Ayant pris rendez-vous, deux semaines plus tard je revins au cabinet de la
doctoresse. Elle avait un peu de retard et je dus patienter un instant en
salle d’attente. Quand elle ouvrit la porte de son cabinet j’aperçu
immédiatement Nathalie qui se tenait au milieu de la pièce. Mon sang ne fit
qu’un tour et je me remémorai la scène vécue 15 jours auparavant.
– Assieds-toi ! Fit la doctoresse en prenant place derrière son bureau.
Nathalie se tenait maintenant debout à côté de la doctoresse et me toisait
de son air arrogant et satisfait, rêvant probablement aux humiliations
qu’elle allait pouvoir m’infliger.
– Alors, comment ça va depuis la dernière fois ? Questionna la doctoresse.
Je marmonnai un :
– C’est pas mieux… qui fit rire Nathalie.
La doctoresse me demanda des explications.
– J’ai encore fais pipi dans mon caleçon ! Dis-je.
Elle insista :
– Je voudrais que tu nous expliques en détails les circonstances de cet
accident. Dit-elle.
Je rougis. Donner des détails à la doctoresse c’était déjà gênant, mais
devant Nathalie c’était carrément humiliant. Bref, tout penaud, je leur
racontai ma mésaventure.
– Cela s’est passé samedi dernier. Dis-je. Je suivais un cours de yoga. Nous
étions quatre plus la prof. J’étais le seul homme. Lors d’un exercice je
senti une forte envie de faire pipi, et je ne pus me retenir. Les deux
filles qui se tenaient en face de moi s’aperçurent tout de suite de ce qui
m’arrivait. Elles s’avancèrent vers moi et enlevèrent mon pantalon de
jogging. La prof et l’autre fille s’arrêtèrent et vinrent se placer aussi en
face de moi pour observer mon caleçon que j’inondais inexorablement. Quand
j’eus fini, la prof m’emmena jusqu’à une salle de bain pour me déshabiller
complètement et me laver. Ensuite, après m’avoir essuyé, elle m’obligea à
retourner dans la salle de cours, en costume d’Adam et décréta, pour ma
punition, que je terminerais le cours dans cette tenue. Je dû alors
affronter le regard excité de ces jeunes femmes et faire les exercices de
yoga tout nu devant elles. Nathalie riait aux éclats, m’imaginant
probablement dans l’une ou l’autre posture de yoga en tenue d’Adam.
– Et à part cet incident ? Dit la doctoresse. Tu n’as pas eu d’autres ennuis
? Demanda-t-elle.
– Non, aucun !
– Bien dit-elle, je vois qu’il y a quand même une amélioration. Il me semble
que cela t’arrivait plus souvent autrefois, non ?
Je reconnu que cela était vrai.
– Dans ce cas-ci poursuivit-elle, ton accident est arrivé suite à un effort.
Tes sphincters ne sont peut-être pas assez fort. Je ne peux que t’encourager
à faire du sport et en particulier du yoga pour renforcer tes muscles… et
en attendant, aller plus souvent aux toilettes. Bien, maintenant je vais te
proposer une petite distraction ! Dit-elle en se tournant vers Nathalie qui
revenait avec peine de son fou rire. « Baisse ton pantalon ! » Lui dit-elle.
Le visage de Nathalie changea d’expression, passa de l’étonnement à
l’interrogation puis devint livide lorsqu’elle s’aperçut que la doctoresse
ne plaisantait pas.
– Mais… madame ? Bredouilla Nathalie.
– Baisse ton pantalon ordonna la doctoresse.
Nathalie eut un regard gêné vers moi et se rendit compte que j’étais tout
aussi surpris qu’elle. Elle déboutonna son jeans et le baissa sur ses
genoux. J’étais subjugué par cette scène qui d’un seul coup imprégnait
l’atmosphère d’un caractère très intime. Nathalie avait une petite culotte
en coton décorée de petites fleurs. Je découvris aussitôt qu’elle faisait
partie du club des pisseuses. Elle venait de décorer sa culotte d’une belle
auréole.
– Vois-tu. Me dit la doctoresse. Ça se permet de donner des leçons aux
autres mais pour ce qui est de donner l’exemple… c’est plutôt raté !
Nathalie était gênée à en mourir, elle rougissait comme une tomate et
n’osait plus me regarder. Quant à moi, j’étais quasi hypnotisé par le
tableau. La belle Nathalie si arrogante se retrouvait devant moi, son
pantalon sur les genoux, sa culotte souillée par son pipi. La doctoresse se
pencha pour lui retirer son jeans, puis lui enleva sa blouse et enfin lui
dégrafa son soutien gorge. Elle avait des petits seins bien fermes.
– Passe dans l’autre pièce ! Lui dit la doctoresse.
La jeune femme se dirigea docilement de l’autre côté et s’arrêta au milieu
de la pièce.
– Bien ! Dit la doctoresse. » Philippe, ça va être à toi de jouer.
Déculotte-la !
Nathalie ne pu s’empêcher d’émettre un petit cri en croisant ses mains sur
son entrejambes. Je m’avançai vers elle, le cœur battant. Je m’agenouillai
pour avoir mon visage à hauteur de son bas-ventre. Je sentais tout mon être
troublé par cette situation ; l’odeur de son pipi, cette culotte mouillée,
dernier rempart cachant l’intimité de ce corps féminin… Ma respiration se
faisait courte. Je levai la tête et croisai les yeux de Nathalie. Elle était
tourmentée et je lui disais du regard :
– Petite arrogante, cette fois je vais voir ce que tu caches derrière ton
slip !
Je portai mes mains à l’élastique de sa culotte et la baissai lentement sur
ses talons. Je pouvais maintenant me rassasier de son intimité, sa foufoune
toute humide s’offrait à moi. Elle m’excitait terriblement. Nathalie releva
la tête et regarda le plafond comme pour échapper à son humiliation.
– Nathalie, tu vas te coucher sur le bord de la table maintenant ! Lui dit
la doctoresse.
Pendant que Nathalie allait s’installer, la doctoresse me montra du doigt la
bassine en émail dans la baignoire. Je jubilais car je sentais que j’allais
pouvoir prendre ma revanche sur cette petite vicieuse de Nathalie. Je vins
près de la jeune femme qui était allongée sur le dos, les jambes repliées
sur son ventre. Je plaçai la bassine au bord de la table quasi sous ses
fesses et comme si c’était moi qui dirigeais les opérations je l’interpellai
:
– Et maintenant, tu vas faire pipi, petite cochonne !
La doctoresse fut surprise tant par la façon que par le ton employé et me
fis signe qu’elle appréciait. Je renchéris :
– Une sale fille comme toi doit être une bonne pisseuse, alors montre moi ce
que tu sais faire ! lui dis-je
Elle rougissait de plus belle, mais pour la première fois j’aperçu dans son
regard comme un éclair de plaisir. Apparemment le ton que j’employais
semblait lui faire de l’effet. J’en eu la confirmation en observant sa
vulve. Elle mouillait !
ton sévère.
Elle était visiblement excitée et faisait apparemment des efforts pour me
satisfaire. Elle poussait et laissait échapper de petits gémissements pour
pouvoir uriner. Puis tout à coup je vis son pipi sortir comme l’eau d’une
fontaine. Une belle gerbe d’urine sortait de sa chatte. Son pipi faisait un
délicieux petit bruit en sortant d’elle, une sorte de chuintement, ainsi
qu’un clapotis en tombant dans la bassine. Je crois que je me suis délecté
de la voir pisser. Comme j’aurais voulu que cela dure longtemps mais,
rapidement, son jet d’urine devint plus faible, un tout petit filet qui
mourut en dégoulinant sur ses fesses et sur le bord de la table. C’était
trop court mais j’étais ravi. Je baissai alors mon pantalon. Je voulais la
prendre comme ça, toute mouillée. La doctoresse qui avait comprit abaissa la
table pour mettre Nathalie à ma hauteur. Je baissai mon slip. J’agrippai ses
fesses, mon zizi lui caressant sa foufoune, puis je m’enfonçai en elle comme
dans du beurre. Je glissais facilement. Elle gémissait. Mes va-et-vient la
secouaient et faisaient gigoter ses petits seins. Mon souffle s’accélérait.
J’allais au plus profond d’elle. Elle râlait de plaisir. Puis la décharge.
Un gémissement sorti de moi, ma semence coula en elle. Je restai planté en
elle encore un moment. Puis c’est la doctoresse qui me retira, me lava
tendrement, me rhabilla et m’accompagna vers la sortie. Dehors il faisait
beau et froid, j’étais heureux !
Première publication sur Vassilia, le 07/10/2001
De l’uro décomplexé ! J’aime bien
J’ai bien aimé, c’est marrant
Et le lavement promis dans le chapitre 1 n’est toujours pas arrivé !
Tant pis pour moi !
Sinon c’est rigolo !