Les culottes sales de Danielle par FétichOdeurs
Danielle est une belle femme épanouie, 45 ans, de belles rondeurs, des cheveux bruns mi-long, des yeux coquins et une bouche pulpeuse et toujours souriante
Pendant le premier mois je me suis souvent branlé en pensant à son décolleté généreux (100 D), et son cul bien rond. Et puis, un jour, en allant mettre mon linge sale dans la salle de bain, j’ai découvert une de ses culottes dans la panière à linge. J’ai attrapé le slip et. Oh surprise, il était tout taché !
Je bandais comme un fou, des auréoles jaunâtres ornaient la culotte blanche
Comme hypnotisé je rapprochais le slip de Danielle de mon visage et respirais son odeur forte : sa culotte sentait la pisse et la mouille
L’odeur était forte et entêtante, je respirais fort cette odeur d’urine de chatte et de transpiration mêlée et, avec ma main libre, je caressais mon sexe à travers mon pantalon, souillant rapidement mon slip de mon sperme. Un peu honteux, je remis la culotte à sa place et lavais mon slip
J’eus une nuit agitée en repensant à l’image et l’odeur de la culotte tachée de Danielle. Pendant trois jours je guettais la panière : rien. Et puis le quatrième jour, en allant me doucher, je fus récompensé enfin, une culotte de ma logeuse. C’était encore une culotte en coton blanc toute simple mais tout aussi tachée ; 4 jours, c’est pour ça que ses slips étaient si sales, cette fois-ci il y avait 2 poils noirs frisés, ce qui rendait la vue du fond de culotte encore plus excitant. Cette fois ci je me suis branlé au-dessus du lavabo tout en respirant et léchant le fond de culotte souillé d’urine et de cyprine et remis la culotte en place
J’osais à peine regarder Danielle, car rien que d’imaginer une culotte souillée entre ses cuisses me déclenchait une forte bandaison qu’il était difficile de cacher. Le problème est qu’il me fallait attendre 3 ou 4 jours pour voir réapparaître une culotte sale de ma cochonne de logeuse. Un soir je pris la culotte et décidais de la garder. Dans mon lit je frottais son slip contre mon corps et eut plusieurs orgasmes. Je m’endormis finalement le nez collé sur le fond puant de la culotte pisseuse. Le lendemain mon érection matinale fut énorme stimulée par les odeurs du slip de Danielle
J’entrepris de me branler dedans. Soudain je vis l’heure, cachait le slip sous mon oreiller et courus pour prendre mes cours
Le soir Danielle m’attendait et me dit :
– Ne vas pas au restaurant universitaire, et viens, j’ai préparé le repas.
Elle avait une robe encore plus décolletée que d’habitude dégageant son opulente poitrine
– Installe-toi dans le salon Marc, j’arrive avec l’apéritif.
Je la vis revenir avec un sourire de salope et une assiette. Soudain je découvris le slip de Danielle dans l’assiette :
– Alors petit cochon, on se masturbe dans les culottes de sa logeuse ! Ça t’excite, on dirait, mes petites culottes usagées. On dirait que tu aimes voir les petites culottes sales. Espèce de petit pervers fétichiste, il va falloir que je t’éduque.
J’étais mort de honte et rouge pivoine
Tout en me parlant, elle avait posé un pied sur l’accoudoir du fauteuil et se léchait les lèvres en me faisant un clin d’œil
– Marc, dis-moi, c’est l’odeur de mes petites culottes qui t’excite ?
La gorge serrée, j’articulai péniblement un
– Oui
– Alors ça t’excite les odeurs fortes de chatte et d’urine mon petit Marc, viens sous ma jupe et respire fort
– Alors, ça sent comment ?
– Ca sent bon
– Ca sent bon quoi ?
– Ca sent la marée
– Tu aimes que je pue la crevette ? Approche ton nez de ma chatte
– Oui j’adore ces parfums mélangés de chatte, de transpiration et de…
– De quoi, dis-le : de pisse !
– Oui de pisse, ça sent fort et ça m’excite
– Viens lécher la culotte de ta grosse cochonne de logeuse, Marc, lèche-moi comme çaaaaa ouiiii. Oh, c’est bon
– Mm, oh, Danielle tuuu
– Enlève-moi le slip avec tes dents, maintenant, comme un petit chien Marc, oui c’est ça. Renifle-le maintenant
– Oh ça sent bon Danielle,
– Oui ça pue la grosse salope, tu bandes dur
– Oui ça pue la grosse cochonne en chaleur
– Viens me lécher la moule maintenant, tu vas voir c’est encore meilleur.
Elle souleva sa jupe et colla sa grosse chatte poilue et gluante de mouille sur ma bouche. Je léchais avidement ses grosses lèvres et son clitoris, enfonçais un doigt et elle jouit aussitôt, déversant sur mon visage un jet de cyprine
– Mmm c’était bon, Marc, je vais te sucer pour te remercier
Elle délivra enfin mon sexe comprimé dans mon pantalon, se mit à genoux et commença une fellation en me regardant dans les yeux. Je ne pu me retenir longtemps et lui dis
– Attention, je vais jouir !
Elle accéléra le mouvement et serra ses lèvres autour de ma queue et je crachai mon sperme dans sa bouche. Danielle se releva alors et vint me rouler une pelle. Je fus surpris de sentir un liquide gluant m’envahir la bouche. Je compris que c’était mon jus de couille, c’était la première fois que je goûtais à mon sperme et je trouvai ça bon. Ce baiser était torride ; lorsque Danielle se recula, je vis des fils de sperme qui coulait sur son menton. Elle faisait encore plus salope, et me dit :
– A partir de maintenant, interdiction de se branler, de te laver la bite, j’aime quand un sexe sent fort. Et si tu es sage et travailles bien, je m’occuperais de toi.
Danielle vint me revoir le soir sur le coup de dix heures, alors que j’étais à mon bureau. Elle appuya sa poitrine lourde contre mon dos, colla son visage contre ma joue et me dit :
– Tu as encore beaucoup de travail ?
Je lui répondis que non, que j’avais fini, ce qui était faux
– Alors, en forme ce soir ? Dit-elle en laissant sa main glisser vers mon entrejambe. Mmmm je vois que mon petit cochon est tout raide, mmm assieds-toi à un bout du lit et mets-toi à l’aise.
Elle s’installa à l’autre bout, ouvrit son peignoir blanc, découvrant ainsi son corps nu habillé d’une petite culotte
– Ils te plaisent mes gros nibards, c’est mieux que de loucher sur mon décolleté non. Ce soir, tu ne me toucheras pas, nous allons nous masturber l’un en face de l’autre
Elle était toujours debout se retourna et fit saillir son gros cul, puis lentement, elle fit glisser la culotte sur ses fesses charnues, puis le long de ses cuisses. Elle se retourna, découvrant sa chatte brune très fournie.
Visiblement, elle ne s’épilait pas le maillot, ni les cuisses, et cette vision sauvage m’excita encore plus. Elle me lança son slip du bout du pied, et me dit :
– Alors ça te plaît toujours mes odeurs intimes, respire ma culotte de salope, petit porc, ça t’excite de renifler les odeurs de pisse de ta logeuse. Aller déshabille-toi maintenant et passe-moi ton slip.
Je m’exécutai et lui lançai mon slip, elle l’ouvrit,
– Mmm il pue la pisse mon garçon, c’est bien.
Elle se léchait les lèvres, écarta les cuisses est commença à se frotter les seins avec mon slip.
– Vas-y, branle-toi pour moi, je veux voir ta bite cracher ton jus de couille
Je me branlais d’une main et frottais la culotte sale de Danielle sur mon visage, les odeurs d’urine et de chatte m’emplissaient les narines
– Enfile-le comme un masque, les yeux dans les trous des jambes, et le nez et la bouche sur mon entrejambe.
Je me retrouvais les deux mains libres, emprisonné des parfums sales de sa petite culotte de trois jours, et observais ma logeuse se caressant et se donnant du plaisir
Elle enfilait ses doigts dans sa chatte et les léchait régulièrement et bruyamment avec son autre main. Elle continuait à frotter mon slip sur ses seins, son ventre son cou, ses aisselles poilues. Puis elle me lança mon slip
– Je veux que tu jouisses dedans
J’étais au bord de l’explosion et au bout de 4 ou 5 va-et-vient, je sentis ma queue se raidir et j’éjaculai au fond de mon slip. En même temps j’entendis Danielle crier,
– Oh ouiiiii ouiii mmm oh c’est bon, mmmm ouiiii, oh c’était hyper fort, j’ai bien pris mon pied, donne-moi ma culotte !
J’ôtais le slip, il était moite de ma transpiration. Elle prit son slip et s’essuya la chatte avec
– Mm ça fait du bien de s’essuyer le minou, tiens attrape et enfile mon slip tu le garderas jusqu’à demain soir, moi je vais mettre le tiens, oh il est plein de sperme, ma chatte va baigner dedans !
Elle l’enfila avec un peu de difficulté, je faisais une taille de moins. Elle éclata de rire et me dit :
– Je te plais comme ça ?
Sa touffe brune déplaçant d’un slip d’homme lui donnait un air original
J’enfilais à mon tour sa culotte pisseuse et poisseuse de mouille, je flottais dedans.
– Mon petit cochon tu auras la place de bander en repensant à ta grosse cochonne de Danielle. Bonne nuit, et à demain soir pour une expérience spéciale et humide
Le matin je mis un pantalon par-dessus la culotte de Danielle. A la pose en sortant de cours j’allais aux toilettes, lorsque j’ouvris mon pantalon les odeurs de pisse de la culotte, et celle très forte de mon sexe que je n’avais ni le droit de laver ni de branler mon montèrent au nez. Je bandais comme un fou, toute la journée des effluves remontaient, et je craignais que les autres découvrent mes odeurs peu hygiéniques
Le soir quand je rentrai Danielle me dit
– Marc va bosser dans ta chambre jusqu’à 9 h après, je t’invite dans la salle de bain. Tu viendras en slip, et dans ma culotte…
A 21 h précise je frappe à la porte
– Entre mon gros cochon !
Je découvre alors Danielle en bas noir les nibard à l’air avec mon slip d’hier :
– Tu sais ce matin j’ai pensé à toi Marc, je suis allée aux toilettes et j’ai fait pipi sans enlever ton slip. J’aime faire pipi dans ma culotte, tu le feras devant moi un autre jour d’accord?
– Oui, j’ai envie d’essayer
– Tu verras c’est super, maintenant dis-moi tu ne t’es pas lavé ni branlé aujourd’hui ?
– Non, et j’ai eu peur toute la journée que les copains sentent mes odeurs de pisse
– Bon je ferai attention en semaine que tu ne sois pas trop négligé; maintenant fous-toi à poil et rend moi mon slip.
Je m’exécutai et lui lançai son slip, Elle l’attrapa.
– Mmm il sent vraiment fort, et on sent la bite, en plus de mes odeurs. Tiens enlève-moi la mienne, sans me caresser, voilà doucement comme ça.
Je découvris mon slip en piteux état : Il y avait mon sperme mélangé à son pipi du matin et ses sécrétions intimes
– Lèche-le fond mon cochon, ça t’excite, dit-elle en m’attrapant la verge et la branlant doucement. C’est bien, la machine finira de le nettoyer, maintenant viens me nettoyer la chatte, elle est toute poisseuse, regarde ma toison est gluante du sperme qui était dans ton slip. Viens dans la baignoire me lécher la chatte.
Je m’approchais de son buisson, il s’en dégageait une odeur forte d’urine et de foutre.
– Mmm tu lèche bien mon petit Marc, lèche bien ta grosse cochonne, viens me lécher entre les fesses maintenant.
Elle se retourna écarta ses grosses fesses et écrasa son cul sur mon visage ; l’odeur était bonne, cela sentait l’urine mais aussi une odeur plus poivrée, plus animale. Elle se retourna à nouveau et me dit :
– Ma touffe est vraiment sale il va falloir la nettoyer au jet mon chéri, pisse-moi dessus !
– Quoi ?
– Tu as très bien compris, tu vas me pisser sur la chatte, tu vas voir, ça fait du bien »
J’avais un peu peur et surtout je bandais tellement que je n’arrivais pas à uriner
– Prends ton temps Marc !
Elle s’allongea au fond de la baignoire, mit ses mains derrière la tête découvrant ses aisselles très fournies.
– Je ne te l’ai pas encore dit Marc, mais entre nous ce ne sera que sexuel, ne t’imagine pas faire ta vie avec moi. Allez vas-y, envoie-moi ton champagne
Enfin je réussis à pisser, visant sa touffe brune, je n’aurais jamais imaginé que cela me plairait. A ce moment, Danielle se releva, attrapa ma queue et dirigea le jet sur ses seins, puis sur sa bouche qu’elle ouvrit en me souriant et fixant dans les yeux. Je voyais ma pisse emplir sa bouche et dégouliner sur son menton ; Puis elle avala une gorgée se lécha les lèvres, les ouvrit à nouveau et prit ma bite dans sa bouche buvant mon urine en essayant de ne rien perdre. Lorsque j’eus fini, je lui dis :
– Tu es incroyable Danielle.
– Je sais.
Puis elle me pompa le sexe en me caressant les fesses, une main glissa entre mes fesses. Elle la retira, lécha son index,
– Mmm j’aime bien le goût de ton cul Marc !
Elle recommença sa pipe et remis sa main entre mes fesses. Moi je n’en pouvais plus et j’étais au bord de l’orgasme. Au moment où il se déclencha, elle m’enfonça un doigt dans l’anus, sans que je m’y attende. Je fus terrassé de plaisir
– Mmm, je vois que mon doigt t’a plu mon salaud. En fait Marc, tu vois le sexe est plein de surprise, il ne faut pas avoir honte de jouir du cul, moi j’adore me faire enculer, tu verras. Alors avoue que ça t’a plus !
– Oui Danielle, j’en reviens pas
– Allez mets-toi à genoux et regarde-moi pisser je suis certaine que tu n’as jamais vu une femme pisser. Enfin sous cet angle.
Elle se mit à cheval au-dessus de la baignoire s’accroupit et me regarda en souriant et se frottant la chatte d’une main
– Ça vient regarde tu vas voir c’est excitant.
Elle enleva sa main, et je vis le jet chaud et jaune sortir de ses grosses lèvres poilues et le sentit rebondir sur mes cuisses. Je m’approchais comme hypnotisé par cette source dorée et ouvris la bouche lorsque le jet toucha mes lèvres
– C’est bien Marc ; je vois que tu prends des initiatives, allez avale une gorgée, goutte mon pipi, espèce de cochon !
Je fermai la bouche et avalai pour la première fois une gorgée d’urine. C’était chaud, salé, un peu âcre et le goût me plut, je rouvris la bouche, la collai sur sa moule pour boire le reste d’urine
– Alors Marc, tu aimes ça mon urine petite salope, ça te fait bander à nouveau salope !
Les mots crus dont elle me traitait m’excitaient
– Oh oui Danielle, continue à me traiter de salope
– Tu aimes ça petite pute te faire insulter par une grosse cochonne
– Oh oui salope, ça m’excite
– Je vois, tu vas enfin pouvoir me baiser, comme tu viens de jouir tu devrais pouvoir ne pas éjaculer trop vite !
Danielle sortit de la baignoire se mis à 4 pattes de trois-quarts face à l’armoire à glace de la salle de bain
– Viens, prends-moi en levrette, je veux te voir me pilonner la chatte !
Je m’installais derrière elle, je n’étais pas puceau mais presque et mes deux expériences étaient très limitées à la missionnaire. Elle attrapa mon sexe et posa le gland sur l’ouverture de sa grotte. Je l’attrapais par les hanches et enfonçais mon sexe doucement. Danielle commença très vite à prendre du plaisir :
– Aahh ouiii oh mmm c’est boooonn, vas-y plus fort, ouii c’est ça accélère !
Je sentais ses grosses fesses venir s’écraser sur mon bas ventre, je voyais ses gros nichons qui se balançaient sous elle. Danielle fixait la glace des yeux et regardait mon sexe la pénétrer :
– Allez défonce-moi salope, ouiii ouiiiii ouiiiiii oh je jouiiis mmmm ohh Marc…
– Oh Danielle je viens mmmmm ouiiiiii, oh c’est bon !
Je m’écroulais sur elle et en elle.
– Mmm ça fait du bien de prendre son pied Marc !
– Oh oui merci c’était génial
– Moi aussi je te remercie, tu te débrouilles bien pour un jeunot. Viens, maintenant on va vraiment se laver !
Elle mit la douche en marche, commença à se rincer les jambes, et me dit :
– J’ai soif, tu n’as pas encore envie de pisser ?
Je lui dis que oui et elle s’agenouilla, prit mon sexe qui avait repris une taille normale, l’embrassa et l’avala entièrement, je poussais alors et lâchais des petits jets d’urine qu’elle avala avec un plaisir non dissimulé ponctué de « Mmmm mmmm mmmm »
– Tu n’as pas soif aussi mon chéri ?
– Si maîtresse ! (ce mot m’était venu naturellement)
– Alors viens boire le jus de ta maîtresse » pssss psss » Tu aimes ça la pisse de salope !
C’était vraiment bon
Puis elle mit du savon douche dans sa main et me frotta énergiquement de la tête aux pieds. Lorsqu’elle arriva à ma bite celle-ci avait déjà repris des formes, elle rajouta du savon et la masturba, me procurant un troisième plaisir. Puis elle me dit
– Vas te sécher et dormir demain tu as un partiel de chimie.
J’étais heureux et détendu, et dormis comme un loir, le lendemain j’étais en grande forme et réussis le partiel, 19 sur 20. Comme quoi le sexe peut aider les capacités intellectuelles
– J’ai une surprise pour toi ce soir, on va aller chez une amie qui tient un institut de remise en forme avec hammam. Elle nous laisse le hammam pour ce soir.
Arrivés devant l’institut, Danielle sonna et une rousse avec un décolleté vertigineux vint nous ouvrir. Elle s’appelait Clara, une vraie rousse, peau laiteuse et taches de rousseurs, 1,78 m pour 92 kg, ce qui en faisait une femme imposante, avec des formes généreuses. Moi qui adore les gros seins les grosses fesses et les cuisses rondes, j’allais être servi mais c’est une autre histoire
Donc Clara nous fit un grand sourire et nous dit
– Je vous laisse les clefs du paradis, prenez du bon temps.
Elle s’avança vers Danielle et glissa les clefs dans le décolleté de ma logeuse, lui fit une bise se retourna vers moi m’embrassa sur les deux joues et s’arrêta sur ma bouche avec des lèvres humides et sensuelles. En même temps elle avait plaqué une main sur ma braguette et se retournant vers Danielle elle dit :
– Je te laisse ton pauvre petit étudiant, il ne faut pas le faire attendre d’avantage
Elle referma la porte et Danielle me dit :
Elle t’a fait bander Clara, espèce de cochon! Allez viens Marc déshabille toi et garde ton slip
Quand nous rentrâmes dans le hammam, la vapeur chaude m’assomma littéralement et je mis bien 5 minutes à m’habituer. La sueur perlait sur nos corps à grosses gouttes. Danielle vint s’asseoir à côté de moi et la chaleur humide faisait monter à nos nez les senteurs de nos corps et de nos culottes de trois jours. Danielle mis les mains derrière sa nuque et me dit
– Lèche-moi les aisselles mon chéri !
J’approchais mon nez de ses aisselles poilues et respirais l’odeur forte et entêtante qui s’en dégageait. Ma langue pointa sur ses poils noirs humides de sueur.
– Mmmmm c’est bon Marc, continue à me lécher les dessous de bras
Je prenais mon pied, ma figure collée contre ses aisselles, et mes mains caressaient ses seins; Nos corps trempés de sueur glissaient l’un sur l’autre. Cette sensation de glisser comme deux savonnettes sans avoir de prise sur la peau de l’autre était géniale et très excitante
Avant de partir nous avions bu deux bières avec Danielle et l’envie de pipi devenait de plus en plus pressante; je dis alors :
– J’ai envie de pisser Danielle
– Mets-toi debout, je veux te voir pisser dans ton slip, je veux voir l’urine remplir ta culotte, la jaunir et couler
Je me mis debout les jambes légèrement écartées à un mètre d’elle
Vas-y mon lapin lâche ta vessie devant moi !
Je lâchais d’abord doucement la pression, et sentit le liquide chaud remplir mon slip puis je sentis mon urine couler le long de ma jambe. La sensation était douce et chaude. Danielle s’accroupie, mettant son visage à dix centimètres de mon slip et, brusquement je lâchais la pression qui s’écoulait sur le sol et les cuisses de Danielle
– Alors petit porc c’est agréable le pipi culotte hein? Ça t’a plu?
– Beaucoup, Danielle, mais j’aimerai te voir pisser dans ton slip maintenant
– Bien sûr, allonge-toi espèce de pervers tu auras une meilleure vue de ta grosse salope en train de souiller sa petite culotte blanche.
Elle s’installa debout au-dessus de moi, je voyais son épaisse toison déborder de sa culotte. Soudain je vis son ventre se crisper, le slip se gonfler et une auréole jaune se former, puis l’urine déborda le long de ses cuisses. Elle tira son slip vers le haut ce qui le plaqua sur sa fente ; le jet traversa alors la culotte de coton rebondissant sur mon torse
– Ça te plaît salaud de te faire pisser dessus, par une traînée ?
– Oh oui Danielle j’adore quand tu me domines, ma grosse pute !
Après cet épisode elle s’assit sur mon visage, frottant sa culotte pisseuse sur mon visage, puis elle se releva, enleva son slip je fis de même.
Danielle me demanda de me rallonger et positionna ses grosses fesses au-dessus de mon visage, elle entreprit alors un massage de mon visage avec ses fesses humides de sueur. Elle s’arrêtait de temps en temps emprisonnant mon visage entre ses rondeurs, pour que je lui lèche la raie et respire et goute son gros cul. J’étais au bord de l’orgasme elle me mit debout et me fit une branlette espagnole. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir sur ses seins. Elle nettoya ma queue avec sa langue puis me regarda en se léchant les lèvres et étala mon sperme sur ses seins son ventre, jusque dans les poils noirs de sa chatte
– Viens me lécher maintenant, mmm oh ouii, continue, nettoie-moi la cramouille. Tu aimes ça les touffes pleines de pisse mon petit cochon
– Oh oui salope, traînée, j’aime que tu sois une grosse truie puante
– Oui continue je vais jouir !
Je lui glissais un doigt dans l’anus et au bout de trois mouvements son corps se tendit et elle cria son plaisir; Sa chatte expulsa des jets de mouille sur mon visage, que je frottais sur sa toison
J’avais repris de la vigueur, et depuis longtemps j’avais envie d’enculer Danielle. Son gros cul était une véritable invitation. Je mis Danielle à 4 pattes, et lui dit
– Ce soir je vais t’enculer salope !
– Avec plaisir Marc, Tu vas voir ça va rentrer tout seul ce soir, et ce conduit est plus étroit et va te faire jouir fort
J’approchais mon gland de son anus tendit qu’elle écartait ses grosses fesses. Avec la moiteur, il n’y avait pas besoin de lubrifiant. Je m’enfonçais en elle doucement par à-coups quand je fus entièrement en elle, ses fesses collées contre mon bas ventre, je commençais à la pistonner et elle poussait des râles de plaisir. Les caresses étaient fortes sur ma queue et je sentais ses fesses venir s’écraser contre mon ventre avec des bruits excitant. J’explosais dans son cul tendit qu’elle prenait du plaisir
– Reste en moi Marc
– Si tu veux salope
– Ça t’a plu de me bourrer l’anus
– Oh oui c’était super
– Moi j’ai failli jouir mais tu n’as pas pu résister assez longtemps, c’est normal la première fois. Tu sais ce que tu vas faire maintenant
– Non
– Reste en moi et caresse-moi la chatte, ouii comme ça continue, malaxe bien ma grosse moule de salope, mmm ouiii, continue, mmm, maintenant pisse moi dans l’anus, ouiii fait ce que je dis, fais-moi jouir salope pisse moi dans le cul !
Je m’exécutais et lâchais ma vessie. Je sentis autour de ma verge, une sensation nouvelle quand soudain Danielle cria « OUIIIOII OH OUIIIII, MMMMMM AHHHHHHHH oHHHH MMMMMM » puis s’écroula par terre à moitié dans les vap’s
J’eus peur mais elle se ressaisie m’embrassa et me dit
– Merci c’était divin Marc !
Elle alla aux toilettes en serrant les fesses, se mit accroupie au-dessus des chiottes à la turque et poussa. Un liquide beige en sortit. Elle mit une main dessous, puis me regarda et lécha ses doigts sales.
– Mmm je crois que tu en as eu assez pour ce soir, il est 23 h il faut rentrer !
marc.marc15@voila.fr
Je préfère celui-ci qui est encore plus cochon😉
https://wp.vassilia.net/histoires/les-culottes-de-tante-simone-par-cosi-cosa
un pur plaisire
Il est tout de même étrange qu’alors que le mot « culotte » est écrit 45 fois dans le texte, pas une seule fois, l’auteur ne nous fais part de l’état arrière des dites-culottes.
C’est quoi cette Danielle qui s’essuie parfaitement derrière et imparfaitement devant 🙂
Un merveilleux récit qui ne m’a pas laissé la bite molle
Ecrivez-moi (S.V.P) les filles : j’adore les fonds de culottes crades ——-
Les petites annonces ce n’est pas ici !
Merci de la poster sur le forum
Moi j’aime bien les culottes propres… comme ça je peux les salir hi hi hi
Les culottes de Danielle ne sont pas sales, elles ont été portées, nuance ! Bon récit
j’Applaudis des deux mains ! Marre de l’amour avec l’odeur de la savonnette et du déodorant.
Sales, je ne sais trop, mais quand elle dégagent un léger fumet, pourquoi pas ? Bien au contraire !
Vive les odeurs corporelles !
A bas les déodorants !
Pour ces amateurs de fonds de culottes : xxxxxxxxx
Nous sommes un site gratuit, votre pub pour un site payant n’a donc pas lieu d’être sur notre site.
PS : et merci de me faire perdre mon temps en rédigeant un mail d’explications qui me revient avec « adresse inconnu ».
Spécial mais ça m’a bien excité la bite
Un joli fantasme que l’auteur a su parfaitement nous faire partager
Humm ! Que de bon souvenirs me rappelle c’est belle histoire de culottes ! J’avais une bonne grosse secrétaire bien plus âgée que moi. Certains matins la salope me ramenait sa culotte portée la veille imprégnée de ses bonnes odeurs et quelques humeurs. Le lendemain je lui rapportais couverte de jolies cartes de France car j’avais fait de la géographie toute la nuit ! Elle enfouissait mon obole dans son sac avec un sourire des plus vicieux sur ses lèvres.
Un joli texte (écrit d’une seule main je suppose que l’autre était occupée) qui ne peut que ravir les amateurs d’uro, il y a tout la-dedans, et c’est terriblement excitant
Parfois je me sens aussi cochonne que cette Danielle. Un récit très excitant je trouve.
C’est très intéressant, très chaud, très naturel, il manque juste un petit quelque chose, mais peut-être n’est ce pas les pratiques de l’auteur.
C’est ça qu’il manque ?
Ça serait réel plaisir chere Emilie