Il était une fois, il y a vraiment très longtemps, vivait une magnifique
jeune femme qu’on surnommait Rosie.
Elle était d’une beauté éblouissante, des yeux vert profond, couleur
émeraude et des cheveux longs, d’un blond très pâle presque blanc. Cloîtrée
dans un château à l’air plutôt sinistre, elle était une soumise parmi tant
d’autres…
Sa maîtresse était tyrannique et assez méprisable, sa soumise
ne s’en plaignait guère, car n’ayant connu que cela, la pauvre ne se
languissait pas d’une vie meilleure…
Un jour, la maîtresse Ophélie ordonna à sa soumise d’aller cueillir des
fleurs dans le jardin à coté, car elle attendait de la visite de dames très
importantes ce jour là…
Alors Rosie obéit à Madame et lui rapporta un merveilleux bouquet de roses
toutes plus rouges les unes que les autres… Elle était fière de son gros
bouquet qu’elle venait de ramasser, maîtresse sera sûrement contente se
dit-elle, le sourire aux lèvres.
Lorsque Rosie souriait, on pouvait remarquer que ces lèvres étaient d’un ton
un peu orangé et surtout pulpeuses a souhait, elle était magnifiquement
jolie, presque mystique…
Elle entra dans le salon et les dames étaient déjà là. Elle passa devant
elles et leur fit un léger sourire en guise de bienvenue, puis s’en alla à
la cuisine mettre les fleurs dans l’eau et dans un magnifique vase de
cristal, où l’on pouvait discerner dans le verre, deux jeunes femmes se
faisant l’amour…
Rosie prit soin de bien placer les fleurs afin qu’il y en ait de chaque coté
du vase et alla le déposer sur la table, puis elle demanda à Ophélie si elle
pouvait bien disposer. Madame lui répondit qu’elle devait faire un grand
festin pour ses nouvelles invitées avant de disposer. Alors la jolie Rosie
s’en retourna à la cuisine et commença le repas, un merveilleux canard farci
aux olives et quelques petits gâteaux apéritifs et en guise de dessert elle
leur ferait un super gâteau renversé au chocolat…
L’odeur de toute cette cuisson sentais si bon, que Rosie se dit que si elles
n’appréciaient pas après tout le mal qu’elle s’est donnée, c’est qu’elles ne
connaissent rien a la nourriture.
Alors après avoir tout bien préparé et mis les couverts et fait d’une
affreuse table de bois vraiment laide, une table décente à recevoir, elle
alla rejoindre Maîtresse et lui dit que le repas était prêt, puis Ophélie
lui ordonna de servir en lui disant : sert les invitées en premier et prend
garde de ne rien renverser, sinon tu seras punie sévèrement ! La pauvre
Rosie avait si peur de madame qu’elle ne parlait presque pas, elle se
contentait de hocher la tête en signe approbateur…
Rosie servit du mieux qu’elle le pût et avec toute la courtoisie nécessaire
au service de ces jolies jeunes dames qu’elle servait… Elle souriait à
chacune d’entre elles le plus poliment et le plus sensuellement qu’elle le
pouvait… Lorsque le repas fût terminé, elle se retira dans sa chambre pour
se détendre un peu… Elle s’étendit sur son lit et rêvait doucement de doux
songes…
Elle était presque endormie lorsqu’elle entendit un cri presque étouffé,
Elle prit peur et se cacha sous les couvertures quelques instants, puis en
ressorti et alla voir ce qui se passait. Elle était debout devant le salon
et elle vit une scène pour la moins troublante… Il y avait la, les femmes
et sa maîtresse qui étaient dévêtues et en tenues très légères. C’était
terriblement sensuel et sexy comme vision… Rosie avait déjà 20 ans mais
n’avait jamais eu de petit ami ni de petites amies… Les femmes étaient
vêtues de porte jarretelles et guêpière énormément sexy autant les unes que
les autres…
Cette vision troublait atrocement notre jolie Rosie, elle était émue de tant
de douceur et de sensualité, elle était habillée d’une chemisette de nuit et
d’un petit string blanc… Elle glissa un doigt dans sa petite culotte et se
caressa tout doucement, elle ne voulait pas qu’on la surprenne comme ça.
Elle voyait les femmes se toucher entre elle, s’effleurer du bout des
doigts. Elle pouvait sentir une immense chaleur envahir son ventre, elle
sentait l’odeur de la cyprine lui monter au nez tel un parfum dont on ne
peut se passer, elle se rapprocha un peu plus de ces odeurs si
excitantes…
Rosie se rapprocha de la salle aux désirs à pas feutrés, elle appuya sa main
contre le mur et se laissa aller à son petit plaisir tout en s’émouvant de
la scène presque interdite, qu’elle regardait avec tant d’envie. Elle
caressait ses seins qui pointaient magnifiquement sous sa chemise de nuit,
on pouvait même y voir la couleur de ses mamelons percer à jour contre le
tissu. Elle les frôlait du bout des doigts et les pinçait un peu avec ses
ongles. Elle s’émerveillait devant tant de beauté, devant cet acte d’amour
qu’elle ne connaissait pas encore.
Rosie caressait son corps a la recherche de plaisir, elle glissa une main
sur le coté de son sein droit très doucement jusqu’a ses hanches et eut un
léger frisson qui parcourut tout son corps. Elle s’avança encore un peu plus
près du salon et entra furtivement et alla s’asseoir sur le canapé. Puis
elle replongea sa main entre ses cuisses humides et alla chatouiller son
petit bouton d’amour du bout des doigts. Une dame s’est levée et s’est
approchée de Rosie puis lui a ôté la main de sa culotte et a léché le doigt
plein de cyprine délicieuse. Rosie était déjà si excitée, qu’elle décida de
se laisser faire.
La dame mis sa main dans les cheveux de Rosie et l’embrassa avec tant de
passion et de désir que Rosie devait se contenir pour ne pas lui griffer le
dos tant cette caresse l’avait mise en émoi. Rosie passa ses bras autour du
cou de sa nouvelle amie et lui caressa le creux des reins puis remonta à ses
fesses chaudes et les pinça de ses mains délicates. La dame fit agenouiller
Rosie par terre, sur un ton de jouissance, elle susurra à son oreille de la
lécher. Un peu gênée, elle mit ses mains sur les cuisses de cette femme pour
se donner une contenance et se mis d’abord à sentir cette si jolie chatte
qui s’offrait à elle et du bout de la langue, elle se mit à lécher très
doucement son petit bouton d’amour, elle le lécha et le titilla tout a la
fois et la dame la tenait par les cheveux ne lui laissant pas le choix de
continuer et on l’entendait jouir à chaque coup de langue qui s’infiltraient
dans sa petite chatte déjà toute mouillée de désir par la charmante Rosie.
Ophélie se dégagea de l’étreinte de l’autre femme et vint auprès de Rosie et
lui jeta d’abord un regard jaloux. Rosie comprit bien vite qu’il fallait
qu’elle fasse la même chose à maîtresse, sinon elle serait très fâchée.
Alors elle cessa ses caresses sur sa nouvelle amie et se releva debout afin
de contempler sa maîtresse. C’était la première fois que Rosie la voyait
nue, elle était vraiment très belle et paraissait beaucoup moins dure de
cette façon, elle avait laissé tomber ses cheveux noirs dans son dos en
cascade et s’était maquillée avec des couleurs très douces, ce qui lui
donnait un air de jeune fille malgré ses 39 printemps. Rosie s’approcha d’un
pas incertain afin d’embrasser Ophélie qui aussitôt l’attira tout contre
elle et l’embrassa avec tant de chaleur, tant de sensualité et de désir
refoulé que Rosie en chancela presque.
Ophélie entraîna Rosie dans sa chambre pour avoir un peu plus d’intimité et
laissa les deux autres femmes dans le salon à leur plaisir. Rosie était
surprise de voir sa maîtresse agir ainsi car elle avait toujours cru qu’elle
ne l’aimait pas. Elles grimpèrent l’escalier qui menait à la chambre et
Ophélie poussa brusquement Rosie sur le lit. Elle prit peur de ce geste mais
resta néanmoins. Ophélie leva la chemisette de Rosie et enleva sa petite
culotte d’un geste extrêmement délicat tout en lui caressant les jambes au
passage.
Rosie l’attira par la main près d’elle et lui vola un baiser langoureux et
sauvage. Elle se pressa contre elle, seins contre seins, elles étaient si
bien. Ophélie passa sa main entre les cuisses de Rosie tout en lui titillant
le bout des seins déjà durcit par tant d’émotion et d’excitation. Les mains
de Rosie parcouraient le corps splendide de sa maîtresse et elle ne cessait
d’effleurer sa peau de velours du bout des doigts. Rosie prit la bouche
d’Ophélie lui lécha la lèvre inférieure et l’embrassa de nouveau d’un baiser
tendre et plein de désir. Elles s’enlacèrent longuement et fiévreusement, la
douceur de leur peau se mélangeait. Ophélie la regarda passionnément et
tendrement puis entra un doigt en Rosie, elle savait qu’il fallait qu’elle
le fasse très doucement car elle se doutait que c’était sa première fois.
Rosie échappa un petit cri de plaisir, elle aimait cette délicieuse caresse.
Elle dit à Ophélie sur un long soupir de jouissance :
– Ne t’arrête pas, je t’en pris…
Ophélie à ces mots prononcés, répondit en la doigtant avec encore plus de
ferveur encore un bon moment. Elle cessa et descendit entre les cuisses de
la jeune femme pour aller chatouiller et titiller son petit bouton exquis.
Rosie se mit à crier au premier contact de cette langue si douce et chaude
qu’elle recevait, c’était pour elle une si grande extase, elle avait si
longtemps rêvée d’être initiée à l’amour. On pouvait entendre au loin les
deux autres femmes d’en bas qui jouissaient déjà bien fort, ce qui excita
Rosie et Ophélie encore plus…
Rosie caressa les cheveux de sa maîtresse et les lui tirait parfois
lorsqu’elle jouissait beaucoup. Elle était toute en extase sous les
merveilleuses caresses de sa maîtresse. Ophélie qui a toujours désirée Rosie
secrètement, prenait un malin plaisir à la faire jouir le plus et du mieux
qu’elle le pouvait, ses jambes entrouvertes et le nez dans sa chatte, elle
sentait la cyprine de Rosie lui monter à la tête rapidement. Elle s’enivrait
de ce doux parfum et dégustait son précieux nectar. Rosie criait sous ses
caresses, elle la pénétrait toujours d’un doigt et la léchait si bien.
C’était si doux et si fort a la fois cette caresse, elle haletait sous
l’immense plaisir qu’elle lui procurait. Ophélie se releva et alla embrasser
sa tendre soumise d’un baiser sauvage, comme s’il y avait des années qu’elle
en aurait eu envie. Ce baiser fit presque jouir Rosie tellement il était
enflammé, leurs langues se mélangèrent et tournèrent ensemble. Rien
n’égalait ce baiser, il était si doux et si sauvage à la fois.
Rosie se leva à son tour et sourit à sa maîtresse, puis descendit vers son
entrejambes déguster le fruit interdit, elle s’approcha doucement et senti
l’odeur d’Ophélie lui monter au nez et a la tête, c’était divin. Elle fit
glisser sa langue chaude sur le petit bouton de sa si douce maîtresse qui
déjà criait de plaisir, Juste de savoir qu’elle était là, entre ses jambes.
Rosie donnait de petits coups de langue furtifs et de plus en plus rapide,
la cyprine d’Ophélie coulait dans sa bouche, c’était divin. Puis elle cessa
un peu et entra un doigt dans la petite fleur de sa maîtresse et elle
l’entendit jouir aussitôt. Elle criait fort, elle transpirait, des gouttes
de sueur perlèrent sur son front. Elle était presque en extase lorsque Rosie
décida d’arrêter. Elles se placèrent pour une position qui les ferait jouir
toutes les deux en même temps et elles descendirent toutes les deux vers la
chatte de chacune. Ophélie entra un doigt en Rosie la doigtant fort et la
léchant le plus vite qu’elle le pouvait, elle avait tant envie de l’entendre
jouir. Puis sa soumise imita le geste et entra deux doigts en Ophélie et la
léchait vite et lentement, elle voulait faire durer ce si bon plaisir…
Rosie se mit à trembler et à crier plus fort, elle jouissait fortement et
était sur le point d’avoir son orgasme, elle se mit à doigter et lécher
Ophélie de plus en plus vite et elle l’entendit gémir et crier.
Leur corps ne faisait plus qu’un, elles jouissaient fort toutes les deux,
elles allaient atteindre leur orgasme. Rosie tremblait d’excitation et
Ophélie elle, devenait si chaude, son corps brûlait tant il avait brûlé
d’envie pour sa douce et délicieuse soumise. Elles continuèrent un bon
moment ainsi à se lécher et à se doigter très fort puis on entendit crier
très fort, Rosie venait d’avoir le plus gros orgasme de sa vie, elle était
essoufflée et encore toute tremblante. Elle voulait qu’Ophélie jouisse
autant qu’elle, elle accéléra la cadence, la doigtait très fort et lui
titillait son clito et même le mordillait un peu et lui caressait les
hanches en même temps. Ophélie ne mit pas longtemps à jouir dans des
secousses et des cris de femme qui avait si longtemps refoulé ses
pulsions…
Ophélie se dégagea de l’étreinte de Rosie et vint se coucher à coté d’elle
et lui murmura tout bas :
– je t’aime et t’ai toujours aimé secrètement.
Rosie fut si surprise de cette révélation, elle n’arrivait pas à le croire,
alors elle demanda à Ophélie
– Mais pourquoi, vous avez toujours été méchante avec moi, ne m’avez jamais
montré le moindre signe d’affection ?
Ophélie lui répondit :
– Je savais que tu étais vierge et je ne voulais pas être la cause de ton
orientation sexuelle, alors il fallait que je sois la plus distante possible
envers toi, j’avoue que je n’ai pas toujours été très gentille, mais cela me
mettait hors de moi de ne pas pouvoir te toucher, je m’y refusais.
Elles s’embrassèrent très longuement d’un baiser tendre et passionné. Puis
Ophélie dit à Rosie qu’elle avait le choix, rester ici en colocataire ou
partir mais jamais plus en tant que bonne ou soumise. Rosie la regarda avec
toute la bonté du monde et l’attira à elle pour prendre ses lèvres et
l’embrasser fougueusement. Rosie venait de faire son choix, elle resterait
ici avec sa tendre amante, car tout au fond d’elle-même, elle l’avait aussi
toujours aimé en silence. Maintenant que le silence était rompu plus rien ni
personne ne pourrait jamais le faire revenir.
Kisha
ocealia25@hotmail.com
Magnifique texte lesbiano-onirique
Quel beau texte !