L’anniversaire de Magalie par Alexis Defond-Rossignol
(variation sur un texte anonyme)
Ce texte contient des passages scatos explicites
Magalie avait 20 ans aujourd’hui. Ou peut-être plus, puisque ls femmes aiment tellement mentir sur leur âge. Elle était très jolie et bien faite. Tout ce qu’il faut là où il le faut.
A vrai dire, elle me plaisait beaucoup. On se connaissait depuis longtemps maintenant mais nous n’avions qu’une relation d’amitié. Elle vivait depuis peu dans son appart’ avec un jeune con arrogant.
Ce jour-là, elle me téléphona sur mon portable pour m’inviter à son anniversaire qui avait lieu le soir même chez elle. Je devais faire vite pour trouver un cadeau digne de ce nom, car l’heure du rendez-vous approchait. J’avais trouvé l’idée : un tee-shirt sur lequel on pouvait lire : Sea Sex and Sex
C’est vrai que Magalie était très portée sur la question et collectionnait les amants. L’année précédente, elle avait réussi à coucher avec les 10 mecs de la promo.
Il était huit heures, l’heure du rendez-vous avait sonné. J’arrivai à la porte de l’appart’ et elle m’ouvrit la porte en m’embrassant sur la bouche. J’étais agréablement surpris.
Elle avait invité Caro et Nathalie, deux copines que je ne connaissais pas encore. Après un apéritif bien arrosé, elle se décida enfin à ouvrir ses cadeaux.
Le premier fut une bague de très mauvais goût de son copain. Le deuxième, un stylo offert par Caro. Le troisième, un livre sur le Kâma-Sûtra. Et enfin, elle ouvrit mon paquet : un sourire se lit sur son visage quand tout d’un coup elle enleva son chemisier pour le remplacer par son nouveau Tee-shirt.
Pendant un court instant, elle me donna l’occasion d’admirer ses jolis seins car elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était digne des filles qui tournent dans les films pornos.
Son copain avait l’air énervé et, l’alcool aidant, lui fît remarquer qu’elle n’avait pas à se déshabiller de la sorte devant tout le monde. Cela était de trop pour Magalie qui lui retourna une gifle monumentale en le priant de sortir de chez elle. L’air penaud et humilié, le malappris s’exécuta.
La soirée commençait très mal. On voyait bien sur le visage de Magalie que le fait de se retrouver sans son copain du moment le soir de son anniversaire l’agaçait beaucoup.
On passa donc à table, où un festin nous attendait. C’est à ce moment que je réalisais que j’étais le seul mâle du groupe. D’un ton blagueur, je leur dis :
– Je ne sais pas si je peux rester, je risque de me faire violer.
Ni une ni deux, Magalie, Caro et Nathalie me lancèrent un regard qui en disait long sur leurs intentions.
– Pourquoi tu aimerais ça ?
La soirée ne se déroulait pas du tout comme je l’imaginais et je rétorquai
– Oh oui, ça serait intéressant. On commence quand ?
Caro n’hésita pas et me dit :
– Mais tout de suite, viens avec moi, tu vas connaître ce que le mot baiser veut dire ou plutôt être baisé.
Je la suivis et on se retrouva tous les deux dans la petite chambre de Magalie. Là elle me dit
– Déshabille-toi, enlève ton pull et ta chemise et allonges toi sur le lit.
Elle s’absenta quelques minutes puis m’ordonna de fermer les yeux. Cette sensation de soumission m’excitait énormément et une bosse se formait sous mon pantalon. Elle caressait mon sexe à travers le tissu puis, d’un coup, elle attrapa une corde qu’elle avait cachée dans son dos. Elle me lia les poignets aux barreaux du lit. Elle prit son foulard qui entourait sa poitrine et me banda les yeux. Sa dernière phrase fut :
– Maintenant que tu ne peux ni bouger ni voir, tu es à moi pour un moment.
Elle repartit quelques instants et, après ce qui me parut une éternité, revint sans dire un mot. Elle caressait mon corps et s’arrêta sur l’objet de son désir. Mon sexe devenait de plus en plus dur. Elle descendit ma braguette et ôta le bouton du pantalon. En un instant je me retrouvai en slip. Pas longtemps…
Elle me l’arracha puis accentua ses caresses. J’étais nu. C’était une sensation bizarre, longtemps j’avais rêvé d’être soumis mais ce soir, la réalité dépassait la fiction.
Elle continua ses caresses puis d’un coup sec elle commença à lécher mon sexe qui se raidissait de plus en plus. Elle le prit en bouche et commença à faire des mouvements réguliers de bas en haut, de gauche à droite, dans tous les sens. Je criai de bonheur. J’entendais dans la pièce d’à côté les filles rigoler.
Tantôt mon sexe, tantôt mes couilles se retrouvaient dans sa bouche. Elle accéléra le mouvement, reprit mon pénis en bouche. La seule chose qui l’intéressait c’était ma jouissance.
Je n’en pouvais plus…
– Je vais jouir, je vais jouir, oh oui encore…
J’explosai dans sa bouche et elle avala tout. Elle continua de lécher les dernières gouttes qui s’échappaient encore puis, m’embrassa dans la foulée. Sa salive mélangée à mon sperme, quel pied !
A ce moment je ne bandais plus, mais je savais que ce ne serait que de courte durée.
C’est à ce moment que je demandai à Caro de bien vouloir m’enlever son foulard, ce qu’elle fit de suite. Ce n’était pas Caro qui m’avait sucé de la sorte mais Magalie. Elle avait le sourire et n’attendait qu’une seule chose, recommencer.
Allongé sur le lit, je distinguais péniblement ce qui se passait au fond de la pièce, elle n’était pas seule, Caro et Nathalie étaient là, excitées comme nous deux par ce début de soirée. Elles étaient d’ailleurs prêtes toutes les trois à passer à l’attaque car elles étaient nues et se masturbaient mutuellement et se léchaient les seins..
Rien qu’en apercevant ce spectacle je me remis à bander encore plus fort. Caro, experte en soirées coquines, me dit :
– Tu as intérêt à assurer car tu vas être notre objet sexuel à toutes les trois !
J’étais allongé sur le ventre et Caro s’accroupit sur mon visage et me dit :
– Lèche, lèche, lèche tout !
Je commençai un cunnilingus. Je léchai sa petite chatte toute trempée que je me délectai à sucer de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’aspirai tout. Tout en continuant mon affaire Nathalie, en manque de sensations fortes, m’enfila sur mon sexe bandé un préservatif et vint s’empaler d’elle-même sur mon sexe encore chaud.
Elle dirigeait les opérations mais je la pénétrai sans difficulté. Comme dans du beurre !
Mon cunnilingus devait faire plaisir à Caro car elle mouillait et mon visage en était maculé.
Dans mes souvenirs, elles ont joui toutes les deux ensembles. Actif pour l’une, passif pour l’autre, je subissais les assauts réguliers de ma cavalière. Nathalie se servait de mon sexe comme d’un gode qu’elle employait à enfoncer dans sa chatte.
Je n’en pouvais plus. J’étais mort de fatigue. Caro remit le foulard sur mes yeux en m’ordonnant de me reposer car la soirée ne faisait que commencer. Je devais être en forme pour le reste de la nuit. Le temps passait et elles n’étaient toujours pas de retour… Que se passait il donc à côté ?
J’avais soif et leur ordonnai au moins de me donner quelque chose à boire. Caro prit la parole :
– Ah bon, tu as soif ? Eh bien bois !
Elle se mit à quatre pattes et urina sur mon visage. J’avalai toute cette bonne pisse avec gourmandise, et cette action me fit bander instantanément.
– Si tu aimes ma pisse, tu devrais aimer ma merde !
Et sans me laisser le temps de répondre elle me fit lécher son anus, il sentait un peu fort mais ça ne me dérangeait pas. Son petit trou commença à s’ouvrir sous l’effet de ma langue. Elle poussa mais rien ne sortit.
– Tu ne perds rien pour attendre, tout à l’heure je te chierais dessus !
Magalie reprit la parole.
– Je vois que tu es en forme, alors tu vas nous prendre toutes les trois, l’une après l’autre !
L’une après l’autre, cloué au lit je m’exécutai pendant qu’elle venaient se faire enculer. J’étais leur jouet et cela me plaisait. J’adore être soumis. Après six pénétrations, je n’en pus vraiment plus et j’indiquai que ma queue me faisait souffrir. Mon sexe était gros et rouge. Il me faisait mal. Elles me détachèrent et je pus à nouveau bouger. Mais là Nathalie m’informa :
– Tu as le choix : soit de rester soit de continuer la soirée avec nous !
Je décidais de rester et, dans la minute qui suivit, je me retrouvai attaché sur le ventre, pieds et poings liés. Là, des voix s’élevèrent :
– Tu nous a bien enculées, à notre tour !
Elles dissimulaient sous le lit un gode qu’elles essayaient de faire entrer dans mon anus. Elles avaient beaucoup de mal, c’est pourquoi, tour à tour, elles me glissèrent trois doigts dans mon cul qui là se retrouvait bien dilaté.
A chaque fois elle me donnait le gode à nettoyer et je léchais ma merde.
En écartant mes cuisses elles glissèrent l’objet qui trouva sa direction en une seconde. Quel plaisir ! Quelle sensation ! J’en redemandais.
Je rebandais à nouveau et je réclamais une fellation. Elles voulaient encore une fois s’amuser et acceptèrent. Là, une voix inconnue apparût. J’appris ensuite que c’était le gardien de l’immeuble, un type approchant la soixantaine qui payait parfois les filles pour participer à leurs délires sexuels.
Magalie me détacha et me demanda de sucer la bite du gardien. Celui-ci baissa son pantalon et son caleçon et j’exécutais. Ce n’était pas ma première bite et je me régalais du contact de ce membre à la texture si douce, son gland sentait un peu la vielle pisse mais cela ne me dérangeait pas.
Au bout de cinq minutes, les filles me demandèrent de me mettre en levrette afin que le gardien m’encule. Il savait y faire et me pénétra sans violence me provoquant des sensations de plaisirs inouïes. Et pendant qu’il me pénétrait, Magalie passée sous moi s’amusait à me gober les couilles.
Le gardien prêt à éjaculer sortit sa queue de mon anus, se décapota et me la présenta à la bouche. Il éjacula dans ma bouche puis me roula une pelle.
En reprenant mes esprits, je vis le gardien se rhabiller, puis quitter l’appartement non sans avoir glissé un petit billet dans la main de Magalie.
Dans le fond de la pièce Caro et Nathalie entamait un 69 qui se termina par leur jouissance commune..
Magalie me demanda de me coucher par terre.
– Caro t’avais promis un cadeau, mais je peux t’en faire un aussi ! »
Le boudin qui sort de son cul est magnifique, Nathalie en attrape un morceau et se met à le lécher vicieusement tout en offrant l’autre extrémité à Caro. Magalie a fini de se vider, j’ai sa merde sur mon visage, je ne peux plus bander, trop crevé.
Je sers tout de même de papier à cul à Magalie, et elle me roule un patin, un patin merdeux.
Ça m’a fait plaisir, j’adore les bisous baveux.
Quelle soirée, mes amis, quelle soirée.
Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001
je me souviens qu’une fois j’ai bouffé le cul de ma copine et c’était pas hyper propre y’avait un morceau de caca que j’ai léché et avalé et ça n’avait aucun goût particulier
On ne connait pas le nom du héros de la soirée, mais j’aurais bien aimé être à sa place, j’aime tout ça !
Un délire, mais ça fonctionne plutôt bien.