Une soirée réussie 8 – Confession par Bibi_01

Une soirée réussie
8 – Confession
par Bibi_01

Alors que nos langues s’affrontent inlassablement, nos esprits s’apaisent et notre rythme cardiaque redevient plus calme. Mon sexe débande lentement, toujours à l’intérieur de mon initiatrice. Mazette, quel voyage cette femme vient de me faire vivre ! Chaque orgasme nous emmène toujours très loin, et me fait tomber un peu plus sous son charme.

“Dire que tu aurais pu rentrer seul l’autre soir, et je n’aurais alors jamais pu t’apprécier.” Lui dis-je en la regardant respectueusement. “

Là, la première pensée qui me vient est: quel gâchis ! Je suis trop bien avec toi, ce n’est que plaisir, sincèrement. Tu as donc aimé mes fesses ?”

Je la remercie pour ce dépucelage, pour ce cadeau magnifique, que voyager entre d’aussi belles fesses était un doux délice.

“Je ne t’ai pas fait mal ?”, tentais-je, bien que connaissant la sodomie par cœur pour la pratiquer régulièrement… sur moi.
“Oh non, ça ne fait pas mal. Pas quand on ne force pas. Tu n’as jamais essayé ?”

Mince, quoi dire, là, tout de suite ? Je vais passer pour un homo si je dis oui, pourrait-elle comprendre ? Le manque de spontanéité de ma réponse parle pour moi, et ses yeux me fixent alors, puis elle sourit, se redresse pour s’asseoir au bord de la table. Ouvrant ses bras, elle me tire contre elle pour me rouler une pelle d’anthologie.

“Toi, tu ne me dis pas tout !” Me sermonne-t-elle. “Tu peux tout expliquer à Tata Danièle, tu sais !” Rit-elle alors.

Un peu paniqué, nu, mon sexe pendant contre son pubis trempé, son opulente poitrine contre mon torse, je me sens mal à l’aise.

“Plus tard, si tu veux bien. Quand on sera couchés, je me confierai à toi, je te promets.”

Ses yeux droit dans les miens, Dan me dit qu’il n’y a rien d’urgent, que je fais l’amour comme elle adore.

“Tu sais, la première fois que je t’ai embrassé la bouche pleine de ton sperme, et que tu n’as pas hésité à partager, j’ai immédiatement compris que tu l’avais déjà fait auparavant. Tu as dix-neuf ans… même si tu es doué pour le sexe, certaines de tes assurances trahissent une… vie sexuelle variée !”

Je fonds de respect et d’amour pour cette femme si mûre, si intelligente, qui à 24 ans, sent déjà tant de chose ! Resserrant mon étreinte, je lui embrasse le cou et la remercie pour sa compréhension. Mes mains caressent son dos, l’odeur de sexe baigne la pièce, la fougue nous reprend rapidement. La pointe de ses seins durcie, cette femme est diabolique, irrésistible, je veux de nouveau la posséder.

“Viens dans la chambre.” Me glisse-t-elle à l’oreille. “Viens m’aimer, fais-moi l’amour.”

Ma princesse m’emmène par la main vers sa chambre. Ses fesses dansent à chacun de ses pas, sa poitrine tressaute, son corps n’est que grâce et volupté, qu’invitation. Arrivés au pied de son lit, je l’embrasse langoureusement, une main sur sa croupe, l’autre posée sur sa petite chatte trempée. Ma queue grandissante rencontre naturellement sa main toute douce pour une caresse intéressée. “Tu me rends dingue, tu m’excites de plus en plus, j’ai TOUJOURS envie de toi !”

D’autorité, elle m’allonge sur le dos et vient me chevaucher. Sa vulve détrempée se plaque sur ma bouche, mon nez dans sa toison pubienne, sa main me saisissant par les cheveux :

“Lèche-moi !”

Le supplice est un plaisir. Je l’aspire de toutes mes forces et lèche l’intérieur de son vagin comme si ma vie en dépendait, alors qu’elle ondule son bassin pour se placer là où elle le désire. Mes mains partent à la reconquête de ses fesses, les pétrissant, les écartant. Mais alors que je veux m’approcher de son petit trou, ses mains viennent me les retirer de ses fesses. Je suce son clito tout dur, ses jus me ruissellent en bouche et sur mon menton.

“Oui, c’est bon, comme ça, oui.” Souffle-t-elle en se pinçant les tétons. “

Je viennnns, oh oui !” Ma langue dans sa grotte se fait comprimer par les spasmes de son orgasme, sa mouille abonde, son bassin ondule par vagues d’intensité variable, puis s‘immobilise enfin, l’orage terminé. Sa douce pluie d’amour coule de mon menton.

Je suis suspendu à son biorythme, elle me domine, me fait vivre des choses d’une puissance jusqu’alors inimaginable du haut de mes 19 ans.

“J’aime ta bouche, tu es si sensuel, tu t’en sers si bien.”

Tout en me chuchotant des choses tendres et terriblement érotiques, ses mains prennent appui de part et d’autre de mes cuisses, basculant son bassin un peu plus en avant. En un rien de temps, son anus se retrouve sur mes lèvres qui instantanément le baisent, l’embrassent, timidement d’abord, puis de plus en plus intensément.

“Tu aimes mes fesses, hein ? Tu as aimé y jouir, tout à l’heure. Et bien, vas-y, bois ton sperme, oui, plonge ta langue dans mon cul, comme ça, oui, c’est bon, bois ton foutre, ça me met en transe ! Tu peux tout faire avec moi, tu sais ! Ne sois pas coincé, fais-nous du bien. Oui. Comme ça.”

Son cul s’ouvre à ma caresse, et ma liqueur change lentement de propriétaire sous mes succions, mes caresses. Danièle contracte son ventre pour bien me rendre toute la semence que je lui ai déchargée il y a une bonne demi-heure. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire une chose aussi déroutante un jour, et qui plus est, avec une maîtresse aussi torride et bandante. Dan avait tout, mais tout compris de moi, et cela, au lieu de la déranger, l’excitait.

Son petit cul nettoyé, sa chatte bien lapée, Dan recule pour venir emboucher ma queue bandée à en hurler. En prenant son temps, elle me suce avec une véritable passion, jouant de mon gland, me mordant au passage pour m’entendre souffler, puis malaxe mes couilles dures un bon moment avant de m’introduire son majeur entre mes fesses.

“Ta bouche, oh, ta bouche !” Est presque la seule chose que j’arrive à dire.

Son doigt me fouille sans retenue, et ses lèvres balaient ma hampe de plus en plus vite. Au comble du plaisir, je me lâche avec violence entre ses mâchoires en hurlant son nom, le bassin décollé du lit, mon sperme brûlant emplissant sa bouche avide de ma jouissance. Accompagnant mon gland dans ses soubresauts, la dernière chose qu’il m’est permis d’entendre est la déglutition de ma reine des suceuses, avalant mon offrande.

Lorsque je reprends doucement contact avec le monde extérieur, Dan est lovée contre moi, sa jambe sur les miennes, la tête sur mon épaule. Sa main vient se poser sur mes organes redevenus modestes et les emprisonne, comme pour être certaine que personne ne lui prenne. Et là, sa douce voix me sort définitivement de ma rêverie :

“Je me sens bien avec toi. Mais je veux TOUT savoir, s’il te plaît. Ne me cache rien, je le sentirai.”

Je ne suis pas de taille à lutter, et n’ai pas envie de perdre sa confiance non plus, je veux tenter de lui résumer “mes motivations sexuelles”. Un long monologue commence alors, je dois parler de moi, et ce n’est pas le plus fascinant ! Mon enfance, mes parents, mes amis, l’adolescence, les premiers flirts… et très souvent, ce besoin de me masturber, impérieux, plusieurs fois par jour, n’importe où. Et si au cours de cet éveil sexuel propre à tout adolescent, mes fantasmes me projetaient avec de belles filles, faisant l’amour à corps perdu, il y avait très souvent… la vingt-cinquième image, l’image quasi subliminale : de gros sexes d’homme, durs comme la pierre, couillus, éjaculant des seaux de sperme. Jamais de silhouette, jamais de visage, que leurs queues bandées, énormes.

Mais une fois l’éjaculation finie, plus rien, que de beaux seins, de splendide culs, de belles femmes au visage resplendissant, du style Hamilton. Je n’avais aucun problème avec les filles, et même lors des premiers rapports, tout s’est très bien passé. Bon, la performance n’y était pas, bien évidemment, mais cette sexualité me convenait à 100 %, et je convenais également à mes partenaires.

Dan m’écoute attentivement, sa posture n’a pas changé, un sein contre moi, l’autre sur mon torse, sa main transformée en suspensoir soutient mes testicules. Mon bras enlaçant son dos permet à ma main de caresser sa hanche et le haut de sa fesse tout en lui parlant. Sa peau… son odeur…

Je poursuis tout de même mon récit, lui expliquant qu’à aucun moment le désir d’embrasser un garçon ne m’est venu à l’esprit ! Que juste quelques fois, vers mes 14 ans, alors que j’étais interne, le soir, nous comparions nos bites comme beaucoup d’ados le font, du reste. Une autre fois, j’ai osé attraper la queue d’un copain qui en avait une bien épaisse pour le branler un moment, et la texture et la chaleur de cette verge m’avaient… troublé, émoustillé. Il regardait ma main le masturber, et d’un coup, du sperme s’est mis à couler sur le sol, entre ses chaussures. Ce fut le seul épisode… jusqu’à mes 18 ans, quand j’ai connu mon premier mec, Stéphane.

Danièle prend ma bouche et m’embrasse amoureusement, enroulant sa langue autour de la mienne, caresse ma verge et me dit d’une voix langoureuse et sensuelle :

”Continue, tu es clair dans tes pensées, tu racontes très bien les choses. Que s’est-il passé avec Stéphane ? J’en suis toute mouillée !”

C’est une mise à nu, mais le moment est opportun pour ce genre d’aveu, de confession, je me lâche complètement, lui ouvrant les portes de mon jardin secret.

Je reprends donc le cours de ma vie. Mon fantasme récurant était la fellation, je rêvais de sucer un homme. Je voulais coûte que coûte connaître les sensations que l’on pouvait ressentir en suçant un homme, en lui faisant une bonne pipe. Je venais de rompre avec une copine plutôt chiante et pleine de manies, et somme toute assez peu portée sur le sexe.

En voiture, et à la nuit tombée, je me gare sur un parking bien connu pour être un « parking à PD » comme le disaient assez connement mes collègues de boulot. La peur au ventre, je m’imaginais des tas de situations, des visages… mais bizarrement, des tas de voitures  »tournaient », sans jamais s’arrêter ! Si, mais les gens descendaient pour se diriger vers le parc entre les bosquets. Et ça, même pas en rêve.

Ma fenêtre ouverte le temps de reprendre l’air, une voiture arrive avec 2 mecs dedans, et pilent devant moi, juste à ma hauteur. Après quelques questions, ils me disent de ne pas rester planté là, et de les suivre pour aller boire un coup chez eux. Pensant que de toute façon, ce n’est qu’un fantasme, et compte tenu du côté glauque de l’endroit, plutôt me saouler que de sortir de ma caisse sur ce parking de dingues ! J’ai suivi. On boit, on cause, je me détends, puis vers 23h, veux rentrer chez moi. Là, le plus jeune (30 ans environ) essaie de me rouler une pelle, chose inattendue avec un homme. Quelle horreur ! L’autre voyant que ça ne colle pas, lui dit de me lâcher, le salue et sort de l’appart avec moi. Dans la rue, il m’invite à venir discuter chez lui, sans engagement. 40 ans, beau mec posé, propre, un peu psychologue, il a tout compris.

Chez lui, lumière tamisée, whisky, il s’assoit sur un pouf, et nous parlons calmement. Puis, me sentant décoincé, il me demande ce que je cherchais sur ce parking un peu plus tôt. Je finis par lui avouer mon désir, mon rêve de sucer un homme, la voix tremblante. Il me dit alors que ces endroits étaient réservés à un certain « abattage », que cela pouvait être perturbant. S’il me convenait, il était tout à fait disposé à se laisser faire… Voyant ma paralysie, il se leva, et naturellement se déshabilla devant moi, avant de se rasseoir en tailleur devant mes yeux ébahis. Là, à quelques centimètres de moi, un homme était nu, et quel homme ! De puissants pectoraux s’étalaient fièrement entre ses larges épaules, à peine masqués par une toison brune descendant harmonieusement jusqu’à son pubis velu. Sous ses abdos, un trois pièces comme j’en voyais dans les bouquins de cul : une demi-molle d’une bonne quinzaine de centimètres, d’une largeur confortable, au fort gland retenant un prépuce plissé, faisant penser à un ressort prêt à propulser un harpon. Deux très gros testicules soumis aux lois gravitationnelles pendaient largement dessous ce gland. Craquant, pour ne pas dire irrésistible. Tout en me parlant, il me fit remarquer que mes yeux le suçaient déjà. Il me prit calmement par la main, et m’emporta vers le lit dans la pièce d’à côté, au bord duquel il m’invita à m’asseoir.

« Tu fais comme tu le sens, et si quelque chose te dérange, tu es libre d’arrêter, ok ? » me rassura-t-il. Et timidement, ma main vient au contact de ce sexe qui gonfle et déjà s’allonge.

Puis vint l’instant de le prendre en bouche. Il est gros, chaud, bute contre mes lèvres. J’écarte au maximum, et le voilà qui me pénètre délicatement. Ma bouche est vierge de toutes ces sensations : la douceur du gland, son volume, puis le prépuce qui se cale contre mes lèvres… Il me caresse la tête, m’encourage, et m’investit tendrement. Il tire sur sa hampe avec ses doigts pour bien dégager son énorme bout qui remplit bien ma cavité buccale, tant pour l’espace que par son goût, étrange et pourtant… agréable. Déjà de doux va-et-vient me permettent de bien sentir sa hampe gonflée m’écarter et me pénétrer la bouche. Ses mots me donnent de la hardiesse, et sa rigidité m’encourage, malgré l’arrogance de son gros bout. Je ne sais combien de temps je l’ai sucé, mais toujours est-il qu’à un moment, je lui ai dit :

« Je veux te boire ».
Il a alors un peu plus fortement imprimé ses va-et-vient en me demandant de saisir ses couilles. Tout chez lui était gros, lourd, il était vraiment fortement membré, je m’en suis rendu compte plus tard, avec les suivants.

En quelques minutes, son souffle est devenu plus court, et puis sa queue a gonflé encore un peu, expulsant d’un coup une chaude substance, ce foutre tant attendu. Son fort goût un peu métallique m’a irradié en même tant que sa chaleur. A peine la première impression passée, un autre jet vint combler l’espace déjà très plein, et menaçait de ressortir. Je ne sais trop comment j’ai fait, mais sans trop prendre le temps d’analyser le goût, ni de réfléchir, j’ai avalé, puis une autre salve est arrivée. Des étoiles, j’en avais plein la tête, mais quel bonheur de sucer un homme, enfin ! Le goût ? La texture ? Je ne m’y suis pas attardé. En d’autres lieux, d’autres circonstances, sûrement. Mais je venais de réaliser mon fantasme le plus ancien, car depuis l’âge de mes premiers fantasmes, j’imaginais de longues giclées de foutre chaud remplir ma bouche. Et je venais de vivre cela avec un mec cool, hyper propre et très bien monté. Tous mes désirs étaient comblés !

Suspendue à mes lèvres, Dan me masturbe avec une lenteur incroyable. Ma queue, au fil de ses attouchements, est devenue raide entre ses doigts serrés, tirant fermement sur ma hampe.

“Hum, c’était un chaud, ton copain. Tu as bien aimé pour en parler avec autant de détails. Vous avez continué ? Allez, raconte-moi la suite, sinon, je fais la grève du sexe, et… je ne suis pas certaine de pouvoir m’en passer!”

Incroyable amante, je découvre à présent son incroyable tolérance. Tout est ouvert chez cette femme, même son esprit. Devant son réel intérêt à comprendre, je lui relate alors le reste de cette grande première.

Il me laissa un instant reprendre mes esprits, me demandant si j’avais apprécié, et me félicitant pour ma première pipe. Avec calme et assurance, il me déshabilla à mon tour, m’allongea en travers du lit, puis se mit en face en 69 à plat, et prit délicieusement ma verge en bouche. Sa queue était toujours gonflée, même presque molle, et je l’ai remise entre mes lèvres. Je n’en revenais pas de la chance que j’avais, depuis si longtemps que j’en fantasmais. Un mec à sucer, là, disponible et disposé ! Tout en me suçant, il me caressait l’anus sans le pénétrer, juste pour voir ma réaction. Lui rebanda en quelques minutes tandis que sa langue fouilla mon trou délicatement. Des spasmes me cinglaient le ventre, trop de sensations. Il jouait avec mes couilles, et me dit que si je voulais, de ne pas me gêner, car il adorait cela. Oh, il savait s’y prendre, c’était un sacré mec, et avait compris que je n’étais pas limité à une bonne pipe. Il savait y faire, mais pas vulgairement. Il avait l’endurance, la patience, et savait également me mettre en confiance.

Il m’expliquait comment gober ses couilles, je le suçais, lui sous moi, sa matraque entre mes mains, les miroirs de sa penderie me renvoyant le tableau, il me dit alors: « j’ai envie de te prendre. », tout en me léchant la raie des fesses. J’avais bien joué avec mes doigts en me branlant, quelques objets comme des bougies, mais si je posais une bougie contre sa queue, il n’y avait pas photo ! « Suce-moi bien, fais-moi bander dur, je ne te ferai pas mal, tu ne sentiras rien. Sinon, je m’arrête immédiatement ». La totale. Je voulais sucer, découvrir le plaisir de faire une pipe, et j’allais me faire prendre en supplément !

Sucer cet homme était si bon, et sa langue dans mon petit cul…. même si je n’en menais pas large, j’étais hors de tout raisonnement ! Moi sur le côté en chien de fusil, il me parlait tout en se tenant à genoux derrière moi de chaque côté de ma jambe, ses mains écartant mes fesses, son gros gland contre mon anus. Il poussait doucement en me demandant de pousser comme aux toilettes. J’ai ressenti une vive douleur lorsque son ogive passa et me harponna, mais il s’était déjà arrêté, il connaissait…

Bref, en une dizaine de minutes à me ‘’brosser dans le sens du poil”, à me rassurer et me décontracter, il m’avait rempli de son pieu, sans violence, m’habituant à son imposante présence. Il me prenait sans contrainte, se satisfaisant de faire coulisser ce fort sexe sur une bonne longueur. Je n’avais pas mal, mais mon cul “tout neuf” n’avait aucune souplesse, et sa largeur importante me faisait tout drôle. Je ne prenais que le plaisir de l’avoir bien toléré, je ne pouvais pas parler de jouissance. Je jouissais de l’instant, ça oui, d’avoir pu prendre cette queue généreuse, comme j’en voyais sodomiser des culs de femmes dans mes nombreux bouquins pornos, seuls compagnons de branlette ces dernières semaines. Là, c’était moi, c’était mon cul, et lorsque selon la position, la glace me renvoyait l’image de ce pieu qui s’enfonçait entre mes fesses jusqu’à ce que ses grosses couilles se collent aux miennes, je nageais en plein bonheur, au point de ne pas sentir de véritable douleur. Le même mec, mais brutal, il y a longtemps qu’il m’aurait cassé en deux, et je me serais rhabillé dare dare, et serais parti déçu ! Mais lui me faisait du bien, et satisfaisait mes désirs les plus inavouables !

Puis il me dit qu’il allait jouir entre mes fesses. Prenant mes hanches plus fermement entre ses mains, il accéléra un peu dans mon cul légèrement douloureux, et son visage se figea en éjaculant, enfoncé au plus profond de mon fondement. Je venais de faire jouir un homme deux fois de suite. Je n’en revenais pas, sentant Stéphane lentement ramollir entre mes fesses.

“Je suppose que tu dois te poser beaucoup de questions à mon égard ? Dis-je à cette superbe femme à mes côtés. “Tu sais tout, je ne t’ai rien caché. Peux-tu comprendre ça, hein, que je puisse… aimer le sexe des hommes ?”

Ma queue bandée toujours aussi doucement branlé dans sa main de velours, elle viole mes lèvres, investit ma bouche de sa langue inquisitrice. Troublé par ce que je viens de lui révéler, je m’attends à une gêne, un malaise quelconque, voire une… rupture imminente !

“Je lui dirais plutôt merci, à ce Stéphane. Il t’a épanoui, élargi l’esprit, te prouvant que l’on pouvait prendre le meilleur dans les deux sexes ! C’est ton corps, ton esprit, ta vie. Le tout en fait ce que tu es, et… j’aime ce que j’ai ce soir dans mon lit.”

Alors que nous échangeons un superbe baiser, Danièle lâche mon membre congestionné avant de me chevaucher. Sa main passe alors derrière sa croupe pour saisir et guider ma queue à l’entrée de son vagin, et lentement, par de petites ondes, descend le long de ma hampe. Son intimité est brûlante, envoûtante, douce, et lorsque que nos pubis se rencontrent, j’attrape ses fesses à pleines mains, alors qu’elle commence un très long tangage. Mon gland, telle une rotule, semble rouler contre le col de son utérus avec beaucoup de sensualité. C’est ainsi, quelques minutes plus tard, sans que ni nos lèvres ni nos langues se soient quittées, qu’un orgasme d’une infinie tendresse nous réunit, soudant de puissants liens de respect et de confiance, avant de nous plonger, toujours l’un dans l’autre, dans un sommeil réparateur.

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Une réponse à Une soirée réussie 8 – Confession par Bibi_01

  1. cadichet dit :

    Très bon récit bisexuel. Ces jolies phrases très évocatrices ont rendu ma braguette frémissante

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