Un esclave pour deux… par Stuart

Je ne sais plus vraiment depuis combien de temps je suis là, au milieu de la
pièce, agenouillé devant le  » pouf « , plié en deux, la tête pendante, les
mains attachées dans le dos, le plug toujours fiché dans mon fondement, dans
une position inconfortable et obscène à la fois…
Le bandeau que je porte me plonge dans un noir profond et les écouteurs du
baladeur m’empêchent tout contact avec la réalité… Suis-je seul ?
Sont-elles là ? … Je n’en sais rien et cela m’inquiète car je n’ose
bouger, redoutant la punition qui me serait infligée.

Soudain, alors que je ne m’y attends absolument pas, un coup de martinet
s’abat sur mes fesses. Le cri que je pousse est plus dû à la surprise qu’à
la douleur. Quelques secondes passent et un second puis un troisième coup
s’abat… Je serre les dents, j’ai appris à ne pas crier… Les suivants,
sont appliqués à intervalles très irréguliers ainsi qu’à des endroits divers
me laissant supposer qu’elles s’en donnent à cœur joie toutes les deux…
Cela me déstabilise énormément : alors que je crois que c’est fini et que je
me détends un peu, un autre tombe à nouveau et la crispation reprend. La
musique aux oreilles m’empêche de pouvoir les situer. C’est ainsi que mon
dos, mes épaules, mes fesses et mes cuisses sont tour à tour la cible des
lanières… Puis, soudain, plus rien… Seraient-elles parties ? Me
regardent-elles encore ? Qu’est-ce qu’elles mijotent ? …

Rien, … Serait-ce fini ? Les effluves de leurs parfums se dissipent. Je
dois à nouveau être seul. Comme les minutes peuvent sembler longues quand on
est en attente de la suite, qu’on la craint et la désire à la fois. Mais ce
soir, cela fait partie du jeu…
Brusquement, une main m’empoigne les cheveux, m’oblige à relever le buste et
à me redresser, toujours agenouillé. Elle me retire les écouteurs du
baladeur et m’ordonne de me lever. Sa voix, celle de ma femme, devenue
maîtresse, est dure, sèche, cassante : un seul mot, sans appel :

 » Debout « .

Je vacille sur mes jambes endolories. Ma circulation se rétablit. Elle me
conduit ensuite à quelques mètres pour m’attacher bras levés à une corde
fixée à l’appareillage que j’ai dû préparer quelques heures auparavant.
En début d’après-midi, au moment de partir faire des courses, elle m’avait
laissé une enveloppe sur la table. Une de ces enveloppes rouges que j’adore
qu’elle m’adresse une fois par mois environ. Le message était clair : une
séance était prévue et je devais tout préparer. Tout était expliqué en
détail :

– allumer du feu dans l’âtre
– installer tout le matériel de soumission (chevalet, tabouret, montants,
…)
– dresser soigneusement les accessoires (godes, pinces, …) sur la desserte
– préparer un repas léger pour 20 h (entrée et plat) (J’en serai le  »
dessert « )
– dresser la table (2 couverts, bougies pour tout éclairage)
– service à assurer nu, en tablier de soubrette avec un plug dans l’anus
– me masturber à 19 h 30 et recueillir mon sperme dans un verre à  » liqueur
« .

Un  » post-scriptum  » au bas du feuillet me signalait qu’elle ne reviendrait
pas seule… Elle y avait juste écrit :  » Ce soir, nous serons trois !!!  »

A 19 h 45, j’étais dans l’entrée portant un plateau sur lequel j’avais
disposé quelques toasts et deux flûtes de champagne. Le verre à liqueur y
était aussi…
J’étais très nerveux. Avec qui allait-elle revenir ? Un homme ? Une femme ?
Une chose était sûre : Ce soir, mon rôle d’esclave occasionnel, dévolu à ma
seule femme, allait prendre une nouvelle tournure puisqu’une personne
étrangère allait découvrir la face cachée la plus secrète et intime de notre
couple.
Quelques instants plus tard, légèrement en avance, elle est arrivée. Dans
l’entrée, derrière la porte, j’entendis deux voix féminines : celle de mon
épouse et une autre, totalement inconnue. Cela apaisa quelque peu l’énorme
pressentiment que j’avais.

Mon épouse entra la première. Son regard était glacial, je baissai
immédiatement les yeux et ne pus ainsi détailler la jeune femme qui
l’accompagnait. Je leur tendis le plateau. Elles saisirent chacune un verre.
Brièvement, je pus apercevoir la main de l’inconnue. Ses doigts étaient
longs, ses ongles carminés et parfaitement manucurés l’étaient tout autant.
Une magnifique bague ornait l’un d’eux. Elles burent une gorgée, prirent un
toast, et portèrent une nouvelle fois leur coupe aux lèvres. Ma femme me dit
:

 » Et bien, tu ne trinques pas avec nous ? Bois ton jus, esclave ! Il est
encore chaud, j’espère ? »

Je pris donc le verre qui m’était destiné et en bus le contenu d’un trait.
Elles reposèrent leur verre et quittèrent l’entrée dans un grand éclat de
rire qui m’en dit long sur leur complicité. Cela me fit soudain peur. Que
lui avait-elle dit ? Que savait-elle de moi ? Jusqu’où notre  » secret  »
avait-il été dévoilé ?
Je restai seul dans l’entrée, immobile, attendant la suite. Je savais qu’à
ce stade, aucune initiative ne m’était permise.
Cinq minutes plus tard, un tintement de clochette provenant du salon m’amena
à les rejoindre.

L’invitée était assise dans le fauteuil et me scrutait intensément du
regard. Pour la première fois, je la voyais. Elle était très belle elle
aussi. Ma femme a toujours eu beaucoup de goût… Elle devait avoir une
trentaine d’année. Elle était tout de noir vêtue. Une tenue à la fois
stricte et provocante qui en disait long sur son caractère et son assurance.
La voix sèche de ma maîtresse mit brutalement fin à ma trop brève
observation. Elle inspectait le matériel que j’avais préparé. Elle me fit
poser le plateau sur la table basse et m’ordonna de m’agenouiller devant
elle. Elle me demanda si j’avais tout exécuté à la lettre. Après un

 » Oui, Madame  »

… elle me demanda quel plug j’avais mis. Je répondis :

 » Le moyen, Madame « .

Elle me dit alors :

 » Une petite vérification s’impose. Penche-toi et écarte les fesses « .

Je me mis à quatre pattes en faisant expressément face à l’inconnue et, en
la regardant droit dans les yeux, j’écartai les fesses. D’un geste vif et
assuré, ma maîtresse m’arracha l’engin, le montra à son invitée en précisant
que je pouvais en supporter de plus gros et le remit en place aussi vite.

 » OK « , dit-elle.

Elle termina en disant :

 » Repas dans un quart d’heure !  » et, invita sa compagne à la suivre.

Elles disparurent à l’étage où, alors que je m’activais en cuisine, je les
entendais bavarder et rire.
Durant tout le repas, je me tins en face d’elles et les servis. Jamais elles
ne m’adressèrent la parole. Au cours de leur conversation, ma maîtresse
raconta certaines de nos expériences dans leurs moindres détails et
répondait aux questions extrêmement précises et indiscrètes de son invitée.
Ce manège était intentionnel et destiné à m’humilier. Je me sentais encore
plus nu que sous le tablier de soubrette que je portais. Leur conversation
me permit aussi d’apprendre que la belle inconnue ne tenait pas la gent
masculine dans son cœur et que certaines de ses expériences avec les hommes
lui avaient laissé un goût amer et l’avaient amenée à se tourner vers les
femmes.
Elle dut se rendre compte de mon émoi car elle me fixa du regard et
m’ordonna d’approcher. Ses ordres furent brefs :

 » Retire ton tablier, écarte les jambes et mets les mains sur la tête. Je
veux te voir à poil. « .

J’eus un bref regard implorant pour ma femme qui ne cilla pas. Je m’exécutai
donc et pris la pose demandée après avoir enlevé le tablier qui, jusque là,
avait quelque peu préservé mon intimité.

Elle m’observa de la tête au pied et s’attarda longuement sur mon sexe. Je
baissais les yeux et rougissais, j’avais honte. Moi qui, d’habitude, étais
très excité dès le début de nos séances, j’affichais cette fois, une bien
piètre image de ma virilité. Et elle profita de mon état pour s’en moquer :

 » Et c’est ça que tu appelles une queue ? Approche, petite bite  »

Elle prit sa fourchette et la promena sur mon torse en s’attardant sur mes
mamelons sur lesquels elle accentua sa pression les rendant durs et
extrêmement sensibles. Mon sexe se mit à prendre des proportions
intéressantes… Elle redescendit lentement vers mon bas-ventre en marquant
tout son parcours de zébrures. Elle s’attaqua ensuite à l’intérieur de mes
cuisses où la peau est si fine et fragile. Mon souffle était court, je
gémissais presque et me mordais la langue. Enfin, elle me dit qu’elle allait
voir si j’étais résistant et pointa les dents à la base de mes bourses pour
y appuyer de plus en plus fort jusqu’à ce que, n’y tenant plus, je
l’implorai d’arrêter. Ma verge était dressée et elle pointa la fourchette
vers mon gland décalotté. Je crus qu’elle allait le piquer à son tour et
l’implorai une nouvelle fois lui disant :

 » Non, Maîtresse, pas ça ! « .

Je vis alors un véritable éclair de victoire dans ses yeux. Je venais de
l’appeler  » Maîtresse « .

 » Continue le service à poil « , me dit-elle.

Je me remis donc à l’ouvrage.
Durant la suite du repas, je fus prévenant et accomplis le moindre de leurs
désirs. Tout était, me semblait-il, parfait…
Le repas terminé, ma femme m’emmena dans le salon, près du pouf où elle me
fit prendre une pose humiliante et me mit les accessoires m’empêchant à la
fois de voir et d’entendre, me plongeant ainsi durant un long moment dans
une solitude inquiétante.
Je supposai qu’elles en profitèrent pour aller se mettre  » en tenue « …
Après le fouet que toutes deux se sont appliquées à m’infliger, ma maîtresse
m’amena au milieu de la pièce où elle m’attacha à deux montants, bras levés
et écartés, les yeux toujours bandés.
Elle me dit que ce soir, j’allais devoir servir deux maîtresses et qu’elle
espérait que je ne lui ferais pas la honte d’être un esclave indigne.
Elle me retira le bandeau et je les découvris en tenue de dominatrices.
Elles étaient magnifiques.
Ma femme me présenta alors son invitée. J’appris alors qu’elles avaient fait
connaissance sur un  » chat  » et que, de fil en aiguille, elle lui avait
promis de lui fournir un esclave docile qui lui permettrait de prendre sa
revanche auprès des hommes. Elle ajouta que ce soir elle m’offrait à son
invitée qui pourrait user de moi comme il lui semblerait et qu’elle serait
là pour toute la durée du week-end.
Elle s’en tint là. Je ne sus rien d’autre : ni son nom, ni d’où elle venait.
Ce qu’elle m’apprit me rassura d’une part et me fit aussi craindre le pire.

Ainsi, j’allais, durant deux jours, être la  » proie  » de deux
maîtresses. Sans aucun doute, la surenchère entre elles allait m’être
pénible à endurer. Mais au moins, une fois partie, cette invitée surprise
sortirait-elle définitivement de notre vie. Du moins, c’est ce que je
croyais…

Pour faciliter la lecture de mon récit, je l’appellerai Kate.

Ma femme s’assit face à moi, dans un fauteuil et la regarda faire.
Kate s’approcha et me dit que j’allais connaître les joies du  » wooden ponny
« . Pour moi, c’était une première et je ne savais pas en quoi cela pouvait
bien consister. Elle prit une planche de bois qu’elle glissa entre mes
jambes. Une des extrémités de la planche pendait à une corde. Une autre
corde maintenait mes poignets levés et passait dans une poulie pour revenir
à l’autre extrémité de la planche. Elle me fit mettre sur la pointe des
pieds et tendit la corde de telle sorte que la planche soit à l’horizontale,
sur sa tranche chanfreinée, coincée dans mon entrejambe. Je ne pus donc plus
reposer les pieds à plat ni même abaisser les bras sans sentir cet
appareillage me cisailler le périnée. C’est moi qui me faisais mal. De plus,
elle se mit à me  » travailler  » le corps, comme elle l’avait fait durant le
repas, mais cette fois, au moyen d’une roulette de Wartenberg ajoutant à ma
position inconfortable, des mouvements incontrôlés dus à la douleur des
passages de la roulette aux pointes acérées sur les zones les plus sensibles
de mon corps.
Voyant certainement que je n’en pouvais plus, elle arrêta et me laissa
mijoter de longues minutes.

Avant de me détacher, elle m’ordonna de lui faire un serment d’allégeance.

Ce serment, j’avais dû l’apprendre par coeur lors de ma première séance de
soumission et habituellement, à chaque nouvelle séance, je dois le répéter.
Mais jamais encore, je ne l’avais prononcé à l’égard d’une maîtresse
inconnue.
J’haletais et je dus le dire à trois reprises avant qu’elle ne daigne
relâcher quelque peu la corde et me permettre ainsi d’enfin reposer les
pieds à plat sur le sol. Mes bras étaient toujours attachés à la corde qui,
à la moindre traction, faisait remonter la planche dans mon entrejambe mais
ma position était plus stable et la douleur moins intense. Elle se dirigea
vers la desserte où, dans l’après-midi, j’avais soigneusement disposé tous
nos accessoires et revint avec deux pinces japonaises qu’elle me fixa à
chacun des mamelons. Cela me fit mal et pourtant, cela provoqua une
importante érection. Elle me noua alors une cordelette enserrant à la fois
mes testicules et le sexe puis se mit à l’enduire de lubrifiant et à le
masturber lentement mais en serrant assez fort. J’avais tendance à tirer sur
mes bras et à faire ainsi rentrer cette satanée planche qui me cisaillait.
Alors que je haletais et commençais à laisser échapper de petits cris tant
de plaisir que de douleur, elle sentit que j’étais au bord de l’éjaculation
et arrêta soudainement me laissant sur ma fin pour ne reprendre que quelques
minutes plus tard, une fois la tension retombée. Après avoir reproduit ce  »
petit jeu  » à trois reprises, elle retira les pinces, ce qui produisit,
comme toujours, une douleur fulgurante.

Profitant de mon émoi, elle me détacha enfin et m’ordonna de me mettre à 4
pattes.
Elle s’activa autour de moi puis revint et me fixa autour du cou un collier
de chien auquel elle attacha une laisse pour pouvoir me promener dans la
pièce. Elle m’amena entre les deux montants verticaux, devant un tabouret à
vis sur lequel était fixé un gode particulier constitué de boules de
diamètres croissants. La première faisait à peine 1 cm de diamètre tandis
que la dernière devait au moins en faire 4. L’ensemble devait mesurer près
de 15 cm. Je dus le sucer et le lécher pour bien l’enduire de salive. Avant
de me redresser, elle me fit retirer le plug enfoncé en moi depuis si
longtemps et m’ordonna de le mettre en bouche. Il dégageait une odeur âcre,
il ne pouvait qu être souillé…

Je m’exécutai néanmoins sans toutefois pouvoir réprimer un haut-le-coeur qui
la fit se moquer de moi.
Elle me fixa une barre d’écartement m’obligeant à garder les jambes
ouvertes, m’attacha un poignet à chaque montant et positionna le tabouret
entre mes jambes. Elle fit ensuite tourner progressivement la vis jusqu’à ce
que le gode s’élève, me taraude l’anus, force mon sphincter et me pénètre
progressivement, une boule à la fois pour finalement être complètement en
moi. Je ne pus réprimer un cri et laissai choir le plug que j’avais en
bouche. En guise de punition, elle m’imposa d’effectuer 10 va-et-vient et de
les compter à haute voix. Pour les effectuer, le dus tirer sur les bras et
me hisser sur la pointe des pieds. Ce fut assez pénible. Alors que j’en
étais au septième, elle se fâcha, me disant que je m’exécutais mal et que
mes mouvements n’étaient pas assez amples et rapides.  » Nous reprenons à
zéro « , me dit elle… Elle prit alors le martinet afin de m’imposer un
rythme plus soutenu.
A 10, elle me dit que c’était déjà beaucoup mieux et qu’on allait en faire
10 de plus. J’étais en nage…
J’aurai donc fait 27 va-et-vient et reçu 20 coups de martinet. J’étais
épuisé. Elle me détacha et m’autorisa à m’extraire du gode puis, comme pour
le plug, m’imposa un nettoyage buccal de l’engin. C’est à quatre pattes,
face à mon épouse qui ne perdait rien de la scène que je m’acquittai de
cette tâche dégradante.
Une fois propre, elle me fit allonger sur un banc étroit, et m’attacha
ensemble bras et jambes par-dessous, le corps arqué. Elle m’enjamba alors et
dégrafa les pressions qui fermaient son body pour s’asseoir sur mon visage
afin s’y frotter le sexe et l’anus. Elle dégageait une forte odeur, son sexe
était trempé. Elle me barbouilla le visage de ses sécrétions intimes
m’ordonnant de la lécher et de faire entrer ma langue au plus profond de
chacun de ses orifices. Elle se frottait de plus en plus fort et m’empêchait
parfois de respirer.

Mon sexe était dur, dressé devant elle. Je le sentais  » vibrer  » de manière
spasmodique, j’étais hyper excité. J’espérais qu’elle allait venir s’y
empaler et pourtant, elle n’y toucha pas. Non, ce n’était pas encore
maintenant que j’aurais droit au plaisir. Elle prit alors un gode, me le fit
prendre en bouche à la base et vint s’empaler dessus pour entamer aussitôt
des mouvements de plus en plus rapides. Ses fesses frappaient littéralement
mon visage, avec une violence croissante. Elle se caressait le clitoris et
était au bord de l’orgasme. Soudain, un grand cri retentit et elle
s’effondra sur moi. Elle ne bougea plus et je suffoquai un instant.
Heureusement, elle se releva. En se retirant du gode que je tenais toujours
en bouche, un bruit de succion étrange se fit entendre.
Je bandais terriblement, mon sexe me faisait mal tant j’étais excité et
pourtant, elle n’y toucha pas et me laissa une nouvelle fois dans cet état.
J’entendis alors la voix de mon épouse qui avait assisté à toute la scène.

 » Amène-le-moi « , lui dit-elle.  » Qu’il vienne me faire jouir à mon tour.  »

Elle me détacha du banc et c’est à 4 pattes que je vins lécher ma femme qui
était véritablement trempée après tout ce à quoi elle avait assisté.
Alors que je lui léchais avidement le sexe, heureux de lui procurer du
plaisir, elle demanda à  » Kate  » de mettre un gode ceinture et de venir
m’enculer jusqu’à ce qu’elle jouisse sous les caresses de ma langue.
C’est ainsi que Kate me sodomisa de plus en plus rapidement, brutalement et
profondément à mesure que le plaisir de ma femme montait. De son côté, Kate
s’était mise à se caresser le clitoris tout en me bourrant frénétiquement.
Elles gémissaient toutes les deux de plus en plus fort et jouirent
intensément.
Ayant repris leurs esprits, elles me dirent qu’enfin mon tour était venu,
que j’avais été un bon esclave et que j’allais avoir droit au plaisir.

Elles m’amenèrent à nouveau entre les poteaux où bras et jambes se
retrouvèrent écartés et attachés.
Une nouvelle fois, Kate me mit des pinces aux mamelons alors que ma femme
s’harnachait d’un gode ceinture double dont un des deux olisbos était
introduit dans sa chatte.

Kate prit alors de l’huile pimentée dans une fiole et se mit à m’en enduire
copieusement le sexe, les testicules et l’anus ainsi que le gode que ma
femme exhibait fièrement. Même ma bouche n’échappa pas au traitement.
Rapidement, je fus en feu. Elles attendirent que la sensation soit maximale.
Alors que ma femme me pénétrait, Kate entreprit de me branler, empoignant ma
queue à deux mains dans lesquelles elle avait remis de l’huile. Elles
synchronisèrent leur rythme. Lentement d’abord puis accélérant
progressivement jusqu’à faire des va-et-vient à un rythme effréné. Je jouis
à grands jets et à grands cris.
Une fois apaisée, ma femme enleva son gode-ceinture et m’en fit nettoyer les
deux parties, commençant par celle qu’elle avait en elle puis par celle qui
venait de me fouiller les entrailles. Kate m’ordonna ensuite de lécher tout
le sperme qu’elle avait récolté dans le creux de ses mains. Comme je ne
m’exécutais pas assez rapidement, elle tira sur la ficelle attachée à une
des pinces jusqu’à ce que mon mamelon soit tendu, distendu et que
finalement, la pince lâche. Il n’en fallut pas plus pour que je me décide à
obtempérer. Je léchai alors jusqu’à la dernière goutte tout le sperme qui
avait coulé dans sa paume. Après un nettoyage complet, elle arracha quand
même la dernière pince en tirant sur la ficelle et me détacha enfin. J’étais
exténué par cette séance avait duré plus de deux heures.
Avant de monter me coucher, je dus tout ranger.
A l’étage, je dus me contenter de la chambre d’amis où on m’enferma.

J’étais à la fois heureux et frustré. Heureux d’avoir réussi à servir deux
maîtresses et frustré d’être seul les sachant probablement ensemble dans le
même lit à se procurer des plaisirs auxquels je ne serais pas associé.
Le sommeil me gagna rapidement, malgré ce qui m’attendait le lendemain… Mais
cela, je l’ignorais…

Stuart

fullexpert2@yahoo.fr

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Une réponse à Un esclave pour deux… par Stuart

  1. Adam dit :

    Pas terrible ! Heureusement qu’il y a bien mieux sur ce site…

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