Juste un peu de chantilly (Ou ma tante et ma voisine)
par Enzo_Cagliari
Texte contenant quelques passages de scato explicite
Salut, je me prénomme Pierre, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j’ai les cheveux bruns et suis assez fin. Je suis majeur depuis plusieurs années mais j’habite toujours chez mes parents… J’aime le sexe et je fantasme sur beaucoup de choses. En matière de femmes mes préférences vont aux femmes qui sont plutôt mûres et en tous les cas plus âgées que moi…
… Comme par exemple, ma tante Yvette, ou notre voisine Béa… Il se trouve que ces deux grandes et belles femmes avaient été invitées un jour chez nous à un repas de fête organisé pour l’anniversaire de mon père. Au dessert, alors que des groupes de discussions se formaient, et la boisson aidant, certains propos devenaient de plus en plus grivois. Je ne me rappelle plus suite à quelle réflexion Béa avait alors déclaré ne porter que des strings. En disant cela, elle m’avait adressé un sourire que je fis semblant de ne pas remarquer. Ce fut alors tante Yvette qui confessa à son tour qu’elle aussi, adorait être en string et que justement elle en portait un aujourd’hui absolument ravissant… Je craignis un moment que partie comme elle l’était, elle aille jusqu’à nous proposer de nous le montrer. Aussi, quelque peu gêné, je m’écartais de cette discussion… A la fin de la soirée. Béa et Yvette avaient sympathisé… mais j’ignorais alors que cette sympathie avait été très, très loin…
Quant à moi, j’ai après cet événement fantasmé bien souvent sur les culottes de ces deux belles personnes… Je n’eus ensuite aucune occasion me permettant de me retrouver en tête à tête avec ma tante. Quant à ma voisine, il m’arrivait de la croiser, et dans ces moments-là, elle me faisait des yeux de biches très provocateurs, auxquels je ne répondais pas, mettant ça sur le compte de son comportement extraverti… Jusqu’au jour où…
Mais, laissez-moi vous raconter…
C’était en juillet, mes parents étaient partis passer trois semaines de vacances aux Baléares, et je restais seul à la maison.
Nous sommes un dimanche en fin de matinée. La journée s’annonce particulièrement chaude et ensoleillée et j’avais souhaité me composer un bon petit repas en célibataire. Je m’étais ainsi préparé un appétissant gâteau à la framboise et il ne manquait plus qu’un peu de crème chantilly pour le parachever. Je cherchais donc partout la précieuse bombe, mais elle n’était nulle part, ni dans le frigo, ni dans la réserve. Bien sûr j’aurais pu aller faire un saut jusqu’au centre commercial, (et dans ce cas il n’y aurait pas eu d’histoire) mais pourquoi se fatiguer alors qu’il me suffisait d’en demander à notre adorable voisine ?
La chaleur m’avait servi de prétexte pour rester nu toute la matinée (j’adore être nu) Je me revêt simplement d’un slip et d’un short, enfile des espadrilles et me pointe devant la porte extérieure en bois du pavillon jouxtant le nôtre. Je sonne et entends Béa la voisine crier :
– Oui, c’est pourquoi ?
– C’est Pierre, je voudrais vous demander un petit service !
– Pierre ! Entre donc ce n’est pas fermé.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir alors ma voisine allongée dans un transat en train de se faire bronzer. Mais, seconde surprise elle n’était pas seule, un second transat était également occupé à ses côtés. Et la charmante personne qui s’y faisait dorer était ma délicieuse tante Yvette ! La petite table était occupée par deux grands verres, un petit seau à glaçons et une bouteille de Martini. Les deux femmes prenaient ainsi l’apéritif dans la plus totale décontraction.
Imaginez ma stupéfaction et mon émoi… Mais laissez-moi vous décrire ces deux coquines : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d’une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien.
Elles sont là toutes les deux, même pas en maillot de bain, non en lingerie de « ville ». En soutien-gorge et en string. Je n’en reviens pas, ces deux belles femmes un peu matures sont très attirantes avec leurs longues cuisses, leurs belles épaules dorées et surtout leurs trésors que leur lingerie dissimule à peine. J’ai du mal à contrôler mes pulsions et voilà que je bande comme un cerf !
– Heu, bonjour Béa, bonjour ma tante… je dérange peut-être ? M’excusais-je
– Mais non, Pierre, si on t’a dit d’entrer c’est que tu ne nous déranges pas. Mais tu m’as l’air un peu troublé, ce n’est quand même pas nous qui t’intimidons à ce point ? Répond Béa
– Je ne suis pas intimidé !
– Moi je crois quand même que si, mais on ne s’est pas dit bonjour ! Bonjour mon neveu, je serais passée te rendre visite cet après-midi, mais puisque tu es là, vérifions quelque chose ! Ajoute Yvette.
Je me demande bien ce qu’elle souhaite vérifier. Elle se lève alors pour m’embrasser, et sa main se pose de façon très volontaire sur ma braguette ! Je ne sais plus où me mettre. Mais son audace ne dure pas et elle retourne s’allonger.
– Alors, c’était bien dur ? Lui demande Béa.
– Humm… Super dur, tu peux aller constater par toi-même ! Répond ma tante Yvette.
– Ne soit pas timide, ça nous fait plaisir de savoir qu’on te met dans tous ces états ! Me dit alors Béa après s’être levé pour tester à son tour ma braguette.
Je me laisse faire, mais la situation commence à devenir embarrassante. Manifestement ces deux-là sont super excitées, et si je n’abrège pas, elles vont me sauter dessus :
– Heu, Béa, j’étais juste venu chercher de la chantilly, parce que j’ai fait un gâteau …
Ma tante ne me laisse pas terminer, elle m’entraîne dans la cuisine de son amie…
– Allez viens, on va voir si Béa en a quelque part dans sa cuisine…
Arrivé à l’intérieur elle s’approche et se place devant moi. Je suis pétrifié, la vue de ma tante en petite tenue, sa peau bronzée et scintillante de gouttes de respiration, sa poitrine moulée dans ce fin soutien-gorge de dentelle à quelques centimètres de mes yeux. C’en est trop ! Aussi quand Yvette entreprend de me baisser mon short, je n’oppose aucune résistance. Elle me tripote la bite à travers le fin tissu du slip, tandis que Béa contemple le spectacle d’un air très intéressé. Elle a sorti un téton d’un des bonnets de son soutien-gorge et se le pince tandis que son autre main écartant le string est en train de tripatouiller sa chatte… Si ça continue je vais éjaculer dans mon caleçon… mais après tout c’est peut-être ce qu’elles cherchent…
Yvette baisse alors mon slip, continue quelques mouvements de masturbation sur ma bite tendue comme un arc de compétition, je ferme les yeux, je retiens ma respiration, je suis en train de me faire branler par ma tante, c’est la première fois que mes rêves les plus fous se concrétisent… je suis merveilleusement bien.
Puis la voilà qui s’accroupit ! Je me demande si elle va vraiment oser ? Oui, elle ose, sa bouche s’approche de mon pénis, l’enserre, sa langue intervient sur mon gland. Il faut absolument que je me retienne, sinon je vais éclater…
Mais alors que je sentais déjà la jouissance proche, voilà qu’elle m’abandonne, qu’elle se relève et qu’elle interpelle Béa !
– C’est vraiment dommage qu’il ait trop de poil, tu ne trouves pas ?
– Hum…. tu as raison, mais on pourrait lui faire un petit rasage, toutes les deux ?
– Qu’est ce tu en pense, Pierre ?
– C’est que j’étais juste venu pour chercher de la chantilly ! Répondis-je un peu bêtement.
A ces mots, Béa, se dirige vers son frigo en ouvre la porte, sort une bombe de chantilly et me la tend !
– La voilà ta chantilly ! Tu as donc le choix : tu peux très bien rentrer finir de décorer ton petit gâteau, t’installer pour manger et passer l’après-midi à te dire que tu as sans doute raté quelque chose. Sinon, ben tu restes un peu avec nous, et je suis sûre qu’on va s’amuser un petit moment.
Que croyez-vous que je fis ? Je restais, vous l’avez deviné, et me reculottant à peine je suivi ces deux belles femmes jusqu’à la salle de bain, ma bombe de chantilly dans la main…
Arrivé sur place, Bea se débarrassa de son soutien-gorge dont un seul bonnet occupait sa fonction, sa jolie poitrine dont les bouts pointaient d’excitation se balançaient au rythme de ses gestes dans un curieux ballet érotique, puis dans la foulée elle envoya valser son string. Elle était donc entièrement nue et je pouvais admirer son pubis intégralement rasé. Imaginez mon trouble ! Notre voisine s’approcha alors du dos de ma tante et lui dégrafa son propre soutien-gorge, libérant ses deux petits seins aux tétons turgescents. Puis se courbant, elle fit glisser la culotte de son amie jusqu’en bas de ses chevilles. Je m’avançais un petit peu afin d’admirer derrière, la superbe croupe ainsi libérée, et devant un sexe aussi glabre que celui de notre belle voisine
Elles me firent signe de me débarrasser de mon short et de mon slip et me demandèrent de m’asseoir sur le rebord de la baignoire.
Béa s’approche avec une paire de ciseaux et commence à me couper les plus grosses touffes de poils qui ornaient jusque-là mon appendice sexuel. Cette petite coupe dura bien une dizaine de minutes.
Puis Yvette prend le relais et commence à m’appliquer un gant chaud sur le pubis et sur les testicules. Effet garanti ! Elle tend la main vers ce qu’elle pense être la bombe à raser mais par distraction s’empare de la bombe de chantilly
Avant que j’aie le temps de lui signifier son erreur, j’ai tout mon pubis recouvert de crème chantilly.
– Yvette, tu t’es trompée de mousse ! Lui fait remarquer Béa en rigolant !
– Ce n’est pas grave, l’essentiel, c’est que ça mousse, non ?
Elle me masse les testicules avec la mousse, afin dit-elle que ça s’imprègne bien. Bea excitée comme une folle se caresse le minou en nous regardant. Puis Yvette commence à me raser délicatement, elle me rince à l’eau tiède, puis applique un gant chaud et termine par une lotion après rasage « spécial ladies » ! Ça y est je suis tout lisse, elle me masturbe un peu, mon sexe reprend vite la même vigueur que tout à l’heure dans la cuisine, et je me sens prêt à exploser dans les secondes qui vont suivre.
J’ignore si ma tante s’en rendit compte, toujours est-il qu’elle m’abandonne une fois de plus pour se diriger vers la chatte de Béa, la voisine ! Elle se place à quatre pattes et lui lèche le minou comme une chienne en chaleur.
Le spectacle est trop beau, ma tante à quatre pattes, le cul tendu, son gros fessier semblant me narguer. Alors prenant cette posture pour une invitation, je me baisse à mon tour et après quelques petits bisous très chastes sur la peau de ses fesses je m’enhardi très vite et fait fonctionner ma langue de plus en plus près de son petit trou, jusqu’à le lécher complètement en m’efforçant d’y pénétrer. C’est délicieux j’adore l’odeur de son cul. Il sent un tout petit peu la merde, mais dans l’état d’excitation où je me trouve, ça ne me dérange vraiment pas du tout. Elle se laisse faire, sans doute trop occupée à sa propre besogne.
Encouragé je lui glisse un doigt dans l’anus et le fait aller et venir pendant deux ou trois minutes… Il ressort tout pollué.
Mais voici qu’elle se relève et me dit :
– Dis donc petit cochon tu m’as fait des choses sans me demander la permission ! Tu vas le regretter. Suce ton doigt.
Voilà une chose qui ne me dérange pas du tout.
– Alors, elle est bonne la merde de ta tante ?
– Délicieuse !
– Si elle délicieuse, tu as le droit d’en reprendre !
– Je…
– C’est offert avec plaisir ! Me dit-elle.
Alors d’accord, je remets le doigt, ils touchent quelque chose de mou. Je les ressors, je ferme les yeux et je lèche. C’est bon !
Ma tante Yvette, me demande de me coucher sur le dos. Elle se positionne alors devant moi et me fourre d’abord sa chatte sous le nez afin que je la lui lèche…. Puis elle se recule en me demandant de garder la bouche ouverte
– Je suis sûre que tu vas aimer la pisse.
Je ne réponds pas, j’avale (on ne peut pas tout faire à la fois) Sa pisse est délicieuse. Mais quand le débit s’arrête, elle se contente de reculer un petit peu et continue à pousser.
Un magnifique étron dégringole de son cul et m’atterrit sur le torse. Béa vient le ramasser, le met dans ses mains et le lèche un peu, avant de me proposer de l’imiter. Ma foi, ce n’était pas mauvais.
Je sens qu’on me tripote l’anus, de la salive, un doigt, du gel, et c’est ensuite un gode qui tente de me pénétrer ! J’ouvre bien mon anus pour aider l’introduction. Une fois l’engin bien placé dans mon fondement ma tante Yvette s’empale alors sur mon sexe dressé et me chevauche, tandis que Béa s’amuse à faire des va-et-vient avec le gode fiché dans mon anus. Cette double excitation fit que je ne pus contrôler mon plaisir et excité comme jamais, j’explosais au fond de l’intimité de ma tante
Me laissant un peu sonné, Yvette qui, elle n’avait pas encore joui m’abandonna pour aller rejoindre Béa, elles entamèrent alors un 69 incroyable, roulées par terre, ruisselantes de sueur et overdosées d’excitation, elles n’en pouvaient plus et haletaient, la langue de l’une sur le clitoris de l’autre.
Du coup je me remis à bander devant ce spectacle magnifique ! Les deux femmes crièrent leur jouissance pratiquement en même temps ! C’était beau de les voir ainsi prendre leur plaisir en hurlant ! Elles sont restées un peu groggy quelques minutes, puis reprenant ses esprit Béa m’aperçut !
– Ce n’est pas vrai, tu bandes encore, alors d’accord, branle-toi devant nous, branle-toi devant deux belles femmes, mais attention à la fin tu devras avaler ton sperme ce sera ton gage ! Tu es d’accord ?
Je leur dis que oui… De toute façon excité comme j’étais que pouvais-je dire d’autre ? Je finis par éjaculer sur les seins de Béa, puis de ma langue j’allais recueillir ma semence que j’avalais.
Les deux femmes s’embrassaient maintenant avec infiniment de tendresse, la furie était passée, j’avais l’air de gêner…
Je récupérais, mon slip, mon short et mes basquets, et m’apprêtais à partir !
– Bon je vous laisse, merci pour tout !
– C’est nous qui te remercions, Pierre, tu nous as permis de bien nous amuser, dis Yvette !
J’avançai vers la sortie, c’est Béa qui me rappela :
– Dis donc n’oublie pas ta chantilly !
C’est vrai que j’étais venu pour ça !
– Ah oui c’est vrai !
J’allais donc la chercher dans la salle de bain !
– Va décorer ton gâteau et reviens avec au moment du dessert, on va le manger tous les trois et après… humm, tu sais qu’on connaît encore plein d’autre jeux ? Me confiât alors Béa très chatte.
Enzo Cagliari – novembre 2003
D’une perversité inouï, j’ai adoré et me suis branlé en lisant ça !
J’adore ce genre de délire
Bien pervers et bien écrit ! J’adore !
Vraiment pas mal, décontracté et bandant