Une entreprise très familiale 3 – Un dîner très arrosé par EJacques ULE

Après notre séance au jacuzzi, nous montâmes tous nous doucher, puis les
hôtes d’Amy prirent congés, à l’exception de Mikko qui revêtit son uniforme
de bonne pour servir le dîner… Quand j’arriva dans la salle à manger, je
fus surpris de la disposition des meubles : Nous devions manger sur une
table basse où était dressé un véritable festin de victuailles diverses tant
salées que sucrées, assis sur 2 grands canapés en cuir qui la bordaient. Je
ne m’en offusquai point, trouvant même l’idée originale. Amy me présenta
alors Alfred, son jardinier. C’était un homme barbu bien bâtit d’une
quarantaine d’année aux cheveux frisés. Il me salua avec un sourire et d’une
poigne vigoureuse.

« Passons directement à table ! J’ai faim ! » Entama Amy en s’asseyant et en
me tirant à ses cotés.

Alfred se plaça face à nous, nos jambes s’entrecroisant sous la table. Amy
piocha directement dans un peu tous les plats, remplissant son assiette d’un
monticule de saucisses, crudités et autres mets. Elle prenait la nourriture
à même les doigts, mais avec une délicatesse non vulgaire. Je me décidai à
l’imiter en voyant Alfred user des mêmes manières. Je remplis cependant
moins mon assiette que mes congénères, cette frénésie sexuelle m’obsédait et
diminuait mon appétit. Amy remarqua cela et m’en fit la réflexion en me
demandant si j’allais bien.

– « Oh, euh… oui » balbutiai-je avant d’ajouter « je n’ai pas encore très
faim, mais l’appétit va peut-être venir » pour l’apaiser.
– « Ah, mais je peux arranger ça » me rétorqua- t-elle avant de crier « Mikko !
Venez ici ! ».

La belle asiatique accourut se poster à ces côtés en disant « Oui madame ? ».
Amy mâchouillait déjà une saucisse, elle lui effleura ses cuisses nues sous
sa jupe si courte qu’on eut pu vérifier son épilation, puis elle dit d’un
ton assuré et autoritaire « notre invité n’est pas dans son assiette, vous
devriez le mettre en appétit ». Elle lui fit un clin d’œil auquel Mikko
répondit par une moue fine et souriante. Elle monta ensuite à 4 pattes sur
la table, dévoilant sans doute sa croupe nue à Alfred qui en salivait
d’avance, s’approcha de moi et baissa mon pantalon.

Dans l’urgence je n’avais pas remis de sous-vêtement et mon sexe lui apparut
en demi-érection. Elle le prit en main, y apposa ses lèvres et le rendit
instantanément dur comme la pierre. Sa succion était agréable et bruyante,
ce qui était amplifié par le silence qui régnait dans la salle et qui
n’était coupé que par les râles d’Amy, qui mâchouillait toujours ses
aliments phalliques tout en se caressant son entrejambe qu’elle avait dénudé
ou les seins habillés de l’Asiatique. Alfred, pour sa part, caressait le
minou humide que Mikko lui offrait avec un immense cornichon qu’il mangeait
par petits bouts. Il termina en l’insérant dans son anus pour aller l’y
déguster… avant de reprendre avec une carotte.

Rapidement Alfred laissa ses pulsions prendre le dessus, après avoir étalé
de la crème chantilly entre les fesses de Mikko il prit son sexe en main,
telle une arme que l’on sort d’un fourreau, et l’y appliqua. Mikko commença
à gémir quand la queue de son partenaire s’immisça dans son anus lubrifié.
Le jardinier l’agrippa à son chemisier, qu’il tâcha au niveau de sa poitrine
avec ses mains couvertes de crème et de chocolat qu’il dégustait, puis il la
pistonna avec vigueur. Amy et moi les écoutions crier, chacun sur son ton.
La maîtresse de maison me regarda avec un sourire avant de m’allonger sur le
dos et de s’agenouiller au-dessus de mon visage.

« Tu vas aimer ça » me dit-elle avant de s’étaler de la confiture à la fraise
sur son vagin toujours aussi lisse.

Effectivement, je trouva cela très original et très bon quand je commença à
la lécher. Ses sécrétions salées étaient mises en valeur par le sucre de la
confiture et je m’en donnais à cœur joie sur son clitoris gonflé de désir.
Ce dernier frémissait entre mes lèvres et faisait soupirer Amy par de long
« hmm, hmmm… ». Elle finit par se cambrer en s’appuyant sur le bas-ventre
avec un « ohh oui !! » d’exultation. Un flot jaune d’urine vint alors rincer
sa vulve et m’asperger le visage. Je tremblai de plaisir sous ce traitement,
ouvrant la bouche pour goûter une partie de jet enivrant parfumé à la
confiture… Le reste coula sur mon T-shirt qu’Amy m’ôta avant de se
rapprocher des autres.

Mikko s’était mise sur le dos, sa chemise débraillée pour qu’Alfred puisse
la peloter fermement en continuant sa sodomie. Amy m’invita à la recouvrir
tête-bêche. Caressé par ses habits moites et maculés qui m’essuyaient le
ventre, je fourrai directement ma langue entre ses cuisses, afin que son
minou satiné ne soit pas en reste. De là j’avais une vue imprenable sur la
bite d’Alfred qui parcourait méthodiquement l’anus de la bonne. Mikko,
pendant ce temps, m’avait étalé du miel sur ma verge, mes couilles et mon
cul. Elle lécha cet ensemble, me procurant un déluge de volupté qu’elle
conclut en m’enfonçant frénétiquement sa langue dans le derrière. Je me
redressai légèrement, hennissant de plaisir. Mon regard passa alors de son
minou qui suintait d’envie à Alfred, qui avait amplifié ses soupirs depuis
qu’Amy passait une courge huilée entre ses fesses. Amy avait un regard
malicieux et passionné devant ce cul poilu qu’elle pourfendait.

Au bord de l’éjaculation, Alfred se retira subitement du cul dilaté de Mikko
avec un « floc » qui lui arracha un cri de jouissance. Elle replongea dans sa
méthodique fellation de tout mon entrejambe en enfonçant 2 doigts dans mon
cul, alors que je commençais à ressentir l’envie de sucer une vraie queue.
Celle d’Alfred palpitait devant moi, poilue et très comparable à la mienne
avec un beau gland rose et lisse. Je ne pus résister et la pris en bouche
avec plaisir, faisant courir ma langue le long de cette tige. Alfred exulta,
puis me la retira en disant

« Attends, j’ai quelque chose pour toi ».

Il alla tremper son engin dans un pot de nutella, alors que je tapotais et
doigtais les orifices détendus de Mikko qui gémissait. Puis il se rapprocha
et fit « nettoie-moi ça maintenant ». Je m’y affairai, mais il retirait
continuellement son vit de mes lèvres pour constater l’avancement de mon
travail. Quand les traînées de chocolat eurent disparues il la replongea
dans le cul de l’orientale qui cria de surprise et de bonheur ! Amy, pour sa
part, s’était rapproché de mon derrière, toujours équipée de sa courge.
J’eus donc droit au même traitement qu’Alfred.

Le légume dilata mon anus, ce qui était un peu douloureux, mais qui me
procura un plaisir immense, au bord de l’éjaculation, quand il sombra dans
mes profondeurs. Alfred avait recommencé l’opération précédente afin que je
le suce, puis qu’il encule à nouveau Mikko, qui se sentit jouir plusieurs
fois. On continua ainsi un moment. Amy voulut à nouveau uriner et se plaça
au-dessus de la tête de Mikko qui absorba les 3 gouttes qu’elle lâcha avant
de s’éloigner avec sa courge pour se l’administrer en nous matant. Alfred
était ivre de plaisir

« Ah je vais bientôt vous barbouiller de semence » fit-il en s’agitant
vigoureusement la pine.

Mais Amy se leva et répondit « attends ! ».

Elle nous prit tous les 2 par la main, laissant Mikko seule sur la table, le
corps ruisselant de liquides alimentaires et corporels. Cette dernière,
gémissant de plaisir, prit une cruche et pissa dedans. Cela produisit un
bruit résonnant avant qu’Amy nous explique son idée :

« C’est l’anniversaire de Mikko, aujourd’hui. De plus c’est une excellente
serveuse, alors j’ai une idée pour qu’on la remercie et vous allez m’aider à
la réaliser… ».

Elle commanda alors à Alfred de se coucher sur la table basse, et fit
coucher l’Asiatique par-dessus. Puis elle me donna 2 œufs et en cassa 2
autres sur le corps de Mikko avant d’ajouter « à toi ». J’en fis de même, puis
on étala l’omelette crue avec un peu d’huile mélangée sur son ventre, sa
figure, ses seins et enfin ses orifices. Amy s’appliqua tout
particulièrement pour cette étape, faisant aller et venir 3 doigts dans
chacun des 2 trous plusieurs fois pour les faire baver de ce liquide
lubrifiant. Totalement souillée, tant sur ses habits que sa peau, Mikko nous
regardait, apaisée et lâchant des rires rauques. Pour continuer, Amy
m’approcha des cuisses écartées de la bonne, puis elle la recouvrit en
position de 69. Elle joignit alors la queue d’Alfred à la mienne et les suça
ensemble succinctement. Puis elle redirigea celle du jardinier dans le cul
de sa partenaire. La bite d’Alfred y glissa comme dans du beurre, tant Mikko
était dilatée et lubrifié. Amy décida alors d’y ajouter la mienne, qui entra
également sans peine dans ce canal chaud et voluptueux. Mikko criait des
« ah, hmmm!!! » de plaisir sous les assauts de nos 2 phallus qui gonflaient
l’un contre l’autre dans son derrière. La sensation me plaisait autant qu’à
mes partenaires : c’était des frémissements fusionnels totalement
orgasmiques.

Amy rit un moment et dit

« C’est bien, tu aimes bien ça ma petite, mais attends c’est pas finit ».

Elle se versa la cruche d’urine sur le torse. Le flot jaune coula jusque sur
Mikko et son chemisier qui n’absorba rien tant il était déjà mouillé.

« Ah j’aime quand c’est encore tiède » soupira Amy au passage.

Elle trempa ensuite sa main dans les restes d’œufs, puis glissa un doigt
dans la chatte lisse que nous n’occupions pas. Puis deux doigts et Mikko
commença à gémir plus fort et à lécher la croupe d’Amy de plaisir. Puis 3
doigts et Mikko commença à crier et à frémir. Puis 4 doigts et enfin la main
toute entière et Mikko hurla de bonheur, agitée de spasmes. Nous même
commencions à râler en l’enculant en cadence. Amy aussi criait de façon
hystérique en remuant sa main vigoureusement, elle ajouta :

« Occupe-toi de mon cul aussi ma belle, ah!! ». Mikko obéit et inséra à son
tour 2 doigts qu’elle fit vriller entre les fesses de sa maîtresse.

Mikko finit par jouir de tout son corps, déchargeant quelques jets continus
de cyprine quand Amy ôta sa main. Ses orifices frémirent tellement qu’Alfred
couina avant d’exploser dans le cul de la mousmé, contre mon sexe qu’il
macula de crème gluante. Amy m’intima de sortir pour laisser Mikko goûter
mes jus. J’obéis et donna mon sexe parfumé du sperme d’Alfred, qui était
resté effondré sous Mikko, à lécher à cette dernière. Elle se mit à me
branler vigoureusement. Ce contact chaud et visqueux me fit chavirer de
plaisir. A mon tour j’éjacula abondamment, maculant le visage de Mikko.

On se sépara, tout sourire et tremblant de plaisir de toutes ces expériences
nouvelles. Amy finit par dire

« Bon, après tout repas il faut un digestif… Alors à vous de jouer
messieurs… ».

Les filles s’agenouillèrent côte à côte sur la table et nous ouvrir la
bouche en attente d’une offrande. Alfred me sourit et visa la bouche de
Mikko. Il ne tarda pas à pisser abondamment. Mikko se délecta d’une partie
de la liqueur et bava le reste dans ses mains. Elle les frotta sur les seins
d’Amy qui reçu le même traitement de ma part, rassasiée à souhait…

Nous pûmes alors prendre congés, Amy se dit satisfaite de mes services et
prête à me garder « en période d’essais ». Je me demandais quels essais il me
restait à découvrir et accomplir. J’alla toutefois me coucher, fatigué de
cette journée, mais tellement satisfait de ce nouveau travail et du fait que
ma patronne « appréciait mes prestations »…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Une entreprise très familiale 3 – Un dîner très arrosé par EJacques ULE

  1. Sorenza dit :

    Décidément cet auteur excelle dans l’art de nous décrire des partouzes impossibles, des partouzes dans lesquelles on aimerait bien être invité

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *