Les souvenirs de Didi
4 – Monsieur X et Monsieur Germain
par Didi
Voici le quatrième récit sur mes souvenirs, qui se sont déroulés pendant la fin des années 1970 et jusqu’au milieu des années 1980. Certaines personnes trouveront ce récit pas mal plus audacieux, voire même peut-être choquant pour certains ! C’est à vous d’en juger !
Un jour, je travaillais comme d’habitude à l’hôpital, à l’étage, avec l’équipe réduite de nuit. J’avais une dizaine de patients et l’aide de Doris et du préposé Camil.
Vers la fin de la nuit, alors que mon travail se terminait, je fus convoquée au bureau de l’infirmière en chef de tous les services de l’Hôpital, pour neuf heures, le matin même.
Sur le coup, j’étais très anxieuse et un peu paniquée, car je n’avais absolument rien à me reprocher du point de vue médical, et voilà qu’un doute entra dans mon esprit ! Peut-être un manquement de ma part, vis-à-vis des règlements de l’ordre des infirmières…
Ce rendez-vous me rendit nerveuse et anxieuse et, dans la salle d’attente du bureau de l’infirmière en chef, je fumai nerveusement cigarette sur cigarette. Quel sera le verdict ?
Tout à coup arriva la secrétaire médicale, qui eut vite fait de me rassurer : je m’inquiétais pour rien.
Quand arriva l’infirmière en chef, elle me dirigea vers la salle de conférence. Il y avait aussi une secrétaire et deux autres femmes de la direction de l’établissement.
Une fois les lourdes portes capitonnées fermées, la discussion commença.
L’on me fit savoir que j’étais choisie pour faire partie de la « Sororité ». Je demandai ce que c’était et l’on m’expliqua que j’avais certains talents, que je pouvais faire partie de ce groupe féminin et que j’aurais une initiation à faire dans les prochaines semaines soit : une série de trois épreuves très particulières…
L’infirmière en chef avait étudié chez les religieuses catholiques et ses propos étaient toujours rigoureux et méticuleux.
Ma Marraine d’initiation était Gilberte, une grande femme plus âgée que moi et qui, au premier regard, avait un tempérament assez froid et avec même une pointe de snobisme… mais je devais avoir une toute autre opinion d’elle dans les prochains jours !
Gilberte était très proche de la direction de l’établissement et elle me révéla tout, dans les moindres détails : ce que j’avais fait à mes patients et aux autres employés. Elle me dit:
– Ici, Mademoiselle Diane, c’est comme un petit village et tout finit par se savoir. Pour la prochaine semaine, tu seras à notre service et nous te remplacerons sur ton travail de nuit. Si tu es bien méritante, tu feras partie de la « Sororité ».
Le lendemain, j’allai au bureau de Madame Gilberte et elle me fit part de l’horaire de la journée, qui devait être assez spéciale !
En premier lieu, changement de mon uniforme. J’en porterais un plus petit et ajusté et, gros détail en plus : remplacement de mon soutien-gorge par un spécial pour les femmes qui allaitent, pour que les mamelons soient dégagés et à l’air libre.
Alors que je le mettais devant Madame Gilberte, celle-ci avait le regard lubrique et me demanda la taille de ma grosse poitrine. Je lui dis que, depuis que je prenais la pilule, j’étais passée de 36-C à 38-D. (de 90 à 95 en tailles françaises)
– Ils sont vraiment très beaux, et de la bonne grosseur, aussi, me dit-elle.
Et immédiatement, elle mouilla un doigt dans sa bouche et le frotta sur le bout de mon mamelon, qui se gonfla sur-le-champ.
– Bravo, je vois que tu as les bouts bien sensibles, me dit-elle, et je dois te préparer et te réchauffer pour ton initiation de bientôt !
Elle enleva ma petite culotte et fit glisser ses doigts dans ma pitoune (moule) et frotta ma cerise (clitoris) énergiquement. Elle fut étonnée, parce que je mouillais abondamment, et que ça faisait même du bruit quand elle me passait les doigts…
– Tu es assez réchauffée pour la prochaine étape, me dit-elle.
Dans la grande salle de conférence, voilà que nous attendait l’infirmière en chef, et Madame Gilberte l’appela : « Maîtresse Laurette ».
– Je crois bien que ma protégée est assez réchauffée pour poursuivre son initiation.
Maîtresse Laurette (l’infirmière en chef) était toute habillée en cuir noir luisant, très très moulant. Elle avait les cheveux attachés derrière, et l’on devinait facilement ses petits seins ronds, tout mignons, avec les pointes qui transperçaient le cuir de l’uniforme. Maîtresse Laurette était assise sur une grande chaise, avec un dossier assez haut, et elle avait au bec une longue cigarette. Elle prenait de longues bouffées et elle donnait ses ordres sur-le-champ :
– Faites entrer notre « Joujou préféré ».
J’ai fait un bond en voyant arriver un homme marchant à quatre pattes, avec une laisse autour du cou, entièrement nu. Et quand il releva la tête, je le reconnus : c’était un des notables de la ville.
Maîtresse Laurette m’ordonna de lui faire son « examen médical », avec l’aide de Madame Gilberte.
– En premier, Mademoiselle Diane, fais-lui un examen de la prostate avec ton majeur. Mets-y du lubrifiant K-Y (Quay-Ouaille, qu’elle prononçait.)
Je savais que l’on procédait par le rectum, mais je n’avais jamais fait ce genre d’examen dans mon travail. Lentement, mon majeur – soit le doigt le plus long – pénétra l’anus de Monsieur X et, arrivée au fond, je sentis une masse assez spongieuse. Mon regard se fixa sur le pénis, qui avait gonflé sous les caresses de la prostate. Je sentais même, aussi, les soubresauts de son érection.
Entre deux bouffés de cigarette, Maîtresse Laurette cria :
– Elargis-lui bien son trou de cul, à ce gentil toutou, car il en aura bien besoin pour tout à l’heure.
Je continuai le massage de sa prostate, quand Monsieur X cria très fort et éjacula très loin sur le plancher. J’avais fait jouir un homme sans lui toucher la verge et j’y avais pris un certain plaisir.
Immédiatement, Maîtresse Laurette fut contrariée, et elle ordonna à Monsieur X de bien vouloir « ramasser son dégât de décharge ». Il lécha aussitôt tout le sperme répandu sur le plancher.
Pour le récompenser, Madame Gilberte l’embrassa à pleine bouche, récupéra une partie de son éjaculation. Elle se pourlécha les lèvres, m’embrassa, faisant entrer sa langue dans ma bouche, et je trouvais que la divine semence de Monsieur X était encore toute chaude et gluante, comme je l’aimais…
Par la suite, j’ai pénétré Monsieur X avec un genre de dildo, très long et effilé, ce qui fit rebander l’heureux sodomisé.
Maîtresse Laurette lui demanda ce qu’il ressentait : il lui répondit qu’il avait l’intérieur bien rempli, et que quand on touchait le fond, il avait toutes les envies en même temps soit : uriner, chier et éjaculer.
– Je suis comblé, merci, Maîtresse Laurette.
– Ne me remercie pas trop vite, car tu ne sais pas ce qui t’attend.
Et voilà qu’en tapant des mains, Maîtresse Laurette fit entrer un autre acteur dans ses jeux pervers. C’était le concierge de l’Hôpital, qui devait avoir au moins une cinquantaine d’années, grand et très maigre avec les cheveux gris frisés.
Il était aux ordres de Maîtresse Laura et elle lui ordonna de se déshabiller et de nous montrer son gros batte (pénis).
Madame Gilberte et moi-même avons eu le souffle coupé en voyant ce long sexe qui, même au repos, était très long et d’un bon diamètre.
En s’adressant à nous deux, Maîtresse Laurette nous ordonna de bien faire bander Monsieur Germain (le concierge), car il aurait, par la suite, à casser le cul de Monsieur X !
Je n’avais jamais touché une verge aussi longue. Avec deux grosses veines de chaque côté, son pénis était monstrueux à voir. Madame Gilberte le masturba avec l’aide du lubrifiant et, quand il atteignit le maximum de son érection, sa verge remontait sur son ventre, et le gland était retroussé par l’avant. On aurait dit un chevalier, avec son épée prête au combat.
Quand nous avons assez fait bander Monsieur Germain, je préparai l’anus de Monsieur X, qui était à plat ventre sur la grande table avec, en offrande, sa petite rosette.
Je mis beaucoup de lubrifiant dans l’anus et Mme Gilberte dirigea de sa main l’impressionnant bâton de chair dans le trou de cul de Monsieur X, qui poussa un grand cri sourd et profond.
Quand Monsieur Germain faisait ses mouvements de va-et-vient dans le petit anus de Monsieur X, on entendait le claquement des fesses, et aussi le bruit que faisaient ses testicules sur le cul du sodomisé !
– Mademoiselle Diane, me dit Maîtresse Laurette, occupe-toi de faire venir la semence de notre « toutou ».
Et je le crossai (masturbai) très très rapidement. Il éjacula encore très haut et très fort. Monsieur X cria :
– Ah ! Que c’est bon ! Je sens bien sa grosse bite en-dedans de moi, avec ses poils qui me chatouillent le cul ! Ah ! Quelle merveille !
Maîtresse Laurette eut un large sourire et ordonna à Monsieur Germain de se finir dans la bouche de Monsieur X.
Ce dernier suça la grosse verge monstrueuse, et on voyait des traces brunâtres le long du pénis. Le gland était trop gros pour la bouche de Monsieur X, et il faillit s’étouffer avec le sperme qui en sortit. On aurait dit un déluge de liquide.
En même temps, Monsieur X avait mangé un petit peu de lui-même : ses excréments, et cela avait bien fait jouir Maîtresse Laurette, qui était pas mal perverse sur les bords.
En voyant et en étant assistante à ce spectacle de ma première étape d’initiation pour faire partie de la « Sororité », j’étais toute trempée, et je frémissais de jouissance.
Et voilà que Maîtresse Laurette me renversa sur la grande table et fit rentrer sa langue dans ma chatte, qui dégouttait. L’on entendait même le bruit de succion qu’elle faisait en me mangeant mon tunnel rempli de jus d’amour !
Ce jour-là, je fis grande impression, et je n’eus pas assez du reste de la journée pour me remettre de mes émotions, car il me restait encore deux autres étapes à subir, pour devenir membre à part entière de la « Sororité ».
La suite dans un prochain récit qui, soit dit en passant, a été entièrement vécu par moi et mes autres complices…
Humm! J’adore ! Voilà un joli texte plein de fraîcheur, très guilleret et agrémenté par une fausse naïveté délicieuse et si sérieuse qu’on a bien envie de tenir l’auteure par la main pour partager avec elle toutes ces lubricités. Ajouter à tout ça les petits traits d’humour, d’amour, et les belles expressions canadiennes qui peaufinent toutes ses descriptions, l’auteure nous emmène dans ses aventures rocambolesques et tant mieux s’il y a sans doute un peu trop de merveilleux. Et pour finir,une photo superbe
capable sûrement de bien faire mouiller notre petite Canadienne et bander ses lecteurs . Bravo Didi , reviens nous avec toujours autant de fraîche lubricité.
récit des plus excitants, j’aurais aimé participer
malgré le style de ouf, j’ai pasé un bon moment en lisant ce gros délire
Le style est étrange, mais l’érotisme fonctionne 😉