Odette : Un cousin inattendu
par Bernard
Après ces premiers ébats plus qu’excitants, j’organisais un rendez-vous avec Cédric dans l’appartement libre d’un ami à Toulon. Mais rendez-vous d’abord à Bandol où Odette laissa sa voiture et je l’emmenais dans un établissement fermé, bar, restau, plage l’été mais en cette saison, il était désert. Côté plage, nous étions cachés de la route, il faisait un temps superbe et je commençais à la photographier. Son petit blouson de cuir noir révéla un chemisier très fin, sa jupe se releva pour montrer des bas couleur chair.
Elle fut vite en soutien-gorge, puis les seins dehors, tétons dressés d’excitation. Sa jupe tomba, puis sa culotte et elle évoluait juste vêtue d’un porte-jarretelles et de bas. Après quelques poses bien ouvertes, je fus surpris de voir qu’elle était déjà trempée après cinq minutes de poses ! Je la caressais, l’embrassais, mais on ne pouvait pas s’éterniser, nous avions rendez-vous vers midi avec Cédric dans l’appartement prêté par cet ami (à condition de voir photos, et vidéos, c’es normal !)
J’avais préparé une petite collation avant et on boit un apéro en l’attendant, on flirte aussi ; elle était impatiente de le revoir. On entendit sa moto, il me fait signe avec le casque encore sur la tête, il sonne à la porte, j’ouvre et je reste stupéfait : ce n’était pas Cédric.
Je le fais entrer, je vois Odette dépitée quand son cousin explique qu’il a eu un empêchement de dernière minute et n’ayant pas le téléphone, il l’avait dépêché pour s’excuser.
Je flairais le mensonge, mais je le remerciais et lui proposai quand même de boire un coup ; l’étonnement passé, je me dis comme il était sympa et pas mal qu’il pourrait remplacer Cédric pour s’amuser un peu.
Je refis boire Odette et on grignota des biscuits apéritifs, puis je lui proposais de casser la croûte avec nous, je lui fis des clins d’œil appuyés mais discrets et il resta
Assis à côté d’elle dans le canapé, lui en face, une table de salon basse nous séparait, mais il était bien placé pour voir entre ses cuisses encore fermées.
Je faisais des petits bisous à Odette dans le cou, puis je dis à Luc qu’on n’était pas là que pour casser la croûte. Il fit semblant de ne pas savoir (je sus après qu’il ne savait pas du tout) et j’expliquais qu’Odette adorait poser pour des photos depuis peu, des photos coquines et qu’elle aimait qu’on la regarde.
– Alors, si tu as le temps, après on fera une séance photo ?
Il accepta comme je m’y attendais et pour enfoncer le clou je dis à Odette :
– Tu pourrais lui montrer tes cuisses, un peu à notre ami ?
Sans lui laisser le temps, je tire sur son genou et lui écarte vers moi ! Elle proteste un peu mais reste ouverte sous les regards fureteurs de Luc qui dit qu’il apprécie beaucoup les bas, surtout couleur chair. Moi je réponds :
– J’adore ça aussi, surtout tenus par des jarretelles, regarde…
Et je relève sa jupe pour lui faire voir. Il siffle d’admiration :
– Que c’est beau, je ne regrette pas d’être venu !
Ouf, l’atmosphère est détendue, je le connaissais très peu, il est très sympa d’autant que les perspectives sont excitantes. Après un gâteau et quelques aperçus d’entrecuisses, je sors mon appareil et je la prends assise un verre à la main, cuisses un peu ouvertes.
Luc s’est assis et regarde Odette en montrer un peu plus à chaque éclair de flash. Je filme également un peu. Bientôt, je l’aide à en faire voir plus, je la caresse un peu, lui fais des bisous dans le cou, dénude ses épaules, enlève son chemisier et excitée par cette situation d’avoir un voyeur devant elle, je peux sortir ses seins des bonnets. Je montre à Luc ses tétons turgescents que je tète et que je pince gentiment tout en glissant une main dans son entrecuisse. La tête renversée sur le dossier, elle se laisse faire. Je fais signe à Luc de s’approcher et elle n’est pas étonnée de sentir d’autres mains sur ses seins.
Nos caresses lui font oublier Cédric surtout lorsque je me place entre ses cuisses, léchant sa culotte que j’écarte ensuite pour » manger » sa minette. Un peu trop de poils à mon goût mais je fais avec ! Luc l’embrasse à pleine bouche en triturant ses seins quand j’enlève sa culotte et je lui dis :
– Mets un peu ta main, regarde comme elle est trempée !
Il le fait pour constater et en profite pour la masturber, je lui demande s’il a déjà rencontré une femme fontaine. Il dit que non car il est jeune.
– Et bien, tu en as une devant toi ! Odette coule quand elle est bien excitée, c’est spectaculaire, elle gicle même, hein Odette ?
– Tu exagères quand même, ça ne lui plait peut-être pas
– Ben, je vais voir, je ne connais pas ! Répond-il
Il la masturbe de plus belle, elle lui dit de continuer, il a deux doigt dans sa fente et soudain, il est surpris de sentir cette » éjaculation » Il sort ses doigts, lui fait sucer, et moi je la lèche à nouveau, c’est un plaisir rare que j’apprécie beaucoup, avec quelques inconvénients, je vais vite prendre une serviette de bain pour protéger le canapé !
Petit à petit d’ailleurs, lorsqu’on flirtait dans la voiture, j’avais toujours une serviette et des papiers absorbants.
Je fis à nouveau des photos, cette fois ci à deux, Odette enfila même des gants noirs à petites résilles pour quelques vues qu’elle garda en fait. Je la filmais ainsi lorsqu’elle se caressa à ma demande devant nous deux. Elle adorait ça, mais le fit à la condition qu’on soit nus et qu’elle puisse voir nos virilités. Luc fut au départ un peu gêné alors elle le déshabilla en le caressant et quand son sexe apparut déjà raide, elle s’en occupa des mains et de la bouche juste pour le mettre en appétit, puis elle s’allongea sur le canapé et très lascivement ses mains parcoururent son corps insistant sur les seins… Les cuisses très ouvertes elle frotta sa main sur toute sa fente jusqu’à l’anus après l’avoir mouillée. Elle fermait les yeux, mais les entrouvrait de temps à autres pour voir nos sexes et elle se masturba superbement en glissant parfois deux doigts dedans et parfois en plus un doigt dans l’anus !
A un moment elle s’arrêta, fouilla dans son sac et sortit un objet : un petit pilon en bois (de cuisine) qu’elle s’enfonça en entier ! Luc était fou de voir ça, il alla la rejoindre et présenta son sexe à la bouche d’Odette qui le prit sans hésiter. Elle se masturba de plus belle, je filmais tout ça avec « avidité » et il y eut une séquence très forte lorsqu’elle enleva le pilon de sa minette pour le présenter à son petit trou ! J’étais subjugué de voir cette femme BCBG, même sachant qu’elle aimait la sodomie s’introduire ce bout de bois et le prendre aussi profondément.
Je fis signe à Luc, il n’en revenait pas et se mit à la branler frénétiquement ce qui la fit jouir aussitôt ! Il montra sa main trempée et luis fit encore sucer ses doigts, mais elle continua à se sodomiser avec le pilon, encore pâmée de plaisir
Puis on fit une petite pause, on but un coup, mérité pour elle surtout et je l’entends encore me dire :
– Bernard, je voudrais que tu me filmes en train de sucer Luc
– Mais je l’ai fait, ne t’inquiètes pas !
– Oui, mais vraiment que tu fasses un beau truc, sous plusieurs angles et que tu feras voir à Cédric, ça lui apprendre !
– Bon, si tu veux, fais voir ce que tu sais faire alors !
Lus était assis, elle se leva très lascivement, s’approcha de Luc et elle se pencha. Je lui dis de bien ouvrir ses jambes et je pus ainsi filmer son superbe fessier, sa fente et ses seins sous elle, puis sa tête allant et venant sur le sexe de Luc !
Sublime vision et j’ai aussi filmé, c’est magnifique, sa chatte qui coulait ! J’ai d’ailleurs mis des essuie-tout pour la moquette ! Puis je l’ai léché après quelques bon plans de fellation et je me suis amusé avec elle qui nous suça à tour de rôle et ensemble.
A un moment, elle se trouve à nouveau allongée, le sexe de Luc en bouche, moi qui l’avais léchée encore, je les filmais. Soudain Luc me dit d’arrêter, que » ça » venait, elle le sortit de sa bouche, le branla (avec une main gantée) et elle reçut son sperme dans le cou, sur l’épaule et un peu sur les seins. C’était très érotique surtout que l’autre main gantée s’agitait dur sa fente et elles e fit jouir encore !
Après ces plaisirs, Luc dût partir ; tandis qu’Odette allait vers la salle de bain, je le raccompagnait et discutais un peu : il était vraiment ravi, sauf de l’avoir vue se sodomiser elle-même avec son pilon, bizarre pour lui, peu habitué à ce genre de truc.
Je refermais la porte derrière lui, un peu étonné et rejoignis Odette qui n’était pas dans la salle de bain, elle m’appela de la chambre d’une drôle de voix, et pour cause : elle était en train de se masturber !
– Qu’est ce que tu fais, coquine ? Tu te branles encore ?
– Oh ! ça m’a excité de faire tout ça, j’imaginais que c’était Cédric et ça m’a mise en appétit !
– Tu n’en as jamais assez, toi, hein ?
– Et toi tu n’as pas envie de me prendre ?
– Oh ! Que si ! Regarde, tu me fais bander de faire tout ça, je crois que Cédric a bien fait de nous faire se rencontrer, j’adore les cochonnes comme toi !
– Et moi, les cochons comme toi qui filme et font des photos, j’adore ça maintenant tu sais,
– J’ai vu que ça t’excitait beaucoup comme tout à l’heure au bord de la mer
– Hum, ça m’a plu de savoir que l’été c’est plein de monde et moi j’étais presque nue à cet endroit, j’ai mouillé, tu as vu ?
– Bien sûr et tu es encore ne train de mouiller ! Tu as mis la serviette, c’était prémédité, hein ?
Elle se branla de plus belle :
– Branle-toi aussi devant moi, ça m’excitait de vous voir, vos sexes à la main tout à l’heure ! Oh, j’ai envie ! Je vais jouir, c’est trop bon, après je veux que tu me prennes, que tu m’encules, j’ai envie, oh, mon dieu, je jouis, je jouis, regarde-moi, je jouis Bernard, je jouis !
Secouée de spasmes, cette femme de classe, en dessous chic s’abandonnait au plaisir » solitaire. »
Quelle chance j’avais d’avoir pu la rencontrer ! Sensuelle, imaginative, insatiable, c’était un rêve ne chair et en os qui bientôt réclama la pénétration.
Je couvrais mon sexe, m’approchais d’elle très ouverte, elle écarta même ses lèvres. J’y frottais mon gland dessus et elle se pénétra elle-même en se poussant sur moi !
Je me retrouvais vite à fond dans sa minette que je sentais battre sur mon sexe, elle serrait et desserrait ses muscles, une merveille ! Elle releva ses jambes au maximum et mes bourses tapaient sur ses fesses. Malgré l’envie de joui, je me retins, voulant que ça dure.
Je fis même une pause pour boire un verre et on parla de notre relation, bien décidées tous deux à la poursuivre. C’est là qu’elle me dit que si on devait rencontrer d’autres contacts dans ce domaine, elle voulait qu’on passe pour mari et femme. Elle fut tout de suite d’accord pour que je passe une annonce (ou répondre) dans le but d’avoir un autre homme ou un couple mais dans ce dernier cas, elle ignorait ses réactions face à une autre femme. Qu’importe, cela ouvrait plein de perspectives. Je lui demandais aussi quel amant lui avait fait aimer la sodomie qu point qu’elle se le fasse elle-même avec un pilon. Sa réponse :
– Ce n’est pas un amant, c’est mon mari, tout simplement
– Tu n’as pas protesté, comment ça s’est fait ?
– Protesté ? Ah, oui ! Mais ça c’est si bien passé, c’était pour ma nuit de noces !
– Raconte-moi ça, tu étais vierge ?
– Des fesses, oui ! Pour le reste on s’est fréquenté deux ans, c’est lui qui m’a dépucelé au bout d’un an et fait connaître le vrai plaisir, mais il cherchait toujours à prendre mon petit trou. J’ai toujours évité ça, par peur ou par ignorance, mais dès qu’on fut seuls après les noces, encore habillées, il me prit par les épaules pour me dire que mariée, je ne pouvais rien lui refuser et que cette nuit il me prendrait par derrière !
– Au moins c’était clair et net, non ?
– Pour ça oui ! Et au lieu de me brusquer, de me cabrer, je me dis pourquoi pas, Il sut y faire très bien, faisant monter mon désir, me léchant, m’écartant avec un doigt, puis deux, et surtout il me dit que lorsque je me sentirais prête, je devrais lui demander, me placer, m’écarter pour m’offrir à lui !
– Bravo, tu as un mari intelligent, et ensuite ?
– J’ai fait tout ça, il m’avait fait jouir en me suçant, j’avais une envie folle d’être prise » normalement « . Je m’en souviens comme si c’était hier, il me demanda de me caresser, ce que je n’avais jamais fait, au moins devant lui, et je le fis, sur le dos, très ouverte, je me branlais sans arriver à jouir et on envie de sentir son sexe en moi devenait de plus en plus forte… et d’un coup je me suis retrouvée sur le ventre glissant un oreiller sous moi…
(Nous étions sur le canapé, je me branlais en écoutant ça)
– …J’avais les fesses en l’air mais en plus avec les mains derrière, je les écartais en disant » prend mes fesses mon amour, je te les donne » Je le sentis monter sur le lit, caresser mes fesses, lécher mon petit trou inquiète et heureuse de cette offrande, Je sentis ses doigt me fouiller pis le poids de son corps, son gland remplaça ses doigts. Curieusement, je ne ressentis pas de douleur, une sensation très bizarre d’être » élargie, dilatée « , ma main droite sous moi, maintenant je me masturbais il me pénétra très lentement en me disant des mots d’amour, je ne savais plus où j’étais, j’eus mal lorsqu’il se retira un peu et fit les premiers va-et-vient mais je me branlais de plus belle et il jouit aussi. Ce fut éblouissant et depuis j’adore ça, je peux jouir juste par la sodomie !
– Odette, viens dans la chambre, je veux faire pareil
On se leva, me précédant, je regardais son joli cul dans lequel j’allais entrer. Elle plaça deux oreillers, la serviette, s’allongea, écarta ses fesses ! Quelle vision ! Je remis un préservatif, on ne parla pas, je caressais ses fesses, son petit trou plissé, je le mouillais, le préparais, repensant à sa nuit de noces, j’approchais mon gland et très lentement il s’enfonça dans son intimité
Quel bonheur pour moi, mais aussi pour elle qui remua du basin, ses doigts crispés sur le lit, sans la douleur légère de la première fois, j’allais et venait dans cet anus offert.. Elle haleta et je l’entendis dire :
– Oh ! Que c’est bon, oui, encule-moi Bernard vas-y prend moi fort !
Je lui murmurais à l’oreille :
– Oui, je t’encule, Odette, c’est bon, je te remercie, un jour on fera ça avec un autre, Cédric peut-être et on te prendra tous les deux, un dans la chatte, un dans le cul ! Tu voudrais ?
– Oh oui, j’ai jamais fait ça, oui avec Cédric et sa grosse queue dans mon cul, quel pied je prendrais, encule-moi Bernard, fort, fort, prend mon cul, il est à toi, vite, je vais jouir, vite, vite !
On jouit tous els deux très violement, on resta anéantis pendant un long moment, et sous la douche on parla déjà du prochain rendez-vous.
A suivre, donc…
Bernard, le photographe. Mai 2004