Le fantasme de Claudia par Claudia01

note du webmaster : Ce récit aborde le thème de la prostitution en tant
que fantasme féminin. Et ben, oui ça existe ! Et ça existe même plus qu’on
ne le pense ! N’en déplaise a ceux et à celles qui se permettent de juger du
sujet sans en connaître toutes les données ! Ce texte qui se place aussi en
illustration de la liberté de faire ce qu’on veut de notre corps, ne pouvait
recevoir que notre approbation quand à son fond.

Chapitre 1
Claude mon ami et moi Claudia avons eu l’autre semaine une nouvelle
expérience concernant nôtre fantasme. Pendant que nous faisions l’amour, je
dis à Claude que je voudrais concrétiser l’envie que j’ai de me prostituer
et que j’avais l’occasion de vivre une expérience.

Une amie d’enfance que j’avais retrouvée m’avait téléphoné l’autre jour me
disant qu’elle était à O… et qu’une nouvelle boîte s’était ouverte. Cette
amie est une prostituée qui travaille depuis quelques années sur le trottoir
à M… . Elle connaît mes fantasmes et me dit que je pourrais venir l’aider à
l’occasion de l’ouverture de cette nouvelle boîte.
Le patron aime que des femmes sexy et faciles se mêlent à la clientèle.
Celle-ci est composée en particulier de légionnaires. Il y a trois chambres
à l’étage et nous pourrions y travailler après avoir fait connaissance d’un
client au bar.

Claude est hésitant, nous n’avions eu que des expériences qui n’allaient pas
jusqu’au bout des choses.
Moi, j’ai cette envie folle de m’habiller comme une pute, d’aller marcher
dans la rue du côté des quartiers chauds et de me faire aborder comme une
prostituée.
Le fait de me sentir désirable et de sentir les hommes papillonner autour de
moi, prêts à me payer pour me posséder m’excite.
Claude se contente de me suivre et de me regarder quand je joue à la pute
dans la rue. Je me fais aborder mais ne vais pas plus loin. Le fait de me
voir telle une prostituée ne lui déplait pas.
Ce qui l’excite, c’est de faire l’amour à trois. Il aime quand un amant me
prend devant lui, me fait bien jouir et décharge son sperme. II veut
ensuite, quand l’homme est parti, me faire l’amour longtemps.

J’ai dit à Claude que c’était l’occasion de faire cette
expérience et qu’il devrait me permettre d’y aller.
Vendredi, nous sommes allés à O… Nous sommes arrivés vers 17 h. J’avais
demandé à ma coiffeuse une teinture roux cuivré, presque rouge.
Sur les conseils de Claude j’avais forcé sur le maquillage mis des
chaussures rouges avec bride à la cheville, semelles compensées avec talons
de 12 cm, un gilet angora très moulant qui laissait voir mon soutien-gorge,
des bas très fins gris, une jupe mini cuir noir, un porte jarretelles et une
petite culotte de soie. Quand j’étais assise, on pouvait voir le
commencement du revers de mes bas.

En arrivant, nous n’avons pas eu de peine pour trouver cette nouvelle boîte,
dans une petite rue. En entrant, un bar remplis d’hommes jeunes buvant des
bières. Tout de suite le patron comprit qui j’étais et me dit que j’étais
ici chez moi.

J’ai fait sensation, tous les regards sont sur moi. Il nous emmène dans une
arrière salle peu éclairée et nous dit d’attendre Lydia qui va venir. Je
vois que Claude est très excité et se demandait s’il me laisser aller plus
loin. Je l’embrasse tendrement et je constate que son sexe est bandé.

Un homme descend le petit escalier suivi un instant plus tard par Lydia.
Elle a dû finir une passe. Elle vient immédiatement à nôtre table. Je
l’embrasse et lui présente Claude.

Elle est ravie de me revoir, de nous recevoir et me dit qu’elle ne
s’attendait pas à ce que j’accepte sa proposition.
Je vois Claude embarrassé, il ne sait que dire. Lydia comprend son embarras
et lui demande de dire franchement s’il est d’accord pour qu’elle m’apprenne
à faire des passes.
Je me colle, câline, contre lui et lui demande d’accepter.
Il répond qu’il est d’accord mais que nous en rediscuterons après mon
premier client.

Lydia nous fait monter l’escalier pour nous montrer ma chambre qui est à
côté de la sienne. Pour ma première fois elle trouvera un client qui veut
deux femmes et elle me guidera pour mes débuts.
Claude pourra rester dans l’autre chambre en attendant.

Elle trouve que je fais vraiment pute et que les clients n’allaient pas
manquer.

Pour les préservatifs, j’en ai dans la chambre. Je t’expliquerai comment
faire si tu veux mettre les nouveaux pour femmes qui s’introduisent dans le
vagin. J’ai aussi du gel lubrifiant.

Je lui demande de rester un moment avec Claude avant de descendre.
Il prend le prétexte pour dire qu’il veut de me prendre un peu pour me
dilater le vagin afin de m’ouvrir pour que je n’aie pas mal avec le premier
client. Il met un peu de gel sur sa verge et pénètre profondément pour bien
me lubrifier le vagin.
Claude n’avait jamais eu une verge aussi dure. Il est vraiment excité. Je
lui dis :
 » Tu sais Claude, tu es vraiment un amour de me laisser vivre mon fantasme
« .

On est venu demander à Lydia de descendre car il y a beaucoup de monde dans
la salle.

 » A tout à l’heure mon chéri, tu sais, tu m’a bien préparée et quand j’aurai
fait ma première passe, je viendrai te le dire « .

Je suis partie cul nu, Lydia m’avait dit que les prostituées tapinent ainsi
sans slip.
Nous avons fait beaucoup de bruit en descendant à cause de nos talons hauts.
Il faut nous tenir à la rampe car l’équilibre n’est pas évident si haut
perchée.

Lydia me dit de rester avec elle en entrant dans le bar. Elle avait remarqué
que deux de ses anciens clients étaient là et lui avaient fait un signe. Sa
tactique était de ne pas tapiner au bar, mais de se faire voir et ensuite de
s’asseoir à une table dans le salon arrière.

Les deux jeunes hommes ne tardent pas pour venir nous demander s’ils
pouvaient s’installer à nôtre table. Ils parlent à peine le français, ils
ont un fort accent allemand. Lydia me dit que ce sont des légionnaires
qu’ils sont ses clients. Ils ont l’air timides.
Ils nous demandent si nous pouvons les recevoir. Ils veulent faire l’amour
dans la même chambre, le grand avec Lydia et l’autre avec moi. C’est 80
euros par personne et ils sont d’accord.
Dans la chambre, il y a un grand lit. Nous enlevons nos jupes mais je garde
mon petit boléro angora qui laisse à découvert mon nombril. Nous gardons nos
sous-vêtements et nos chaussures.
Lydia demande au grand de venir se laver au lavabo. Il a une grosse verge en
érection. Elle le lave soigneusement et lui enfile un préservatif lubrifié.
C’est à mon tour de laver la verge de mon client. Il essaye de m’embrasser
mais je refuse. Il essaye de m’attirer contre lui en me tenant par la
taille. Je ne résiste pas et je me frotte contre lui pour l’exciter.
C’est à mon tour de lui mettre la capote. Il est bien musclé et me plait. Je
lui demande de s’allonge sur le lit à côté de l’autre couple. Elle est en
train de le sucer.

Moi, assise au bord du lit, je lui ai pris la verge entre mes mains et
commence à lui sucer le gland. En deux minutes je sens qu’il est prêt à
jouir. J’arrête et lui demande dans quelle position il veut me prendre.
Il veut que je vienne sur lui. Je me mets à califourchon, prend sa verge et
passe son gland sur ma vulve. Il est délicat, il ne cherche pas à me
défoncer et en étant sur lui je peux régler la longueur de sa pénétration.
Il se laisse faire.
Je m’excite de plus en plus lorsque sa verge atteint mon point G. Je
m’attarde sur ce point, mon plaisir est intense. Maintenant il peut entrer
sa verge à fond dans mon vagin il doit être bien à l’aise. Je mouille et
avec le lubrifiant en plus il peut me pénétrer facilement sans me faire mal.
Peu de temps après je sens son membre se raidir encore plus et ses soupirs
indiquent qu’il va vider son sperme. Je vais aussi prendre mon plaisir quand
je le sentirai éjaculer.

Lydia en a terminé avec son client. Ils sont couchés près de nous et nous
regardent. Tout cela m’excite au point que je jouis en même temps que mon
légionnaire. Elle s’aperçoit de mon plaisir et me dit :

 » Tu es une belle salope « .

On se rhabille et je dis à Lydia que je vais dans la chambre de Claude pour
lui expliquer mon aventure.

Il est étendu sur le lit et se masturbe. Je m’allonge près de lui. Il me
serre dans ses bras et m’embrasse à pleine bouche. Nôtre fantasme s’est
réalisé et je ne vais pas lui cacher que j’ai joui formidablement avec mon
client.
Il est tellement excité qu’il m’a prise comme une chienne.

Je n’ose pas encore dire à Claude que j’aimerais bien continuer à aider mon
amie encore demain soir. J’ai une grande envie de continuer cette
expérience.

Le lendemain vers 9 h. on frappe à la porte. C’est Lydia avec son ami qui
est venu la rejoindre dans la nuit. Elle nous présente et nous invite à
déjeuner dans un restaurant à la campagne pas bien loin d’ici.

Je vais m’habiller plus sagement. A midi il n’y a pas besoin d’aguicher. Un
maquillage léger et nous sommes prêts pour partir.
Ils ont une très belle voiture que conduit son ami.
Arrivés, nous prenons l’apéritif et une conversation s’engage. Nous parlons
de choses et d’autres et au cours de la conversation je lui dis :  » une
chose m’intéresse, je n’ai jamais su pourquoi tu avais commencé le tapin.  »

Voila me dit-elle :
 » En sortant de l’école de secrétariat j’ai trouvé une place ou je suis
restée dix ans. Je suis devenue la maîtresse de patron. J’avais acheté un
bel appartement à crédit et une belle voiture. Les remboursements devenaient
difficiles.
Il y a dix ans j’ai rencontré Lucien, mon ami. Il m’a dit il faut quitter
ton patron et travailler pour toi. Essaye de te faire des clients généreux.
J’ai travaillé dans des bars, mais c’est sur le trottoir que je faisais le
plus d’argent. J’ai appris à faire jouir les hommes rapidement et avec
certains je prend mon plaisir tout en étant payée. Je me sens belle et
désirable et l’argent facile me permet de m’habiller à mon goût et de
pouvoir me payer des voyages, salons de beauté et coiffeurs.
Lucien n’habite pas avec moi, il travaille à 100km et l’on se retrouve du
vendredi au lundi chaque semaine. Il m’attend et l’on fait l’amour lorsque
j’ai terminé mes passes. Je lui ai toujours été très fidèle, je l’aime
voila.  »

Au digestif elle me demande de rester avec elle jusqu’à la semaine
prochaine. Claude na pas l’air enchanté mais câline je me penche vers lui,
ma main s’égare sur son sexe. Il bande. Chéri, laisse moi avoir ce plaisir.
Tu reviendras me chercher vendredi prochain. J’ai vraiment envie de rester
ici avec Lydia…

Depuis ce temps, je ne vis plus avec mon ami Claude. Cependant, nous nous
voyons toujours régulièrement le week-end. Il travaille et vit de son côté,
loin d’ici. De mon cotée je travaille maintenant avec Lydia.

Oui, je ne vous l’avais pas dit, je suis devenue la maîtresse de Lydia. Elle
m’a fait découvrir le plaisir des lesbiennes et je n’ai pas résistée. Je
vous en reparlerai dans un autre récit.

Donc je reprends le cours de mon histoire.
Dimanche après le déjeuner nos hommes Claude et Lucien sont rentrés pour
reprendre leurs activités professionnelles.

Peu après leur départ les dirigeants d’une équipe sportive étaient là pour
voir si l’on pouvait organiser une troisième mi-temps.

Ces dirigeants veulent savoir si nous sommes disposées à recevoir l’équipe,
il y a une vingtaine d’hommes qui sont sans doute en pleine forme. Il payera
en fonction du nombre d’hommes que nous passerons.
Lydia est d’accord mais lui dit que nous ne pouvons pas passer tout son
monde.

Lydia me fait monter pour me préparer. J’ai envie de mettre un soutien-gorge
assorti à un porte jarretelles de couleur mauve. Des bas avec un talon foncé
et une couture noire. Cette jupette noire en soie m’ira très bien. Elle me
moule bien les fesses.

Une demi heure plus tard, j’entends que tout ce monde est là, chantant et
plaisantant. Ils ont déjà bu un peu et l’ambiance est chaude.

Lydia est là, merveilleuse de beauté et de sensualité. Elle me dit qu’il
faut descendre car même bien excités, il faut quand même dix à quinze
minutes par client. Elle m’embrasse tendrement et me dit qu’elle en passera
un maximum vu qu’elle a beaucoup de métier.

Nous entrons dans la salle et tout le monde se tait. Quelqu’un siffle
d’admiration en nous voyant. Nous nous installons sur un tabouret de bar au
milieu de tous ces hommes. J’aime bien mettre mes jambes en évidence. Sur
ces tabourets hauts, l’on voit presque la jointure de mes revers de bas et
de mes cuisses. J’aime être bien chaussée avec des talons démesurément hauts
car mes clients me disent être excitée par des jambes si longues. Avec ces
chaussures la démarche est particulière et ils font ressortir le bombé des
fesses. J’ai mis ce soir des chaussures en cuir verni avec une mince bride à
la cheville.

Nous convenons avec l’homme le plus en verve que deux de ses copains
monterons pour une première passe et ensuite, quand ils auront fait leur
affaire, ce sera le tour de deux autres.

Je monte dans ma chambre et presque tout de suite j’entends des pas dans
l’escalier, j’ouvre ma porte. J’ai enlevé ma jupe, passé une nuisette
transparente avec des bordures en plumes de cygne et me tiens sur le pas de
porte. Un homme arrive, il est passé devant l’autre et vient vers moi, il
m’a choisie.

Lorsqu’il passe devant moi je vois qu’il aune grosse bosse à sa braguette.
Avec l’habitude, je sais tout de suite qu’il n’y en aura pas pour longtemps
à le faire jouir. Il doit être déjà bien excité. :

– Bonsoir mon chéri, déshabille-toi un peu je vais te laver au lavabo.

Je le place contre la cuvette et lui savonne sa verge soigneusement. Ce doit
leur faire la même sensation que lorsque je les suce car ils prennent une
érection formidable. Je lui déroule une capote sur son membre et lui dit de
se coucher.

Je m’apprête à prendre dans ma bouche son sexe mais il refuse. Il me demande
de marcher dans la chambre et il se masturbe doucement en me regardant. Je
sais que je suis excitante dans cette tenue.
 » Maintenant je vais te sucer avant que tu jouisse seul « .
 » Tu veux que j’aille sur toi « ?
Non, il veut me prendre  » à la papa « . Je prends sur la table un tube de
lubrifiant et j’entre le gel avec le doigt le plus loin possible dans mon
vagin.
Je me couche et j’écarte les cuisses pour qu’il puisse s’introduire.
Je m’arrange pour qu’il ne me pénètre pas d’un coup. Sans doute il ne tient
plus car je sens qu’il essaye de me pénétrer complètement. Je me tortille un
peu et c’est l’avalanche. Je sens à travers la capote son sperme s’écouler.
Encore quelques secondes et je me retire. Il débande à peine quand je le
ramène au lavabo pour le nettoyer de son sperme.

Et d’un, il ma fallu dix minutes pour le premier. Quand il sort, je vois sur
le palier que son copain quitter Lydia, elle travaille vite.

Avant que d’autres clients reviennent, Lydia vient vers moi, applique sa
bouche contre la mienne et m’embrasse profondément. Je suis aimée par les
hommes et les femmes ! Quel bonheur.

Je suis maintenant avec mon cinquième  » sportif « . Le téléphone sonne, on me
demande si d’autres clients peuvent monter. Cette fois j’ai eu ma ration et
je dis que je suis fatiguée. On insiste, j’ai leur dirigeant qui veut à tout
prix vous connaître.

Soit j’accepte, je vous dois bien ça vous avez été gentil pour moi en me
permettant d’assouvir mes fantasmes.

J’en termine avec mon cinquième. Ils se croisent sur le palier. Le suivant
est un homme assez grand, la soixantaine grisonnante et un petit  » bedon « .
C’est le dirigeant.
En le frôlant je ne sens pas de bosse sous son pantalon. Il se déshabille et
je l’amène au lavabo. Il bande mou même après une friction au savon.
Il me dit que ses envies sont grandes mais qu’il ne peut pas maintenir son
érection quand il baise sa femme. Ils sont en conflits à cause de cela. Il
faut que j’emploie les moyens que m’a apprit Lydia. Je cherche dans mes
affaires un  » cok-ring  » pour lui serrer sa verge et ses testicules.

Voila qui est fait, il bande, mais je ne voudrais pas qu’il perde la capote
dans mon vagin s’il débande. Alors pour me protéger je vais m’enfiler ces
nouveaux préservatifs pour femmes et il restera  » à cru « .
Je le déballe et avec mon doigt je l’introduis le plus profond possible dans
mon vagin.

Je lui mets alors sur son sexe un préservatif sans gel et commence à le
sucer. J’y mets toute ma technique, je ne veux pas le garder une heure dans
moi.
Il commence à grogner de plaisir. C’est le moment, je lui enlève la capote.
Je vais le prendre sur le côté pour qu’il puisse me prendre profondément.
Je l’ai bien besogné car il éjacule presque tout de suite. J’ai bien
travaillé.

Je me lève et vais au bidet en faisant attention à ce que son sperme ne
coule pas entre mes cuisses.
Cet homme est heureux, il ne pensait plus faire l’amour comme cela. Il veut
me revoir et me demande mon numéro de téléphone. Il me dit qu’il me fera de
beaux cadeaux.

Comme moi, Lydia a fini son travail elle est aussi fatiguée. La troisième
mi-temps se termine.
Je vais me mettre au lit près d’elle et téléphone à Claude pour lui
expliquer mes aventures. Elle me caresse nous sommes heureuses…

Quelques jours après…
Quelques jours après je reçois un téléphone du dirigeant de l’équipe qui
était venue faire la fête.

Vous souvenez-vous de moi je suis celui que vous avez comblé l’autre soir.
Je doutais de moi car je ne pouvais plus honorer ma femme. J’ai vu avec vous
que toute ma puissance n’était pas perdue. Je l’ai dit à mon épouse que vous
aviez la technique pour que je puisse arriver à mes fins. Je lui ai proposé
de vous rencontrer. Vous seriez nôtre conseillère en amour charnel.
J’aimerais que vous acceptiez. Vous seriez bien récompensée. Je vous propose
que nous allions manger au restaurant pour définir cela.

Rendez-vous pris nous avons fait connaissance le lendemain.
Je vous présente Emma et mon prénom est René.
Elle était dans la cinquantaine encore belle. Des seins un peu lourds
peut-être.

Il me présente en lui disant que je pourrais mieux qu’un sexologue donner
des conseils et plus si je le voulais.
Ce couple avait envie de poursuivre ensemble mais il lui manquait d’un peu
de piment et d’habileté.

A la fin du repas, je leurs dis venons en aux choses pratiques si vous le
voulez bien.

Demains vous irez ensembles dans une boutique coquine acheter les
sous-vêtements qui font rêver vôtre mari. C’est René qui choisira à son goût
ce qui lui fera plaisir. Je sais qu’il aime les porte-jarretelles et les
soutiens-gorge fantaisie. Vous demanderez de beaux bas. Vous irez ensuite
chez le marchand de chaussures. Je vais vous donner l’adresse. Celles que je
portais ont fait fantasmer René. Puis nous prendrons rendez-vous.

Je vous propose ensuite de venir à ma chambre. Si vous en avez le temps,
faites épiler vôtre sexe Emma.

Le lendemain, en fin d’après-midi ils étaient là. Elle était finement
parfumée, chargée de paquets. Lui, qui avait organisé tout cela paraissait
penaud.

Il a apporté me dit sa femme du champagne pour fêter notre rencontre et nous
donner un peu d’allant.

Je demande alors a René de descende au bar, nous voulons être seules pour
nous préparer à vous faire une surprise.

Nous voila seules et j’en profite pour lui dire :
 » Vôtre mari vous aime je crois et il ne tient qu’à vous de bien faire. Pour
ma part, j’essayerai de vous aider à le reconquérir « .

Moi je suis déjà prête, sous mon peignoir je suis en petite tenue. Il faut
maintenant que je vous prépare. Déshabillez-vous, vous allez revêtir les
petits dessous qu’il a choisi.

Ni une ni deux, voila chose faite, elle n’a pas fixé ses bas car il faut
régler la longueur du ruban élastique de la jarretière. Mettez-vous debout,
je vais les accrocher, il faut qu’ils soient bien tendus. Et les chaussures
ou sont-elles ?
Les voila. René n’a pas regardé pour la dépense. Ils sont en chevreau violet
avec une intercalaire de 3 centimètres et des talons de 12.

 » Asseyez-vous sur le lit, je vais vous chausser « .
J’accroche le bracelet de cuir à sa cheville et je remarque ses ongles
rouges bien manucurés.
Maintenant vous allez vous lever mais faites attention à l’équilibre.
 » Vous n’aurez pas besoin de marcher beaucoup, elles sont plutôt faites pour
le lit « .

 » Venez vous voir dans le miroir, vous êtes belle « .
Je vois qu’elle est contente, elle s’admire, elle me dit que jamais avant ce
jour elle n’aurait osé s’habiller de la sorte tellement elle trouve qu’elle
fait poule.

Je vous rassure, c’est cela qui plaira à René.

Je vais téléphoner à votre mari de venir mais avant if faut que je vous
explique la mise en scène que nous allons faire.

Tout d’abord il faudra vous dévergonder pour qu’il pense qu’il est avec deux
poules. Il ne faut pas qu’il pense à faire l’amour à sa femme, vous
deviendrez dans son esprit sa maîtresse. N’ayez pas de retenue. Vous ferez
ce que je vous demande.

On lui dit de monter, êtes-vous prête ?
 » Oui. »
Il arrive, sa femme est au lit, couverte jusqu’à la tête. C’est la surprise.
Moi, j’enlève mon peignoir, je suis en petite tenue.

 » Ce soir vous allez vous payer deux femmes. Il faudra assurer « .
Il s’est déshabillé, il est nu.

 » Maintenant découvrez vôtre femme « .

Il reste ébahi en retirant le drap. Ce n’est pas possible. Je ne la croyais
pas aussi excitante.

 » Levez-vous Emma et placez-vous comme cela. Il va venir derrière vous se
frotter contre vos fesses « .

 » Oh chéri, je sens ton érection « .

Venez avec moi au lavabo, nous allons le laver. Les hommes aiment bien se
laisser faire. Il n’y a guère que les prostituées pour avoir cette
pratique.

 » A présent René, étendez-vous sur le lit, nous allons venir nous asseoir de
chaque côté « .

Je vais commencer par lui mettre un préservatif car c’est moi qui vais
commencer. Je vais vous montrer comment je fais.

D’une main, je lui enserre le sexe et avec mes lèvres je lui suce le gland.
Je lui donne de petits coups de langue sur le méat et sur le frein. Ma main
sent son membre durcir. A ce moment je fais glisser mes lèvres le plus loin
possible vers la base de son pénis comme si j’avalais son sexe. Je reviens
de suite à son gland, recommence à le titiller et ainsi de suite.

 » Enlevez-lui la capote c’est à vous de continuer « .

 » Si vous sentez que son érection tient bien, arrêtez et demandez lui dans
quelle position il a envie de vous prendre « .

S’il veut que vous alliez sur lui, vous aurez le commandement et c’est vous
qui ajusterez la profondeur de la pénétration.
 » Oui, il le veut « .

Enjambez-le et venez en tenant son sexe d’une main le caresser sur vôtre
vulve. Vous sentirez son désir de pénétration et presque d’un coup, si vous
êtes bien lubrifiée laissez-vous pénétrer bien profond.

Faites le ressortir et avec vos hanches faites un mouvement de rotation sur
son gland et laissez-le à nouveau pénétrer.
 » Voila, c’est bien.  »
 » Continuez ainsi « .
 » Maintenant il est prêt, accélérez le mouvement, il va jouir. Oui !  »

Elle émet de petits cris, elle prend son plaisir en même temps que lui quand
elle sent le sperme chaud dans son vagin.

Moi je me caresse en voyant ce couple si heureux.

Ils m’ont embrassée en me quittant, bien contents de retrouver leur jeunesse
sexuelle qu’ils croyaient perdue.

J’ai trouvé mon cadeau que René a laissé discrètement. Il est généreux.

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4 réponses à Le fantasme de Claudia par Claudia01

  1. Bertrane_TV dit :

    Joli texte plein de choses intéressantes. Merci Claudia et bisous ♥

  2. Chandernagor dit :

    Dommage que le style soit abominable parce que l’intention est bonne

  3. Sonia Kubler dit :

    « Le fait de me sentir désirable et de sentir les hommes papillonner autour de moi, prêts à me payer pour me posséder m’excite. » Tout est là ! Il est là le fantasme et qu’on ne vienne pas me dire que ça n’existe pas. Merci Claudia pour ce texte qui met les pieds dans le plat ! ♥ ♥ ♥

  4. Claire dit :

    Un texte intéressant et plutôt émoustillant d’autant que nous avons là un joli pieds de nez à tous les néo-moralistes qui nous pourrissent la vie avec leur prêt à penser.

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