Mes vingt ans…mes amants…mes amantes…:
Je me découvre bi…
par EzraCantos
Je vais entreprendre ici le récit de la phase la plus intense de ma vie, au plan sexuel : mes 20 ans… en ce qui me concerne, je ne laisserai personne dire que c’est le plus mauvais âge de la vie…
Très tôt « formé », peut-être parce que je suis à moitié nord-africain, je me masturbais en lisant des livres que j’empruntais à la bibliothèque municipale. La moindre scène un peu « osée » suffisait à m’exciter à l’époque. Mais aussi en baissant tout simplement mon pantalon de pyjama le soir dans mon lit, le contact du drap sur mon sexe suffisant à m’exciter…
Pourtant, j’étais vierge en entrant à la fac après le bac, car d’une timidité maladive vis-à-vis des filles. Aussi, le premier corps que j’ai pu approcher a été celui d’un garçon…
Dès le premier cours d’histoire économique il me semble, je posais mes affaires à côté d’un garçon de mon âge, visiblement aussi perdu que moi dans le grand amphithéâtre.
Kevin était blond, assez fluet et pas encore très mûr alors que j’étais brun, plutôt grand et faisant plus que mon âge. Très vite nous avons sympathisé et pris l’habitude de nous voir le soir, soit chez moi, dans une chambre que je louais dans un pavillon non loin de l’université ; soit chez Kevin, dans sa chambre de la résidence étudiante qui jouxtait le campus.
Kevin m’invita un jour à rester dormir car il était tard et nous avions discuté jusqu’à plus soif. Ensuite, il ne se passa pas une semaine sans que l’un dorme chez l’autre, une nuit ou deux, en « tout bien tout honneur »…Nous avions pris l’habitude de discuter avant de dormir ; en fait, nous discutions pas mal de sexualité et Kevin me demandait de lui lire les passages des livres que j’empruntais qui comportais des « scènes »…
En général, il s’agissait de romans classiques, dont j’étais friand, et la plupart des scènes n’évoquaient guère que les seins des femmes, le coeur qui palpite, la poitrine qui se soulève,…mais la simple évocation de tout cela nous excitait au plus haut point…
Un soir, j’ai demandé à Kevin s’il bandait ; il me répondit que oui, qu’il bandait dur !
Je sentais moi aussi ma verge tendue mais je n’osais pas la toucher avant qu’il soit endormi. Kevin me demanda alors si il pouvait voir mon sexe. J’hésitais puis je lui répondis « d’accord, mais tu me montre le tien aussi ». « Ok ». Nous nous levâmes et j’allumais ma veilleuse ; la maison était calme, mes «proprios» étaient de sortie.
J’ai aussitôt regardé la bosse que formait la verge dure de Kevin sous son pantalon et cela m’a fait frémir…j’ai donc baissé mon pantalon et ma verge, circoncise et brune s’est relevée sous les yeux fascinés de Kevin…il a lui aussi baissé son pantalon…j’ai regardé à mon tour sa verge, rose, presque blanche avec un gland pas tout à fait sorti du prépuce et de jolies couilles duveteuses…
Nous nous sommes approchés pour comparer…ma verge était sensiblement pour grosse que celle de Kevin mais il avait des testicules plus gros…alors que mon gland faisait comme un champignon au bout de ma queue, celui de Kevin prolongeait la queue presque sans relief… »un missile » dit-il…
Il me demanda alors tout à trac de lui montrer comme je me masturbais…je me suis alors allongé sur le lit et j’ai commencé à caresser ma verge d’une main tout en me pelotant les couilles de l’autre. « je voulais savoir comment tu pouvais faire sans prépuce dit-il » ; il me voyait appuyer ma main sur la verge en tirant sur le frein et vers le bas tout en passant les doigts sur les couilles…une goutte de rosée apparut au bout de mon gland…il se pencha pour regarder attentivement…je voyais qu’il n’avait pas du tout débandé…la voix un peu enrouée par l’émotion, il me demanda s’il pouvait m’aider, par exemple en me touchant les testicules…je lui dis « oui » tout bas…il glissa alors ses doigts sous mes testicules…la sensation était indescriptible, pour la première fois, je sentais d’autres doigts que les miens sur mes bourses, ma partie la plus sensible…il se mit à me les malaxer doucement pendant que je continuais à caresser ma verge…c’était bon…je pris alors mon courage à deux mains pour prendre à mon tour ses testicules qui pendaient sous mes yeux…c’était doux…moelleux même…
La sensation était intense…la chaleur de ses testicules au creux de ma main me faisait bander encore plus fort…pour sa part, il faisait rouler mes boules sous ses doigts et semblait y prendre un grand plaisir…
« Tu ne veux pas t’allonger à côté de moi ? » lui demandais-je ?
Il s’allongea et tout de suite, nous primes la verge de l’autre dans la main…sensation ineffable…elle était dure et pourtant si douce…je me mis à faire coulisser la peau le long de sa verge…pendant qu’il me caressait le gland…qui semblait beaucoup l’attirer…le coulissement de la peau sur son cylindre gorgé de sang produisait un bruit de succion…
Il voulut m’embrasser…j’ai échangé avec lui un baiser mais assez bizarrement cela ne m’a pas enchanté…et j’ai pu constater par la suite, que je n’aime vraiment embrasser que les femmes…
Par contre, j’ai commencé à lécher ses tétons…il frémissait de plaisir…je malaxais maintenant à pleine main ses bourses…après lui avoir enfoncé doucement la langue dans le nombril, je me mis à lui lécher le gland…le sentir frémir me rendait fou…j’ai aussitôt léché sa verge puis ses bourses, si douces…je suis revenu au gland que j’ai commencé à sucer comme un bonbon…puis j’ai progressivement enfoncé sa verge dans ma bouche en le tenant car il tentait de la pousser en avant…à un moment je dû arrêter car il gémissait fort…je ne voulais pas qu’il vienne trop vite…puis j’ai recommencé doucement…hum, je suçais cette bite, cette verge, cette queue…tous cela me passait par la tête…je me rends compte avec le recul que je n’avais pas du tout honte…au contraire, je suçais et j’étais heureux…il se cabra et je sentis son liquide couler tout chaud dans ma bouche…je l’avalais…c’était un peu amer mais l’idée que j’avalais sa semence m’excita beaucoup…j’ai continué à le sucer doucement…j’ai adoré le sentir fondre dans ma bouche…c’est l’un des souvenirs les plus forts de ma vie…
Cette première fois, il ne m’a pas sucé…il a embrassé mes testicules pendant que je me masturbais…faisant courir sa langue sur mon scrotum…j’ai éjaculé très fort. Il est retourné dans son lit pour dormir…
Toute la journée du lendemain, nous n’en n’avons pas parlé ; il n’y avait pas vraiment de gêne, mais pas de regards complices non plus, comme si tout cela devait resté confiné à la nuit…ce qui sera le cas d’ailleurs pendant toute la durée de notre première expérience sexuelle à tous deux…je dis « sexuelle » et non pas gay parce que pour moi, cela n’avait aucune importance que ce soit un garçon, et je continuais à regarder les seins et les fesses des filles, pendant les cours, en fantasmant sur leur chatte…
Le lendemain soir, il vint spontanément m’embrasser en arrivant et très vite, nous nous sommes retrouvés au lit…au départ, il se colla contre moi…j’ai adoré sentir sa peau chaude…puis nous avons commencé à explorer nos corps…j’ai soulevé ses bourses, fait coulisser son prépuce, objet de curiosité pour moi qui n’en ait pas, et pressé doucement le gland…je n’en revenais pas de sa douceur…j’ai senti une goutte perler au bout de son gland…je lui ai murmuré que j’avais envie de le sucer…il me répondit à ma grande joie :
« retourne toi, je voudrais essayer en même temps, c’était tellement bon hier »
…nous nous sommes mis en 69 mais sur le côté, j’ai commencé à lécher ses couilles et lui s’est mis immédiatement à sucer mon gland, à le téter plutôt comme un bébé…cela m’a fortement excité…j’ai pris un de ses testicules dans la bouche…mais je n’ai pas réussi à prendre l’autre…lui, continuait à me téter en jouant avec mes boules qui durcissaient…puis j’ai pris sa verge que j’ai commencé à faire coulisser dans ma bouche…nos gémissements montraient l’ampleur de notre excitation…j’ai titillé le méat, tourné ma langue autour de son gland, j’ai mordillé la couronne en pressant son sac…il gémissait de plus en plus fort…je ne voulais pas qu’il éjacule avant moi car je voulais qu’il me boive…et je me disais qu’il valait mieux qu’il soit excité au plus au point…
« Je vais gicler, tu veux me boire » lui ai-je murmuré…
Après un court silence il souffla un « oui » qui m’emplit de joie…j’ai arrêté de le sucer et je l’ai regardé me sucer, m’absorber jusqu’au fonds de sa bouche…puis j’ai senti monté un plaisir nouveau, quelque chose de très fort qui venait du fond de mes entrailles…et j’ai giclé fortement dans sa bouche…il a continué à me sucer comme si sa vie en dépendait…du coup, je suis resté très excité même si ma verge s’est un peu dégonflée…j’ai repris sa queue en bouche, et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule…j’ai adoré sentir son sperme couler sur ma langue même si le goût restait amer…nous sommes restés ainsi tête bêche…les yeux fermés, la respiration saccadée…après quelques instants, je me suis un peu redressé et je me suis mis à lui lécher les testicules doucement…il s’est mis à gémir, je lui ai demandé de se mettre au dessus de moi à 4 pattes et j’ai continué ainsi à lécher ses bourses qui pendant au dessus de me tête, je léchais aussi son périnée ; ce soir là, je n’ai pas osé lécher son anus, qui m’attirait pourtant – chose que je n’aurai jamais cru possible – mais je l’ai tâté avec mon doigt et j’ai senti qu’il aimait…
« Médhi, je veux encore te boire »
…Il reprit ma queue qu’il se mit à sucer de nouveau…il adorait visiblement téter le gland comme on tête un téton…je lui ai montré qu’il fallait qu’il s’occupe avec ses doigts de mes testicules s’il voulait mon jus….et j’ai juté fortement dans sa bouche accueillante…