrée, mais très très classe. Là aussi, la vendeuse prit des mesures. Elle me tendit une paire de chaussures à talon haut pour prendre encore d’autres mesures. Elle remonta encore un peu la robe sur ma cuisse pour poser des épingles, glissa sa main sur mes hanches, elle ne cilla même pas en remarquant que je ne portais pas de culotte. Très pro, ou habituée ?

La troisième robe m’allait comme un gant, blanche, avec un décolleté très fin mais plongeant jusqu’au nombril, assez courte. Par contre la vendeuse décida qu’il fallait quand même faire quelques retouches mais qui pourraient être faites dans l’après-midi si nous le souhaitions, Ronan acquiesça, et je retournais avec la vendeuse, qui posa quelques épingles à nouveau et me laissa me rhabiller.

Ronan donna une carte bancaire à la deuxième vendeuse et paya. Une fois dehors, je me tournais vers lui.

– Tu es dingue ? Tu connais le prix de ces vêtements ?
– Pas vraiment, mais ce n’est pas un problème, tu seras superbe dans ces robes.
– Mais ?
– Pas de mais, continuons, je te laisse le choix du magasin pour les dessous ?
– Les dessous ?
– Lingerie, en général les femmes adorent ça non ?
– Mais ?
– Choisis ma chérie,
– Tu veux que j’explose ton budget ? Tu veux voir si ta carte bleue va prendre feu ? C’est ça ?
– Non, je veux te faire plaisir et j’aime quand tu es désirable.
– Tu l’auras voulu mon petit chéri,

Je choisis une boutique de lingerie haut de gamme et après 2 heures d’essayage, pendant lesquelles je mettais la patience de Ronan à rude épreuve, nous sortîmes avec deux gros paquets sous le bras. Ce n’était pas fini, ensuite, chaussures, j’en pris 5 paires, Ronan était tout sourire. Ensuite nous allâmes chercher la robe, je l’essayais après avoir passé un des ensembles de lingerie : string et porte jarretelles blanc crème, bas crème, haut talons blancs à bride. La vendeuse me glissa à l’oreille que j’avais beaucoup de chance et que mon mari avait beaucoup de chance aussi d’avoir une épouse aussi désirable.

– Ce n’est pas mon mari, enfin, je veux dire…
– Ah, excusez-moi Madame, j’étais sûre que c’était votre…
– Aucun souci, je vous en prie.
– Voilà, vous êtes prête.

Superbe, sexy mais très classe, Ronan allait adorer. Et effectivement cela lui plût beaucoup. En sortant, il me prit par la main et après m’avoir embrassée, glissa à mon oreille

– Encore une étape, c’est juste à côté.

Là, le coup de la bijouterie, c’était trop pour moi, je lui demandais pourquoi il voulait m’offrir tout ça.

– Mais tout simplement parce que je t’aime Clotilde, c’est suffisant comme réponse non ?
– Mais tu n’es pas obligé de faire des folies, je veux dire, ce n’est pas mon genre de, ces magasins, ces robes…
– Clotilde, je vais être franc, on ne sait pas de quoi sera fait demain, ce que je veux, c’est t’offrir de belles choses, si ça te gènes, j’arrête.
– J’ai l’impression que tu veux m’épater,
– Non, pas du tout, c’est comme ça que je vis depuis un moment, mais si ça ne te plait pas, je changerai.
– Tu changeras quoi ?
– Clotilde, je suis riche à millions, alors franchement… Si tu veux je refile tout à une ONG, mais on peut aussi en profiter tout les deux non ?
– Je ne savais pas …
– Je ne te l’ai pas dit non plus.
– Mais je ne veux pas que tu penses que je suis avec toi pour ton argent…
– Et voilà, ça commence…
– Quoi ça commence ?
– Ecoute, je vais être franc, je n’ai qu’une envie, c’est d’être avec toi, je pense savoir que tu n’es pas avec moi pour le fric mais parce qu’il y a quelque chose de plus sérieux entre nous… Je ne veux pas que l’argent soit un problème, je veux pouvoir en profiter et t’en faire profiter également, c’est très simple… Alors qu’en dis-tu ?
– Je suis un peu surprise c’est tout.
– Mais ?
– Pas de mais, je veux juste te dire que tu pourrais être fauché comme les blés, je resterai avec toi.
– Alors c’est superbe ! Embrasse-moi.

Dans la bijouterie, un vendeur sympathique s’occupa de nous, il me montra de très belles parures (sans aucun prix…) Après quelques instants, il se fit presque bousculer par son patron qui avait compris que Ronan allait faire des folies. Il était tout miel, je n’aimais pas trop ça et je sentais que Ronan non plus. Finalement Ronan se tourna carrément vers le patron et lui signifia que nous préférions les conseils de son jeune collègue qui s’était très bien occupé de nous jusque là. Il rougit comme une tomate, le pauvre, mais je suis sûre qu’il était tout à fait ravi de la réaction de mon amoureux…

Après m’avoir acheté une superbe parure, Ronan m’emmena dans un grand restaurant. Il me dévorait des yeux et pour être franche je ne portais pas tellement d’attention au menu…. Comme nous avions bu, il prit une suite et une fois la porte fermée, il se jeta sur moi, m’embrassant langoureusement. Il commanda ensuite une bouteille de champagne. Après avoir vidé une coupe il me déshabilla tendrement et m’allongea, nue sur le grand lit, ensuite il prit la bouteille de champagne et me dit qu’il ne trouvait plus la coupe et qu’il avait une bien meilleure idée.

Il me demanda de me redresser, de serrer mes seins l’un contre l’autre et versa le liquide glacé et pétillant. Je me liquéfiais sous ses caresses, il buvait ma peau, me rendant folle de désir. Il but ensuite dans le creux de mes reins, entre mes cuisses serrées, et enfin lorsqu’il versa un peu de champagne dans mon sexe que j’écartais de mes doigts, j’étais déjà au bord de la jouissance. Il but et aussitôt après m’embrassa, me faisant goûter ce mélange aphrodisiaque. Enfin, il me pénétra et nous fîmes l’amour longtemps, doucement, presque comme une première fois idéale.

Le rêve devenait réalité, j’avais attrapé un prince charmant !!! Nous passâmes une semaine de folie, Ronan m’avait convaincue de prendre un congé sans solde. Il m’emmena dans les montagnes, me faisant découvrir des paysages somptueux, nous passions la nuit dans des petits hôtels ou des palaces, cela nous était indifférent. Une semaine de bonheur sans se soucier de tout le reste. J’appelais tout de même Gaëlle pour la rassurer, un peu jalouse, elle me demanda si je la retrouverai à mon retour. Par contre presque chaque nuit, dans mes rêves, j’étais la proie d’homme ou de femmes dont j’étais l’esclave, dans des situations totalement incroyables, je me retrouvais être le jouet sexuel de personnes que je connaissais ou d’inconnus. Je me réveillais, le sexe humide, souvent je me masturbais pour me calmer, continuant mes rêves en imaginant mes tortionnaires profiter de mon corps, m’humilier. Je m’imaginais, ligotée, impuissante, contrainte, offerte, écartelée, soumise totalement… Je n’en parlais pas à Ronan, du moins pas pour l’instant… Seule Gaëlle pourrait m’aider, je l’appelais, elle était pressée et un peu surprise :

– Bien sûr, je ne t’oublie pas,
– Ah, je suis un peu jalouse tu sais ?
– Je te promets de te retrouver dès demain soir.
– Ok, tu seras à moi pour la soirée
– Si tu veux…
– Alors vivement demain soir…

Le retour fut assez long, la moto c’était sympa mais un peu fatiguant, arrivée chez moi, Ronan me demanda si j’avais réfléchi à sa proposition.

– Oui, tout bien réfléchi, je suis d’accord, mais je veux aussi continuer à vivre ma vie comme avant, si tu peux accepter ça…
– Au contraire, je t’encourage même à le faire.
– Ce soir j’ai promis à Gaëlle de la retrouver, ça ne te dérange pas ?
– Pas le moins du monde, je peux t’attendre ici ?
– Bien sûr, tu es … chez toi…
– …

Voilà, c’était lancé, mon prince charmant était chez moi, il m’attendrait, c’était un peu ça aussi le bonheur…

Après un bon bain et un massage tendre et attentionné, je me sentais d’attaque, Ronan, en peignoir, me proposa de me choisir des vêtements.

– Pourquoi, pas si ce n’est pas toi qui aura le plaisir de les enlever, ce sera peut-être Gaëlle…
– Ca ne me surprendrait pas tant que ça…

Ensemble de lingerie rouge, bas rouges, haut talons rouges. Petite robe de vinyle de la même couleur que je m’étais achetée plus tôt dans la journée.

– Superbe, je sens que je vais avoir du mal à me contenir si tu ne te sauves pas tout de suite…
– Alors, je me sauve, je suis juste à côté, si…
– Tu me raconteras petite coquine ?
– Promis…

Gaëlle était très contente de me retrouver, elle m’embrassa longuement comme pour me tester. Devant un verre, je lui racontais mes aventures (toutes mes aventures, y compris ma rencontre avec ma belle black un peu perverse et mes rêves de soumission). Après une bonne heure, Gaëlle s’approcha de moi un peu plus.

– Donc ton ami, n’a rien contre le fait que tu prennes du bon temps sans lui ?
– Non, aussi étrange que cela puisse paraître.
– Alors si je te fais des propositions malhonnêtes, tu accepteras ?
– Il y a de bonnes chances… Surtout que pour tout te dire, je pense qu’il ne pourra pas me donner du plaisir comme tu le fais.
– Ce n’est pas un bon amant ?
– Si au contraire, mais il n’acceptera jamais de me faire du mal
– Moi non plus, Clotilde,
– Tu sais ce que je veux dire, il ne me contraindra pas à faire des choses, enfin, je ne pourrai pas être soumise à lui parce que ce n’est pas son style d’être un… maître.
– Et moi, par contre ?
– Toi par contre tu es assez perverse et tu peux accepter de me maltraiter pour mon propre plaisir et le tien et…. c’est ce qui m’excite.
– Bon, bien déshabille-toi alors,

Je me levais et quelques instants après, je me présentais totalement nue devant Gaëlle.

– Comme je suis très jalouse, j’ai bien envie de te tourmenter un peu… Surtout que j’ai bien envie de te faire une petite surprise.
– Mmmmm
– Mais il faudra que tu soies très obéissante,
– Je te promets de me soumettre à tous tes désirs, Gaëlle.
– Tu as la soirée devant toi ?
– Et même la nuit, je te demanderai juste de prévenir Ronan pour ne pas qu’il s’inquiète.
– Bien, alors donne-moi son portable.
– Voilà le numéro.

Elle me demanda de la suivre à la cave. Il faisait un peu frais, mais pas tant que ça, lorsqu’elle alluma la lumière, je n’en crus pas mes yeux. Chevalet, poutres, chaînes, une table gynécologique, des menottes, des godes, des poulies…

– Surprise non ?
– Oh…
– Don d’une cliente et d’un client qui adorent ces petits jeux, ce sont eux qui m’ont montré beaucoup de choses… Tu veux essayer ? Ils ne pouvaient pas installer ces jouets chez eux, donc ils ont tout installé dans ma cave.

Je m’approchais, touchais du doigt le bois des poutres, les cordes, les chaînes, la table, comme pour être sûre que c’était réel. Puis je m’agenouillais devant Gaëlle, mains sur la tête, soumise.

Pour commencer, elle me fit enfiler un corset de cuir assez serré, passant juste sous mes seins. Puis, elle plaça à mes poignets, mes chevilles et mon cou des anneaux de métal qu’elle ferma à l’aide de petits cadenas. Je chaussais des chaussures à talon noires.

– Maintenant, choisis ma belle, tu as droit à 5 ustensiles, c’est moi qui m’occuperai de la suite.
– Bien Maîtresse,

Je choisis des pinces métalliques munies de chaînettes, un carcan, un plug de métal, un gode énorme et une cravache. Je les disposais sur une table, les yeux baissés.

– Nous allons commencer par le carcan, viens ici.

Elle plaça le carcan, emprisonnant mes petits seins, les comprimant l’un contre l’autre. Je mouillais déjà abondement. Ensuite elle se tourna vers moi.
Ensuite elle banda mes yeux, j’étais aveugle et chaque attouchement de mon amante me faisait sursauter et gémir de plaisir, plaisir que je sentais déjà monter dans mon ventre.

Mais Gaëlle ne l’entendait pas de cette façon, elle me fit languir jusqu’à ce que je la supplie. Alors elle posa ses pinces, mordant doucement mes chairs intimes, alors elle m’attacha les mains dans le dos et me fit ramper à ses pieds, elle me fit lécher ses chaussures, puis son corps nu et plus particulièrement ses seins somptueux, son sexe, son anus. Je la fis jouir uniquement avec ma langue. Elle se releva, se para d’un gode ceinture et comme je la suppliais, elle me mit à quatre pattes et me pénétra violemment presque jusqu’à ma jouissance. Elle me laissa pantelante, elle n’en avait pas fini avec moi…

– Maintenant choisis la croix ou la table ?

Je me dirigeais vers la table et pris place. Gaëlle m’attacha solidement, usant de mes bracelets et de liens de corde pour me maintenir, totalement offerte.

– Tiens je pense que nous pourrions appeler Ronan pour lui dire que nous passons une très bonne soirée ?
– Oh, je ne sais…
– Si tu lui as tout raconté jusque là, il faut continuer…
– Bien.

Après quelques secondes, elle discutait avec lui, et elle m’obligea à décrire à mon amant la façon dont j’étais offerte et soumise à Gaëlle. La façon dont j’avais léché son corps, son intimité, la façon dont elle me torturait doucement, tirant sur les pinces, pénétrant mes orifices.
A l’autre bout du fil, Ronan était silencieux.

– Continue, raconte-lui ce que je te fais. Décris tout, je veux tous les détails.
– Ma maîtresse vient d’enfoncer quelque chose de froid dans mon anus, ça fait un peu mal.
– …
– Elle serre mes seins à l’aide du carcan, elle me demande si elle doit serrer plus fort.
– …
– Elle me dit que ce sera douloureux.
– …
– Oui, maîtresse, s’il vous plaît, serrez.
– ….
– AhhhhhhhmmmMMMMMMMMMM
– …
– Ma, ma, ma maîtresse va enlever les pinces sur mes seins.
– …
– Aaaaaaargh
– …
– J’ai mal, mais c’est boooooooon
– …
– Ma maîtresse va me donner des coups de cravache.
– …
– Je dois compter et dire où elle frappe.
– …
– Un, mes fesses
-…
– Deux, mon sein droit, trois, mon sein gauche.
– …
– Quatre, l’intérieur de mes cuisses… Cinq ma vulve Oh maîtresse… Ah, les pinces, nooooooonnnnnn, c’est oh….
– …
– Oui, plus fort, s’il vous plaît maîtresse, punissez-moi, je vous en supplie, plus fort.

Et les coups se succédèrent, jusqu’à ma jouissance. Gaëlle me fit jouir en cravachant mon sexe. La douleur irradiait mon bas-ventre, je sentais que je coulais de plaisir. Gaëlle me détacha. Elle enleva mon bâillon,

– Oh, merci maîtresse, merci…
– Tes remerciements me touchent, tu veux continuer ?
– Oui…
– Tu veux être totalement mienne ?
– Oui…
– Je voudrais que tu sois mon esclave, Clotilde.
– Oui…
– Tu m’obéiras sans discuter ?
– Oui…
– Tu accepteras de te soumettre totalement, sans hésiter ?
– Oui…
– Tu seras une chose entre mes mains, un objet de plaisir.
– Oui…
– Tu accepteras toutes les punitions.
– Oui…
– Tu accepteras d’être exhibée
– Oui…
– Tu accepteras d’être humiliée
– Tu seras une esclave exemplaire.
– J’essaierai Maîtresse.
– Alors, je veux bien de toi comme esclave Clotilde.
– Merci Maîtresse, je ne vous décevrai pas.
– Pour commencer, je veux que tu portes un signe permanent de ta soumission.
– Si vous le souhaitez, maîtresse.
– Si tu veux devenir mon esclave, c’est indispensable, en attendant mieux, tu conserveras ce collier de métal, à tout moment, je t’interdis de l’enlever.
– Merci, maîtresse.

Elle ôta le gros collier que je portais pour me passer un fin collier de métal mat. Elle le ferma dans mon dos.

– Bien, pour la suite, nous déciderons de ton signe d’appartenance. J’aimerai beaucoup t’offrir un anneau, je suis sûre que tes grandes lèvres seraient superbement ornées.
– Oh…
– Mais prenons tout notre temps. J’ai bien envie d’essayer deux ou trois choses avec toi, surtout après que tu m’aies avoué ce que tu as fait avec ton amie des îles.
– Bien, maîtresse, je ferai tout ce que vous désirez.
– Alors, viens, à genoux, sous mes jambes, oui, bien, comme ça, cambre-toi.
– Merci Maîtresse.
– Tu sais ce que tu dois faire ?
– Oui Maîtresse,

À suivre…

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