Tout le monde ne me croira pas, et pourtant…
(extrait du journal des voyages de Marco Polo)
D’un commun accord, Betty, son mari et moi, nous décidâmes de rester en
contact épistolaire car ils adoraient lire mes aventures, eux me racontaient
leurs soirées à deux ou plus, libertines, celles passées en club
échangistes…
En fait, il n’y eux que quelques lettres car en novembre, ils me proposèrent
de revenir chez eux pour passer un bon moment. Comment refuser ?
Cela se fit tout début décembre, il faisait un temps très doux et j’arrivais
chez eux vers 18 heures 30 avec gâteaux et champagne. Betty préparait le
repas » habillée » normale, son mari m’annonça qu’il aurait un autre invité.
– Cela ne te dérange pas, Bernard ? Il est très sympa, un peu timide, on l’a
connu cet été
– Non, pas du tout,, vous faites comme chez vous, non ?
Il ajouta qu’il était aussi » bien monté « , ce qui ne déplaisait pas à Betty
! Il viendrait plus tard.
Betty m’appela dans la cuisine :
– Regarde, j’ai préparé ce que tu voulais, j’espère que tu me feras de
belles photos ?
Elle me montra dans un » tuperware » quelques légumes que je souhaitais lui
voir utiliser, vous voyez ce que je veux dire ? Carottes, navets, etc… de
tailles variables pour satisfaire son goût pour la masturbation et le mien
de voyeur !
Ça s’annonçait bien déjà, et tout en mettant le couvert avec son mari, on
s’excitait tous les trois, on la frôlait, la caressait, pendant qu’elle
s’activait » aux fourneaux » Bien qu’elle fut en jeans, elle était sexy avec
son petit cul bien moulé et le tee-shirt fut relevé sur un soutien-gorge
très réduit.
Puis on sonna et Tanguy alla ouvrir à Pierre. On nous présenta, il était
sympa mais assez timide bien que beau mec, grand, mince, il amenait aussi
champagne et gâteaux !
Tanguy commença à servir l’apéro pendant que Betty se changeait et j’appris
comment ils s’étaient connus : Tanguy et Betty étaient dans les dunes se
faisant bronzer à poil comme d’autres couples matés par quelques voyeurs
discrets. C’était la fin de l’été, peu de monde donc et ce gars attira leur
curiosité parce qu’il ne s’intéressait qu’à eux deux, un peu isolés. Il
n’osait pas trop se montrer caché par la végétation. Ils décidèrent de le
provoquer, Betty en écartant les jambes pour lui faire voir sa chatte rasée
et en se laissant caresser la poitrine. Au début, ils firent comme s’ils ne
l’avaient pas vu, mais Betty ayant vu son sexe assez imposant ne put
s’empêcher de le regarder et c’est elle qui demanda à son mari d’aller lui
parler.
Ce cochon lui dit d’abord de se caresser seule et qu’il irait le voir après.
Elle était déjà très excitée et elle commença à se masturber. Tanguy alla
alors vers l’inconnu avec prudence car parfois les voyeurs fuient les
contacts directs, j’ai déjà remarqué ça. Lui, non, bien qu’intimidé car
c’était la première fois qu’il venait aux dunes, et aussi la première fois
qu’on lui proposait bien sûr ce genre de contact.
Tour en buvant l’apéro j’avais les deux versions, c’était marrant, Pierre
disant qu’il ne savait pas si c’était bien vrai tout ça jusqu’à ce qu’il fut
autorisé à caresser ce joli corps offert.
Puis Betty avança une main curieuse vers son sexe raide. Quatre ou cinq
voyeurs profitèrent du spectacle mais à distance ce qui excita encore plus
Betty. Je leur dis que j’aurais voulu être là surtout quand Betty écarta ses
cuisses en grand pour eux et se masturba tout en commençant à lécher le sexe
de Pierre puis celui de son mari.
Mais je ne connaîtrais pas la fin de l’histoire, Betty nous rejoignit
accapara notre attention et tout de suite notre désir. Il faut dire qu’elle
portait une sorte de tunique noire mais transparente ou presque, laissant
deviner ses jolis seins pointus, au ras de la tunique on voyait des
jarretelles tenant des bas résilles, c’est tout ce qu’elle portait ! Le
chauffage était heureusement efficace.. Modestement et presque gênée devant
nous trois, elle demanda si elle nous plaisait » comme ça « , on fut unanime
à la complimenter, elle alla vite à la cuisine où je fis une photo dans
cette tenue prenant au passage les » légumes » à déguster par elle, puis
elle trinqua avec nous. Les esprits et d’autres choses s’échauffèrent très
vite, on la caressa, mettant ses seins à l’air, nous frottant à elle,
touchant ses fesses, sa minette.
Le curieux chez elle, c’était qu’elle gardait toujours cet aspect timide et
réservé même lorsqu’elle écarta les cuisses en grand sur le banc où elle
commença à se masturber en nous voyant sortir nos sexes raides. Elle était
très voyeuse et excitée par la situation, c’était la première fois pour eux
d’avoir deux hommes chez eux, trois bouches, trois sexes, pour lui donner du
plaisir et ses trois sexes s’approchèrent de son visage que l’on caressait
avec. Elle ferma les yeux dans l’attente et son mari fut le premier dans sa
bouche, il me céda la place, puis ce fut Pierre ! Elle ouvrit les yeux
préférant nous voir sans doute. A tour de rôle, parfois deux, parfois trois
(j’en fis des photos de ces trois sexes réunis) elle nous fit glisser entre
ses lèvres maquillées de rose, j’eus l’idée de tremper le mien dans le
Martini, histoire de bien trinquer !
Nous étions déjà très chauds lorsqu’on lui demanda d’utiliser ces fameux
légumes. Toujours sur le banc elle saisit une carotte, la porta à sa bouche
en nous regardant dans les yeux, puis elle la fit glisser entre ses seins,
écarta bien ses cuisses et la promena sur sa fente. Je l’entends encore nous
dire :
– Je commence, mais après c’est vous qui le ferez, hein ?
On fut d’accord ! Et la carotte glissa dans sa minette sans difficulté, mais
pour les photos, j’étais un peu gêné, donc je lui demandais de se mettre sur
la table. Elle aurait pu s’y asseoir, mais exhibitionniste dans l’âme sous
ses aspects » timides « , elle s’est d’abord accroupie puis s’est appuyée sur
ses mains derrière elle en soulevant son bassin, les cuisses très ouvertes !
Quelle vision ! Ses lèvres ouvertes aussi, montraient un trou béant d’où sa
» mouille » s’écoulait ! Je fis vite une vue, c’était trop beau ! Ensuite,
qui commença des deux compères ? Je ne sais plus ! Mais la première carotte
retrouva sa place au chaud grâce à l’un d’eux. C’était obscène mais combien
excitant de la voir haleter sous les va-et-vient de cette carotte, bientôt
remplacée par une plus grosse, puis par un navet ! Chacun notre tour, nous
choisissions ce qui pénétrait dans ce vagin béant. Je n’avais jamais vu une
fille s’ouvrant autant, se donnant aussi totalement aux regards, au plaisir.
Elle repoussait elle-même sur les « objets » préparés par elle en gémissant
toujours davantage. La position fatigante changea, on repoussa les
assiettes, elle s’allongea sur la nappe, les fesses au bord et pendant dix
minutes, assis sur le banc, on la lécha tout en lui remplissant la chatte, y
compris avec nos doigts, j’en mis quatre mais pas plus. On allait aussi de
l’autre côté, promener notre sexe sur son visage et sa bouche s’y activait
avec un délice partagé.
Elle jouit deux fois avec ces pratiques et puis, il fallut manger. On fit
honneur aux plats, mais avec la hâte de vivre la suite, d’autant qu’assise
entre Pierre et moi, on la tripotait sans cesse et Tanguy se régalait de la
voir se prêter à tout ça.
Elle nous dit qu’elle avait apprécié d’être léchée sur cette table et
qu’elle souhaitait y être prise !
On la fit s’allonger pour le dessert à même la nappe, on la caressa, la
lécha partout, débouchant une bouteille de champagne sur elle qu’on essaya
de boire, on y mit, étala plutôt quelques gâteaux de soirée bien crémeux
pour le péché de gourmandise ! On lui mit un coussin sous la tête pour
qu’elle puisse voir tout ce qu’on lui faisait et lorsque Pierre lui enfonça
une banane pleine de crème, elle se mit à jouir et aussitôt nous supplia de
la pénétrer.
On laissa la priorité au mari pendant qu’on lui caressait ou suçait ses
seins, puis je le remplaçais. Sa fente était bouillante et chaque coup la
faisait gémir plus fort, puis Pierre me suivit et sa queue longue et fine
fit des merveilles. Mais c’était un peu dur pour elle comme pour nous et on
alla d’abord sur le canapé où cette coquine s’installa, le visage vers le
haut du dossier, les genoux très écartés, son cul cambré attendit nos
introductions. Positions des plus belles, et je ne sais plus qui s’enfonça
le premier, d’abord dans sa fente crémeuse. On s’y relaya, c’était un régal
car elle nous réclamait, mais son petit trou fut sollicité par Tanguy en
premier comme pour nous montrer la voie ! Il le dilata avec un doigt, puis
deux, puis il y força son sexe un peu trapu.
Après un temps d’adaptation, il resta sans bouger nous disant d’observer,
elle commença à bouger doucement mais bientôt elle fit des va-et-vient lents
mais complets sur toute la tige ! Je m’étais mis à genoux à côté d’elle lui
caressant les seins qui pendaient sous elle en lui parlant, du genre :
– Tu es bien, Betty ? Ça te plait de te faire sodomiser ?
– Oh, oui ça me plait, c’est toujours un peu difficile au début, mais quand
ça glisse, hummmm…
– Et tu veux qu’on te fasse pareil avec Pierre ?
– Ou, vous pouvez m’enculer !
– Que c’est beau d’entendre ça ! Dis le plus fort !
– Oui, vous pouvez m’enculer ! Faites de que vous voulez de moi, j’ai envie
d’être salope !
Tanguy me fit signe du pouce et ajouta :
– Chérie, tu es déjà une petite salope, mais ce soir tu as trois queues pour
la première fois, tu sais ce que ça veut dire : Une dans chaque trou, c’est
ton baptême et après tu auras ton baptême du foutre !
– Oui, chéri, oui ! Baisez-moi, enculez-moi, je vais jouir, je vais jouir,
continue chéri…
Elle fut secouée de spasmes en disant juste :
– Mon dieu, mon dieu !
Et Pierre se présenta à l’orifice déjà ouvert, il y entra facilement pendant
que son mari la cajolait, j’étais fasciné de voir cette colonne de chair de
vingt centimètres entrer et sortir de ce petit trou secret. Mais hélas, il
ne résista pas à ce plaisir divin et d’un coup on l’entendit :
– Oh, putain ! Je me lâche, je ne peux plus ! Zut ! Zut !
Et Betty :
– Oh là là, je me sens remplie, c’est fou, je te sens gicler dedans !
Il partit se laver et tout de suite je le remplaçais sans aucune résistance
avec un bruit de gargouillis curieux (le temps heureux d’avant le sida !)
Elle gémissait, Tanguy lui parlait :
– Il est content ton petit cul, hein chérie ?
– Oh, oui, merci, c’est grâce à toi chéri !
J’ai trouvé ça très beau ce » merci » pour l’avoir initié à ces plaisirs !
Très beau qu’elle gémisse grâce à mon sexe aussi, je la caressais, la
pénétrais au plus profond, restais sans bouger pour l’entendre haleter, puis
ressortais complètement pour voir son orifice ouvert, puis elle poussait à
fond sur moi en disant :
– Reste en moi, c’est trop bon !
Un peu fatigué par la position, on profita du retour de Pierre pour boire un
coup mérité, trinquant à nos amours multiples, non conformistes mais
respectueux.
Tanguy proposa d’aller dans la chambre que je retrouvais
identique à l’an dernier. Je pensais aux vibromasseurs quand Tanguy demanda
à sa femme de se branler devant nous avec ce qui lui plaisait et le choix
fut rapide, elle fouilla dans les tiroirs et sortit d’un petit sac un, puis
un autre gode.
– Je le fais, mais vous aussi, d’accord ?
Elle s’installa sur le dos, ouvrit ses cuisses en grand, caressa sa fente
avec ses doigts tout en suçant le plus petit des engins. On bandait déjà,
Tanguy assis sur une chaise, moi au bord du lit, Pierre à genoux sur la
moquette et nous eûmes droit à une incroyable démonstration. Betty raffolait
de ces plaisirs dit » solitaires » qui ne l’étaient pas trop ce soir là,
utilisa l’un et l’autre dans chacun de ses trous, sur son clito, sus ses
tétons, puis les deux ensembles, tout en titillant son clito d’un doigt !
C’était fantastique que de la voir s’agiter, soulever son bassin, gémir, se
tourner de côté. Mais elle ne parvenait pas à jouir et demanda à son mari de
venir et c’est lui avec les deux instruments qui la fit jouir en quelques
minutes… et quelle jouissance !
Ce fut le point de départ d’une partie à quatre, d’un mini gang bang où pour
que l’on soit bien » en forme » sa bouche s’activa sur nos sexes avec une
photo prise avec les trois ensembles !
Je fus le premier à poser ma bouche à nouveau sur son bel abricot ! J’adore
lécher une fille surtout lorsqu’elle apprécie ce plaisir, et lorsque je »
tombe » sur une n’appréciant pas (j’en connais !) je suis vraiment frustré.
Dans le cas de Betty, pas de soucis et très active de ses mains, elle
caresse, branle, nous tend ses seins à sucer, un régal, mais au début elle
me demanda de la prendre.
Je me plaçais à genoux face à elle, mes comparses lui soulevèrent les jambes
et les fesses. Betty la tête sur un gros oreiller regarda mon sexe se
glisser le long de sa fente en gémissant, puis y entrer lentement, Il
fallait voir ce regard rivé sur son entrecuisse. Quel bonheur ! et j’entends
encore Tanguy dire tout en l’embrassant :
– Tu veux que Bernard t’encules, chérie ?
C’est dingue d’entendre ça et la réponse !
– Oui encule-moi, Bernard !
Je soulevais un peu plus son bassin avec l’aide des autres, me redressais
aussi, je mouillais bien son trou, poussais dessus et je me sentis happé par
son petit orifice. N’étant pas très » monté « , mon sexe y disparut. Je me
souviens avoir tiré sur ses lèvres et dire :
– Regarde Betty, je suis dans ton petit trou !
– Oui, Bernard, c’est bon, vas-y, tu peux bouger doucement.
Et aussitôt :
– Mettez-moi un vibro dans la chatte !
Incroyable ! Et Pierre la titilla avec puis le fit glisser dedans tandis que
je faisais des va-et viens.
– Tu es bien là, hein ma petite salope de femme ? Dit Tanguy en lui faisant
sucer son sexe.
Puis je laissais la place aux amis, allant me laver.
Quand je revins, elle était empalée sur son mari à genoux, suçait Pierre
debout, j’y allais aussi et Tanguy suggéra de la prendre à deux et Pierre se
dévoua : elle se redressa contre son mari dont le sexe disparaissait
totalement dans son petit trou, Pierre se plaça sur elle et lentement
s’enfonça dans sa minette.
Ce fut le moment fort de cette folle soirée, une première pour elle et là
encore elle jouit sans aucune retenue devant mon objectif, il ne fallait pas
rater ça ! Plusieurs combinaisons se firent. Je remplaçais Pierre d’abord,
puis on inversa les rôles et les positions, en levrette, sur le côté, tout y
passa dans la douceur et le plaisir partagé. On restait raide tous les trois
et Betty avait toujours envie avec une sorte d’orgasme permanent, c’était
sublime !
Et puis Pierre travaillant tôt le matin amena la conclusion, il fallut jouir
enfin pour nous et pour faire de belles photos, on proposa de nous vider sur
son visage. Elle y avait pris goût depuis l’an dernier ! Chacun notre tour
elle nous branla sur elle et reçut toute notre semence sous pression ! Un
moment inoubliable surtout qu’elle en avala pas mal disant après coup qu’on
avait pas le même goût !
Après la toilette, Pierre s’en alla et je retrouvais la petite chambre ou
j’eus du mal à m’endormir et je pensais aussi au lendemain…
Après un bon petit déjeuner, je voulus faire une série de photos « habillées »
Betty en robe bleue posa avec les bas blancs achetés la veille (avec les
gâteaux), un porte jarretelle et une culotte de même couleur. Elle se plut
habillé ainsi montrant ses dessous dehors, puis dedans et demanda à son mari
de la prendre habillée sur la table. J’en pris des photos et j’entrais dans
la danse : la tête au bout de la table, elle goba mon sexe pendant que je
tenais ses jambes relevées et Tanguy la pilonnait, puis je le remplaçais.
Ensuite, penchée sur la table, les jambes écartées, on la prit à tour de
rôle ; pour varier, on s’est assis tous les deux sur le banc et Betty, le
dos vers nous s’empala en écartant les fesses sur Tanguy, puis sur moi,
c’est fou de voir qu’elle avait toujours envie et de la voir ainsi se
soulever de son mari et venir à reculons en écartant son petit cul sous sa
robe relevée, j’ai failli jouir ! Je voulus lui faire encore quelques vues
sur un fauteuil à genoux écartée au maximum, penchée en avant ! j’entends
encore Tanguy me dire :
– Qu’est ce qu’elle est belle ma petite salope de femme, on va l’enculer,
c’est trop beau ça !
– Et après on lui éjacule sur les fesses ! D’accord Betty ?
Elle était en train de se masturber par-dessous et dit :
– Comme vous voulez !
Il écarta un peu plus les fesses et glissa entre elle pendant qu’elle me
suçait puis il en sortit et se vida sur ce joli cul blanc ! Je pris vite le
relais, elle avait le trou béant et se branlait toujours, je m’enfonçais,
très excité et ne résistait pas longtemps ajoutant mon sperme à celui du
mari ! Encore d’inoubliables moments !
Et bien sur, on se revit l’été suivant ! Pour d’autres folies que vous
découvrirez bientôt…
Bernard, le photographe.
11/2002