Une fille qui mène du train par Dumigron

 

Une fille qui mène du train par Dumigron

Je me demandais comment et quand je pourrais bien raconter cette histoire folle qui m’est arrivée, et bien voilà que vous, chers internautes, vous allez goûter un peu aux plaisirs et aux passions qui m’ont traversé lors de cette expérience.

Vous savez, quand votre ex petite amie vous appelle, c’est ou bien pour avoir des nouvelles, ou bien pour baiser car elle est en manque. Quel hasard, j’en avais besoin aussi. Pour mettre un peu de folie dans notre rencontre – nous nous sommes lassés il y a quelques années – il nous fallait trouver quelque chose d’exceptionnel. Pourquoi pas un voyage ? Ok ! Après quelques hésitations, nous avons décidé de prendre le train en direction de Barcelone afin d’aller manger dans un chic restaurant, voir une zarzuela et peut être se rafraichir les sens.

Elle portait une robe fleurie jusqu’aux genoux et des sandales aux pieds. Sa robe était franchement entrouverte au-devant, il faisait vraiment chaud. En effet, en cette belle journée de fin de printemps, les tenues légères étaient de mise. Lorsqu’elle marchait, son buste vaguait au rythme de ses pas… ce qui me subjuguait. Je l’ai observé pendant un bon moment pendant qu’elle achetait des magazines au kiosque de la gare. Sa chevelure blonde attachée, son sourire, sa joie de vivre… voici comment le romantique en moi voyait les choses. Son cul ferme, ses petits seins ballotant, ses cuisses fraîches et ses mains agiles… voici comment le baiseur en moi voulait ces choses.

Vu que nous étions un peu gênés, et surtout que ni l’un ni l’autre ne voulait faire le premier pas, nous nous sommes presque dévorés des yeux pendant toute la durée du voyage. Assise devant moi, en train de lire son magazine sur la mode, je devinais que, sous la tablette du train, ses jambes étaient complètement entrouvertes. Peut-être inconsciente de son désir de me recevoir ou peut-être une invitation à une chaude passion… en tous les cas, elle me faisait un effet d’enfer. Ça me faisait mal tant mon engin poussait le tissu de mon pantalon de coton. Il fallait que j’aille décharger mon fusil, sinon j’aurais tout envoyé dès les premières secondes lors de la baise future.

Je la laisse lire pendant que je me dirige vers la toilette la plus proche. Evidemment, le train bouge beaucoup et les couloirs sont étroits. La marche est assez compliquée si l’on ne veut pas bousculer personne. Une file d’attente pour traverser au prochain wagon… la porte est coincée ! Inutile de me retourner, déjà plusieurs personnes se sont placées derrière moi. Malheureux ? Non ! Une jolie rousse aux longues jambes galbées s’est placée derrière moi en file. Nous sommes un peu trop serrés mais juste assez pour sentir ses seins moelleux sur mon dos. Je frissonne et elle s’en aperçoit. Le train bascule un peu… elle se place de façon à presque m’envelopper tout l’arrière. Ses hanches se frottent tranquillement et ses mains se mettent sur mes hanches. Pendant qu’elle respire un peu plus fort et un peu plus près de mon oreille, elle met ses mains dans mes poches. Qui est cette personne qui me fait ça ? Pourquoi maintenant ? Un fantasme qu’un dieu paillard et libidineux veut me voir réaliser ? Sans que je sache pourquoi, elle enlève ses mains… et me dis : pour 50 $ je peux te faire plaisir comme et comment tu veux. Je lui réponds que j’aimerais beaucoup, mais que je ne suis pas seul et que j’aime bien cette personne et que… elle comprend !

 » Je suis désolé pour toi… si tu savais ! « , qu’elle dit.

La file se met à avancer, la porte est enfin ouverte. Je reviens à ma table quelques instants plus tard sans avoir rien fait de ce que je voulais faire. Cette jolie putain m’a complètement troublé et j’ai toujours le désir au plafond.

Ma femme était là, une main sur sa poitrine, les yeux dans le magazine… surement un article intitulé :  » Comment faire crouler votre homme sous le plaisir ?  » Vous savez, ces magazines…

Nous mangeons notre dernier repas de la journée dans une ambiance plutôt chaude et légère. On se regarde dans les yeux avec la sensation très forte qu’il va se passer quelque chose d’assez passionné ce soir…

Nous avons bien mangé. Il est temps de se retirer dans notre chambre.

La chambre est assez bien aménagée. Petite mais confortable.

–  » Retourne toi, je me change !  »

Ah bon…

À son  » OK « , je me retourne. Elle avait une de ses chemises de nuits… oh là là ! Cette chemise, décolletée à souhait, me laissa complètement baba. Ses seins étaient en évidence comme jamais. On pouvait voir ses courbes, on pouvait voir la forme de son entre jambes, c’était si évident. C’était magnifique !

Elle me fit signe d’approcher. Tranquillement, elle défit le premier bouton de ma chemise. Ses mains douces et habiles… lorsqu’elle ma chemise laissa place à mon torse nu, elle y mit ses mains… me caressa et me pinça fortement le bout de mes tétons, ma caresse secrète, celle qui me fait toujours bander… et elle m’embrasse langoureusement. Nos lèvres entrèrent en un commun accord. La chaleur de sa langue autour la mienne, les doigts torturaient mes bouts, ses hanches collées sur les miennes… c’était une sensation de chaleur intense. Tout se passa si rapidement mais avec une intensité si profonde que…

Elle mit ses jambes autour des miennes en un petit saut. Je fis quelques pas afin de la mettre sur le lit. La bosse de mon pantalon caressait tranquillement sa fourche. Elle se rassit sur le lit, j’étais debout. Elle défit mon pantalon, mon boxer, j’enlevais mes chaussures et mes chaussettes. En un sourire béat, elle prit ma verge à deux mains. Ses mains chaudes et douces commencèrent à me caresser tranquillement de haut en bas. Elle m’apprivoisa… lorsque, yeux fermés, je sentis une chaleur qui enveloppa ma verge. Une succion… le plaisir monta. Les mains dans sa chevelure, elle s’y donna à cœur joie. Un doigt se faufila derrière mes fesses, par réflexe je m’ouvris pour lui permettre l’accès à mon intime trou. Elle me goutait avec tant de désir. Elle ne pouvait tout m’avaler, mais elle essaya tant elle me voulait entièrement. Ses lèvres mouillées… le plaisir monta tellement tranquillement. Je sentais la sensation monter si lentement, si longuement… ce plaisir était si intense… tout sortit d’un coup dans un cri de joie. Elle prit tout dans sa bouche. Elle ne laissait rien passer, elle gobait tout, il en avait ! La tête en arrière, le cri diminua pour n’être plus que lourd grondement au fonds de ma gorge.

–  » C’est mon tour… et fais-moi jouir ! Je te veux… juste ici ! Lèche-moi jusqu’à plus soif !  »

À genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui caressais les cuisses avec mes deux mains. Sa chatte m’était offerte tout entière. Je lui chatouillais doucement le contour de son vagin. Je la faisais souffrir, je la faisais languir de plaisir. Elle n’aimait pas ça mais elle en redemandait.

–  » Caresse-moi, aime-moi, mange-moi !  »

Pourquoi pas : la cerise sur le sundae, le miel sucré en abondance, je la mangeais gloutonnement. J’aimais lui procurer ce plaisir. Elle flottait ! Elle ne laissa qu’une jambe sur mon épaule. Cela me permit de lui caresser d’une main son ventre. Elle se cambre, elle vibre, elle souffre le martyr. Elle aime tellement ça et moi qui la déguste de toute la qualité que je me connais. Son ventre frissonne, son corps m’est offert à la caresse. La langue sur son poing sans bouger, je la sens qui se mouille à une vitesse car elle gémit très fort… elle me donne l’envie comme jamais.

Je la glisse plus profondément dans le lit en me préparant à la pénétrer tranquillement. Ce brusque changement l’étourdit, mais je n’en peux plus. Tranquillement, le gland pénètre ce château de plaisir. Millimètre par millimètre il entre et moi je m’allonge en même temps sur son corps. Des goûtes de sueur perlent sur son corps. Ses cheveux mouillés font ressortir l’odeur charnelle si propre à une femme. Le va-et-vient se fait très doucement. Je sors presque complément et je la pénètre de nouveau aussi tendrement afin de vivre en détails ce que cela peut m’offrir. Je la prends de tout son corps. Pendant ce qui me semble des heures, tout en s’embrassant de petits baisers sur tout le visage, je me glisse entre elle de ma longue et chaude verge. On s’emballe un peu, on rougit de se voir se donner tout ce plaisir avec une harmonie si grandiose. La musique de nos gémissements pénètre tous nos sens. Elle pousse de petites cris de palisir… et je continue, j’en veux toujours plus. Je ne freine pas mes pulsions… je poursuis ce voyage entre ses jambes.

–  » Allez, viens finir dans mon cul !  »

Je m’enfonce facilement dans ce trou charmant, je bouge et je bouge encore, elle est en nage, elle gémit, la tension est trop forte. Je jouis ! Je jouis si longuement, j’ai l’impression d’avoir une rivière qui sort. Je suis étourdi. Je me rends compte que je respire si fort !

Elle est radieuse, me sourit, elle regarde ma bite, maculée de sperme et de merde. Sa bouche pulpeuse à tout nettoyé.

Il fait un peu froid, en fait, on grelote. Le sourire au visage, on s’embrasse. Face à face, on s’endort..

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2 réponses à Une fille qui mène du train par Dumigron

  1. Dudule dit :

    Je ne comprends pas le titre, je n’ai pas du tout accroché. Peut-être en raison de tournures bizarres, de mots répétés. Je ne sais pas.
    L’auteur est-il francophone ?

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