Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Essayages

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Essayages

Cet été-là, Nicole et Janine avaient décidé de passer leurs vacances ensemble dans le midi avec leurs filles respectives Martine et Marie. Les deux femmes s’étaient rencontrées par hasard quelques années plus tôt alors qu’elles venaient toutes deux de divorcer. Elles s’étaient trouvées de nombreux points communs, outre leur divorce et leur fille de 18 ans. Les deux jeunes filles, quant à elles, avaient vite fait connaissance et étaient devenues les meilleures amies du monde. Toutes deux sortaient d’une grosse déception amoureuse et elles avaient trouvé consolation en se caressant mutuellement d’abord de façon très soft, pour terminer têtebêche en se léchant la chatte. Depuis elles se gouinaient régulièrement et s’étaient jurées de ne plus toucher aucune bite

Janine avait loué une villa en Provence, à l’écart de la foule, avec, pour la plus grande joie des filles, une piscine. La veille du départ, il fut décidé de se réunir chez Janine, qui possédait un magasin de vêtements, afin de pouvoir partir tôt le lendemain.

– Ce sera plus facile comme ça, avait dit Janine. De plus, j’ai tout un stock de vêtements d’été qui n’a pas été vendu. Vous pourrez choisir ce qui vous plaît pour les vacances.

Elle ajouta à l’adresse de Nicole:

– Il y a aussi de superbes maillots de bains très sexy. Je suis sûre qu’ils vont te plaire.

Ainsi fut fait. Le vendredi soir, Nicole et sa fille débarquèrent chez Janine avec leurs bagages. Elles se sentaient déjà en vacances, débarrassées des soucis quotidiens et ravies à la pensée de cette séance d’essayage. Janine et Marie les accueillirent avec joie, les débarrassèrent de leurs valises et s’empressèrent de les conduire au salon. Là, Janine avait déballé un nombre impressionnant de robes, jupes et autres maillots de bain.

– Que chacune fouille dans le tas, dit Janine. Les vêtements d’abord. Nous essayerons les maillots ensuite.

Elles ne se firent pas prier. Bientôt les quatre femmes avaient jeté leur dévolu, qui sur une petite robe imprimée, qui sur une minijupe en coton, qui sur un ensemble de plage, etc…

– Je ne pense pas que le passage en cabine d’essayage soit nécessaire, reprit Janine. Nous sommes entre femmes après tout.

Personne ne la contredit. Nicole, qui avait choisi l’ensemble de plage, fut la plus prompte à se mettre en culotte et soutien-gorge. Sa fille, Martine s’empressa d’en faire autant pour essayer la minijupe et le corsage qui l’avait séduite. Marie ne fut pas en retard pour pouvoir essayer la robe imprimée tandis que sa mère, suivant le mouvement, fut vite prête à enfiler une autre robe. Une fois les quatre femmes rhabillées, les exclamations fusèrent. Chacune s’admirait, prenant des poses plus ou moins lascives et éclatait de rire pour un rien. Le petit jeu se répéta ainsi plusieurs fois avant que tout le monde n’ait choisi ce qui lui convenait.

– Parfait, dit Janine. Il est temps d’essayer les maillots, à présent.

Les trois autres applaudirent comme des gamines.

– J’ai déjà choisi un maillot pour chacune. Bien sûr, si ça ne vous plaît pas, vous pourrez toujours changer.

Elle tendit à chacune une tenue de bain. Nicole déplia la sienne et s’exclama en le montrant:

– Tu crois que je peux porter ça ? J’ai l’impression que ça ne va pas cacher grand-chose.
– Mais si, mais si, répondit Janine. Je suis certaine que tu seras parfaite là-dedans.
– Si tu le dis.

Les deux filles avaient regardé le maillot en souriant. C’est vrai qu’il y avait bien peu de tissu. Elles attendaient avec impatience de voir l’effet produit sur Nicole une fois enfilé. Celle-ci reprit:

– Il semblerait que je sois le centre d’intérêt du moment. Eh bien, puisqu’il faut une première, allons-y. Mais je vous interdis de rire.

– Pourquoi se moquerait-on de toi ? dit sa fille. Tu es plutôt bien foutue. Ce maillot va t’aller comme un gant.
– Espérons-le, dit Nicole en retirant sa robe.

Elle jeta un regard circulaire, puis dégrafa son soutien-gorge. Ses seins jaillirent. Ils étaient imposants, comparés à ceux de son amie, mais se tenaient fièrement sans montrer le moindre signe d’affaissement. Sa fille siffla doucement pour montrer son admiration.

– De quoi te plains-tu ? Dit-elle. Moi j’aimerais bien avoir les mêmes à ton âge.
– Merci ma chérie. J’espère que le reste ne te décevra pas.

Elle tourna le dos et, lentement, comme une strip-teaseuse, fit glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle se pencha pour la dégager de ses pieds, et offrit ses fesses aux regards des autres.

– Alors, fit-elle sans bouger. On n’applaudit pas l’artiste ?
– Jamais avant le final, dit Janine en riant.
– Petites vicieuses, reprit Nicole. Dans ce cas, le spectacle continue.

Prise au jeu, elle se pencha encore plus en avant et se caressa ses fesses.

– Encore ! Encore ! firent les autres.

Devant l’enthousiasme général, Nicole poursuivit. Des deux mains, elle écarta ses fesses donnant aux autres la vision parfaite de son cul. Des sifflets fusèrent, bientôt suivis d’applaudissements.

– Gardez vos applaudissements pour la fin, dit-elle. Le meilleur est encore à venir.

Elle relâcha ses fesses et se redressa. Puis ramenant une main sur son ventre, elle se retourna lentement. Son autre main jouait avec sa poitrine, pelotant les seins lascivement. Elle passait sa langue sur ses lèvres et lançait des œillades provocatrices.

– La chatte ! La chatte ! se mit à crier Janine. On veut voir la chatte !

Rapidement, Nicole échangea la place de ses mains. Le mouvement avait été si brusque que personne n’avait eu le temps d’apercevoir son sexe. Elle reprit ses caresses sur sa poitrine, puis écarta les doigts de son autre main. Rien n’était encore visible. Sa paume cachait toujours son sexe aux autres qui n’en perdaient pas une miette. Finalement, elle retira sa main et étendit les bras en un geste de triomphe. Les autres se déchaînèrent, applaudissant à tout rompre.

– Vous en voulez encore ? demanda Nicole.
– Oui, oui, répondirent trois voix unanimes.

Nicole n’attendait que ça. Elle s’assit sur l’accoudoir d’un fauteuil, écarta les jambes et rejeta sa tête en arrière. Son sexe largement ouvert attirait tous les regards. Elle semblait comme grisée et se sentait prête à toutes les indécences. Ni la présence de son amie, ni même celle de sa propre fille ne pouvait la retenir. Elle savoura son triomphe, puis, mue par une force irrésistible, redressa la tête et, ramenant les mains vers son ventre, écarta les lèvres de son clito qui montrait tous les signes d’une formidable excitation.

– Magnifique ! s’exclama Janine. On dirait que tu as fait ça toute ta vie.

Nicole revint lentement à la réalité. Elle se sentait vidée mais aussi un peu honteuse de s’être ainsi donnée en spectacle devant trois autres femmes.

– Je… je ne sais pas ce qui m’a pris, bredouilla-t-elle en ramenant ses mains devant son ventre.
– Tu as été géniale, maman, dit sa fille. Vraiment géniale !
– Tu… tu trouves ?
– Bien sûr, pas vrai Marie ?
– Oh oui. J’ai adoré.
– Nous avons toutes adoré, reprit Janine.

Devant une telle unanimité, Nicole se rasséréna. Après tout, si tout le monde avait adoré, pourquoi serait-elle honteuse. Elle aussi avait pris plaisir à s’exhiber sans pudeur. Elle se rappela soudain le maillot de bain et allait le saisir lorsqu’elle repensa aux paroles de Janine:

« C’est une villa superbe, avait dit cette dernière. Petite mais charmante avec tout le confort et surtout une piscine. En outre, elle est complètement isolée du monde et entourée d’un mur de trois mètres de haut. Aucun risque d’être dérangé. On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit »

Cette dernière phrase résonna dans son esprit. « On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit ». Elle regarda Janine et dit:

– Tout compte fait, je ne crois pas que je vais essayer le maillot.
– Ah bon, pourquoi ? demanda Janine étonnée.
– Parce que je n’en aurais pas besoin. N’as-tu pas dit, je cite: « On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit » ?
– C’est vrai !
– Alors pourquoi s’embarrasser de maillots de bains ?
– Ma foi, tu as raison. Vive la liberté ! Tout le monde à poil sans contrainte !
– C’est dommage, intervint Martine.
– Pourquoi est-ce dommage, ma chérie, demanda sa mère ?
– Parce que, pas de maillot de bain, pas d’essayage.
– Oh, mais est-ce-que ma petite fille ne serait pas une peu vicieuse, par hasard ?
– Pas plus que toi, ma chère maman.
– Touchée, dit Nicole.
– Peut-être pourrions-nous contenter tout le monde, dit Janine. Il n’est pas juste que ta mère soit la seule à s’être déshabillée en public. Que penseriez-vous d’un concours de strip-tease ? Puisque de toutes façons nous nous côtoierons tous les jours dans le plus simple appareil, pourquoi ne pas commencer tout de suite ?
– Tout à fait d’accord, dit Nicole qui ne voulait pas être la seule à s’être donnée en spectacle.
– Accepté, répondirent les filles en chœur.
– Qui commence ? demanda Janine.
– Martine, pardi, dit sa mère. C’est elle qui vient de se plaindre.
– Et pourquoi pas un duo ? dit Marie. Martine et moi.
– Excellente idée, fit sa mère.
– D’accord, fit Martine. Mais je vous préviens, je n’ai ni la poitrine ni le savoir-faire de ma mère.
– Aucune importance, ma chérie, dit sa mère. Tu verras, ça vient tout seul. Mais tout d’abord, il faut créer l’ambiance. Lumières tamisées et musique.
– Je m’en charge, dit Janine.

Lorsque tout fut prêt, les deux filles vinrent se placer au centre de la pièce et retirèrent rapidement leurs vêtements. Janine maniait le rayon lumineux d’un spot comme une vraie professionnelle. Martine, contre toute attente, dégrafa le soutien-gorge de son amie en suivant le rythme langoureux de la musique et en ondulant lascivement. Marie fit de même en essayant de suivre les mouvements de son amie. Leurs jolies poitrines, éclairées par le spot, suscitèrent des commentaires admiratifs. Les deux filles, tout en dansant nonchalamment, se rapprochèrent l’une de l’autre et firent mine de se caresser les seins. Puis, leurs mains descendirent et se posèrent sur les culottes. Leurs ventres se soudèrent et se frottèrent en rythme sous le regard subjugué de leurs mères. Finalement, Marie recula d’un pas et s’agenouillant, déculotta lentement son amie. Elle se releva et ce fut au tour de Martine de lui ôter sa culotte.

L’opération terminée, les deux filles s’enlacèrent de nouveau pour effectuer quelques pas de danse, sexe contre sexe. Les deux mères étaient au comble de l’excitation. Janine avait passé sa main droite sous sa jupe et se caressait lentement à travers le tissu de son slip. Nicole, voyant cela, n’avait pas réfréné longtemps ses pulsions. Sa main s’était bien vite posée sur son sexe et allait en venait en cadence. Les deux filles se séparèrent de nouveau et tournèrent le dos à leurs mères. Dans un ensemble presque parfait, elles se penchèrent en avant et écartèrent leurs fesses. Abandonnant sa branlette, Janine fit effectuer un balayage des deux culs par le faisceau lumineux. Jugeant que le moment était venu, les jeunes filles se retournèrent, exposant leurs chattes à la lumière du spot. Elles luisaient d’humidité et les lèvres de leurs clitos étaient en pleine érection. Chacune d’elles les écarta des deux mains en balançant le bassin d’avant en arrière en faisant des moues très suggestives avec la bouche. Soudain, Marie relâcha son clito et fit lentement glisser son index sur le sexe de Martine. La lumière du spot se fixa sur la scène.

Marie retira son doigt et fit mine de le porter à sa bouche. Sa langue dardée entre ses lèvres, esquissa un mouvement de léchage des plus érotique. Elle reprit alors sa position précédente, donnant ainsi l’occasion à son amie d’imiter son geste. Mais contrairement à elle, Martine ne fit pas semblant. Emportée par l’atmosphère de luxure qui régnait dans la pièce, elle enfourna son index dans sa bouche et le suça avec délectation. La musique se tut, la laissant figée dans cette attitude. Janine ralluma le plafonnier et applaudit spontanément accompagnée de Nicole qui poussait des exclamations de joie. Les jeunes filles s’inclinèrent plusieurs fois avant de venir s’asseoir dans le canapé.

– Ça vous a plu ? demanda Marie.
– Fabuleux ! s’exclama sa mère.
– Magnifique ! Renchérit Nicole. On se serait cru dans un vrai cabaret. Quel talent ! J’espère que vous recommencerez lorsque nous serons en vacances.
– Pourquoi pas ? dit Martine en faisant un clin d’œil à son amie.
– Ce sera difficile de faire mieux, reprit Janine.
– Qui sait ? dit Nicole. Avec un peu d’entraînement, je suis sûre qu’elles pourraient nous exciter encore davantage.
– Ça m’étonnerait, reprit Janine. Je n’ai jamais été aussi excitée. Ma culotte est trempée.
– Eh bien c’est le moment de nous faire voir ce que tu sais faire, dit sa fille.
– Tu as raison, dit Janine. A mon tour de vous faire mouiller.

Elle éteignit le plafonnier, laissant le soin à sa fille de s’occuper du spot. Une fois la musique remise, elle se lança dans une danse lascive. Elle ôta sa robe en un tournemain puis se caressa la poitrine et le ventre à travers ses sous-vêtements. Marie pointa le spot sur sa culotte qui s’auréolait à présent d’une tache humide très éloquente. Janine fit signe à Nicole d’approcher pour pimenter le spectacle. Celle-ci passa derrière elle et, après lui avoir dégrafé le soutien-gorge, se mit à lui peloter les seins en suivant le tempo. Janine se cabra et prit des poses sans équivoque sous les mains expertes de son amie. Elle pencha même la tête en arrière pour l’embrasser à pleine bouche. Nicole ne lui refusa pas ses lèvres. L’auréole de sa culotte s’élargissait de seconde en seconde. N’y tenant plus, Nicole s’agenouilla devant elle et la lui retira. Puis, au lieu de poser le sous-vêtement sur la pile d’habits, elle le porta à son visage et huma lentement le parfum musqué qui s’en dégageait. Elle s’en servit ensuite pour frotter son sexe en poussant des gémissements de plaisir. Finalement, elle rejeta la culotte au loin et, faisant pivoter Janine face à elle, lui fit baisser la tête. Ses mains s’emparèrent alors des fesses de son amie et les écartèrent. Marie et Martine poussèrent des cris de joie.

– Encore ! Encore !

Nicole fit relever puis pivoter Janine face aux jeunes filles. Le spot reprit position sur le sexe de Janine qui ruisselait. Toujours debout derrière elle, Nicole écarta les lèvres du clito de son amie, dévoilant le plus secret de son intimité. C’est sur cette scène torride que la musique s’arrêta. Il fallut plusieurs secondes aux quatre femmes pour reprendre pied avec la réalité. Finalement, Marie ralluma le plafonnier en soupirant puis se jeta dans les bras de sa mère en la félicitant. Martine avait pris la sienne par la main et l’avait fait asseoir à côté d’elle. Les deux filles ne tarissaient pas d’éloges sur la prestation de leurs mères.

– On aurait dû filmer, dit Marie. Ça aurait fait une vidéo géniale !
– Oh oui, ajouta Martine. C’est bête qu’on n’y ait pas pensé. J’avais ma caméra dans mon sac.

L’atmosphère était toujours chargée mais la tension engendrée par la démonstration des deux femmes était légèrement retombée. Cependant, il était clair qu’aucune ne voulait en rester là. Les pulsions sexuelles avaient trop été exacerbées pour ne pas aller plus loin. Il s’agissait, à présent, de trouver un prétexte pour les assouvir. Malgré tout ce qui venait de se passer, personne n’osait faire le geste qui aurait tout déclencher. Ce fut Janine qui rompit le silence:

– C’est dans des moments comme celui-ci que je regrette l’absence d’un homme.
– Il y a d’autres moyens de se satisfaire, dit Nicole et posant sa main droite sur la cuisse de son amie.
– Bien sûr, qu’il y a d’autres moyens. Mais une branlette ne m’a jamais procuré autant de plaisir qu’une bonne queue dans le con.
– J’ai peut-être une solution, reprit Nicole.
– Tu ne vas tout de même pas inviter un homme ici ?
– Tu rigoles ? Tu imagines un mâle ici, au milieu de quatre femelles en chaleur, deux jeunes et deux vieilles.
– Alors, c’est quoi ta solution ?
– Moi, je sais, intervint Martine avant que sa mère n’ait ouvert la bouche.
– Ah, parce qu’en plus tu as fouillé dans mes affaires.
– Ben oui. Je cherchais quelque chose et… et je l’ai trouvé.
– Mais enfin, s’exclama Janine, je pourrais savoir de quoi vous parlez ?
– Attendez-moi quelques instants, reprit Nicole. Je reviens tout de suite.

Elle se leva et quitta la pièce. Janine tenta d’obtenir de plus amples informations auprès de Martine mais celle-ci refusa d’en dire plus. Lorsque Nicole revint au salon, elle portait une petite trousse à fermeture éclair. Elle reprit sa place sur le canapé et, avec des airs de conspiratrice, l’ouvrit. Elle en sortit triomphalement un vibromasseur de bonne taille.

– Voilà l’objet, dit-elle. Et je peux vous assurer que ça vaut toutes les bites du monde. Infatigable et toujours raide.
– Tu… tu utilises ce machin ? Demanda Janine. Et depuis quand ?
– Oh, je l’ai acheté tout de suite après le départ de Marcel. J’en avais trop besoin. Depuis, je l’ai toujours avec moi. Tu veux essayer ?

Janine ne répondit pas. Se donner en spectacle devant les autres, emportée par l’ambiance, c’était une chose, mais se ramoner le con en était une autre. Elle en avait une envie folle mais ne pouvait se résoudre à franchir le pas. Finalement, elle bredouilla:

– C’est que, que je ne sais pas comment… comment faire.
– Tu pourrais nous faire une démonstration, dit Martine à sa mère.
– Oh oui, ajouta Marie. Faîtes nous voir comment on fait.

Devant tant d’insistance, Nicole ne pouvait que s’exécuter.

– Très bien, dit-elle. Mais après ce sera à toi Janine.
– D’accord, fit cette dernière, un peu réticente malgré tout.
– Bien sûr, ce serait encore mieux si quelqu’un s’en occupait, mais…
– Moi je veux bien, dit sa fille. Si tu es d’accord, naturellement.
– Mais enfin, chérie, tu es ma fille.
– Et alors ? Où est le problème ?
– C’est vrai, dit Marie. Quelle importance ? Après tout ce que nous avons fait jusqu’à maintenant.
– Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, ajouta Janine.
– Bien, dit Nicole. Puisque tout le monde se ligue contre moi, allons-y. Tu sais comment ça fonctionne, demanda-t-elle à sa fille ?
– Naturellement.
– Suis-je sotte, reprit Nicole. Tu n’as pas pu t’empêcher de l’utiliser, évidemment.
– Évidemment ! .
– Alors, à toi de jouer.

Elle lui tendit l’objet et s’enfonça dans le canapé, les jambes grandes ouvertes. Janine et Marie se levèrent pour venir s’accroupir de part et d’autre alors que Martine prenait place entre les jambes de sa mère. La jeune fille se mit tout d’abord à caresser la chatte de sa mère avec l’extrémité du vibromasseur. Puis, elle écarta les lèvres du clito d’une main mettant le con bien évidence. Elle enfonça alors l’engin avec une lenteur mesurée. Lubrifié par le jus abondant, il glissa sans rencontrer la moindre résistance. Nicole se mit à gémir en remuant le bassin. Martine enclencha l’appareil qui émit aussitôt un bourdonnement significatif. La chatte fut agitée de vibrations régulières qui se prolongeaient dans tout le corps de Nicole. Excitée comme elle l’était, elle jouit presque tout de suite en libérant un ruisselet de jus. Martine n’arrêta pas l’appareil pour autant. Au contraire, elle lui appliqua un mouvement de va-et-vient qui venait compléter ses propres vibrations. Nicole s’agita de plus en plus et se mit à crier sans retenue. Martine s’appliqua à prolonger son plaisir en arrêtant l’appareil par intermittence. Chaque fois que sa mère parvenait au bord de l’orgasme, sa fille stoppait tout mouvement. Finalement, suppliée par sa mère, Martine alla jusqu’au bout. Un cri strident la récompensa de ses efforts. Sa mère avait enfin atteint l’orgasme. Martine arrêta le vibromasseur et le retira du con ruisselant de jus.

– Convaincues ? demanda-t-elle à Janine et Marie en se relevant.
– Extraordinaire ! dit Janine. Jamais je n’ai vu quelqu’un jouir avec autant de force.
– Ouaah ! fut la seule réaction de Marie.

Nicole reprenait lentement conscience. Elle sourit à sa fille et la tira en avant pour la serrer dans ces bras.

– Martine, dit-elle, tu es la meilleure baiseuse que je connaisse. Il y a bien longtemps que je n’avais joui aussi fort.
– Merci maman, dit sa fille en l’embrassant tendrement.

Elle se dégagea à regret des bras de sa mère et s’adressa aux autres en brandissant le vibromasseur:

– A qui le tour ?
– Il faudrait peut-être le nettoyer avant, intervint sa mère.
– Comme ça ? Fit Martine et passant sa langue sur l’objet. Mmm, qu’est-ce-que c’est bon. Tu veux goûter ? dit-elle en le tendant à Marie.
– Pourquoi pas, répondit celle-ci.

Elle le prit des mains de son amie et le lécha derechef.

– Mmm, mmmmm. Tu as raison, dit-elle. C’est délicieux. Tu en veux, maman ?

Emportée par l’enthousiasme collectif, Janine hocha la tête. Elle enfourna l’objet dans sa bouche avec ravissement. Les bruits de déglutition qu’elle faisait ne laissaient aucun doute sur son opinion. Elle le retira de sa bouche et commenta:

– Vraiment très bon. Dommage que vous en ayez laissé si peu.
– Qu’à cela ne tienne, dit Marie en posant son regard sur le ventre de Nicole. Il y en a encore suffisamment à la source.

Janine perdit alors toute retenue. Elle poussa les jeunes filles et s’installa à quatre pattes entre les jambes de Nicole. Aussitôt, elle plongea la tête en avant et se mit à donner de grands coups de langue sur le sexe trempé. Nicole sursauta sous l’assaut imprévu mais apprécia. Tantôt suçant, tantôt lapant, Janine ne tarda pas à faire jouir son amie de nouveau. Un tel spectacle ne pouvait laisser Martine et Marie de marbre. Elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre et se mirent à se peloter avec frénésie. Bien vite, elles se retrouvèrent allongées sur la moquette, tête-bêche, occupées à se sucer la chatte mutuellement. La pièce résonna bientôt de gémissements et de cris de jouissance sexuelle. Emportées par leur désir, les quatre femelles oublièrent complètement tout tabou. Janine, après avoir comblé Nicole, s’occupa de sa fille tandis que Martine et sa mère faisaient l’amour sans arrière-pensée. On changea plusieurs fois de partenaire au cours de cette soirée de débauche. Et finalement, toutes les quatre titubèrent de fatigue jusque dans les chambres où elles s’écroulèrent délicieusement repues.

Le lendemain-matin très tôt, elles se levèrent encore un peu étourdies par leur folle nuit sans ressentir toutefois l’ombre d’un remords. Aussitôt après le petit-déjeuner, elles chargèrent la voiture et quittèrent l’appartement. Le long trajet jusqu’à leur destination fut évidemment prétexte à de nouveaux attouchements, surtout entre les deux jeunes filles qui avaient pris place à l’arrière. Janine avait bien de la peine à se concentrer sur la conduite en entendant les soupirs et les gloussements qui lui parvenaient. Nicole, quant à elle, avait la chance de pouvoir se libérer de son excitation en se branlant lentement tout en jetant un œil vers l’arrière. Ce n’était cependant pas suffisant pour assouvir complètement son désir et elle brûlait d’envie de rééditer ses exploits de la veille.

à suivre

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5 réponses à Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Essayages

  1. Mathilda Stenberg dit :

    Pas mal du tout, l’érotisme est parfaitement maîtrisé en commençant en douceur pour finir dans une ambiance de folie

  2. Dorine dit :

    comme souvent chez cet auteur, ça commence doucement mais c’est plein de promesses et la suite n’est pas triste, croyez-moi !

  3. Dianne dit :

    Ah si vraiment les tabous tombaient aussi vite et aussi simplement…

  4. Caprice dit :

    Un peu trop rapide mais bien écrit

  5. Lucia dit :

    Humm, voilà qui promet…

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