Un beau dimanche de printemps par petitlapinou



Un dimanche après-midi de printemps, nous décidions, mon épouse et moi d’aller au cinéma. La température était fraîche mais le soleil brillait. Sophie était vêtue d’une jupe noire assez courte, d’un chemisier blanc légèrement transparent et de bas, pour me faire plaisir. Elle est vraiment belle comme cela. Elle a 33 ans et moi j’en ai 5 de plus. Elle est toujours aussi désirable après 10 ans de mariage, ses deux grossesses lui ont donné plus de seins et des fesses bien rondes.

Le choix du film a été vite fait, là où il y avait le moins de monde. Le film n’était pas d’une première jeunesse, mais nous ne l’avions pas vu. Après avoir acheté nos places, nous nous retrouvâmes dans la salle encore éclairée et pratiquement vide. La rangée du fond eut notre préférence. Sophie retira son manteau que je posai à mes côtés. Je la pris dans mes bras et nous avons échangé de langoureux baisers. Je sentais mon épouse très sensuelle. La séance débuta par un documentaire animalier au Kenya, puis les pubs et l’entracte. Nous achetâmes quelques douceurs, puis la salle s’assombrit et le film commença.

Cinq minutes après le début, un monsieur que j’estimerai d’une cinquantaine d’années vint s’asseoir près de mon épouse. Je voyais bien qu’il était bien plus intéressé par les cuisses de Sophie que par le film, faut dire que dans cette position elle laissait deviner le haut de ses bas.

J’observai la manœuvre du monsieur, qui avança lentement son genou vers celui de mon épouse qui, à son contact me regarda mais ne bougea pas. Je lui murmurai de le laisser faire pour voir jusqu’où il irait. Son genou montait et descendait. Il se frottait lentement à celui de ma femme qui restait imperturbable.

Se croyant encouragé, ce monsieur posa sa main sur son genou que je sentis frémir. Je jetai un coup d’œil autour, nos plus proches voisins se trouvaient trois rangées plus bas. Pour l’encourager, je déboutonnai le haut du chemisier et passai ma main à l’intérieur et pris son sein libre. Elle ne portait pas de soutien-gorge, comme j’aime le lui demander. Je sentis son mamelon se durcir et Sophie me tendit ses lèvres.

Le monsieur lui, avait sa main sur la cuisse gainée de Sophie et progressait sous sa jupe. Elle ne réagissait pas négativement et je pensais qu’elle y prenait un certain plaisir. La main avait entièrement disparu sous la jupe et d’après la respiration saccadée de mon épouse, elle ne devait pas être très loin de son string.

Sophie posa sa main sur mon pantalon déformé par une érection provoquée par cette vision de mon épouse se laissant caresser par un inconnu. Elle écarta ses cuisses pour permettre à l’inconnu d’aller plus en avant dans son exploration. Sa jupe remonta et je vis la blancheur de ses cuisses au-dessus de ses bas. La main atteignit son but. Sophie gémissait en écartant encore ses jambes. On voyait maintenant le mini string. Notre nouvel ami avait sorti son sexe et se masturbait d’une main, pendant que l’autre caressait Sophie. Je voyais ses doigts disparaître sous l’étoffe qu’il écartait pour mieux la pénétrer de ses doigts.

Il semblait bien s’y prendre car ma femme se laissait faire et faisait même tout pour lui faciliter la tâche. L’homme pressait son bouton d’amour du pouce pendant que deux de ses autres doigts fouillaient les profondeurs de la femme de ma vie. Elle me branlait toujours à travers le pantalon. J’ouvris alors complètement son chemisier pour qu’il puisse admirer sa lourde poitrine. Il se pencha et en suça les tétons avec délectation. Sophie contenait difficilement des râles de plaisir et serrait fort mon sexe par-dessus mon pantalon.

La main de notre inconnu était de plus en plus active dans le sexe de ma femme pendant que de l’autre, il lui massait les seins délicatement et avec une certaine adresse étant donné ses réactions. Sous l’emprise du désir, elle a lâché mon sexe, mais se saisit de celui de l’homme et commença à le branler énergiquement. Il attrapa Sophie par la nuque et la dirigea vers son sexe. Elle comprit ce qu’il voulait. Je n’en revenais pas, je perdais complètement le contrôle des événements. Je n’eus pas le temps de retenir ma femme qu’elle l’avait déjà en bouche et lui se répandait en gémissant.

Ma femme resta soudée à sa queue quelques instants. Puis après avoir plusieurs fois dégluti, elle se redressa en remerciant l’inconnu. Elle se retourna vers moi et me dit :

– Je te présente Albert, mon amant depuis 3 semaines. Toi qui fantasmais d’être cocu eh bien voilà, c’est fait.
– Mais, mais, quoi, mais c’est pas possible, je ne voulais pas que ça se passe comme ça !
– C’est la différence entre le fantasme et la réalité mon chéri. Je te laisse regarder la fin du film, je vais finir la journée chez Albert. Je te rejoins à la maison. Ne t’inquiètes pas je serai là vers minuit.

C’était un coup monté par ma femme, je n’en revenais pas. J’étais comme complètement estomaqué. Ils avaient vraiment tout prévu. Elle m’embrassa à pleine bouche, me faisant goûter au sperme d’Albert, qui s’était rajusté et sans rien dire, ils descendirent les escaliers de la salle. Je fus encore plus surpris lorsque je les aperçus entrer dans les toilettes. Ne les voyant pas en sortir après dix minutes, je me précipitai pour voir ce qu’il s’y passait. Je ne fus pas déçu. Accoudée au lavabo, ma femme était en train de se faire baiser par Albert. Un autre homme les regardait en se branlant. L’homme qui ne savait pas que j’étais le mari de Sophie me dit :

– C’est une sacrée salope celle-là, elle vient juste de me sucer. J’ai trop envie de la baiser.

Je n’en revenais pas : ma si douce épouse qui se fait baiser dans les chiottes ! Et le plus étrange, c’est que je bandais de la voir ainsi. J’essayais de regarder le sexe de son amant, mais avec la jupe de Sophie qui retombait, je ne voyais pas grand-chose. Lorsqu’elle la releva, je m’aperçus qu’elle se faisait sodomiser. Elle qui ne m’a accordé cette faveur qu’une fois au début de notre mariage, se faisait enculer par un amant de 15 ans son aîné et devant un autre homme en plus ! Elle semblait aimer ça, elle gémissait, activait son bassin pour aller à la rencontre de la queue qui la possédait, me regardant parfois dans les yeux. Albert allait au plus profond des entrailles de ma femme dans une cadence régulière. Il se contracta, ses gestes furent désordonnés puis il donna quelques coups de rein brutaux et éjacula dans le petit trou de Sophie. Il se retira et je pus voir l’anus dilaté de ma femme ruisselant de sperme. Il ne resta pas béant longtemps, l’autre homme prit la place aussitôt. Il la pénétra d’un trait, puis commença à coulisser dans son trou le moins lisse avec une certaine violence.

Ma femme gémissait de plaisir sans discontinuer. Elle semblait vraiment aimer ce traitement de choc. Ne prenant aucune délicatesse, il lui pilonnait violemment l’arrière-train. Ne pouvant tenir longtemps, il éjacula à son tour dans les intestins de ma belle. Puis il se tourna vers moi et me dit :

– Encule là, toi aussi, elle aime ça cette pute !
– Eh oui ! Profitez-en aussi tant qu’elle est chaude, renchérit Albert avec un sourire en coin.

Je me faisais inviter à enculer ma femme par un inconnu, ça devenait surréaliste. Mais j’acceptais la proposition, bien trop excité pour faire le difficile. Je plongeais mon sexe dans l’anus débordant de sperme de ma femme. Elle se retourna et me dit en me repoussant :

– Non, pas toi, je ne peux pas avec toi.
– Mais pourquoi ?
– J’ai pas envie. Albert, donne-lui une capote, je vais le branler.
– Quoi, mais tu ne vas pas me faire ça…
– C’est ça ou rien ! Choisis !

Je pris le préservatif que me tendait Albert et le glissait sur mon membre qui était maintenant douloureux d’excitation. Elle se mit à genoux sur le carrelage et me branla rapidement sans délicatesse. Albert présenta son sexe à la hauteur du visage de Sophie qui le prit en bouche sans hésiter une seconde. Elle tira sur mon sexe vers le bas pour que je mette à genoux à côté d’elle. Je voyais distinctement ses joues se creuser, ses lèvres se déformer par la fellation qu’elle prodiguait à son amant. Elle salivait copieusement. J’étais fasciné par ce sexe qui coulissait dans la bouche de ma femme, cette si jolie et si douce mère de famille.

Tout en continuant de me masturber, elle présenta le sexe d’Albert devant mon visage, toujours sous l’effet de la fascination et de ces moments tellement inhabituels que je venais de vivre, je pris en bouche pour la première fois de ma vie un pénis. Je me suis mis à le sucer sensuellement, je m’appliquais à faire cette fellation comme j’aime qu’on le fasse pour moi. Albert semblait vraiment aimer ce que je lui faisais. Je prenais plaisir à sentir cet homme dans ma bouche, sur ma langue, glisser entre mes lèvres. J’étais dans un état second, j’appréciais la douceur et la chaleur de ce pénis. J’aimais lui procurer du plaisir.

Mais il se retira et l’autre homme se présenta à moi. Je le pris aussi entre mes lèvres, son sexe avait encore les odeurs de la sodomie qu’il avait pratiquée avec ma femme, cela me rebuta un peu puis, de nouveau, je me sentis fier de donner du plaisir à un homme. Je m’appliquai autant que pour Albert. Je bandais toujours mais ma femme ne me masturbait plus, elle me regardait en souriant et me disait parfois :

– T’es une bonne petite cochonne, une bonne suceuse.
– Je la sodomiserais bien ta copine, poursuivait Albert.
– Elle pompe comme une reine, cette pute, continuait l’inconnu que je suçais.


Il me bloqua alors la tête entre ses mains et se mit à me baiser la bouche. Parfois son sexe allait si profond que j’en avais des haut-le-cœur. Cela ne dura pas longtemps car il éjacula loin dans ma gorge. Il remonta son pantalon et se dirigea précipitamment à l’extérieur. J’étais un peu sonné par cette expérience. Je restais quelques minutes allongé sur le froid carrelage, la bouche pleine de sperme. Je me relevai et m’aperçus que ma femme et Albert avaient également disparu. Je suis rentré chez moi et j’ai enfin pu me branler et évacuer le trop plein d’excitation.

Je suis allé chercher les enfants chez leur grand-mère. Sophie, comme promis, est rentrée à minuit, elle était couverte d’odeurs de sperme. Elle me présenta sa vulve et son anus couverts de semences d’hommes. Elle me plaqua sa chatte sur le visage et je me fis un régal de bien la nettoyer de ma langue.

J’ai découvert par cette expérience mon goût pour la soumission. Régulièrement, environ une fois par mois, nous ne pouvons pas plus souvent à cause des enfants, ma femme organise une soirée avec Albert et un ou deux autres hommes. Pendant ces séances, je suis le soumis de tout ce petit monde, je suce ces messieurs, je me fais fesser, attacher, parfois sodomiser, mes contacts avec ma femme sont uniquement pour lui lécher sa petite chatte ou son anus maculés de sperme ou pour la préparer aux nombreuses saillies qu’elle aime subir. Cette soumission, nous la vivons tout de même au quotidien. Je ne lui fais l’amour qu’une fois par semaine avec un préservatif. Les autres jours, je dois me branler et éjaculer tous les matins et tous les soirs devant elle. Elle a des amants et me raconte tout ce qu’elle fait avec eux. Je ne dois pas me toucher pendant qu’elle me détaille ses aventures, pourtant je bande très fort. Avec ses amants, elle se laisse sodomiser, les suce, avale leur semence, elle aime se faire brutaliser et rentre parfois avec des traces sur son corps et sur ses seins. Lorsque ce sont des inconnus rencontrés dans la rue, elle ne leur autorise que quelques caresses buccales s’ils l’ont fait jouir avec leurs doigts.

Je dois dire que je prends beaucoup de plaisir à voir ma femme s’éclater comme elle le fait. Même si je n’ai pas droit à sa petite rosette brune, même si elle ne veut plus que je jouisse en elle, même si ses lèvres ne caressent plus mon sexe, je suis heureux d’être soumis à ma tendre épouse.

 

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5 réponses à Un beau dimanche de printemps par petitlapinou

  1. Pereire dit :

    ce récit est l’un des meilleurs et des plus subtils du site et je serais très content d’en lire la suite !

    • lesueuer dit :

      Dommage que le style soit si académique. Quant au fond on ne pas pas dire que soit très prophylactique. Y’avait de l’idée pourtant !

    • Vorion dit :

      Non ! AMHA vous n’auriez pas du publier ce texte qui est une incitation a des pratiques à hauts risques.

  2. Eddy dit :

    J’ai accepté de publié ce texte, parce que j’ai trouvé le concept intéressant, mais quand on nous raconte qu’une femme se fait sodomiser dans les chiottes d’un cinéma par un inconnu et sans préservatif, je me pose des questions… Je sais bien que ce n’est qu’un récit mais bon…

  3. Dudule dit :

    Grobof pour le sans capote à répétition :/
    Sinon, c’est pas mal

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