Une soirée en célibataire – Tenter l’expérience entre hommes par Mondoi

Je suis seul ce week-end, ma femme est partie avec les enfants voir sa mère souffrante, je ne sais pas trop ce que je vais faire, je navigue un peu sur les sites de fesses, ça me donne des envies, j’irais bien draguer pour me trouver une petite cochonne mais bon, c’est pas joué d’avance, je pourrais aussi me masturber en attendant que ma femme revienne pour lui faire sa fête, oui tiens, pourquoi pas, je prendrais son vibro pour me faire un petit plaisir rectal, j’aime bien quand je suis seul, je me mets accroupis devant la glace de la chambre et hop, le jouet à maman dans l’anus, je me branle, parfois je filme, elle aime quand j’ai un petit clip intime de moi à lui donner à regarder pendant ses moments de tranquillité masturbatoire, elle fait de même pour moi.
Elle se filme dans son intimité, parfois c’est soft, elle se caresse sous la douche, ou elle touche sous la table me montrant juste sa main entre ses cuisses sous la jupe, parfois c’est plus hard, comme la fois où elle s’est filmée de dos en train de faire pipi jambes écartées au dessus des toilettes, la main sur la vulve, se donnant du plaisir et puis il y a eu la soirée entre copines, le truc le plus chaud qu’elle m’ai donnée en cadeau, elles étaient plusieurs à diner ensembles à la maison pendant une de mes absences, mon épouse a laissée la webcam branchée sur une étagère haute, sans rien leurs dire et j’ai eu le droit au spectacle de nanas en folies, striptease entre filles, caresses chahuteuses et friponnes, puis elles sont parties se coucher sauf ma femme et une jeune nana de son boulot qui a fait les prolongations avec elle et là, ça a été le festival de la moule dans le salon, les championnats du doigtage, les jeux olympiques du bouffage de chattes, tout y est passé, de la fente à l’oignon, du cul aux nichons, ma femme était déchainée, la petite n’était pas en reste et elles se sont finies avec le matos en latex, le gode ceinture démoniaque a visité tous les orifices, j’ai même aperçut les jets de plaisirs, dommage qu’il n’y avait pas de gros plans, mais quel spectacle, je me suis astiqué le manche plusieurs fois en re-regardant ce clip que mon épouse avait montée en sélectionnant les meilleurs scènes.

J’en suis là de mes souvenirs quand le téléphone se met à sonner, c’est mon pote Lucien qui veut nous inviter au resto ce soir, il est divorcé et n’a pas la garde des enfants ce week-end, je lui explique que ma femme est absente et que je suis en célibataire, je lui retourne l’invitation en lui disant de passer prendre un verre et que l’on déciderait de la suite de la soirée.

– Ok, me dit-il, j’apporte à boire et un truc que j’ai trouvé sur le net.

Une demi-heure plus tard, nous voila dans le salon à picoler, il me raconte ses déboires avec son ex qui veut toujours plus de pognon, ses gosses qu’il ne voit pas souvent, le vide dans sa vie sentimentale et sexuelle, bref, ce n’est pas la joie, pour changer de sujet, je lui demande de me montrer le « truc » qu’il a trouvé sur internet, il sort un dvd gravé de sa poche de blouson, je le mets dans le lecteur.

– Il y de ces choses sur le net, j’ai fais un montage avec les scènes de cul, tu vas voir, c’est super hot
– C’est quoi, demandais-je sarcastique, des choses que tu n’as pas faites ?
– Heuuu oui, bien sur, je ne fais pas tout dans le sexe me répond-il en rougissant

Les images s’enchaînent, il y a de tout, de l’hétéro, du lesbien, un peu de sado-maso mais une chose attire mon attention, il y a beaucoup de scènes où les gars se prennent un doigt ou un gode dans les fesses, par leur femme, leur maitresse, l’infirmière de service ou la maitresse d’école, il y même des scènes de domination où des Dames autoritaires vêtues de cuir, sodomisent des hommes soumis avec de monstrueux godes-ceinture, je jette un coup d’œil à Lucien, il est affalé dans le canapé, captivé par les scènes de plaisirs rectaux, il ne voit pas que je l’observe, une belle bosse déforme sa braguette, tout ça a l’air de lui plaire.

Pour moi c’est un peu du déjà vu et du déjà vécu, mon épouse ayant pratiquée sur moi ce genre d’attouchements, j’ai aussi goutté à son gode-ceinture un jour où très excitée, elle a jouée à la Maitresse avec moi et avec mon petit trou, j’en garde un souvenir douloureux mais jouissif, elle m’avait tellement ramonée le conduis que je ne suis pas allé aux toilettes pendant deux jours, faut dire aussi que son fantasme est de me faire prendre par un mec devant elle, je ne suis pas très chaud n’étant pas attiré par les hommes mais son clip avec la jeune nana a été une preuve d’amour car elle connait mon fantasme sur les femmes entre-elles, elle m’a même promis une séance lesbienne en ma présence si j’accède à son désir sodomite, je ne sais pas, je pense qu’il faut que j’essaye tout seul avec un mec pour voir.

Je me demande même si ce n’est pas la turgescence apparente dans le pantalon de Lucien qui m’amène à avoir ce genre de pensées, je me suis mis à bander aussi, les clips y sont pour quelque chose mais l’idée d’avoir une relation avec un homme aussi, cela me bouleverse, j’ai la gaule parce qu’un mec bande dans son pantalon devant moi et en plus l’envie de toucher son sexe commence à devenir obsédante, je veux qu’il voit mon érection mais sans le brusquer, juste pour voir sa réaction, après tout, c’est lui qui a voulu me faire regarder avec lui des scènes de doigtages et d’enculage d’hommes, je le soupçonne de vouloir également me tester sur ce sujet.

Je me lève sous le prétexte de servir à boire et devant lui, je mets en valeur la bosse qui déforme ma braguette en avançant discrètement le bassin et en contractant ma prostate pour augmenter l’afflux sanguin, je lui tend son verre, il le prend et a un moment d’arrêt en apercevant le signe évident d’une érection contenue, je vois qu’il regarde la bosse prometteuse quelques secondes, il rosit et reprend sa position affalée dans le canapé, mine de rien, l’air très absorbé par le film de ses fantasmes, discrètement je mets la webcam en route avec la télécommande et je provoque un peu les choses en venant m’asseoir un peu plus près de lui, m’étalant pour mettre en évidence ma bandaison opprimée par le tissus.

– C’est hot tes images, lui dis-je en le regardant, moi ça me fait de l’effet.
– Ha oui, tu aimes bien? Me questionne-t-il.
– Ben tu vois, je ne suis pas homo mais je trouve que ça passe mieux quand c’est une femme qui te…, enfin tu vois ce que je veux dire ?
– Oui, à moi aussi ça fait de l’effet, dit-il en empoignant sa boursouflure phallique d’une main vigoureuse.
– Je vois ça, tu as l’air en forme, ça a l’air de t’exciter les dames qui visitent le côté pile de leurs maris ?
– Heu oui, tu n’es pas mal non plus du côté de la braguette me répond-il, ça ne te déplait pas ce genre de choses alors ?
– Ecoute Lucien, c’est gênant à dire mais je me ferais bien un petit plaisir manuel en regardant les images.
– Ouai moi aussi, mais bon, je n’ai jamais fais cela devant un mec.
– Moi non plus, si cela te dérange, je ne le fais pas ici, je vais aux WC, lui dis-je en me caressant la bosse du pantalon, ce qui a pour effet d’en augmenter le volume.
– Bah, aller, une fois n’est pas coutume, ça ne me gêne pas si tu sorts ton truc dit Lucien.
– Autant pour moi, ça ne me gêne pas que tu te fasses plaisir devant moi, entre hétéros…

Lucien me regarde déboutonner ma braguette en ouvrant la sienne, je passe la main à l’intérieur de mon slip pour en extraire ma verge pliée qui se redresse une fois à l’air libre, il détourne le regard comme si la vision de mon objet le dérangeait puis sort le sien qui prend une taille plus qu’acceptable une fois libéré de son carcan, nos engins se ressembles, non circoncis, avec de bonnes proportions, je suis ému de voir de si près et pour la première fois, un sexe d’homme en érection, je me caresse en regardant une verge, serais-je attiré par une éventuelle caresse, Lucien aussi a l’air perturbé par la présence de ma bite bandée et lui jette des coups d’œil furtifs, il joue avec son prépuce en continuant de mater les scènes de sodomie digitales et phalliques sur l’écran, je fais de même, attendant la suite des évènements.

Comme rien ne se passe, je me décalotte tout doucement et repend un peu de salive sur mon gland pour le caresser du bout des doigts, Lucien a vu mon geste et descend la peau entre ses doigts en anneau, son gland est d’un rouge presque mauve, de son méat urinaire suinte une goutte de liquide séminal qu’il repend lui aussi là où cela fait du bien puis il entame un branle languissant en fixant mon dard et le jeu de ma main sur ma chair turgescente, nous ne regardons presque plus les images, le réel nous attire et nous satisfait, je me demande si, comme moi, mon pote a envie d’échanger des attouchements, parce que depuis quelques minutes, je ressent le désir de caresser sa queue et qu’il touche la mienne.

– Hummm, Lucien, tu sais que je n’ai jamais touché une verge à part la mienne ?
– Moi non plus me répond-il, je ne sais pas si je saurais le faire!
– Ca te dirait d’essayer, je veux dire que plutôt que de se masturber chacun de nôtre côté, on pourrait échanger nos mains, qu’en penses-tu ?
– Mais je ne suis pas homo Marc, alors que toi tu semble attiré par ça ?
– Pas plus que toi, c’est juste pour essayer et puis, ce n’est pas pire que ton film de ce soir dit-donc, tu m’as l’air intéressé par les plaisirs du petit trou ?!
– Ne te fâche pas, c’est nouveau pour moi cette situation et puis là, se sont des femmes qui le font aux mecs, pas des mecs entres eux.
– Bon ok, je ne t’oblige pas, c’était juste pour être sympa avec toi, laisse tomber.
Lucien se rapproche de moi et pose une main sur ma cuisse.
– Je n’ai pas dis non dit-il à voix basse mais jure moi que cela restera entre nous ?
– Mais bien sur lui dis-je en posant ma main sur son sexe chaud et dur, on va se faire du bien discrètement, personne ne le saura.

Sa main remonte vers ma verge et timidement commence des caresses d’effleurement qui m’électrisent, je fais de même avec la sienne regrettant de ne pouvoir lui toucher les testicules bloquée dans son pantalon, il a la même pensée que moi et entreprend de me baisser le mien, je me laisse faire, mon slip suit et me voila les couilles à l’air, je lui baisse le sien jusqu’aux chevilles et remonte vers sa bite en lui touchant les bourses, il a un soupir d’aise et se laisse aller, je prend de la salive à mes lèvres pour humidifier son gland, pas question pour le moment de tenter de le sucer, pourtant l’odeur de sa bite m’attire, je préfère m’en tenir à une masturbation réciproque pour l’instant, ne brusquons pas les choses, j’entame un branle délicat, le prépuce coulisse parfaitement, il fait la même chose sur ma queue et nous voila plongés tous les deux dans un silence complice et érotique, seuls nos souffles rythment le va-et-vient de nos mains sur les verges bandées.

– Hummm, ce n’est pas dégueu ce que tu me fais, lui dis-je, et toi ça va ?
– Ouiii, super bon, continus.
– Tu ne sais pas ce que je suis en train de me dire ?
– Heuuu non Marc, dis pour voir.
– Au point où l’on en est, ça te gênerais que je te suce ?
– Ouaaa mais t’es dingue, tu veux me faire une pipe ?
– Pourquoi pas, j’en ai envie, je ne t’oblige pas à ma faire pareil mais si tu veux bien que je te prenne dans ma bouche, cela me ferait plaisir de tenter l’expérience ?
– Pfff, vas-y si tu en a envie me dit-il.

J’approche ma bouche et de suite le parfum naturel de sa queue me pousse à toutes les audaces, je connais cette odeur, c’est celle que j’ai quand je suis excité à la fin de la journée, sueur, liquide du désir et un peu de pipi, je lèche le pieux de chair, le gland, le frein, le dessous de la verge, je descend sur ses testicules velues donner des coups de langue, je remonte sur la couronne du gland poser mes lèvres en anneau et je le masturbe avec la bouche, je lui fais ce que je j’aime que les femmes me fassent, je le fais comme si je l’avais toujours fais, je m’étonne de savoir faire une fellation, Lucien pousse des soupirs de contentement, il apprécie cette pipe faite par un homme, je lui masse les couilles et la queue pendant que je le pompe, je me demande un instant si je vais le laisser éjaculer dans ma bouche, j’ai déjà goutté à mon propre sperme, ma femme me l’avait recrachée dans la bouche une fois pour que je vois ce que cela faisait, j’avais atout avalé, elle m’avait traitée de spermophile, ce qu’elle est aussi d’ailleurs.

Pendant le massage de ses boules, Lucien a écarté les cuisses et je lui touche l’espace entre les bourses et l’anus, il ne dit rien, se laisse faire et je tente une avancée digitale vers son petit orifice, il a une contraction de surprise quand mon doigt mouillé de salive passe furtivement sur la corole de son ouverture rectale mais il ne proteste pas, ne me rejette pas et cela m’encourage à continuer ma stimulation anale, je n’ai plus aucune retenue fasse à cet homme que je suce, je m’accepte dans mes envies de bisexualité, en moi est né le désir de pénétration masculine, j’ai envie de le sodomiser et j’ai envie d’être sodomisé, je veux tout essayer en pensent au plaisir de ma femme aura quand elle verra les images de mon passage à l’acte, mon copain vient de se redresser et me regarde lui appliquer mes caresses buccales.

– Marc, tu es formidable, je voudrais te prendre aussi dans ma bouche me dit-il.
– Ok Lucien, moi aussi j’ai envie de me faire sucer, je peux venir sur toi, lui demandais-je en me mettant en 69 ?
– Ouiii, comme cela, vient…

Je l’enjambe et lui présente mon service trois pièces qu’il se met de suite à lécher, branlant ma bite à pleine main, je me courbe en avant pour le reprendre en bouche et de savoir que j’expose impudiquement ma raie et mon anus m’excite au plus au point, sa bouche et sa langue font des merveilles sur ma verge, ses doigts se promènent sur mes couilles, il n’a pas encore décidé de prendre le chemin de ma raie, je pousse un peu sur mon muscle anale pour qu’il s’ouvre légèrement, cela vat peut-être lui faire comprendre mon envie.

Je l’entends saliver sur ses doigts, il a comprit, une caresse délicate vient honorer mon orifice, un peu hésitante, elle se fait plus précise après quelques attouchements, je lui ai relevé et coincé les jambes sous mes bras pour avoir accès à mon but sodomite, je laisse couler un filet de salive sur sa rondelle et commence un massage circulaire avec un doigt pour lui détendre le sphincter, je le suce et le branle d’une main, de l’autre je lui prépare l’anus, nous sommes presque synchro, nos envies sont identiques, seul son anus me parait plus serré que le mien, il n’a plus de femme pour lui prodiguer ce plaisir, si toute fois il y a eu le droit une fois dans sa vie avec la sienne, au moment où ma caresse se précise, il m’interpelle.

– Vas doucement Marc, je n’ai pas l’habitude!
– Ta femme ne te l’a jamais fait ?
– Non, elle refusait, même pour elle.
– Et toi, tu ne te l’as jamais fais ?
– Une ou deux fois seulement, pour voir.
– Ne t’inquiète pas, je sais le faire sans douleur, tu vas aimer.

Son petit trou s’est assouplit sous mes caresses, les plis rectaux se sont décontractés, j’avance une phalange mouillée au centre de l’orifice, petite contraction réflexe, je laisse passer un moment en lui pompant le dard puis je poursuis mon avancée.

– Pousse un peu Lucien, comme aux toilettes, cela va te détendre.

Il obtempère car je vois la corole s’ouvrir sur mon index, j’en profite et le lui rentre en entier, il est chaud et serré comme une pucelle, je stop ma progression le temps qu’il s’habitue à la présence de mon doigt dans son cul.

– Ailll dit-il, c’est gros!
– Mais non, tu vas t’habituer, ce n’est qu’un doigt, pousse encore.

Il le fait et mon index retrouve un peu de mobilité dans son conduis rectal, après quelques va- et-vient, je commence un massage circulaire intérieur tout en continuant la fellation, je l’entends soupirer de plaisir derrière moi, un de ses doigts a trouvé aussi l’entrée de mes fesses, il me donne des sensations de plaisir diffus associées aux caresses buccales qu’il me prodigue, je sens que Lucien arrivera à me faire jouir, j’accélère mon doigtage et les mouvements de ma bouche sur sa queue, il me dit le plaisir qu’il ressent.

– Ahaaa, c’est trop…bon…n’arrête pas… je vais venir…ahaaa
– Toi non plus n’arrête pas, fouille moi le cul, mets deux doigts.

Il ne se fait pas prier et je me sens élargis au niveau du rectum par une intromission supplémentaire que je reçois avec plaisir, pour un gars qui ne s’est jamais fait mettre par derrière, il sait s’y prendre pour doigter un anus, il a quand même dû faire le cul à des nanas avant de connaître sa femme, il m’encule à merveille et je ne vais pas tarder à lâcher ma purée.

Les spasmes qui l’agitent m’annoncent son orgasme et je reçois plusieurs giclées de sperme dans la bouche, un sperme épais et chaud qui me badigeonne les amygdales, j’avale tout au moment où moi aussi je prends mon pied en lui balançant mon jus au visage, il m’embouche pour recevoir le reste, serait-il spermophile aussi ?

Nous somme restés affalés un moment l’un sur l’autre puis je me suis levé pour aller pisser, il m’a accompagné pour se vidanger aussi, il m’a tenu la verge pendant ma miction, j’en ai fais de même avec lui, quand nous nous somme essuyés mutuellement les dernière gouttes avec la bouche, nous avons compris l’un et l’autre que nous allions franchir les barrières interdites par la morale et l’éducation, d’une relation bisexuelle profonde et dépravée.

(À suivre)