Un souper mémorable par Rob69

C`était un soir de semaine, je m`en souviens très bien car le restaurant,
avec ses six tables, n`avait pour client que moi et deux filles. J`arrivai,
m`installa un peu en retrait afin de ne pas nuire à la discussion
visiblement animée des deux femmes. Je m`assis et les regardai brièvement.
L`une devait avoir 35 ans environ, menue, de grands cheveux légèrement
poivre et sel. L`autre, plus âgée et un peu plus rondelette, peut-être fin
quarantaine et visiblement la meneuse des deux. Sans doute l`expérience. Je
souris, sans plus. J`ouvris mon journal et le serveur vint. Je commanda un
buf schewan à l`orange et un Bordeaux. À peine était-il reparti que la plus
jeune, Natacha, comme j`allais l`apprendre, s`approcha de ma table et dit :
– Excusez-nous mais nous avons entendu votre discussion avec le serveur et
nous avons compris que vous veniez de Québec. Nous venons toutes deux de là
et comme il y a peu de monde, on se demandait si vous vouliez venir vous
joindre à nous
Elle était jolie. Un mélange d`éternelle jeunesse avec sa figure de 35 ans
et un mélange de grande sagesse avec ses cheveux poivre et sel. Elle portait
une jupe avec des leggins, ce que j`aime bien. Elle avait de jolis petits
seins et des fesses, comment dire, des fesses que je dirais de « blackette »,
c`est à dire bien gonflées par l`arrière. Et, elle était directe, son regard
ne laissait place à aucune interprétation quant à l`objet de son invitation.
J`aime les femmes qui savent ce qu`elles veulent. J`acceptai donc leur
invitation. Suzanne, son amie, se leva pour me saluer et, très rapidement,
elle dégageait un corps sensuel. Je ne sais si c`est son maintien, son
décolletée, ses cheveux courts, ses yeux verts mais tout dans elle exaltait
le sexe. Nous avons parlé d`elles, de moi. Je leur racontai que j`étais
journaliste, que j`étais en reportage à Montréal et que je repartais le
lendemain matin. Natacha était graphiste et Suzanne était sa cliente. Au
dessert, elles m`ont quitté pour se diriger vers la salle de toilettes. À
leur retour, je proposai de commander une autre bouteille. Suzanne me
regarda droit dans les yeux :
– Ecoute, tu quittes Montréal demain, nous, nous sommes des amies et des
amantes. Nous sommes bisexuelles toutes les deux et, dans 15 minutes, si tu
veux, nous sommes avec toi, chez-moi.
J`ai beau aimer la promptitude chez les femmes, je reste quelques secondes
sans mots, m`imaginant l`impossible qui est là, à quelques mètres de moi,
accessible. En guise de réponse, je fis signe au serveur et régla prestement
la note. Très prestement.

Suzanne demeurait dans un logement du Plateau. C`était décoré avec chaleur
et l`odeur, encore une fois, comme la maîtresse des lieux, exaltait le
plaisir.
– J`imagine que vous avez déjà pensé au programme? , Dis-je.
– Cela dépend de toi, répond Natacha.
Je bandais déjà. Je sentais mon pénis déborder mes boxers en soie. Il
grossissait. Suzanne mit sa main directement sur la bosse.
Sa main se faisait baladeuse.
– Ecoutez les filles. Je vous propose un jeu pour faire durer notre plaisir.
Vous êtes vraiment bi ?
Elles firent un signe de tête et éclatèrent de rire. Natacha fixa la main de
Suzanne sur mes pantalons et ajouta :
– Mais on aime les belles queues !
– Et moi, j`adore le miel féminin. J`aime savourer l`eau rosée des femmes.
Je vous avertis. Je suis sans fin.
Suzanne se déshabilla, imitée par Natacha et on se dirigea vers la chambre.
Elles me déshabillèrent. Je fus mis au centre du lit, les filles de chaque
côté de moi. Pendant que les filles suçaient chacun de mes seins avec des
mains très agiles partout sur mon corps, moi je titillais chacun de leurs
seins. Natacha, avec ses petits seins, cambrait déjà son dos. Suzanne avait
des seins plus généreux. J`en pris un pour l`explorer avec ma langue. Mes
mains descendirent sur leur corps et mes doigts ont vite fait de constater
qu`elles étaient mouillées de plaisir. Suzanne avait un clito qui rosissait
à vue d`oeil et à chaque contact de mes doigts, elle criait :
– Encore, encore, encore .
Natacha suçait déjà mon gland. Ses mains allaient tantôt sur ma verge,
tantôt sur mes bourses, tantôt elles frôlaient mon anus. Elle n`était pas
sans remarquer que mon pénis devenait encore plus ferme lorsqu`elle jouait
avec mon anus. Natacha décida de m`enfourcher pendant que j`amenais Suzanne
sur ma figure. Ses fesses cachaient mon visage. Ma langue trouva la ruche de
miel et ma main lui caressait fesses et seins avec alternance. Natacha
s`amusait à contracter l`entrée de sa grotte pour augmenter mon plaisir. Ses
grands cheveux me frôlaient la poitrine pendant que sa bouche dégustait les
seins de Suzanne. Tous trois, nous avons joui. Mais ce n`était pas fini.
– Si tu aimes notre miel, nous, nous aimons la mayonnaise masculine. Pas
vrai Suzanne ! dit Natacha
Je répliquai aux filles de me laisser le temps de récupérer.
– Pas question et, d`abord, ferme tes yeux
J`entendis les filles se murmurer à l`oreille et des pas sur le plancher et
un tiroir s`ouvrir. J`avoue ne pas être friand de telles surprises, surtout
pas avec des inconnues. Mais ces deux filles avaient été jusqu`ici plus que
gentilles. Alors je jouai le jeu.
– Tourne-toi et met toi à quatre pattes, m`ordonna Suzanne sur un ton qui ne
laissait aucune alternative. Rouvre tes yeux, dit-elle.
Suzanne tenait un port de miel et je cherchais Natacha des yeux mais Suzanne
me rappela à l`ordre :
– Tu me regardes, c`est tout
– Et, sauce ton pénis dans ce pot
J`étais toujours à quatre pattes. Suzanne se mit sous moi et commença à me
sucer. Goulûment, à vrai dire et mon pénis lui rendit bien ses coups de
langue. Moi, je m`étais penché par en avant nous faisions un formidable 69.
Son miel, elle le fabriquait au fur à mesure sous mes caresses. C`est à ce
moment que je sentis un objet s`introduire brutalement dans mon derrière.

– On est bisexuelle, tu t`en souviens. Et nous avons un harnais avec un
dildo pour varier nos plaisirs
– Ce soir, tu vas connaître ce que ressent une femme quand elle se fait
pénétrer. Tu vas voir comment c`est bon.

Je protestai en disant que je n`avais jamais reçu à cet endroit quoi que ce
soit et que j`avais mal
– Inquiète-toi pas, notre dildo a toujours un condom sur lui
Natacha retira son dildo pour mieux m`humidifier et commença à faire entrer
un, puis deux, puis trois doigts. Mon pucelage semblait l`exciter car elle
ne cessait de repérer :
– Oh ! Un petit vierge, tu entends, Suzanne. Suzanne
Elle entendait mais ne disait mot : elle suçait et suçait ma verge. Natacha
se mit à me pénétrer mais, je dois l`avouer, avec beaucoup plus de douceur
que tantôt. On a eu beau jouir comme c`est pas permis, ce n’était pas encore
fini.
– Ce n`est pas juste, se dit Natacha, vous avez joui mais pas moi. Mets-toi
sur le dos.
– Grâce, dis-je ! .
– Pas question, sur le dos, répéta-t-elle.
Elle prit mes jambes, se les ai mises sur les épaules, me pénétra encore et
pris mon pénis et l`introduit dans son vagin.
– Maintenant, dit-elle, sitôt que l`un bouge, l`autre le sent. Allez,
trouvons notre rythme.
Facile à dire quand son amie Suzanne se faisait chatte. Elle était encore
sur moi, clito bien en vue. Je sentis ses mains partout, sur mes testicules
mais aussi sur la peau douce de Natacha. Suzanne lui prit son clito avec ses
doigts et, de l`autre main, lui introduisis un doigt dans l`anus. Nous
étions trois mais nous étions un dans le mouvement. L`harmonie de trois
corps à l`unisson. On s`endormit mais juste avant d`entrer dans le sommeil,
Natacha me souffla à l`oreille :
– C`est vrai, j`ai oublié : tu me donnes un lift pour Québec demain. C`était
la raison première de notre invitation.

rob69@caramail.com

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Une réponse à Un souper mémorable par Rob69

  1. duglanf dit :

    De l’idée mais pas assez travaillé, dommage

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