Une visite TRANS-cendante 2 – la confession par Alb Shemale

Une visite TRANS-cendante
2 – la confession
par Alb Shemale

Après avoir fait l’amour avec Corinne, nous avons décidé de nous revoir le soir. Il nous fallait signer les contrats de gestion. Je proposais de le faire autour d’un dîner. Elle fut enchantée et nous avons convenu d’un rendez vous à 18 heures chez elle. Je prévoyais de l’emmener à Paris et il y avait une heure de route.

Je rentrais à mon bureau avec des rêves plein la tête. Or sur la route, j’ai reçu un appel de Romain, un des mes amis. Il voulait me rappeler l’invitation au lancement du nouveau produit de son entreprise, un ordinateur portable, nouvelle génération. J’avais reçu un fly quelques temps auparavant. Ce devait être une soirée bien arrosée, dans un club privé du 8° arrondissement de Paris, avec toute la jet set. Je lui avais promis de me rendre à cette soirée. Mais, j’avais aussi mon dîner avec Corinne. Heureusement, le carton d’invitation était pour deux personnes. Ainsi, je pouvais emmener ma nouvelle conquête.

Je l’appelais pour la mettre au courant de ce changement. Je lui recommandais une tenue très classe. Je passais le reste de l’après midi à imaginer les événements de la soirée.

17 heures trente, je rentre me changer, un costume bleu à rayures, chemise blanche et cravate. Puis, je pris le cabriolet de Papa, un coupé-cabriolet japonais à la diffusion confidentielle en France. Je me rendis chez Corinne. Je l’attendais devant sa porte et à 18 heures exactement, je la vis. Une véritable beauté, des cheveux blonds, tirés en arrière dans un chignon et une robe de cocktail noire, lui arrivant au dessus du genou. Cette dernière dissimulait une partie des jambes fines et galbées de Corinne. Elle montât dans ma voiture de façon très féminine. Et nous partîmes pour Paris.

Nous arrivions à Paris vers 19 h 30. J’avais réservé dans un restaurant très people de l’Avenue Georges V, le voiturier pris la voiture, contre un petit pourboire. Nous fumes bien reçus et les mets de ce restaurant furent délicieux et accompagnèrent très bien le champagne rosé millésimé.

Durant le dîner, elle me raconta son histoire. Elle avait 25 ans, tout comme moi. Elle était issue d’une famille modeste d’artisans italiens. Intelligente et travailleuse, elle s’était démenée pour obtenir son brevet puis son bac. Après ce dernier diplôme, elle commença une école privée, spécialisée dans l’immobilier à Paris. Ainsi, elle partit habiter la capitale et découvrit les nuits parisiennes, ses fêtes, ses boites, ses bois. Au cours de sa seconde année, son père décéda d’un cancer du poumon. En tant qu’aîné, elle du assurer la charge de la famille. Elle arrêta ses études, rentra dans sa ville de banlieue et chercha du travail. Seulement, la crise économique était là, pas de boulot. Un jour, elle voulut tirer de l’argent à un distributeur ; mais sa carte fut refusée. Elle se mit à pleurer puisqu’elle n’avait plus aucune ressource. Un homme d’une quarantaine d’année, qui attendait son tour pour prendre de l’argent la pris dans ses bras et la réconforta. Il habitait à deux pas et lui proposa de monter. Elle accepta. Là, il lui proposa un  » travail « , il lui donnait 40 euros, si elle acceptait de lui faire une fellation. Désemparée, elle accepta et elle apprécia. Ainsi, elle compris qu’elle pouvait gagner beaucoup d’argent avec son corps.

Désormais, le soir vers 19 heures, elle quittait sa famille pour Paris, prétextant qu’elle avait trouvé un emploi de serveur dans une pizzeria. En réalité, elle allait place Dauphine où elle faisait le tapin. Les affaires marchaient peu, toujours la crise économique. Un jour, une femme commençait à tapiner à coté d’elle. Elles sympathisèrent. Elle s’appelait désormais Claire, mais avant c’était Bruno. Elle avait compris que les femmes attiraient plus les hommes, qui plus est si elles avaient une verge. Ainsi, une copine lui refila des hormones et en quelques mois, ses seins poussèrent, ses muscles disparurent, ses poils étaient moins drus et sa voie devenait plus aigue. C’est ainsi qu’elle devint Claire, une prostituée travestie.

Corinne l’écoutait avec attention. Elle décida de suivre son exemple. Claire lui proposa des hormones et elle commença son traitement. Son corps commençait à subir des transformations. Désormais, le soir elle quittait la maison en homme, elle s’arrêtait dans le premier café ou elle effectuait son changement. String, bas, porte jarretelles, soutien gorge pour retenir sa poitrine naissante, mini jupe très aguicheuse, petit top très moulant, perruque, maquillage et chaussures à talons. Ainsi, elle partait à la recherche de ses clients du coté de la porte de Boulogne.

6 mois après le début du traitement, les changements de son corps devenaient difficiles à cacher et elle décida d’en parler à sa famille. Elle fut mal accueillit par sa mère et ses frères, qui la mirent à la porte. Elle appela Claire qui lui proposa de venir habiter avec elle. Les conditions étaient précaires : un petit studio de 30 mètres carrés pour 3 personnes, mais elle s’y accommoda ; pas pour longtemps.

Un soir, alors qu’elle attendait un client, une grosse Mercedes noire s’arrêta à sa hauteur. A l’intérieur, un homme de 50 ans, habillé avec classe lui fit signe de monter. Elle s’exécuta et ils partirent vers le Trocadéro. La voiture rentra dans un parking privé, puis ils prirent un ascenseur et arrivèrent directement dans un appartement avec vue sur la Tour Eiffel. L’homme lui remit plusieurs billets de 500 francs et lui proposa un verre, qu’elle accepta.

Ensuite, il s’approcha d’elle, lui retira son manteau et commença à l’embrasser. Ses mains, la caressèrent puis remontèrent sous son top où elle effleurent la petite poitrine. De son coté Corinne se mit à genou, puis ouvrit la braguette de l’homme, extirpa sa verge et commença une fellation de professionnelle. L’homme, Maurice, gémissait son plaisir et ne tarda pas à éjaculer. Puis, il continua à la déshabiller. Il lui retira son string, lui ordonnât de garder ses bas, son porte-jarretelles et ses talons hauts. Il caressa la verge de Corinne par-dessus le string, avant d’entamer une fellation ; puis quand il fut de nouveau prêt, il enfila un préservatif sur sa verge, il lubrifia l’anus de Corinne et commença à la sodomiser. Elle prit un grand plaisir, tout comme lui. Elle finissait par une fellation pour le nettoyer, puis s’apprêta à partir quand Maurice la retint. Il lui confessa son grand plaisir et lui proposa de devenir sa  » femme « . En effet, il était veuf et depuis la mort de sa légitime, il ne voulait pas avoir d’autres aventures avec des femmes, par respect pour sa première épouse. Cependant, il ne se sentait pas homosexuel, ainsi, les travestis lui apparaissaient comme un bon compromis.

Donc, elle s’installa chez Maurice. Elle avait un superbe appartement, un chauffeur, des domestiques… Maurice lui offrait plein de cadeaux de la lingerie, des vêtements, des bijoux. Elle connaissait par cœur l’avenue Montaigne et la place Vendôme. La vie avec Maurice était superbe. Elle devait l’accompagner dans ses dîners d’affaires et bien sur accomplir toutes les taches d’une bonne épouse, notamment au lit.

Cependant un jour, un ami de Maurice eu des doutes quant à la féminité de Corinne. Il lui trouvait une poitrine bizarre et une malformation de la gorge. Il est vrai que les hormones avaient augmenté la poitrine mais pas fait disparaître sa pomme d’Adam. Ainsi, Maurice offrit à Corinne des opérations de chirurgie esthétique : des implants mammaires, une reconstruction de la gorge et du visage. Après ces interventions, Corinne avait un réel visage de femme, qui, entouré de longs cheveux blonds, trompait de nombreux hommes, moi le premier.

Tout se passait bien entre elle et Maurice. Leur idylle dura plusieurs mois ; mais un jour Maurice décéda d’une crise cardiaque alors qu’ils venaient de faire l’amour. Corinne pensait recevoir l’héritage de Maurice, qui avait rédigé son testament en sa faveur. Cependant, les enfants de Maurice ne l’entendaient pas de cette oreille et ils portèrent l’affaire devant le tribunal de Paris qui leur donna raison. Quels sont les droits d’un homme, qui vit comme une femme dans notre société ? Corinne était encore un homme puisqu’il n’y a pas eu de réassignation sexuelle.

Elle reçut un peu d’argent mais du quitter l’appartement. Ainsi, elle retourna à sa première passion l’immobilier et elle trouva un poste d’assistante dans ma ville, où tout le monde la considérait comme une femme.

Voila nous arrivions à la fin. Corinne était bouleversée, des larmes coulaient le long de ses joues. Je ne la sentais pas prête pour aller s’amuser en boite. J’appelais Romain pour nous excuser puis nous partîmes à l’hôtel. J’avais réservé une suite dans un palace. Nous fumes reçu royalement, puis une fois le personnel sorti, j’ai commencé à réconforter mon amour. Nous nous sommes embrassés profondément ; nos langues tournoyaient l’une sur l’autre ; nos mains se caressaient. J’ai décidé que ce soir Corinne ne ferait rien, que je mènerais le jeu. Elle fut d’accord. Je descendis la fermeture de sa robe qui tomba à ses pieds. Quelle beauté !! Elle était habillé d’un corset noir, en satin, qui renforçait sa taille et sa cambrure ; une vraie femme. En dessous, des jarretelles retenaient des bas noirs à la jarretière travaillée. Elles encadraient un string en satin qui séparait délicieusement ses petites fesses bien rondes. Je me suis agenouillé, j’ai sorti sa petite verge et j’ai commencé à la sucer. J’ai léché sa hampe avant d’avaler le gland. Je le titillais de la langue. Puis j’ai englouti la verge entière. Corinne devait apprécier puisqu’elle gémissait. Elle a finit par jouir dans ma bouche. Puis nous nous sommes embrassé de nouveau. Elle m’a déshabillé. Je bandais fort. Elle m’a masturbé afin d’entretenir mon érection avant de me demander de la sodomiser. J’ai enfilé un préservatif que j’ai recouvert de lubrifiant. Elle s’est positionnée à quatre pattes, les fesses relevées ; puis je l’ai pénétré, après avoir écarté la ficelle du string. D’abord le gland, quelques minutes pour qu’elle s’habitue ; puis le reste de mon sexe. Quand mon pubis claqua ses fesses, elle m’a demandé d’accélérer le rythme ; ce que j’ai fait. J’ai fini par éjaculer dans la capote avant de déculer. Elle a finit en me nettoyant le sexe.

Après cette intense période, le sourire était revenu sur les lèvres de ma dulcinée. J’ai passé un pyjama et elle une longue nuisette en satin, puis nous nous sommes couchés après un langoureux baiser.

La suite de notre idylle plus tard.

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