7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 5 – Souvenirs, souvenirs
Les deux hommes commencent à s’intéresser vivement à la conversation, en particulier Simon.
– Et vous vous étiez léchées aussi ?
Sa femme lui répond.
– Eh que t’es con ! Non !!! T’es déçu ? D’ailleurs on ne s’est pas léchées cet après-midi.
Marie complète ce qu’a dit son amie.
– Mais on s’était quand même senti le doigt par curiosité. D’ailleurs, le lendemain matin au réveil, j’avais la main près de la figure, et je sentais toujours l’odeur sur mon doigt.
– Ça t’a drôlement marquée. Tu t’en souviens encore ?
– Je me souviens bien des odeurs. C’est l’effet » Madeleine de Proust « .
– Et cet après-midi ? Ça ne t’a rien rappelé ?
– Je n’ai pas pensé à sentir mon doigt.
Philippe a alors une idée saugrenue.
– Essaye maintenant. Tu nous diras si ça t’évoque des souvenirs.
Marie ne peut cacher sa surprise.
– Drôle d’idée !
– Mais si ! Vas-y. Essaye.
– Pourquoi pas, après tout ? Tu veux bien, Nicole ?
– Pas de problème.
Marie se lève, fait le tour de la table et s’approche de Nicole. Elle se penche, approche sa main de l’entrejambe de son amie, la passe sous la jupe à la recherche de sa fente. Quand elle l’a trouvée, elle y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Nicole ne peut s’empêcher de réagir.
– À l’époque, un doigt avait suffi.
– A l’époque, tu étais vierge.
– Plus pour très longtemps
– Et depuis ? Tu ne préfères pas en avoir plus ?
– Ouiiiiii.
Marie retire alors la main, la porte à son visage, à la hauteur de son nez et en hume le fumet comme on goûte un bon vin.
– Hum… C’est incroyable, tous ces souvenirs qui me remontent à l’esprit. Tu sais qu’après cette expérience j’avais souvent rêvé que nous nous masturbions mutuellement.
– Déjà des rêves érotiques à cette époque…
– Oui, c’est à croire que mes rêves ont commencé depuis longtemps.
Philippe ne comprend plus.
– Je croyais que c’était nouveau, ces rêves érotiques ?
– C’est la première fois que c’était aussi intense. Et c’est aussi, je pense, la première fois depuis que nous vivons ensemble.
Nicole reprend la conversation avec son amie.
– Tu te souviens d’autre chose ?
– Pendant nos vacances ?
– Oui.
Nicole, qui s’est rassise entre-temps, se flatte la chatte et porte machinalement ses doigts à son nez, comme si cela pouvait l’aider à se remémorer d’autres souvenirs.
– On allait à la plage tous les après-midi. Elle n’était qu’à quelques centaines de mètres, on prenait nos vélos ou on y allait à pied.
– C’est vrai. À cette époque, on ne parlait pas encore d’agressions sexuelles à la télé, alors grand-maman nous laissait y aller seules. Elle préférait y aller plus tard dans l’après-midi, quand le soleil commence à taper moins fort.
– C’était cool. On se faisait de grandes marches à pied sur le sable, le long de l’eau. Une fois on a été assez loin et on a remarqué qu’il y avait des gens tout nus sur la plage.
– Oui. Exact. Il y avait une plage naturiste un peu plus loin. Elle existe toujours d’ailleurs, elle est même indiquée depuis la route maintenant.
– On avait continué à marcher tout en essayant de regarder discrètement les quéquettes des hommes qui étaient allongés, ou celles de ceux qui se baladaient sur la plage.
– C’était la première fois qu’on en voyait. Certains en avaient des toutes petites, d’autres des très longues. C’était rigolo car, quand ils marchaient, elles se balançaient de droite à gauche. Ça m’avait marquée.
– Moi aussi.
– Tout ça nous avait excitées. Alors on était allées se cacher dans les buissons.
Philippe est impatient.
– Et ensuite ?
– Ben on s’était masturbées en repensant à ce que l’on avait vu sur la plage. C’est à ce moment-là que deux hommes sont arrivés. Ils étaient nus, comme les autres, mais en plus ils avaient le sexe rasé. Je pense qu’ils nous avaient vu nous masturber, mais on ne le saura jamais
Nicole se souvient à son tour de tout cela.
– Ouais, connaissant les hommes maintenant comme je les connais, ils ont dû nous voir, et ils sont venus se montrer pour qu’on leur voit leur sexe rasé. C’était rare à l’époque.
– Ça devait être les seuls de toute la plage. Maintenant c’est beaucoup plus fréquent.
– Comment tu sais ça, toi ? demande Simon
– Je suis retournée voir ma grand-mère de temps en temps.
– Et tu en profites pour aller épier les hommes tout nus sur la plage ?
– Ben, oui.
– C’est du voyeurisme. Tu n’as pas honte ?
– C’est-à-dire que…
Marie réalise qu’elle a trop parlé. Elle regarde son mari qui se charge de terminer la phrase.
– La dernière fois qu’on y a été, Marie voulait retourner sur la plage naturiste pour voir si elle existait toujours. C’est comme ça qu’on sait qu’il y a une indication sur la route. Une fois qu’on y était, on s’est sentis un peu idiotes de rester habillées. Alors on s’est foutus à poil tous les deux ! On ne l’aurait pas fait si les enfants avaient été avec nous par contre.
– Je comprends. Bien que ce n’est pas cela qui risque de les marquer le plus à leur âge
– Bien, si je me fie au psy que j’ai vu, l’attitude et le comportement des parents à une grande influence sur les fantasmes sexuels une fois adultes
– Oui, mais il vaut mieux des parents avec une ouverture d’esprit et une sexualité saine et respectueuse comme exemple pour leur enfant que des parents strictes et inconscients qui bousillent l’épanouissement de leur enfant !!! S’cusez, défaut professionnel…
Marie reprend alors son récit.
– Donc, les deux gars avaient le sexe rasé. Ça m’a paru bizarre. J’avais l’impression qu’il y avait quelque chose de pas normal. C’est quand ils ont déroulé leur serviette, qu’ils se sont assis dessus et ont commencé à se masturber mutuellement, que je me suis dit qu’en effet, ce que je regardais était inhabituel.
Nicole confirme.
– Surtout à l’âge qu’on avait. Mais moi j’étais mal placée, je n’arrivais pas à tout voir.
– C’est vrai que j’étais du bon côté, à même pas deux mètres d’eux. Quand ils ont été en érection, ils se sont sucés chacun leur tour en se mettant à genoux devant l’autre. Ça a duré un certain temps. On ne comprenait pas trop ce qui se passait, mais on n’osait pas bouger de peur d’être repérées. Ensuite, ils se sont relevés, ont repris leur serviette et sont repartis comme ils étaient arrivés, sauf qu’ils avaient encore le sexe à moitié en érection. Je suppose qu’ils se sont éjaculés dans la bouche et ont avalé.
– C’est bien possible. Maintenant que j’y pense, je me demande si ceci n’est pas à l’origine d’une bonne partie de tes rêves.
– Tu parles de ceux de cette nuit ?
– Oui.
– C’est bien possible. Déjà, à l’époque, j’en avais rêvé durant les jours qui avaient suivi. Je m’étais masturbée en repensant à ces deux hommes mais sans bien comprendre ce qu’ils avaient fait ensemble.
– En fait, ces quelques jours de vacances expliquent presque tous tes rêves. Pourquoi n’as-tu pas raconté ça à mon patron ce matin ?
– Je n’y ai pas pensé. D’ailleurs, ça m’est revenu tout à l’heure quand j’ai senti ton odeur. Ce matin, le psy m’a dit qu’il avait retiré des blocages dans mon subconscient. Peut-être que, sans cela, je ne m’en serais pas souvenue.
– C’est possible.
– En tout cas, ça m’a fait du bien d’en parler.
Simon s’est levé et est parti à la cuisine chercher le dessert tandis que Marie terminait son récit. C’est alors que l’on entend un grand plouf suivi de quelques jurons bien placés. Nicole tourne la tête en direction de la cuisine.
– Qu’est-ce qui t’est arrivé, chéri ?
– Rien ! Enfin si. Le pot de moutarde que j’avais posé sur le bord de la fenêtre est tombé dans le bol de salade de fruits. J’en ai plein sur moi. Heureusement, il n’y a rien de cassé.
Il fait alors le tour du comptoir pour montrer dans quel état il est. Sa chemise est à moitié trempée et lui colle à la peau, elle en est devenue transparente. Le pantalon est à peine en meilleur état.
– Je vais aller me changer.
Nicole est consternée.
– C’est terrible. On ne peut pas lui laisser faire la cuisine sans qu’il s’en mette partout. Ah, ces hommes !
Marie confirme.
– Le mien n’est pas mieux. Il faut toujours qu’il se salisse. Dès fois, je me demande s’il ne vaudrait pas mieux qu’il fasse la cuisine tout nu.
– C’est une idée ça. Mon chéri, pas la peine de te changer. Enlève juste ta chemise et ton pantalon.
– Que je garde juste mon string!!?
– En plein ça
– Quand même ! C’est gênant…
Marie intervient.
– Mais non. J’ai déjà vu des hommes.
– C’est vrai.
– Si ça te gêne d’être le seul à te déshabiller, Philippe va faire pareil. Philippe…
Philippe s’inquiète.
– Hein ? Pourquoi moi ? Je n’ai rien fait !
– C’est comme ça. Tu ne vas quand même pas contrarier ma psychothérapie.
Philippe se lève à contrecœur tandis que Simon a déjà retiré sa chemise.
– Elle a le dos large la psychothérapie. Si je me déshabille, Simon enlève aussi son string alors.
– Non, ça lui fait bien un string !! Il a le cul pour en porter !!!
– C’est correct, je vais l’enlever
Rapidement, les deux hommes se retrouvent nus. Ce qui surprend le plus quand on les regarde tous les deux, c’est que Philippe s’est rasé le sexe tandis que Simon a conservé tous ses poils pubiens. Ça frappe immédiatement Nicole.
– Tiens, ton mari se rase le sexe ? Comme dans tes rêves ? Tu m’avais pourtant dit qu’il ne le faisait pas.
– C’est tout nouveau. Il l’a fait tout à l’heure. Pour me faire plaisir.
– C’est gentil ça. Et qu’est-ce que tu en penses ?
– Très agréable. Tellement que je l’ai même sucé avant de partir.
Simon revient à table avec la salade de fruits et la pose au centre de la table. Son sexe se retrouve alors posé sur le bord ; les deux femmes le regardent faire avec un vif intérêt jusqu’à ce qu’il se rasseye.
– En tout cas, pour la salade de fruits, j’espère que tu n’as pas une recette secrète comme pour les crêpes ? Nicole et Marie rigole, mais pas les gars, car cette partie des rêves ne leur fut pas conté.
Nicole change le sujet de la conversation en s’adressant à Philippe et Simon pour les provoquer un peu.
– Et vous, les hommes ? Vous avez eu des expériences comme ça lorsque vous étiez plus jeunes ?
Son mari lui répond.
– Pas du tout. Tout d’abord, je te fais remarquer que je ne connais Philippe que depuis peu. C’est vous qui êtes des copines d’enfance, pas nous.
– Oui, mais séparément ? Vous avez eu des expériences étant plus jeunes ?
– Non.
Réponse également fournie par Philippe. Décidément, les deux hommes ne sont pas loquaces quant à leurs premiers émois. Marie n’en croit rien.
– Je n’arrive pas à le croire. Vous n’étiez quand même pas vierges quand on vous a connus ?
C’est Philippe qui lui répond.
– Quand même pas. J’avais eu plusieurs expériences, mais plus classiques. Dans un lit, avec une seule fille à la fois.
Ce que confirme Simon.
– Pareil pour moi.
Marie reprend.
– C’est dingue ça, d’être aussi conventionnel. Moi, c’était avec le fils du fermier, pendant les vacances. C’était notre voisin. On avait été faire un tour à vélo et ça s’était terminé en plein champ. Il était un peu maladroit, mais ça reste un bon souvenir pour une première fois.
Sa copine la regarde médusée.
– C’est comme dans tes rêves… L’inconnu au milieu des champs…
– C’est vrai qu’il y a des points communs. C’est incroyable que je raconte des trucs pareils.
– Je pense que ta séance d’hypnose de ce matin y est pour quelque chose.
– Peut-être… Ça me fait du bien d’en parler.
Le repas est terminé. Nicole se tourne vers son amie.
– Et maintenant, qu’est-ce que tu voudrais faire ?
– Pourquoi tu me demandes ça ?
– Parce que c’est toi qui choisis, puisque tu dois laisser libre cours à tes désirs. Exprime-toi.
– Ben… Il y a bien un truc, mais je n’ose pas.
– Si. Vas-y. Dis-le.
– Ça me ferait très plaisir que Simon se rase le sexe.
– Je m’y attendais un peu.
Simon est stupéfait.
– Ah, mais je ne suis pas d’accord !
Sa femme lui répond.
– Philippe l’a fait et moi aussi, alors pourquoi pas toi ?
– J’y tiens moi, à mes poils. Ils sont drus, ils sont frisés, et ils sont là depuis si longtemps !!!
– Tu ne vas quand même pas refuser les volontés d’une personne malade ?
– Mais…
– Même Philippe s’est rasé le sexe pour faire plaisir à sa femme ! Et elle n’a même pas eu à insister…
– Bon.
Simon se lève à contrecœur et quitte la salle à manger. Nicole et Marie le suivent. Philippe, qui se retrouve seul à table, leur emboîte le pas. C’est quand il est arrivé en haut de l’escalier que Simon réalise qu’il est suivi.
– Mais où est-ce que vous allez tous ?
– On te suit.
– J’aurais préféré faire ça tranquillement.
– Et si on préfère profiter du spectacle ?
Simon, dépité, se rend à la salle de bains, suivi de sa femme et de ses amis. Il s’adresse alors à Philippe.
– Toi aussi tu es là ? Ça t’excite de me regarder en train de me raser les couilles ?
– Je ne vais quand même pas rester en bas à attendre tout seul comme un cruche.
Une nouvelle idée germe alors dans le cerveau de Marie.
– Et si tu participais aussi ?
– Comment ça ?
– En aidant Simon à se raser. Après tout, j’ai bien aidé Nicole à le faire.
– Mais c’est dégueulasse !
– C’est pour mon bien !
– En plus, je n’étais même pas là quand vous l’avez fait. J’aurais bien voulu profiter du spectacle.
– Si tu es gentil, on se lèchera les seins et on s’embrassera devant toi tout à l’heure.
– Évidemment, dans ces conditions-là…
Pendant ce temps, Simon a sorti la mousse à raser et un rasoir, puis il s’est assis au bord de la baignoire. Sa femme se permet de le conseiller.
– Il vaudrait mieux enlever le plus gros avec ton rasoir électrique.
– C’est ce que tu as fait ?
– Oui. Sinon, ça tire assez fort sur les poils.
Philippe confirme.
– C’est vrai. Tout à l’heure, je l’ai fait directement au rasoir, j’aurais dû commencer à la tondeuse.
Du coup, Simon sort son rasoir électrique, le branche sur le courant et s’assied à nouveau au bord de la baignoire. Il est prêt, pour se faire raser le sexe par son ami. Philippe s’approche, prend le rasoir en main et le met en route. Il est quand même un peu gêné, Marie s’en rend compte.
– Qu’est-ce qui t’arrive, chéri ? Tu as un problème ?
– Je ne sais pas comment m’y prendre.
– Ben, c’est facile, tu passes la tondeuse tout autour du sexe de Simon pour retirer les poils les plus longs. L’idéal, c’est de bien tout dégager de façon qu’il ne reste plus que des poils courts.
– Ce n’est pas simple. Vous, les femmes, vous n’avez pas un gugusse qui dépasse au milieu.
– Tu n’as qu’à le tenir en main, le gugusse qui dépasse. Ce sera plus facile.
Philippe ne sait pas trop comment s’y prendre pour prendre en main la queue de son copain. Après avoir essayé plusieurs méthodes sous les yeux amusés des deux femmes, il choisit finalement de la saisir du bout des doigts comme s’il s’agissait d’une grosse bestiole repoussante.
– Une bé… bite, c’est le cas de le dire, rigolent les deux femmes!
De cette façon, il parvient quand même à passer maladroitement la tondeuse presque partout. Reste maintenant l’épreuve du rasoir. Il prend la bombe de mousse, la secoue et en fait couler sur le pubis de Simon sans l’étaler. Il prend alors le rasoir maintenant et commence à le passer sur la peau de son ami qui se plaint immédiatement.
– Eh, attention ! Tu fais mal !
Marie sait très bien où est le problème.
– C’est normal. Il faut étaler la mousse à raser avant de passer le rasoir. Tu le fais bien d’habitude, mon chéri ?
– Oui. Mais là, ce n’est pas pareil.
– Mais si c’est pareil. Allez, étale bien la mousse.
– Simon pourrait peut-être le faire à ma place.
– Non. Ça serait trop facile.
Philippe, encore plus gêné, se retrouve contraint d’étaler la mousse à raser sur le pubis de son ami. Il commence alors le rasage qu’il parvient à faire assez facilement. En finale, il n’est pas mécontent de lui.
– Ça y est. C’est fait.
Sa femme n’est pas d’accord.
– Ce n’est pas fini. Il faut encore faire les testicules et le pénis.
– Aussi ?
– Tu as bien rasé les tiens, toi !
– C’est vrai. Bon, d’accord.
Philippe reprend la mousse à raser, mais cette fois-ci il la fait couler sur ses doigts. Il s’efforce de l’étaler le mieux possible sur les parties intimes de son ami, même s’il n’ose pas utiliser son autre main pour soulever la bite de Simon et passer dessous. Il prend alors le rasoir et continue son travail. Au début ce n’est pas bien facile, mais Philippe se détend peu à peu et commence enfin à prendre la bite de son ami dans sa main pour la soulever chaque fois que nécessaire. C’est un nouveau défi pour lui, car il lui faut bien tirer sur la peau pour que le rasage soit réussi. Au bout de dix minutes d’efforts intenses, Philippe est enfin parvenu à terminer le rasage du sexe de son ami. Il se relève tandis que Simon s’asperge d’eau avec la pomme de douche pour se débarrasser des restes de mousse à raser.
Sans qu’il ne s’en aperçoive, Philippe constate que les deux femmes se sont caressées les seins et l’entrejambe pendant la séance de rasage! Simon, qui voyait bien l’excitation des deux femmes a pu savourer le spectacle tout le temps que Philippe s’occupait de le raser
– Je comprends pourquoi tu disais rien, tu as eu tout le show pour toi!
Simon sourit à Philippe et une fois bien séché, il peut enfin découvrir cette incroyable sensation, celle que l’on a quand on se caresse le sexe après se l’être rasé.
– C’est doux. C’est agréable, très agréable. Je ressens plein de sensations nouvelles.
Tandis que les deux hommes se font face et s’observent mutuellement, Philippe le confirme tout en allant plus loin.
– C’est vrai. Et ces sensations me rappellent des souvenirs.
Ce qui ne manque pas d’intéresser sa femme.
– Toi aussi, chéri ? C’est intéressant. Raconte-nous.
– Je ne sais pas. Je n’aurais rien dû dire.
– Si. Raconte. Ce n’est pas grave. Tout le monde a déjà raconté ses petits souvenirs.
– Non. Pas Simon.
– Pas encore, mais il trouvera bien quelque chose. Alors, c’est quoi ton histoire ?
A suivre
C’est vraiment excellent même si j’ai zappé la séance de rasage (après tout il en faut pour tous les gouts)
Un chapitre assez inégal, mais j’ai adoré la séance de voyeurisme