Tendre voisine chapitre 1 par G Fox

Tendre voisine
chapitre 1
par G Fox

Après avoir passé quelques heures à lire ces histoires parfois très sympathiques, je prends à mon tour la plume pour vous raconter quelques-unes de mes aventures.

Il y a une dizaine d’années, j’habitais un appartement dans le vingtième arrondissement de Paris. Célibataire, je profitais alors pleinement de la vie. Cette aventure débute un samedi après-midi alors que je regardais du sport à la télé. La sonnette de ma porte d’entrée m’annonce une visite inattendue. Je vais donc ouvrir. Etonné, je découvre ma voisine du dessus à la limite des pleurs.

– « Oui ? » Lui demandais-je.
– « J’ai peur. Mon chauffe-eau fait un bruit préoccupant. »

Je la suis, légèrement amusé par son état d’affolement. Arrivé chez elle, je constate à mon tour l’étendue des dégâts. Je crains une explosion de son chauffe-eau et comprends mieux son angoisse. La solution me paraît évidente : il faut purger. Fort bizarrement, le tuyau de sécurité arrive directement au-dessus de son évier, mais pas dans la bonne direction. J’active alors le mécanisme de sécurité et je sens immédiatement un désastre proche : de l’eau bouillante fuser partout. Par réflexe, je prends à pleines mains le tuyau et le dirige vers l’évier. Heureusement, la catastrophe est évitée mais je me brûle les mains assez gravement. Inutile de vous dire que la fin de la journée a été plutôt mouvementée : je me suis retrouvé au service d’urgence de l’hôpital le plus proche. Je réintègre mon domicile, un peu abasourdi par cette épreuve, les deux mains bandées et douloureuses.

Le lendemain matin, après une nuit peu réparatrice, j’ai de nouveau la visite de ma voisine que je fais entrer non sans une certaine difficulté (essayez donc d’ouvrir une porte sans les mains…). Elle vient simplement s’excuser et me remercier de mon intervention. Je lui propose un café en lui demandant de bien vouloir s’en charger elle-même, vu mon handicap temporaire. C’est avec un plaisir non feint qu’elle s’affaire alors dans ma cuisine. J’en profite pour mieux la regarder. C’est une femme assez banale, d’une quinzaine d’années mon aîné. Elle porte une petite robe d’été qui cache assez mal ses petites rondeurs. Elle fleure bon le naturel. Pas de maquillage, les cheveux à peine coiffés, elle offre une vision assez agréable. Nous nous installons alors dans le salon après qu’elle ait installé le café, les tasses et le sucre sur une table. La discussion aborde tout naturellement mon nouvel handicap et les difficultés auxquelles je vais avoir à faire face. Sans les mains, tout devient vraiment très difficile. Quelques minutes plus tard, la sonnette m’annonce un nouveau visiteur. Je prie ma voisine de bien vouloir ouvrir. C’est l’infirmière qui vient me changer les bandages. Alors que cette dernière officie, je sens la confusion de ma voisine à la vue des dégâts occasionnés par son chauffe-eau.

– « Combien de temps monsieur devra-t-il avoir recours à vos services ? » demande ma voisine à l’infirmière.
– « Trois semaines et ce, tous les matins. » Telle est la réponse.
– « Pour me faire un peu pardonner, je pourrais effectuer moi-même les soins et éviter ainsi à monsieur d’avoir recours à vos services ? »
– « Rien de plus facile, d’autant que cela m’arrange, ma collègue étant en congés, j’ai du mal à faire face à tous mes malades ».

Je donnais mon accord et voilà comment ma voisine, après avoir écouté attentivement les instructions de l’infirmière est devenue mon infirmière particulière. Le lendemain, suivant nos accords, elle était chez moi vers 10 heures.

– « Houla ! » s’écrie-t-elle en me voyant. « Ca ne va pas très fort on dirait. Vous ne vous êtes pas changé depuis hier, vous n’êtes pas rasé et vous dégagé une odeur plutôt forte » dit-elle en faisant mine de me renifler.

Inutile de vous dire que j’étais peu fier de mon allure générale mais je n’avais pas eu le temps de maîtriser certains aspects des inconvénients liés à mon nouvel état.

– « Pour me faire pardonner, je vous prends en charge ».

En disant cela, elle affichait un petit sourire coquin que je jugeais, sur le moment, comme un simple signe de sympathie.

– « D’abord, un bon café ne nous fera pas de mal. »

Prenant le rôle de la parfaite femme d’intérieur, la voilà donc partie nous préparer le breuvage annoncé.

Après nous être installés dans le salon, elle me raconte un peu sa vie. Divorcée depuis 15 ans, sans enfant, elle travaille pour une grande société en informatique et travail à mi-temps. De plus, elle se trouve être en vacances pour les deux semaines suivantes, sans projet immédiat et qu’elle pourra se consacrer à me faire oublier les désagréments qui sont les miens. Après quelques dizaines de minutes d’une discussion agréable, elle se leva.

– « Bon, commençons par le commencement : à la douche ». Dit-elle.

Je crois bien que j’ai un peu rougi à ce moment là, mais comme cela devenait une nécessité, je la suivais dans la salle de bains. Tout en me racontant maintes futilités, elle se mit en devoir de me dévêtir, chose au demeurant aisée, ne portant qu’un pantalon de pyjama et un tee-shirt. Nullement gênée, elle me poussa doucement sous la douche. Je ne restais pas longtemps insensible au contact de ses mains savonneuses sur le corps. Une fois de plus je surpris son sourire coquin, moins anodin maintenant. C’est le sexe fièrement dressé qu’elle me rinça, en insistant de façon précise sur mon membre et mes fesses. Ruisselant, je sortais de la douche. Prenant une serviette, elle se mit à m’essuyer, faisant preuve d’une douceur agréable dans ses gestes.

– « Je vois un autre incendie que celui que tu ressens sur les mains » me dit-elle, passant grâce à cette promiscuité du vouvoiement au tutoiement. « Il faut que je calme ce feu ».

Et tout naturellement, elle se mit à me branler doucement. Cette caresse était divine et je ne pus résister bien longtemps à un pareil traitement. J’aspergeais sa petite robe de ma semence. Toujours ce sourire coquin sur les lèvres, elle me regarda dans les yeux pour lire le plaisir que je venais d’avoir. Se penchant sans me quitter des yeux, elle vint récolter le reste de mon sperme à sa source. Je frémis de plaisir à ce baiser délicat.

– « Bien, je peux t’habiller maintenant. »

Elle prit un jean et une chemisette dans mon placard et m’aida à m’en vêtir.

– « J’aimerais beaucoup te rendre la pareille »
– « Nous avons tout notre temps. Je vais nous servir un apéritif. »

Ainsi donc, ma voisine, après m’avoir lavé et branlé, nous servit des boissons rafraîchissantes quoique légèrement alcoolisées. Elle prenait un malin plaisir à me porter mon verre aux lèvres. J’appréciais, quant à moi, de plus en plus cette situation. Pendant le repas (une pizza que nous nous étions faite livrer), elle me parla de sa vie amoureuse. Elle m’avoua ainsi pouvoir être chaste pendant plusieurs mois mais que quand l’envie lui prenait, aucun frein n’arrêtait la recherche de son plaisir.

– « Aucune limite entre adultes consentants » C’est ma maxime pour les choses du sexe me dit-elle.

Cette conversation m’échauffait de plus en plus et elle le remarquait la bougresse.

– « Je vois que monsieur est du style militaire : souvent au garde à vous ».

Ce disant, elle se leva et entreprit de me caresser le torse à travers ma chemisette. Elle insistait particulièrement sur mes tétons, les faisant se dresser à mon plus grand étonnement. Elle débarrassa ensuite rapidement la table et me dit :

– « Tu ne peux pas te servir de tes mains, j’espère que ta langue est agile ».

Sans plus ample préambule, elle s’allongea sur la table, retroussa sa robe et la vision de son sexe m’apparu dans toute sa beauté. Sans être surpris par l’absence de culotte, je profitais d’une vue magnifique. Ces lèvres étaient bien dessinées, un peu charnues, gonflées de plaisir que je pouvais d’ailleurs sentir. L’odeur de cet antre féminine, mélange doux amer, m’attirait comme un aimant. Je vins plaquer ma bouche gourmande sur ce puits de bonheur et m’abreuvais de ce nectar au nul autre pareil. Ma langue valait bien mes doigts pour les caresses que je lui prodiguais. Rapidement, un spasme de jouissance l’envahit tout entière. Sans un cri, sans un mot, le plaisir la laissa pantoise sur la table.

Après un court instant de répit, elle se releva et vint m’embrasser pour, à son tour, goûter le fruit de son plaisir sur ma bouche. Mon bas ventre me tiraillait, tant mon sexe, confiné dans mon pantalon, désirait prendre l’air. Elle le comprit, puisqu’elle entreprit de libérer mon membre de son carcan de toile. Me faisant face, elle vint s’asseoir sur moi, les jambes écartées. Mon sexe raidi d’envie trouva naturellement sa place dans son conduit brûlant et humide. J’étais planté au plus profond d’elle. Le bonheur était indicible. Puis, doucement, par de légers mouvements, elle se mit à onduler, accompagnant ses mouvements de contractions vaginales qui me rendaient fou. Le plaisir de nouveau l’a rattrapé, me comprimant le sexe dans un étau brûlant. Je jouis longuement en elle, sentant à chaque secousse l’onde de plaisir qui la parcourait. Reprenant nos esprits, nous nous embrassâmes longuement, mélangeant nos salives. Le petit « plop » incongru que firent nos sexes en se séparant lorsqu’elle se leva nous fit rire tous les deux, heureux de cette complicité naissante, sachant tous les deux que jamais rien entre nous ne serait définitif et que cette connivence n’aurait de but que la recherche de nos plaisirs respectifs.

Comme pour me convaincre de cette pensée, elle se rallongea sur la table, me présentant à nouveau son sexe humide de nos plaisirs. C’est avec bonheur que j’entrepris de nettoyer sa vulve, découvrant le goût si particulier de mon sperme mélangé à ses propres sécrétions, preuves de son plaisir. Ayant mit fin momentanément à nos ébats, elle s’activa dans mon appartement pour me rendre les choses plus faciles : sortir des verres, des assiettes…

– « Tu reste manger ce soir ? »
– « Je m’occupe de tout » me répondit-elle.

Et effectivement, elle s’occupât de tout. Se rendant compte du peu d’ingrédients disponibles dans ma cuisine, elle m’annonça devoir aller faire quelques emplettes.

– « Je ne serais pas longue ».

Après un délicat bisou sur la joue, elle m’abandonna à mes réflexions. Handicapé certes, mais comblé.

L’attente me parut longue jusqu’au son rassurant de ma sonnette. Les bras chargés de victuailles, elle était de nouveau là, le même sourire sur les lèvres, laissant présager d’autres moments de plaisirs.

A ce stade de mon récit, dont j’espère qu’il vous plait, j’informe le lecteur que ce qui suis relève de comportements sexuels pouvant choquer certaines personnes. Donc, si tel est votre cas, interrompez ici votre lecture. Pour ceux qui ont fait de la devise de ma voisine leur credo, j’espère que la suite de mon aventure vous intéressera.

Après avoir rangé les commissions dans la cuisine (j’avais aperçu du saucisson sec, du vin, du pain et moult plats cuisinés) elle me dit :

– « Je passe chez moi prendre quelques affaires et je reviens ».

En me disant ça, je remarquais qu’elle avait fait les courses vêtue de sa robe maculée de mon sperme et sans culotte.

-« C’est vraiment un numéro exceptionnel cette femme » pensais-je tout en guettant son retour. Retour qui fut rapide d’ailleurs. Le soir tombait déjà. La journée m’avait paru des plus courtes.

– « Un petit apéro, mon tendre voisin »
– « Volontiers, tendre voisine. Mais avant, j’ai un petit problème. Tu es partie après m’avoir reboutonner mon jean »
– « Oui, et alors ? »
– « Un pyjama à enlever pour pisser ça va, mais un jean… »

Un grand rire sonore vint saluer ma remarque. Elle me prit par la main et m’emmena dans les toilettes. Elle se mit dans mon dos et entreprit de déboutonner mon pantalon. Au contact de ses mains, mon sexe fut pris de velléité et commença à se redresser.

– « Ca ne va pas être pratique » dit-elle.

Sur ce, elle me retira alors mon pantalon et vint s’asseoir sur les toilettes. Mon sexe à demi bandé était à la hauteur de sa bouche. Resserrant les lèvres comme pour siffler, elle se mit à souffler sur mon sexe. La sensation de fraîcheur interrompit la montée de sang et l’envie d’uriner me reprit de plus belle.

– « Viens dans ma bouche »

Sa voix s’était plus roque en me disant ça. Je compris alors le sens profond de sa maxime : pas de tabous, pas de limites.

– « Et ta robe ? »
– « Allez ! Viens ! » fut sa seule réponse.

Comme j’aurais aimé lui caresser le visage à ce moment là. Elle me prit le sexe délicatement et le dirigea vers sa poitrine. Un flot brûlant vint frapper violemment ses seins au travers de la fine étoffe. Je frissonnais de plaisir en inondant ma voisine de mon urine chaude. Elle redressa alors mon membre et dirigea le jet sur sa figure. Une lueur de plaisir intense pouvait se lire dans ses yeux. J’étais au paradis. Rapprochant encore son visage, sa bouche vint happer mon sexe pour s’abreuver des dernières gouttes. Soulagé et heureux, je la redressais et délicatement vint poser ma bouche sur la sienne. Une nouvelle saveur, mélange subtil de salive et d’urine, parfumait sa bouche.

– « Et notre apéro ? On se le prend ? » dit-elle.

C’est donc toute dégoulinante d’urine, la robe en triste état, qu’elle allât s’asseoir dans le salon. Toujours les fesses à l’air, je la rejoignis.

– « Je te prépare ma boisson favorite ? » me demanda-t-elle.
– « Oui, tendre voisine, ce que tu boiras, je le boirais… »

Prenant deux verres, elle les remplit au tiers de whisky. Un deuxième tiers de coca vint s’ajouter au breuvage. Se levant, elle vint se camper devant moi. Relevant sa robe, elle approchât alors le verre de son sexe, juste sous mes yeux. Un puissant jet d’urine vint compléter la boisson préférée de ma voisine. Elle avait une certaine maîtrise car pas une goutte n’échappa au verre. Le deuxième verre reçut lui aussi cette offrande particulière. Après avoir goutté son cocktail, elle approcha doucement mon verre de mes lèvres. Saveurs exquises mélangées, je dégustais ce nectar en félicitant la barmaid.

– « De m’être arrêtée pour ne pas en mettre partout, j’ai vraiment envie maintenant » me dit-elle sur un ton suave.

Affichant alors un sourire sur mes lèvres, je me levais et allais à mon tour m’asseoir sur les toilettes. Elle vint se mettre devant moi. Sa toison à hauteur de mon nez, la bouche sur son sexe. La position était assez inconfortable mais très excitante. Son antre dégageait l’odeur de sa première miction et m’affolait les sens. Sans avertissement, son urine jaillit sur moi, trempant immédiatement ma chemise. Le goût de son urine dans la bouche me rendit fou. Une fois fini, elle souleva d’avantage une jambe et je pus laper son sexe pour en extraire les dernières gouttes. Elle se trémoussait de plaisir et jouis une fois encore. La rapidité avec laquelle elle arrivait à la jouissance était nouveau pour moi. Cela ne m’en plut que d’avantage. Pour épargner mon canapé, nous nous installâmes par terre, sur un tapis qui n’avait plus rien à craindre.

– « Que dirais-tu d’un peu de saucisson avec l’apéro ? » me demanda-t-elle.
– « Je ne dis pas non, tendre voisine ».
– « Ne bouge pas, tendre voisin ».

Quelques instants après, elle revint de la cuisine où apparemment elle avait préparé le dit saucisson. A ce moment là, je lui trouvais une démarche assez bizarre mais m’abstint de tous commentaires. Dans sa main elle tenait un demi-saucisson dont elle avait enlevé toute la peau.

Elle se rallongea à côté de moi mais tête bêche. Elle souleva alors sa jambe. L’autre demi-saucisson était planté dans son anus.

– « Viens le manger à la source »

Je me penchais, plaçais ma tête entre ses fesses et entrepris de croquer un bout de salaison. Tout en la regardant dans les yeux, je soulevais alors une jambe. Elle avait ainsi accès direct à mon petit trou, dont je savais qu’il accueillerait avec bonheur un quelconque hommage. Elle se pencha à son tour et sa langue vint titiller mon anus qui s’ouvrait sous la caresse. Satisfaite de son travail préparatoire, elle s’appliqua alors à m’introduire le saucisson dans mon fondement. Quand seul quelques petits centimètres émergeaient encore, elle vint à son tour croquer sa part. L’apéritif continua naturellement, un peu de boisson, un petit bout de saucisson. Etant d’un grand appétit, je terminais ma part le premier, laissant son petit trou béant. Elle comprit, en voyant mon sexe fièrement dressé, que j’étais prêt pour un nouvel assaut. Elle se positionnait alors à quatre pattes, m’offrant une vue des plus intéressantes sur sa partie charnue dont le fin conduit ouvert n’attendait plus que mon membre viril. Elle m’aidait à positionner le bout de mon sexe à l’entrée de son anus et, d’un brusque mouvement je l’empalais. N’étant pas en mesure d’accompagner ses mouvements en la tenant par les hanches, c’est elle qui imprimait le mouvement général de cette somptueuse sodomie. Je ne fus pas long à venir et ses intestins furent bientôt pleins de ma semence crémeuse. Epuisé, je m’allongeais sur le dos, essayant de reprendre mon souffle. Doucement, elle se leva et vint s’accroupir au dessus de mon visage. Quelle vision délirante. Ecartant des ses mains les deux globes de ses fesses, son petit trou me fit l’offrande du résultat de ma jouissance. Bien que vidé de toute énergie, je trouvais alors suffisamment de ressources pour venir lui lécher l’anus. Ma langue la fouillait avec volupté. Je compris qu’elle se caressait pendant que je lui prodiguais ce baiser au goût si particulier. Une onde formidable de jouissance la prit soudainement, la laissant de nouveau pantelante, épuisée mais ivre d’un bonheur inoubliable.

Et bien voilà, cher ami lecteur ou lectrice, j’espère que le récit de cette petite aventure vous a plu.

Si ma prose vous plait, faites le moi savoir et je me ferai un devoir de vous raconter les plus sympathiques de mes souvenirs amoureux.

Bien à vous

G FOX

g.fox@libertysurf.fr

Ce récit est paru initialement sur le site de Revebebe en 2000. Il est publié ici à la demande de son auteur.

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4 réponses à Tendre voisine chapitre 1 par G Fox

  1. Roques dit :

    J’ai adoré ces moments de folie érotique !

  2. Harivel dit :

    Le saucisson dans le fondement ! On ne lit pas ça tous les jours !

  3. Warner dit :

    Comme j’aimerais avoir une voisine aussi accueillante !

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